• Un jour il sera peut-être trop tard pour avoir peur !

    L'AURORE.overblog.fr -:-:-:-:-:-:- par Manuel GOMEZ           L'AURORE.overblog.fr / par Manuel GOMEZ

    25 Août 2017

    Cela s’est passé il y 62 ans mais, à l’époque, cela ne vous concernait pas « métropolitains » !

    *Le 20 août 1955 à 12 h, une katiba (bande de terroristes-égorgeurs du FLN), armée jusqu’aux dents, a massacré 123 habitants (71 européens, 52 musulmans et 120 disparus).

    Cela s’est passé à El Halia, petit village minier près de Philippeville, où les Arabes et les Français cohabitaient en parfaite osmose.

    250 familles algériennes ainsi que 130 familles européennes, travaillaient dans la mine, dirigée par un jeune ingénieur, M. Revenu, nommé tout récemment.

    Dans l’éventualité d’une attaque, le responsable de la sécurité avait réclamé des armes mais elles lui ont été refusées par les autorités françaisEes.

    Le responsable local du FLN se nommait Zighout Youssef.

    Mais plutôt que de laisser des gens raconter ce qu’ils n’ont pas vécu, je préfère laisser la parole à Marie-Jeanne Pusceddu, qui était sur place ce jour-là (Marie-Jeanne a été recueillie, après l’indépendance, et dès son arrivée en métropole, par les sœurs de Saint-Vincent de Paul à Lacanau-les-Bains (Gironde)

    **« Il était 12 h lorsque nous avons entendu des coups de feu et les youyous des mauresques. Tous les hommes travaillaient à la mine. Ma belle-sœur, Rosé, sa petite dernière, Bernadette (3 mois) dans les bras, et ses enfants, Geneviève 8 ans, Jean-Paul 5 ans, Anne-Marie 4 ans et Nicole 14 ans, sont venus se réfugiés chez nous. Il y avait ma mère, mon frère Roland, 8 ans, mes sœurs Suzanne, 10 ans, et Olga 14 ans, et mon mari qui venait de rentrer pour déjeuner avec nous. Mon autre fils, Roger, 17 ans, travaillait à la mine.

    *Les fellaghas ont fait irruption en cassant la porte à coups de hache. C’était Chérif qui les dirigeait. Chérif, le chauffeur de taxi, notre ami, lui qui avait assisté à notre mariage et était venu nous chercher à la gare à notre retour du voyage de noces. C’est lui qui commandait les fellaghas qui hurlaient : « Nous voulons les hommes ».

    Chérif a tiré en pleine poitrine sur ma pauvre mère avec son fusil de chasse. Elle est morte sur le coup, avec Roland dans ses bras, grièvement blessé. Rosé a été tuée dans le dos et son bébé écrasé contre le mur. Ensuite Chérif a tiré sur moi et j’ai reçu la balle à hauteur de ma hanche. Olga, ma sœur, a été violée puis assassinée et mon autre sœur, Suzanne, blessée à la tête (elle en porte encore aujourd’hui la marque).

    *Toute la famille Azaï a été également massacrée à coups de couteaux, la sœur de ma mère, son mari, ses deux filles, dont l’une était paralysée, et son autre fille, qui arrivait de France en vacances, déchiquetée à coups de couteaux avec son bébé.

    *A la mine le massacre s’est poursuivi. Mon frère assassiné, mon cousin Julien également alors qu’il se trouvait au restaurant. Pierrot Scarfoto à coups de fourchette et les testicules coupées et enfoncées dans la bouche, tout comme mon neveu, René. Mon père, sourd de naissance, blessé s’est réfugié dans une galerie abandonnée où on ne l’a retrouvé mort que 15 jours plus tard. 13 membres de ma famille abattus ce même jour. »

    **L’armée française est arrivée à 17 h.

    Y aura-t-il quelqu’un, même un simple anonyme, ce 20 août en Algérie, pour se recueillir sur les tombes de ces 123 victimes des barbares du FLN ? A condition que ces tombes soient toujours présentes et qu’elles n’aient pas été profanées pour tenter d’en effacer même le souvenir !

    « Même pas peur », dites-vous, lorsque les médias vous interrogent ! Il est facile de ne pas avoir peur lorsque l’on n’est pas sur place, lorsque l’on n’a pas assisté à des massacres, lorsque l’on pense que ça n’arrivera qu’aux autres.

    Imaginez une seule seconde que vous ayez vécu ce cauchemar à El Halia, le 20 août 1955, tout comme ces innocents qui ont vécu « le Bataclan », en novembre, « la promenade des Anglais », le 14 juillet à Nice ou le récent massacre sur la « Rambla » de Barcelone, alors vous auriez peur pour tout le restant de votre vie.

