• Visite de Zelenski au sommet de l’OTAN en images

    Quelqu’un manque-t-il à l’appel ? Non ? parfait.

    Qui est ce type ? Qu’est ce qu’il veut ?

    L’OTAN déclare qu’elle invitera l’Ukraine un jour ou l’autre, résistant aux appels à agir rapidement

    L’OTAN a déclaré mardi que l’Ukraine serait invitée à rejoindre l’Alliance, mais n’a pas précisé quand ni comment, décevant ainsi son président mais reflétant la détermination du président Biden et d’autres dirigeants à ne pas être entraînés directement dans la guerre de l’Ukraine contre la Russie. …

    On se sent un peu seul ici :

    Maintenant, comment suis-je censé me sortir de ce pétrin ?

    Le moment où Zelenski réalise qu’il s’est fait avoir – Agrandir

    Et voilà.

    Moon of Alabama

    Traduit par Wayan, relu par Hervé, pour le Saker Francophone


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  • MACRON nous affirmait "AUCUN COPINAGES POUR SERVICES RENDUS" c'est un véritable ( MENTEUR ).
    Le gourou, le poudré, élargit sa secte.
     
    Propos recueilli ..
     
    Propos recueilli ..Il les a trouvés a la rotonde PILIPPE BESSON, STEPHAN BERN, BERTRAND DELAIS, BRUNO ROGER PETIT, Face à la polémique suscitée par la nomination de Philippe Besson au poste de consul général de France à Los Angeles, Emmanuel Macron, en déplacement en Finlande, a dû se défendre de tout « copinage », jeudi 30 août.
    Car parmi la riche bibliographie de Philippe Besson figure Un personnage de roman, qui narre de façon très élogieuse la campagne présidentielle d’Emmanuel Macron.
     
    « Je souhaite et je continuerai à ouvrir l’ensemble des postes de responsabilité de l’administration, en particulier de la haute fonction publique, à des gens de talent et de mérite venant d’autres horizons – et encore davantage qu’on ne l’a fait jusqu’alors », a justifié le président jeudi.
     
    Pour ce faire, Emmanuel Macron n’a pas hésité à puiser parmi ses soutiens de la première heure, dont beaucoup étaient réunis à La Rotonde le soir du premier tour, comme l’a fait remarquer la journaliste Pascale Clark sur Twitter. Aux côtés des politiques et petites mains de la campagne, un cercle de personnalités du monde culturel ou médiatique étaient également convié, dont plusieurs personnes se sont, depuis, vu confier des postes ou des missions par le gouvernement.
     
    Philippe Besson : consul à Los Angeles
    Philippe Besson, écrivain qui a suivi Emmanuel Macon pendant sa campagne présidentielle, et convié à La Rotonde en avril 2017, doit être nommé dans les prochains jours au poste de consul général de France à Los Angeles. Son dernier ouvrage en date, Un personnage de roman, narre avec une grande bienveillance la conquête de l’Elysée par l’actuel chef de l’Etat.BESSON ami de BRIGITTE MACRON
     
    Pour ce faire, quelques règles ont été modifiées. Un décret présenté lors du Conseil des ministres du 3 août a rajouté 22 postes de consuls généraux « particulièrement importants », dont celui de Los Angeles, à la liste des emplois « pour lesquels la nomination est laissée à la discrétion du gouvernement ». Ils sont désormais ouverts à des non-fonctionnaires, comme l’écrivain.
    Dans Le Monde, l’Elysée évoque une « politique d’élargissement des viviers de nomination, comme partout dans la fonction publique », pour justifier ces nouvelles règles. Mais pour un haut fonctionnaire, cité anonymement, il s’agit plutôt de « reprendre la main sur des postes honorifiques pour recaser des amis du pouvoir ». « Il n’y a chez moi aucun copinage pour services rendus », s’est défendu Emmanuel Macron, à l’occasion d’un déplacement en Finlande.
    Bruno Roger-Petit : porte-parole de l’Elysée Kita Enda,
    « BRP », comme il est surnommé, a été nommé en juillet 2017 porte-parole de l’Elysée. Le journaliste de 55 ans, ancien de France 2, éditorialiste sur le site de Challenges et habitué des plateaux télé, s’est distingué par sa production prolifique de chroniques en faveur de l’ancien ministre de l’Economie. A tel point que la Société des journalistes de Challenges s’est fendue, en mars 2017, d’un communiqué pour dénoncer la fréquence trop élevée d’éditos pro-Macron. La plume de celui qui « rêvait d’être conseiller », invité à La Rotonde, aura donc enthousiasmé le président, suffisamment pour raviver une fonction inoccupée depuis David Martinon pendant le mandat de Nicolas Sarkozy.
    Bertrand Delais : patron de La Chaîne parlementaire
    Le réalisateur Bertrand Delais, auteur notamment du documentaire Macron, en marche vers l’Elysée et également auteur d’éditoriaux plutôt favorables au président de la République, a été choisi en mars dernier par l’Assemblée nationale, pour prendre la tête de La Chaîne parlementaire.
     
