• Nous sommes dans des conflits de plus en plus certain .Par :Pieds Noirs 9A..

    Billet N °6707 du jeudi 18 avril 2024..

    Nous sommes dans des conflits de plus en plus certain .

    Les conflits de notre temps ne sont pas en soi insolubles, mais ils apparaissent comme tels, car nous avons du mal à caractériser et à interpréter les intentions qui animent leurs acteurs qu'ils nous veulent du mal ,les jeux Olympiques en France n'apportera pas que du bien !. 

    Les difficultés d’interprétation tiennent en partie aux effets contrastés de la mondialisation. Les libéraux ont toujours vu l’interdépendance des acteurs internationaux comme une promesse de paix ,voir par le commerce globalisé. Mais l’interdépendance charrie aussi des violences d’autant plus contagieuses qu’elles ont une portée transnationale et mondiale. Le commerce n’a pas remplacé la guerre, il s’est superposé à elle et, d’une certaine façon, les deux guerres mondiales ont favorisé la globalisation financière et l’organisation d’un système financier mondial.

    En Syrie, après plus de huit ans de guerre et plusieurs centaines de milliers de morts, aucune victoire ni solution de paix ne se dessine. Surtout, le conflit a profondément muté, et cela ayant provoqué une certaine plaie a vie pour nombreux gens que quelques soit le peuple .

    Il a débuté dans le contexte régional des révolutions arabes, qui a vu les populations civiles se soulever contre des pouvoirs autoritaires (Tunisie, Égypte, Libye, Bahreïn et Yémen). L’opposition au chef de l’État syrien, Bachar al-Assad, s’inscrivait dans cette aspiration à la liberté et au désir de changement politique et social. Dans ce contexte, les forces loyalistes de Bachar al-Assad se sont opposées à l’Armée syrienne libre, qui est elle-même composée de forces assez disparates, plus ou moins pacifistes et plus ou moins liées à des mouvances islamistes.

    Chercher une solution au conflit apparaît dès lors comme une erreur politique et morale, voire une menace ontologique pour la communauté. Ce n’est plus la guerre qui ébranle la communauté, c’est sa résolution. Dans le conflit israélo-palestinien, chaque partie du territoire est devenue un absolu, la terre est sacrée des deux côtés, ce qui compromet d’emblée la négociation.

    Par conséquent, la résolution du conflit est d’autant moins envisageable qu’elle n’est pas souhaitée par les belligérants. Et le conflit est insoluble au sens où il s’est installé dans la conscience historique et collective. Il façonne la vie politique, sociale, économique. 

    Même effet pour l'Ukraine ,Notre fantassin aurait du resté dans son bunker et se faire tout petit petit dans les bras de mamie !.

    Syrie, Israël-Palestine, Congo, Kurdistan, Cachemire, Ukraine, Irak, Soudan… certains conflits perdurent depuis des années, voire des décennies. Ils sont qualifiés d’insolubles. Pourtant, l’histoire montre que l’action conjuguée de la politique et du droit peut venir à bout des guerres les plus âpres et les plus longues. Sans oublier l'Algérie que nous sommes toujours en mélasse .

     Chercher une solution au conflit qui se prépare chez nous apparaît dès lors comme une forme d'une douceur de la part de nos politique, voire une menace ontologique pour notre communauté . Ce n’est plus la guerre ,mais pour l'instant (des guérillas de quartiers  de plus en plus fréquent ) ma foi qui ébranle la communauté innocente et silencieuse ,c’est sa résolution. Le conflit finira mal pour notre peuple .

    Chercher une solution au conflit apparaît dès lors comme une erreur politique et morale, voire une menace ontologique pour la communauté. Ce n’est plus la guerre qui ébranle la communauté, c’est sa résolution. Dans le conflit israélo-palestinien, chaque partie du territoire est devenue un absolu, la terre est sacrée des deux côtés, ce qui compromet d’emblée la négociation.

    Dans le conflit Chercher une solution au conflit apparaît dès lors comme une erreur politique et morale, voire une menace ontologique pour la communauté. Ce n’est plus la guerre qui ébranle la communauté, c’est sa résolution.