    Nous en avons eu la preuve dramatique un week-end de fête à Juan-les-Pins. Quelques pétards tirés par des inconscients, d’une inconscience criminelle, ont causé une panique générale, dont le bilan fut de 80 blessés.

    Jamais une telle panique ne se serait produite si l’attentat du 14 juillet à Nice n’avait pas été encore présent dans tous les esprits.

    Mais continuez à ne pas voir peur, vous êtes si bien protégés par ceux qui sont chargés de « faire la guerre » à ces barbares, en respectant « les valeurs républicaines » de la France, patrie des «Droits de l’homme», jusqu’au jour où il sera trop tard, même pour avoir peur !


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  • MACRON : Il nous a compris !

    « Je vous ai compris », non, ne riez pas, Emmanuel Macron nous a parfaitement compris et il avait entièrement raison quand il a affirmé qu’il y avait « crimes contre l’humanité ». C’est nous qui avons mal interprété sa pensée profonde.

    Oui, il y a bien eu « crimes contre l’humanité », mais ce sont les Algériens qui les ont commis.

    *En 1962, en massacrant plus de 80.000 Harkis, enfants, femmes, vieillards et même les chèvres, les moutons et les vaches.

    *En 1962 toujours, en enlevant et assassinant plus de 3000 enfants, femmes, vieillards et adultes, à Oran.

    *En 1957, à Melouza, en éliminant dans une boucherie abominable 374 algériens, musulmans, enfants, femmes, vieillards, adultes, parce qu’ils refusaient de soutenir le FLN.

    *En 1955 à El Halia, en tuant 140 enfants, femmes, vieillards et adultes. Un vrai carnage, des bébés écrasés contre les murs sous les yeux des parents.

    Et j’arrête là cette liste des « crimes contre l’humanité » commis par les Algériens, car elle serait trop longue.

    En Algérie, le récit national officiel passe sous silence de très nombreux faits historiques en ne reconnaissant pas la dimension criminelle de l’État français en Algérie, dixit le professeur Abdelmadjid Merdaci. Il ferait mieux de se lever pour voir plus loin et admettre également la dimension bien plus criminelle de l’État algérien.

    Il est vrai qu’il est encore très en retrait vis-à-vis de certains historiens français, aussi coupables que « les porteurs de valises » de l’époque guerrière parce qu’ils portent, eux, le mensonge sur les crimes de guerre et des crimes contre l’humanité commis par le FLN et la désinformation sur l’œuvre colonisatrice française.

    C’est le cas notamment d’olivier Le Cour Grandmaison qui souhaiterait obliger Macron à prendre l’engagement d’inscrire, s’il est élu, le colonialisme comme « crimes de guerre » et « crimes contre l’humanité »,

    Au passage il informe, contre toute vérité et réalité, le chiffre de 35.000 à 40.000 victimes, lors des évènements de Sétif, en mai 1945, alors que le chiffre officialisé, par les chercheurs algériens, est d’environ 8000, ce qui est déjà beaucoup trop, sans avoir besoin d’en rajouter.

    Ces dizaines de milliers de victimes massacrées pour des raisons politiques mais, surtout, pour des raisons ethnico-raciales, selon lui.

    Il demande à Emmanuel Macron de signer un appel, paraît-il national et même international, demandant la reconnaissance des crimes coloniaux commis par la France et cela en raison des massacres, déportations massives des civils, tortures généralisées, exécutions sommaires, disparitions forcées, travail forcé imposé aux hommes, femmes et mineurs.

    Il veut faire signer cet appel aux candidats des prochaines élections législatives.

    Comme je suis poli, aujourd’hui, je ne lui dirai pas où il peut se l’introduire, son appel !

     


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  •  Les tire-au-flanc !Il faut remettre la France au travail ...Et ceux qui bosse les rémunérées ... 

    "Les caisses ne sont pas faites pour les chiens qu'ils vous disent "...


     

     Les tire-au-flanc !

    Certains ont un vrai don pour éviter le travail... Mais tous les tire-au-flanc n'ont pas le même profil. On ne gère pas de la même façon le démotivé, la couleuvre, l'intouchable ou le rebelle. Faites le bon diagnostic !, car le chômage, parfois, a bon dos...