    Cette nomination avait immédiatement suscité des critiques. « Un parfum d’ORTF », « Mais bon sang, regardez la procédure de nomination ! », s’était-il défendu auprès de France info : « Même des gens qu’on peut difficilement taxer de macronisme m’ont donné une bonne note. Ma victoire est tout à fait loyale. » « Même si je voulais faire une ‘télé-Macron’, je ne pourrais pas », ajoutait-il.
     
    Stéphane Bern : « conseiller historique » de la Mission patrimoine
    En septembre 2017, Emmanuel Macron a confié une mission à l’animateur Stéphane Bern, en lien direct avec le ministère de la Culture : trouver un mode de financement pour rénover les milliers de monuments français ayant besoin d’une restauration. et BENALLA l'affaire n'est pas terminée et j'insiste dessus pour que vous n'oubliez pas Lire la suite sur francetvinfo.fr
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  • En France, s’opposer au tapage, c’est risquer la mort.

    Trop de bruit dans le voisinage, un vacarme insupportable et, la nuit durant, jeunes et engins motorisés vous crèvent les tympans. Vous ne dormez plus, perdez vos nerfs et désirez retrouver votre tranquillité. Que faire ? C’est bien simple : faites abstraction.

    Car ne pas apprendre à vivre avec, refuser de supporter l’insupportable, c’est ni plus ni moins risquer sa vie, voire « tirer son linceul ».

    Tabassés pour avoir demandé le silence

    Voici ce qui est arrivé, ces derniers mois, à certains de ceux qui ont osé demander aux fauteurs de troubles de faire moins de bruit.

    Entre le lundi 10 et le mardi 11 juillet, un septuagénaire est mort des blessures infligées par un groupe de jeunes. L’agonie aura duré près de cinq jours. L’homme de 72 ans, habitant Vieux-Condé (Nord), était sorti de chez lui dans la nuit du 5 au 6 juillet, agacé par le tapage venant de la rue.

    Dans la soirée du 10 juin dernier, Bernard Delannoy, âgé de 62 ans, résident de la commune de Quesnoy-sur-Deûle (Nord), est « mortellement blessé d'un coup de couteau à la gorge ». Le sexagénaire, arrivé deux mois plus tôt dans cette localité de 6.000 habitants, a été frappé au couteau après avoir demandé à des individus de faire moins de bruit.

    En pleine nuit, vers 2 h 30 du matin le dimanche 4 juin, le maire de Magnières se rend dans la salle des fêtes du village où une bagarre vient d’éclater. Mal lui en prend, puisque la colère des participants se retourne contre lui. Poursuivi jusque dans la rue, il est jeté au sol et frappé par une dizaine de personne. Souffrant de multiples contusions, le maire porte plainte, ce qui conduit à l’interpellation de « deux hommes de 16 et 18 ans ».

    Mercredi 3 mai, en fin de soirée, un habitant de Viroflay (Yvelines) est passé à tabac par une bande jeunes. Il leur avait demandé de s’éloigner de l’entrée de sa résidence à cause du bruit qu’ils faisaient. Blessé à la tête, la victime est conduite à l’hôpital, « sans que son pronostic vital ne soit engagé ». Ses agresseurs ? Envolés.