    Dans le conflit israélo-palestinien, chaque partie du territoire est devenue un absolu, la terre est sacrée des deux côtés, ce qui compromet d’emblée la négociation. chaque partie du territoire est devenue un absolu, la terre est sacrée des deux côtés, ce qui compromet d’emblée la négociation. Et comme la France sera envahie, Ce jouera le même rôle que l'Algérie Française et le conflit  israélo-palestinien ,car ils auront besoin de place ,beaucoup de place .

    Une vidéo pour combler ce billet;

    Pieds Noirs 9A..


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  • Rwanda : Macron salit la France et son armée ! 

    Par la Redaction Jeune Nation..

    Rwanda : Macron salit la France et son armée !
    Le 4 avril 2024, des conseillers de l’Élysée ont informé la presse du fait, qu’à l’occasion du trentième anniversaire du génocide des tutsis au Rwanda (800 000 à un million de morts), le Président de la République allait s’exprimer dans une vidéo pour dire que « la communauté internationale avait les moyens de savoir et d’agir » et que « la France, qui aurait pu arrêter le génocide avec ses alliés occidentaux et africains, n’en a pas eu la volonté. » Mais dans la vidéo diffusée ce dimanche 7 avril à Kigali, le Président de la République n’a en aucune manière confirmé, ni démenti ces propos…

    Cette communication hasardeuse, ainsi que l’absence de démenti clair, sont de nature à créer de la confusion sur la position d’Emmanuel Macron et l’action de la France à l’époque ! Alors voici quelques éléments d’éclaircissements fournit par Bernard Lugan, spécialiste incontestable, qui rappelle surtout la responsabilité des forces britanniques, canadiennes et Yankee pourtant mandatées par les Nations-Unies.

    Monsieur le président Macron, en avril 1994, c’était aux 2539 soldats de l’ONU commandés par général canadien Roméo Dallaire de s’opposer au génocide…Non aux forces françaises qui avaient quitté le Rwanda depuis le mois d’octobre 1993…

    La seule question qui se pose est en effet celle de la responsabilité de l’ONU. Pourquoi le général Roméo Dallaire qui avait tous les moyens de le faire, ne fit-il rien de sérieux pour empêcher le génocide ?

    Devant le TPIR (Tribunal pénal international pour le Rwanda), loin du héros médiatique, « capitaine courageux » face à l’indicible génocidaire, c’est tout au contraire le portrait d’un homme désemparé qui est ressorti des longues audiences. Ses fautes de commandement, ses atermoiements, ses hésitations, son absence de décision sur le terrain ainsi que ses initiatives politiques aberrantes, et parfois même incohérentes, prises en violation de la chaîne de commandement de l’ONU, font que nous sommes désormais devant l’alternative suivante :

    – Soit le général Dallaire commandant des Forces de la Mission d’assistance des Nations Unies au Rwanda fut dépassé par les évènements.

    – Soit, comme l’a écrit son supérieur, M. Booh-Booh[1], il avait reçu pour ordre de faire gagner le général Kagamé et le FPR[2].

    En application des accords de paix d’Arusha, l’ONU devait en effet garantir la Transition démocratique. La Résolution 872 (1993) du Conseil de Sécurité du 5 octobre 1993 porta ainsi création de la Mission des Nations Unies pour l’assistance au Rwanda (MINUAR).

    Le chef de cette mission était M. Jacques Roger Booh-Booh, nommé Représentant spécial du Secrétaire général de l’ONU au Rwanda. Il avait sous ses ordres le général canadien Roméo Dallaire qui était le chef militaire de la mission. Or, ce dernier était un officier qui n’avait aucune expérience du commandement opérationnel. De plus, il ne connaissait rien de l’Afrique.

    Après l’attentat du 6 avril 1994, le général Dallaire ne fit rien pour s’opposer à la reprise des hostilités par les forces du général Kagame.