    Avez-vous affaire à un tire-au-flanc ?;

    UN EXEMPLE VÉRIDIQUE EN MA CONNAISSANCE ;

    Nicolas L., 35 ans, avait pourtant commencé sa mission de responsable marketing tout feu tout flamme comme beaucoup d'ailleurs . Six mois plus tard, sa belle énergie semble s'être envolée. Dernier arrivé au bureau, il est souvent malade alors qu'il avait une santé de fer, évite de manger avec ses collègues, pour pouvoir sortir déjeuner avec de supposer clients jusqu'à 16 heures et quitte régulièrement le bureau à 17 heures au lieu de 18 heures ... À moins qu'il ne reste après tout le monde, histoire d'expédier quelques e-mails datés de 22 h 30, tout en terminant la lecture approfondie du Monde et de L'Équipe . Il invoque constamment une surcharge de travail pour refuser toute nouvelle mission... Quand il ne confie pas celles-ci subrepticement au stagiaire, qu'il fait cornaquer par son assistante. Nicolas est-il paresseux de nature ou tire-au-flanc par réaction ? Son comportement est-il la manifestation d'un mécontentement, la conséquence d'une déception, l'exploitation d'une situation ? Voici une typologie et un quiz pour vous aider à faire le bon diagnostic.

    Pour la victime
    Il n'en peut plus. Perpétuellement épuisé, au bout du rouleau. Évitez de rentrer dans son jeu, ainsi la santé en prenne un coup ...
    Le tire-au-flanc "victime" est souvent fatigué, vulnérable. Il manque d'endurance. Il adopte souvent ce type de comportement pour des raisons extra professionnelles : santé fragile, moral en dents de scie, sa femme malade,il ne vient pas,fatigue due à de longs trajets quotidiens, enfant ou parent malade. Malade imaginaire, vrai dépressif ? Pour le patron, il est souvent difficile de s'y retrouver... 
    Martine M., la cinquantaine dépressive et bourrue, est secrétaire dans un bureau secteur d'affrètement de transport. Assommée, d'anxiolytiques et de somnifères, elle arrive au bureau une demi-heure après tout les autres affréteurs , , prend trois cafés et n'accepte du travail qu'à partir de 11 heures, car, avant, "elle est dans les vapes"et le chauffeurs d'avoir vider son fret a 8h30 ,faut qu'il attende 11 heures que madame soit disponible ,même si vous êtes un vendredi en Suède ou en Allemagne par-exemple ...À moi elle ne me l'avait pas fait deux fois car nous gonflés les burnes ainsi sur ses collègues et sur le travail d'une mission ...

    En revanche, pour le malade imaginaire, "faites-lui prendre  Les tire-au-flanc !conscience des répercussions de sa faible productivité 
    "Il faut centrer le tire-au-flanc sur la tâche à accomplir et ne surtout pas entrer dans son jeu ni le plaindre." Car de vous ils ou elles s'en tape le coquillard ...
    Secteurs les plus concernés par l'absentéisme : l'agroalimentaire, avec un taux de 4,1 %, l'automobile (3,7 %), le bâtiment (3,6 %) et l'industrie des biens de consommation (3 %). 

    Elizabeth G., 41 ans, a une formation de gestion dans le transport routier ,mais a dû se contenter d'un poste de caissière en super marché . Elle considère son travail comme le bagne. Elle change souvent d'employeur, se dispute avec ses collègues, râle en permanence et fait son travail de mauvaise grâce...

    Xavier N., une quarantaine d'années, se désintéresse de son travail actuel dans une agence de fret en container sur le Havre. Il a décidé de devenir formateur en PNL. Il travaille ses cours au bureau, prétend être en tournée chez ses clients. En réalité, il suit des séminaires de programmation neurolinguistique...

    Je vous remercie ...Sylvestre Brunaud..


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  • Juifs mais Éthiopiens, Israël ne veut plus d’eux.

    Nouveau tour de vis dans la politique israélienne en matière d’immigration. À compter du 28 août 2013, les autorités de Tel-Aviv n’accepteront plus l’entrée collective des Juifs éthiopiens sur leur territoire, laquelle était jusqu’alors autorisée sous certaines conditions, a annoncé un responsable de l'Agence juive.

    C’est la fin d’une époque pour les Juifs d’Éthiopie, en majorité des Falashas dont la judéité a été reconnue par les autorités israéliennes en 1975. L’agence juive pour Israël, sous la pression de Tel-Aviv, a ainsi annoncé, dans une lettre de sondélégué en Éthiopie, Asher Seyum, signalée sur le site du journal Haaretz, que les deux derniers vols collectifs de « retour » (Aliyah) des Juifs éthiopiens vers les territoires israéliens décolleraient le 28 août 2013. Ces deux derniers voyages effectués, seules les demandes individuelles d’immigration seront examinées, avec attention, indique le document.

