• Bataclan : les BAC en première ligne

    Policiers à côté du Bataclan le 13 novembre 2015 ) - DESSONS Eric/SIPA

    Une soirée où des tueurs ont transformé une salle en piège mortel.

    Vendredi 13 novembre, les BAC (brigade anticriminalité) franciliennes ont pesé à deux reprises sur le cours du scénario. Retour sur cette soirée où des tueurs ont transformé une salle de concert en piège mortel.
     
    Le scénario de l’attaque de la salle du Bataclan par un commando de trois terroristes armés comme à la guerre, le vendredi 13 novembre, se précise chaque jour davantage.
     Habituellement employés pour débusquer les dealers dans la rue ou démasquer les pickpockets, les fonctionnaires des BAC (brigades anticriminalité) parisiennes sont souvent les premiers sur les lieux en cas d’urgence. 
    Ce soir là, ce n’est cependant pas de criminalité qu’il s’agit, mais d’une scène de guerre.
    Nous avons déjà rapporté la manière dont ces policiers du quotidien avaient paré au plus pressé et organisé l’évacuation des blessés à l’aide de barrières métalliques transformées en civières, sous les yeux pétrifiés de la haute hiérarchie, notamment le préfet de police Michel Cadot.
     Dans l’incapacité de figer l’action avec leurs armes réglementaires.

    Il est par ailleurs désormais avéré que , en tenue de travail, a fait basculer le cours des événements.
     Entré par la porte principale, ce fonctionnaire qui souhaite garder l’anonymat a rapidement aperçu dans la pénombre un homme en train d’achever une victime ; il a instinctivement sorti son arme, s’est calé sur un comptoir et a fait feu.
     La balle a atteint sa cible et déclenché le gilet explosif du terroriste.

     Ne disposant d’aucune information sur le nombre d’assaillants et sans doute choqué par le spectacle des cadavres dans la fosse, le policier a rebroussé chemin pour se mettre à l’abri.

    C’est à cet instant que le cours de la soirée bascule

    Les deux complices de celui qui vient de mourir, loin d’opter pour l’attentat suicide, tentent de quitter le Bataclan. 
    Qu’ils aient reculé devant la mort ou décidé de se préserver pour une action future - ce que permet de penser les révélations intervenues depuis sur une action terroriste dans le quartier d’affaire de la défense - ne change rien aux faits : l’un d’eux au moins a tenté à cet instant de regagner la rue par une porte latérale. 
    Il a alors été pris pour cible par un autre fonctionnaire d’une BAC francilienne qui du bout de la rue a épaulé son fusil à pompes, tandis que fusaient autour de lui les balles du fusil mitrailleur.
     Le terroriste, sentant que toutes les issues étaient fermées, s’est alors retranché dans la salle.
    On connaît la suite : les deux assaillants se retranchent à l’étage, dans un local technique, où ils mourront lors de leur confrontation avec la première colonne de la BRI (brigade de répression et d’intervention).

    Conclusion provisoire : incarnation d’une police qui n’a jamais quitté la rue, le modèle des BAC rappelle que la seule police qui vaille est celle qui joue la proximité, avec tous les risques que cela comporte pour elle et pour ses chefs.

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  • Rachid Nekkaz: "Bouteflika est mort"! Posté  Par : Pieds Noirs 9A..
     
    Il affirme que celui qu'on nous montre n'est pas le vrai .

    Rachid Nekkaz: "Bouteflika est mort"! (Vidéo)

    Rachid Nekkaz qui était l’invité d’une émission de télévision sur El Magharibia afin d’analyser les résultats des élections locales du 23 novembre passé,  affirmait que le président Abdelaziz Bouteflika « était mort et que celui que l'on nous montrait à la télévision était un sosie ».

    Le trublion Nekkaz voulait pour preuve, le dernier lapsus du SG du FLN, Djamel Ould Abbes, lorsqu’il a prononcé, dans l'une de ses nombreuses déclarations « Allah Yerhmou », en évoquant le Président Bouteflika.

    « Vous savez, expliquait Nekkaz, aujourd’hui on peut fabriquer un masque 3D en 1 heure. Celui que l'on nous montre à la télévision n’est pas le vrai président, pour la simple raison qu'Abdelaziz Bouteflika est mort », soutenait-il.

    « C’est un scénario hollywoodien que l'on nous fait là. Si le président était réellement vivant, pourquoi n'il m'adresse pas au peuple algérien? S’il le faisait, tout le monde les démasquerait,car le peuple connaît la voix du vrai Bouteflika », affirmait-il encore devant le journaliste qui ne savait pas comment réagir face à de tels arguments!

    Auteur
    B. Karima
     
    http://www.lematindz.net/
     

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  • Cercle Algerianiste Gers


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  •  Occupation des biens des Français d'AlgériePosté par: Pieds Noirs 9A

    Malgré son discours , pour moi c est une faille juridique , cet enfant de fellaghas , il croit avoir insulte les pieds noirs et les harkis , mais non monsieur , vous venez de dire la vérité , sans le savoir . 

    Traduction ;
    Ici a la rue d'Isly et la rue Michelet , tout les locataires algériens n' ont pas d acte de propriété , c est a dire sont des locataires , chez leurs anciens bailleurs , 
    Les bailleurs c'est qui c'est les pieds noirs .

    Ce probleme est pose a alger , constantine , oran , et le pire les terres agricoles , les algeriens ils n arrivent a avoir un acte de propriete , les fellah algeriens aux yeux de la loi , occupent des terres des harkis et pieds noirs .
    Bref ,
    Ma reponse pour cet ignorant 
    1 le fln est signataire des accords d Evian 
    2 l etat algerien je vous lance un defi chiche il delivre des actes de propriete aux locataires algeriens .
    3 les pieds noirs et les harkis , ils attendent une décision de justice européenne , pour inviter les locataires algériens de quitter les lieux ou négocié avec eux le prix de vente au prix de 2017


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