• Après « Baise-moi »

    Despentes : après « Baise-moi », va-t-elle sucer du Beur et du Black, par repentance ?

    L'auteur

    Patriote "Fidélité et Honneur au drapeau"

    C’est l’interrogation qui m’a tarabusté après lecture de sa « Lettre adressée à mes amis blancs qui ne voient pas où est le problème ».
    Une contrition frappée au coin de l’escroquerie antiraciste à la suite de la manifestation organisée par le comité Adama Traoré, de sinistre réputation.

    Une manifestation interdite, d’un mimétisme inapproprié venu d’ailleurs, réanimée à point nommé par la très controversée famille Traoré, qui a mobilisé des factieux au dépens de l’État et de ses institutions pour en tirer encore rapine et attentisme de la justice.

    D’autant que l’extravagante constatation de Despentes, « née blanche comme d’autres sont nés hommes », l’entraine dans une réflexion terminale qui ne tombe pas sous le sens :
    « En France, nous ne sommes pas racistes mais je ne connais pas une seule personne noire ou arabe qui ait ce choix ».

    La repetance de la petite blanche bobo-gaucho dans toute sa splendeur. Après nous avoir joué « Baise-moi », la prochaine étape de la dégénérescence de Despentes sera-t-elle la fellation de la repentance ? mais elle ne sucerait plus du blanc, elle sucerait du beur et du black, pour demander pardon à ses nouveaux maîtres pour tout le mal que leur ont fait ses ancêtres !

    Car pour nous balancer son fatras, la virginale Despentes avait dû sniffer et fumer la moquette.
    Surtout qu’en préambule de sa lettre, elle affirme n’avoir jamais vu un noir au gouvernement de la France !
    https://ripostelaique.com/virginie-despentes-na-jamais-vu-un-homme-noir-ministre-en-france.html

    En tout cas, ce n’est pas au même niveau d’évidence qu’en janvier 2015, au lendemain des attentats de Charlie Hebdo, son texte polémique avait défrayé la chronique :
    « J’ai aimé ceux-là qui ont fait lever leurs victimes en leur demandant de décliner leur identité avant de viser au visage ». 

    « Je me mettais aussi à la place des terroristes au moment où ils ont tiré. C’est vrai que si la fille qui a écrit « Baise-moi » à 23 ans n’est pas capable de se poser la question, c’est que j’aurais un problème, quoi ».

    Pour qui connaît peu Virginie Despentes, ce bref portrait met en lumière causes, failles et déglingue de cette féministe calibrée  :

    Et Despentes déroule :
    « Je les ai aimés dans leur maladresse, quand je les ai vus armes à la main semer la terreur en hurlant “on a vengé le Prophète” et ne pas trouver le ton juste pour le dire ».

    Mais on reste atterré par sa compassion de féministe revendiquée pour les terroristes islamistes à moins qu’elle ne connaisse pas la soumission de la femme à l’homme coranique. Ou qu’elle feigne de ne pas la voir par antiracisme islamo-gauchiste.

    On n’en tirera pas pour autant la conclusion que son violeur n’était ni noir ni musulman.

    Car on pourrait aussi y voir une emprise syndromique quand cette fille qui a écrit « Baise-moi » se met à la place des blacks au moment où ils ont tiré.
    Qui pourrait aussi faire de son violeur, au mieux un gentil beur au pire un sale blanc.

    Pour interroger Despentes et la renvoyer à ses contradictions et délires quand elle a « l’impression que les mecs sont vachement lents sur des trucs extrêmement simples : ils sont extrêmement lents à porter des jupes, extrêmement lents à se maquiller, extrêmement lents à se vernir les ongles »,
    mais qu’elle « trouve les mecs extrêmement lents à s’emparer de la question de la masculinité »,
    pour une essentialisation qui tombe sous le sens féministe : « A chaque fois qu’un mec viole, ça les concerne tous, au sens ou c’est leur virilité qui s’assoit là-dessus ».
    https://www.lesinrocks.com/2016/10/23/actualite/actualite/virginie-despentes-mecs-extremement-lents-a-semparer-de-question-de-masculinite/

    En tout cas, comme toutes les prétendues féministes qui n’osent pas, Despentes revendiquera bien mal sa posture, tant qu’elle fera de la culture ou de la couleur de la peau de son agresseur la raison de ses oeillères ou de son silence.

    Tant qu’elle se taira, tant qu’elle sera extrêmement réticente à dire ce qui est.
    Tant qu’elle ne désignera pas l’agresseur pour ce qu’il fait à cause de ce qu’il est.
    Tant que l’enfumage de l’antiracisme entrainera le déni de réalité.

    Pourtant quand Despentes écrit « ce qui convient à la main, c’est le flingue, la bouteille et la queue », d’où écrit-elle ?

    Alain Lussay


  • Commentaires

    1
    Mardi 9 Juin 2020 à 13:27

    Encore une pintade qui a ratée sa vocation, celle ou elle excelle le mieux (j’imagine) : passer l’aspirateur, faire la vaisselle et le repassage ! 

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