    À Brest, dans l’après-midi du dimanche 16 avril, un jeune motard fait pétarader sa moto. Un homme de trente ans sort de son immeuble pour le prier de stopper le vacarme. Mécontentement, le jeune obtempère, s’éloigne, pour revenir « avec une vingtaine de jeunes avec battes de baseball, couteaux, lacrymo… » Pendant une minute, les coups s’abattent. Le malheureux en réchappera, mais avec de graves blessures.

    Le Havre, 27 janvier 2023. Un habitant de la rue Massillon a supporté toute la nuit le boucan venant de la maison d’à côté. À l’aube, il entend une bagarre, décide d’intervenir. Deux jeunes pénètrent alors chez lui de force, se saisissent de bouteilles en verre vides, d’un tube d’aspirateur et font pleuvoir sur lui une grêle de coups. La victime, âgée de 39 ans, s’en tirera malgré tout.

    Et l’on pourrait allonger la liste. Ces violences sont systématiquement le faits de jeunes, souvent mineurs. Alors, cette fois, à qui la responsabilité, Monsieur le garde des Sceaux ? Les parents ? L’État ?

    Jean de Lacoste

    Source : http://bvoltaire.fr


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  • Le Poudré immature veut la guerre

    Qu’on lui donne un fusil et balançons le sur le front .


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  • [EDITORIAL] Est-on désormais forcé de dire que Nahel était « un petit ange » ?

     

    Gabrielle Cluzel   

    Anne-Laurence Petel, députée Renaissance d’Aix-en-Provence, est poursuivie par l’ire de l’extrême gauche. 

    Une meute hurlante de députés (à l'instar d'Antoine Léaument) et de journalistes (comme Nils Wilcke) est à ses trousses.

     Son crime ? S’être demandée si la qualification de « petit ange » convenait bien à Nahel. Si le mot « délinquant » n’était pas plus approprié : « Conduire sans permis une voiture immatriculée en Pologne, ce qui est à peu près le symbole du trafic de drogues, qui refuse d’obtempérer une première fois, puis une deuxième fois, ça ne justifie aucunement le fait qu’il meure, mais ça explique qu’il se retrouve devant la police. »

    Nahel n’est pas Émile. A-t-on encore le droit de le dire ? Que même le pire des délinquants reste un chérubin pour l’éternité dans le cœur d’une mère éplorée - même si, en son for intérieur, celle-ci se sent coupable de ne pas avoir su l’empêcher de se perdre - est compréhensible. Mais faut-il rappeler que pour la société, conduire sans permis une voiture suspecte, refuser à plusieurs reprises d’obtempérer, pour ne parler que de cela, n’est pas un comportement… angélique ?

    Une mort tragique à un (relatif) jeune âge dans le cadre d’un affrontement avec les forces de l’ordre ne vaut pas auréole ni présomption de sainteté. C’est pourtant la partition que joue immanquablement, à chaque fois, l’extrême gauche. Zyed et Bouna, Adama Traoré… et même, il fallait oser, Abdoullakh Anzorov, assassin de Samuel Paty ! Sur un blog hébergé par Mediapart, un texte avait accusé la police de « barbarie » pour avoir « exécuté » le jeune Tchétchène de 18 ans. L’auteur anonyme de ce pamphlet, contre lequel avait porté plainte le ministre de l’Intérieur, avait finalement fini par remplacer le mot « barbarie » par celui de « dérive ». Mais on voyait à peu près l’idée.

    Anne-Laurence Pétel - et c’est assez rare pour le signaler - n’a pas rétropédalé. Distinguer le bien et le mal, ne pas céder au relativisme qui détruit tout sur son passage est important pour elle, et elle ose l'affirmer. Dans un tweet, elle reproduit l’intégralité de son propos : « Pas un mot à rajouter, pas un mot à enlever. » La dictature de l’émotion ne passera pas par elle.

    Dommage que son mentor, Emmanuel Macron, qui a tout de suite « lâché » la police de Nanterre, dénonçant, sans craindre de piétiner la présomption d’innocence du policier, des faits « inexcusables et inexplicables», n’ait pas eu son cran.


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