    Voilà déjà quelques années que Tel-Aviv tente de durcir sa politique en matière d’intégration des Juifs étrangers, en particulier éthiopiens, redoutant une immigration économique africaine alors que la conjoncture n’est guère favorable. En 2010, Benyamin Netanyahou avait ainsi annoncé le renforcement des mesures de contrôle concernant l’entrée sur le territoire des migrants. Surtout, en décembre 2012, une révélation des journaux israéliens faisait scandale. Selon eux, des femmes venues d’Éthiopie et appartenant à la communauté falasha, avaient été obligées de se soumettre à une contraception obligatoire et durable pour avoir l’autorisation de s’implanter en terre promise. En une décennie, le procédé, qualifié de crime inconcevable par la presse, aurait réduit le taux de natalité de la population juive éthiopienne de 50%.

    Des Juifs à part

    Cette minorité a pourtant longtemps bénéficié, officiellement, de la politique d’immigration israélienne. Les Juifs éthiopiens seraient aujourd’hui 120 000 sur le sol israélien dont 80 000 nés en Israël, la plupart descendant des populations arrivées à la fin des années 80, puis dans les années 90, alors que l’Éthiopie était en proie à la famine. La plus importante opération aura notamment lieu en 1991, quelque 14 400 juifs éthiopiens ayant été secrètement emmenés par voie aérienne en Terre promise en moins de 48 heures.

    L’intégration est néanmoins loin d’être parfaite, les nouveaux venus souffrant quotidiennement de discriminations et de racisme au sein de la société israélienne. Selon l’ONU, environ 52% des familles juives éthiopiennes vivent en dessous du seuil de pauvreté, contre 16% de la population juive israélienne dans son ensemble, et une grande majorité de la communauté éthiopienne vit dans des quartiers aux allures de ghetto. Si les Falashas se considèrent comme les descendants du fils du roi Salomon et de la reine de Saba, pour Israël, ils n’en sont pas moins, et de plus en plus, des Juifs à part et des immigrés.

    Définition

    Aliyah est un mot hébreu signifiant littéralement « ascension » ou « élévation spirituelle ». Ce terme désigne l’acte d’immigration en Terre sainte par un Juif. Qui peut alors être appelé Olim.

    Par Mathieu OLIVIER

    http://www.jeuneafrique.com/


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  • La face cachée de celui qui "aide les migrants" mais qui en fait viole la loi...

    La face cachée de celui qui "aide les migrants"

    Valeurs actuelles nous en dépeint le portrait de celui qui a été condamné en appel : 
    "C’est précisément parce que la justice le soupçonne d’organiser une filière d’immigration clandestine que l’homme fait parler de lui. On lui reproche d’aller chercher des migrants derrière la frontière italienne et de les choisir lui-même, pour les faire passer en France à bord de sa camionnette. Sa ferme est repérée depuis plusieurs mois comme un point de collecte de vêtements et de denrées au profit des migrants.
    S’il est établi qu’il ne s’enrichit pas à travers cette activité, il est aujourd’hui clairement identifié par les autorités comme un passeur. Il est reproché à ce militant assumé d’extrême gauche de 37 ans d’avoir organisé un système illégal d’« aide à l’entrée, à la circulation et au séjour d’étrangers en situation irrégulière ». L’agriculteur bio, qui vend ses oeufs sur les marchés de la région, est aussi poursuivi pour « occupation illégale de locaux privés », après avoir installé un camp de migrants dans des locaux appartenant à la SNCF. Jugé le 4 janvier dernier à Nice, le procureur a requis huit mois de prison avec sursis. L’homme a reconnu être allé chercher les migrants en Italie et non les avoir trouvés le long du chemin. Le jugement sera rendu le 10 février (...)
    Impliqué dans les milieux No Borders, particulièrement actifs à Notre- Dame-des-Landes où ceux-ci se livrent à des attaques violentes contre les forces de l’ordre, ou encore à Sivens, Cédric Herrou mène un véritable combat politique. « Je suis antifa », n’hésite-t-il pas à publier sur sa page Facebook le 8 décembre 2015. Le 13 juin 2016, il publie un autre texte sous une photo avec deux hommes qui se tiennent par la hanche : « On a tous un côté un peu pédé… » Il assume : « Le but [est] de titiller les fachos barbus ou ceux à têtes rasées, petits cathos frustrés, vieilles peaux mal baisées et… » (...
    Cédric Herrou et ses amis activistes seraient aussi connus des services pour être des consommateurs de cannabis réguliers, n’hésitant pas à se vanter d’allumer des feux, nus sous des cahutes, en y brûlant des herbes hallucinogènes. Les effets seraient « extraordinaires ».

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