    Alors qu’il se devait de sécuriser au moyen de ses 2539 hommes et de ses blindés, l’axe menant du centre-ville de Kigali à l’aéroport, au lieu de montrer sa force, il la replia tout au contraire dès la nuit du 6 au 7 avril, en commençant par abandonner cet axe vital pourtant sous sa garde et que le FPR coupa…

    Plus largement, dès la reprise des hostilités, le général Dallaire aurait dû imposer un couvre-feu et déclarer qu’il ferait tirer sur quiconque le violerait. Le général Kagamé aurait alors hésité à lancer son offensive. Avec la compagnie para-commando belge, il disposait d’une excellente unité qui pouvait sans problèmes majeurs remplir une telle mission. Il lui aurait également fallu, avec ses blindés, occuper en ville les points stratégiques dont la tenue aurait freiné l’extension des massacres et des débordements, ce qu’il n’a pas davantage fait.

    Le 7 avril, quand le FPR eut unilatéralement rouvert les hostilités, le général Dallaire ne condamna pas cette violation gravissime des accords d’Arusha. Encore plus insolite, au lieu d’agir sur la partie qui avait déclenché la reprise de la guerre, il somma au contraire les forces gouvernementales de rester dans le cadre des Accords d’Arusha, leur interdisant de fait de simplement se défendre.

    Les manquements du général Dallaire qui présida au plus grand échec militaire de l’ONU depuis sa création sont à ce point nombreux qu’il est licite de demander si une telle incompétence est concevable chez un officier général, ou si l’explication de tels errements ne se trouve pas dans l’hypothèse de M. Booh-Booh, à savoir la « connivence » avec le général Kagamé.

    Ce général canadien aurait-il donc été nommé à la tête de la MINUAR afin de permettre la réalisation du plan américain visant à évincer la France du Rwanda puis du Zaïre, et pouvoir faire main basse sur les richesses du Kivu ?

    Page 123 de son livre qui a pour sous-titre éloquent « Révélations sur les dérives d’un général de l’ONU au Rwanda », J.R. Booh-Booh qui était donc le supérieur hiérarchique de Roméo Dallaire écrit ainsi sans détours que :

    « Dallaire n’était pas neutre : il était plutôt de connivence avec le FPR. Voilà la clé qui permet de comprendre cette situation ».

    Tant que François Mitterrand eut la capacité de gouverner, ce plan anglo-saxon fut mis en échec. Mais, après les élections législatives de 1993, et la « cohabitation » qui s’en suivit, le suivisme atlantiste des dirigeants français fit que tout fut bouleversé.

    Ces évènements provoquèrent même une totale redistribution des cartes en Afrique centrale au profit du Rwanda, principal allié de Washington qui reçut un blanc-seing pour mettre l’est de la RDC (l’ex-Zaïre), à savoir le Kivu, en coupe réglée.

    Monsieur le président Macron étiez-vous informé de cela, avant de faire porter la responsabilité des évènements sur votre propre pays et sur son armée… ?

    Bernard Lugan

    On lira également le communiqué de l’Institut François Mitterrand et celui du général Lafourcade, pour compléter cette remise des pendules d’Emmanuel Macron à l’heure.

    Une fois de plus, l’irresponsabilité des positions et de la communication d’Emmanuel Macron, sur les affaires africaines et notre présence, conduisent à dynamiter la réputation de la France. Pas étonnant que nous soyons éjectés de nos positions historiques en Afrique une à une…


    Notes :

    [1] Booh-Booh, P-R., (2005) Le patron de Dallaire parle. Révélations sur les dérives d’un général de l’ONU au Rwanda. Paris.

    [2] Pour tous les détails concernant l’attitude et les responsabilités du général Dallaire, on se reportera au chapitre VIII de mon livre « Rwanda, un génocide en question »

     

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  • J’emmerde la secte écolo !.

    « Écologie : Ne respirez jamais avant d’avoir fait bouillir votre air ! » (Pierre Doris)
    « Je pourrais faire un bon végétarien si l’on décrétait, un jour, que le bacon est un légume… »
    (Lawrence Block)

    Un de mes lecteurs me demande pourquoi, dans mes articles, je suis si virulent à l’égard des écologistes ? D’après lui, «l’écologie, c’est la vie et nous avons le devoir de protéger la planète». Personne ne dit le contraire, et surtout pas moi, mais peut-être faut-il rappeler ce qu’est en réalité l’écologie ? Ou, plus exactement, ce qu’elle devrait être pour qu’elle soit supportable.
    Le terme « écologie » est construit sur le grec οἶκος / oîkos, « maison, habitat » et λόγος / lógos, « discours » : c’est, à l’origine, la science de l’habitat. Il fut inventé en 1866 par Ernst Haeckel, biologiste darwiniste. Cette science sera introduite en France par des géographes dont Paul Vidal de La Blache. Elle a évolué au fil du temps vers la protection de notre environnement.

    La défense (ou la protection) de la nature, de notre patrimoine, de la beauté des paysages et des animaux, était initialement une valeur de droite. Citons, pour mémoire, Henri-Charles Geffroy, fondateur en 1946, de « La vie Claire ». Citons aussi les écrits d’Alexis Arette, le « poète-paysan » ; ou encore la célèbre citation d’Emmanuel Berl, reprise plus tard par le maréchal Pétain : « La terre, elle, ne ment pas ». Le nationalisme barrésien, c’est d’abord l’amour de « sa » terre.
    Étant davantage rat des champs que rat des villes, je n’ai pas attendu que l’écologie soit à la mode pour aimer la nature. Je cite régulièrement Alphonse Allais qui disait : « On devrait construire les villes à la campagne car l’air y est plus pur ! ». Mais comme nos nouveaux écolos sont tristes comme des bonnets de nuit et qu’ils manquent totalement d’humour, ils ne comprennent pas que je plaisante. L’écologie actuelle a viré à gauche, puis à l’extrême-gauche, et les écolos les plus violents, les plus forcenés, les plus agressifs, sont souvent des bobos urbains qui ne font pas la différence entre une chèvre et un mouton. D’ailleurs cette nouvelle écologie – sectaire et bornée – n’a plus rien à voir avec celle d’autrefois. Je voudrais qu’on m’explique, par exemple, en quoi l’écologie devrait défendre les féministes, le droit à l’IVG, l’immigration ou le Hamas palestinien ? Les « Verts » sont devenus un mouvement islamo-gauchiste qui se mêle de tout mais surtout de pourrir la vie ce ceux qui ne pensent pas comme eux. Alors oui, c’est vrai, je considère les écolos comme une secte néfaste et dangereuse. L’écologie punitive s’en prend à notre argent ; l’écologie tue NOTRE liberté.

    Dans ma prime enfance, mon père, qui était un honnête homme (au sens où on l’entendait au XVIIIe siècle), m’a enseigné que ma liberté s’arrêtait là où commençait celle de mon voisin, et réciproquement bien sûr ! Ce précepte a marqué ma vie. Je suis un solitaire, un ours, un misanthrope un brin asocial, je n’y puis rien, mais je m’inspire de la philosophie de Georges Brassens : « Heureux qui n’ayant pas d’idéal sacro-saint/Se borne à ne pas trop emmerder ses voisins » (1).

    Les mondanités snobinardes ou les apéros plus prolos, entre voisins, ne sont pas ma tasse de thé. D’ailleurs, je n’aime pas le thé (je préfère le Whisky « single malt » de 12 ans d’âge au moins). Alors, à bientôt 75 berges, j’ai le droit de pousser un « coup de gueule » contre tous ces gens qui se croient autorisés à me dire ce que je dois boire, manger, penser, et à m’imposer leurs croyances.
    Chez nous, les hommes politiques ont compris que c’est la division des Français qui assure leur réélection. Et, en dehors de basses magouilles électoralistes, d’alliances de circonstance, ils sont incapables de créer un véritable consensus autour de grands thèmes fédérateurs. La sauvegarde de notre identité, la survie de notre nation, nos racines judéo-chrétiennes, sont de sujets qui pourraient rassembler les Français, mais la finance apatride se charge – via Bruxelles – de leur rappeler que le « remplacement de population » est une étape incontournable vers un gouvernement mondial. Donc, ils divisent, sachant qu’à chaque élection, ce n’est pas le meilleur mais le moins mal élu qui aura le pouvoir (2). L’élection de Macron en 2017 comme en 2022 en est une illustration flagrante.
    Gouverné par des incapables et/ou des voyous qui ne protègent que leurs privilèges et ne défendent que leur gamelle, notre pays est en perpétuelle guerre civile larvée : les jeunes contre les vieux, les actifs contre les retraités, les salariés du privé contre les fonctionnaires, les écolos contre les chasseurs, les  bobos en « Vélib » contre les baroudeurs en 4×4, les pacifistes contre l’armée …/…

    les LGBT+++ contre le « mâle blanc » hétérosexuel, l’agriculture traditionnelle (3) contre le « Bio », les défenseurs de la souffrance animale contre les « viandards » et, bien sûr, les adorateurs d’Allah et de Mahomet, contre… tous les autres : les mécréants qui refusent la charia.
    On constate tous les jours que cette guerre civile est inéquitable car les attaquants, toujours du même bord, bénéficient du soutien d’une presse noyautée par la gauche à plus de 90 % (4).
    Celui qu’on cible, le pourri, le galeux, est d’ailleurs toujours le même : Dupont-Lajoie, franco-franchouillard qui vote à droite, attaché à son pays, à ses racines et à ses traditions.
    Georges Pompidou, originaire du Cantal, déclarait à un technocrate venu lui soumettre je ne sais quelle réglementation nouvelle : « Il faut arrêter d’emmerder les Français ! ».
    De nos jours, comme si l’État ne suffisait pas, la Commission de Bruxelles d’un côté, les « lobbies » environnementaux de l’autre, se chargent de régenter TOUTE notre vie. De nous dire ce qui est bon pour nous, pour la sauvegarde des espèces, pour la planète…
    On nous infantilise un peu plus chaque jour et surtout, on nous culpabilise pour mieux nous tondre. Pourtant, par tempérament, je suis assez conciliant et même plutôt bonne pâte :

    Je n’ai RIEN contre les chasseurs, même si je ne chasse plus depuis bien longtemps.
    Je n’ai RIEN contre la corrida (je n’ai jamais assisté à une corrida). Cette tradition espagnole a ses aficionados, c’est leur droit. On peut d’ailleurs se demander si le taureau ne préfère pas mener un dernier combat dans l’arène plutôt que de finir dans le couloir sordide d’un abattoir ?
    Je n’ai RIEN contre les animaux, en général, exception faîte des chats (surtout ceux de ma voisine, qui viennent déféquer dans mon jardin), des vipères, des moustiques et des guêpes.
    Je n’ai RIEN contre les possesseurs de 4×4 puisque j’en possède un moi-même et qu’il m’est bien utile lorsque je sors des sentiers battus, ce qui m’arrive assez souvent.
    Je n’ai RIEN contre les « gays », tant que ces messieurs (ou dames ?) ne me demandent pas de marcher à voile et à vapeur, ou de porter une jaquette flottante.
    Je n’ai RIEN, non plus, contre les lesbiennes. Nous avons même un énorme point commun : comme elles, je n’aime pas les hommes.
    Je n’ai RIEN contre les fonctionnaires quand ils travaillent (au moins 35 heures par semaine) et ne baptisent pas leurs grèves à répétition, des « Journées d’action ».
    Je n’ai RIEN contre les musulmans quand ils respectent nos lois, nos us et coutumes (et qu’ils ne confondent par le Coran avec notre Code civil).
    Je n’ai RIEN contre l’immigré s’il est venu légalement travailler en France et s’il n’est pas là uniquement pour profiter de nos généreuses aides sociales, aussi diverses que variées.

    Et je n’ai RIEN, en principe, contre les végétariens, végétaliens, végans , antispécistes et autres bouffeurs de boulgour, de quinoa, de soja et autres saloperies (que je n’oserais pas donner à mon chien de peur qu’il me morde) à condition… qu’ils me foutent la paix, ce qui n’est pas le cas !
    Or, il ne se passe pas une journée sans que l’amateur de viande, de charcutaille, de barbecue, ne soit stigmatisé, montré du doigt, insulté par cette engeance malfaisante qui agresse les artisans-bouchers, s’introduit clandestinement dans des abattoirs privés, ou insulte les chasseurs.
    Passe encore que la pulpeuse Pamela Anderson – cette pétasse siliconée – vienne expliquer au Parlement français qu’on doit arrêter de gaver les oies : elle en a plus dans le soutien-gorge que dans la cervelle. Pamela, c’est une dinde avec le QI d’un bulot ; il est donc normal qu’elle défende les animaux. Mais que dire de ce crétin prétentieux d’Aymeric Caron ? Et de tous ces écolos tristounets, ces journaleux pontifiants, ces actrices « engagées », ces haridelles mal-baisées qui viennent nous donner des leçons de vie dans tous les domaines : la transition énergétique, le diesel, la malbouffe, le réchauffement climatique, les OGM, la souffrance animale, etc.
    Bon, j’avoue humblement que j’ai tout pour déplaire à ce ramassis de pisses-froids aigris et qui distille la morosité. Je suis la caricature, que dis-je, l’archétype du « Franchouillard », du « beauf » comme on dit à gauche, du « Gaulois », du « Souchien ». Dès la quarantaine, j’ai été frappé par la calvitie bedonnante des notables de province. Il m’arrive de regretter l’époque où, chez les paras, j’étais « félin et manœuvrier » selon l’expression du général Bigeard.

    Mais je dois mon tour de taille à l’arrêt de tabac, car je fus un gros fumeur avant de devenir un gros tout court. Comme disait cet affidé de Macron qui se paluchait devant son Smartphone : j’ai été un « mec qui clope et qui roule au diesel ». J’ai banni la clope mais je roule toujours au diesel : mea culpa, mea maxima culpa ! Ajoutons à cela que j’aime les grosses motos, les belles bagnoles, les jolies femmes avec, si possible « du monde au balcon », qu’elles soient blondes, brunes, rousses (5).
    J’apprécie la franche rigolade, l’humour gaulois, la fête, les bons vins et la bonne chair.
    Et, comme les gens ordinaires, mes plaisirs sont simples : pour moi, le comble du bien-être, c’est, par exemple, de savourer, entre amis, une belle côte-de-bœuf grillée avec, pourquoi pas, une noix de foie gras poêlé, et arrosée d’un Saint-Emilion ou d’un Chateauneuf-du-Pape.
    Je ne demande pas à l’écolo tristounet de me comprendre, d’ailleurs, son avis, je m’en fous !

    Tous ce gens qui se piquent de lutter contre la maltraitance animale sont des faux-culs mais surtout des lâches. Je voudrais qu’ils m’expliquent pourquoi ils n’attaquent JAMAIS de boucherie ou d’abattoir « Halal » ? Est-ce par trouille ? (à moins que ce ne soit sur ordre ?). Qu’ils m’expliquent aussi – dans un pays qui pratique 220 à 250 000 avortements par an (chiffre officiel (6)) – pourquoi la souffrance animale serait plus préoccupante, plus inhumaine, plus terrible, que celle du fœtus, cet « infans conceptus » protégé depuis l’antiquité par le Droit romain?
    Je voudrais qu’on explique à toutes ces bonnes âmes soucieuses du devenir des espèces que l’interdiction du DDT (7) est responsable des 212 millions de cas de paludisme dans le monde, et des 430 000 décès annuels dus à cette maladie, principalement en Afrique.
    Mais, il arrive parfois, trop rarement hélas, que des écolos-bobos-végétariens me fassent rire.

    Je pense à cette rombière revêche, une écolo-virago, rencontrée il y a quelques années. Une « enseignante de gauche » (bien que ce soit presque un pléonasme) ; un beau spécimen de « femme libérée », hommasse, un remède contre l’amour, qui écume les associations de randonnée pédestre dans lesquelles elle va chercher une dépense physique qu’elle ne trouve ni au travail ni dans son lit.
    Elle m’avait déclaré le plus sérieusement du monde : « Les végétariens sont des humanistes. Ils ne supportent pas qu’on fasse du mal aux animaux comme aux humains ». Et je lui ai répondu en souriant : « Vous avez entièrement raison. D’ailleurs le plus célèbre végétarien, buveur d’eau, qui me vient à l’esprit est un grand humaniste du nom d’Adolf Hitler. Il adorait son chien. Mais pour les Juifs ou les Tziganes, j’ai comme un doute. Permettez-moi de lui préférer ce vieil ivrogne de Winston Churchill… ». Elle est partie en faisant la gueule ! Allez savoir pourquoi ?
    Est-ce je me préoccupe, moi, de la souffrance des carottes râpées ?

    Éric de Verdelhan

    1)- Dans sa chanson « Don Juan ».
    2)- Ou, plus exactement, un simulacre de pouvoir car 80 % des textes qui régissent notre vie nous sont imposés par Bruxelles.
    3)- Dont on oublie trop souvent de dire qu’elle nourrit toute la planète.
    4)- En 2002, une enquête du quotidien de gauche « Le Monde » nous apprenait que les journalistes français étaient de gauche ou « avec une sensibilité de gauche » (?) à… 92 %. Et il y a encore des naïfs pour croire à la démocratie et à la pluralité de l’information !
    5)- Uniquement pour le « plaisir des yeux » car je suis un mari honnête.
    6)- Soit environ 10 millions depuis la loi Veil.
    7)- Le DDT ou Dichlorodiphényltrichloroéthane (ouf !) était un puissant insecticide, interdit, sauf erreur, au début des années 70.

     Riposte Laïque 


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  • Entre Reconquête! et EELV, BFMTV a choisi !

    BFMTV, on le sait, n’aime pas la droite patriote qu’il identifie plutôt comme l’extrême droite.

    On le sent évidemment dans le ton adopté par les journalistes pour s’adresser à ses représentants, comme par exemple Apolline de Malherbe dont les yeux lancent des éclairs, à tout ce qui est à droite de François Bayrou !

    Les téléspectateurs, particulièrement les sympathisants de droite ne prêtent plus attention à ces pratiques.

    Mais, la chaine d’infos BFMTV est allée plus loin, lors d’un débat opposant Marion Maréchal pour Reconquête! et Marie Toussaint pour EELV, en habillant l’image des deux candidates de façon pour le moins orientée et partisane.

    C’est l’objet de cet article de Boulevard Voltaire :

    Européennes : vert, gris, BFM TV retouche le fond

    BFM TV se préoccupe enfin de ses téléspectateurs mal-comprenants. Lors du débat opposant Marie Toussaint, tête de liste EELV, à Marion Maréchal, tête de liste Reconquête, les deux candidates apparaissent sur fond d’hémicycle européen. L’un est verdoyant, l’autre gris lugubre. Pour ce duel de campagne européenne, la petite candidate dans la prairie affronte la représentante des ténèbres. L’univers visuel attribué à l’une et à l’autre persiste quoi qu’il arrive. Image divisée en deux parties égales ou plans rapprochés.

    L’électeur ne peut s’y tromper. Il saisit du premier coup d’œil la menace qui plane sur l’Europe.

    Pour une meilleure représentation des forces en présence, certains reprocheront à Marc-Olivier Fogiel de ne pas avoir diffusé des gazouillis d’oiseaux durant les apparitions de Marie Toussaint, tandis que des cris de bêtes sauvages auraient accompagné chaque intervention de Marion Maréchal. Le duel de « grrrrrr » contre « cui-cui »… L’intitulé du prochain débat devrait permettre à la chaîne de passer devant CNews.

    Dès le premier thème abordé, la personne toute de vert entourée confirme sa gentillesse infinie. En réponse aux violences tragiques survenues dans le cadre scolaire, elle confirme avoir proposé « un horizon de douceur ». Oooooh … En régie, un technicien cherche le filtre rose. Un changement de couleur en cours d’émission est autorisé par la direction. Dans son bureau, Marc-Olivier Fogiel est à sa palette. Sur l’écran, il jette quelques touches de rose. Sur le vert, c’est affreux.

    Ah, si on le laissait faire ! Il incrusterait Marie Toussaint dans un tableau de Renoir… Marion Maréchal serait dans une allégorie de la peste noire ravageant Marseille.

    Mais l’Arcom veille. Implacable. Ennemie de l’artiste, castratrice de l’inspiration du coloriste. Plutôt qu’un changement brutal, il va devoir opérer par une succession de dégradés allant du vert pomme au rose pâle.

    Sur les réseaux sociaux, la mise en image du débat suscite moqueries et critiques. Le fond verdâtre est jugé peu flatteur pour la candidate de gauche, alors que l’on estime la sobriété du fond sombre favorable à Marion Maréchal. L’effet inverse de celui recherché.

    ¡Caramba! encore raté !

    Jany Leroy pour Boulevard Voltaire.


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  • Daniel Conversano explose les souverainistes !


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