• Le grand pardon !!!

    Le grand pardon !!!Par:Pieds Noirs 9A..

     Article N° 1250 du 11 juillet 2014..

    Le grand pardon !!!

    Il ne faut jamais oublier ceux qui vous trahissent ,car ils détruisent un pays chrétien ! face a l'envahisseur ...

      Le Grand pardon !!!

    La question de la présence de troupes de soldats islamistes Algérien au défilé de la commémoration des atrocités républicaines française, ne pourra être envisagée et abordée : dés lors que l'Algérie aura également reconnue OFFICIELLEMENT la criminalisation des atrocités planifiées et organisée sur les soldats Français, souvent simples appelés du contingent. 

    Dont bon nombres ox étant alors placés dans leur bouche. (les musulmans ont un vrai problème de ce côté là ) ou certain  ne sont pas plus civilisé pour autant de ce coté là !!!
    Ainsi un dialogue réciproque pourra certainement voir le jour et chacune des parties pourra entamer ce long travail menant à un vrai PARDON. Cela n'est malheureusement pas dans la "mentalité" des islamistes musulmans et encore moins dans l'idéologie républicaine bananière, qui occupe ILLÉGALEMENT la Royaume de France depuis plus de 225 ans, en violation du Droit !!!!!  

    Quand le régime algérien présentera-t-il ses excuses aux milliers de familles déracinées (pieds-noirs et harkis) victimes des atrocités de barbarie commises par le FLN et l'ALN dons il a fallut faire un choix ,rendre les clés de sa maison et choisir entre ("La valise ou le cercueil") !!!
    Quand le régime algérien présentera-t-il ses excuses à tous les pays européens victimes jusqu'en 1830 de la piraterie et de la traite barbaresques ??? Hollande devrait savoir tout cela ...
    On attend également que le régime algérien présente ses excuses à sa population berbère pour la conquête des territoires chrétiens faite les Arabes à l’avènement de l'islam. Rappelons la personnalité de saint Augustin, docteur et Père de l’Église, qui avait été évêque d’Hippone.
    On attend, enfin, que le régime algérien autorise ses concitoyens chrétiens à pratiquer librement leur culte et à autoriser les musulmans qui le souhaitent à changer de religion.Mais non se sera pas pour demain ,ni après demain 

    Qui a mis en valeur cette terre ?
    Qui a construit les routes, les villes ?
    Qui a cultivé les plaines ?
    Qui a soigné, instruit les populations ?
    Depuis quand les départements français sont des colonies ?
    Où est la criminalisation ?
    Stop, des excuses, oui d'être parti de chez nous..

    Pieds Noirs 9A..

    je transmets ci-dessous la lettre du PROFESSEUR SAVELLI au président BOUTEFLIKA, c'est une bonne mise au point qui ne se démode pas : la FRANCE et les FRANCAIS n'ont pas de CULPABILITE A AVOIR : pas de culpabilité = pas d'excuses ni de demande de pardon.

    LETTRE OUVERTE A ABDELAZIZ BOUTEFLIKA
    Président de la république Algérienne
    Monsieur le Président,
    En brandissant l’injure du génocide de l’identité algérienne par la France, vous saviez bien que cette identité n’a jamais existé avant 1830. Mr Ferrat Abbas et les premiers nationalistes avouaient l’avoir cherchée en vain. Vous demandez maintenant repentance pour barbarie : vous inversez les rôles !
    C’était le Maghreb ou l’Ifriqiya, de la Libye au Maroc. Les populations, d’origine phénicienne (punique), berbère (numide) et romaine, étaient, avant le VIIIème siècle, en grande partie chrétiennes (500 évêchés dont celui d’Hippone / Annaba, avec Saint Augustin). Ces régions agricoles étaient prospères.
    Faut-il oublier que les Arabes, nomades venant du Moyen Orient, récemment islamisés, ont envahi le Maghreb et converti de force,
    « Béçif » (par l’épée), toutes ces populations. « Combattez vos ennemis dans la guerre entreprise pour la religion….Tuez vos ennemis partout
    où vous les trouverez » (Coran, sourate II, 186-7). Ce motif religieux était élargi par celui de faire du butin, argent, pierreries, trésor, bétail, et aussi bétail humain, ramenant par troupeaux des centaines de milliers d’esclaves berbères; ceci légitimé par le Coran comme récompense aux combattants de la guerre sainte (XLVIII, 19, 20) .Et après quelques siècles de domination arabe islamique, il ne restait plus rien de l’ère punico romano berbère si riche, que des ruines (Abder-Rahman ibn Khaldoun el Hadram , Histoire des Berbères,T I, p.36-37, 40, 45-46. 1382).
    Faut-il oublier aussi que les Turcs Ottomans ont envahi le Maghreb pendant trois siècles, maintenant les tribus arabes et berbères en semi esclavage, malgré la même religion, les laissant se battre entre elles et prélevant la dîme, sans rien construire en contre partie.
    Faut-il oublier que ces Turcs ont développé la piraterie maritime, en utilisant leurs esclaves. Ces pirates barbaresques arraisonnaient tous les navires de commerce en Méditerranée, permettant, outre le butin, un trafic d’esclaves chrétiens, hommes, femmes et enfants. Dans l’Alger des corsaires du XVI ème siècle, il y avait plus de 30.000 esclaves enchaînés. D’où les tentatives de destruction de ces bases depuis Charles Quint, puis les bombardements anglais, hollandais et même américain…..Les beys d’Alger et des autres villes se maintenaient par la ruse et la force, ainsi celui de Constantine, destitué à notre venue, ayant avoué avoir fait trancher 12.000 têtes pendant son règne.
    Faut-il oublier que l’esclavage existait en Afrique depuis des lustres et existe toujours. Les familles aisées musulmanes avaient toutes leurs esclaves africains. Les premiers esclavagistes, Monsieur le Président, étaient les négriers noirs eux-mêmes qui vendaient leurs frères aux Musulmans du Moyen Orient, aux Indes et en Afrique (du Nord surtout), des siècles avant l’apparition de la triangulaire avec les Amériques et les Antilles, ce qui n’excuse en rien cette dernière, même si les esclaves domestiques étaient souvent bien traités.
    Faut-il oublier qu’en 1830, les Français sont venus à Alger détruire les repaires barbaresques ottomans qui pillaient la Méditerranée, libérer les esclaves et, finalement, affranchir du joug turc les tribus arabes et berbères opprimées.
    Faut-il oublier qu’en 1830, il y avait à peu près 5.000 Turcs, 100.000 Koulouglis, 350.000 Arabes et 400.000 Berbères dans cette région du Maghreb où n’avait jamais existé de pays organisé depuis les Romains. Chaque tribu faisait sa loi et combattait les autres, ce que l’Empire Ottoman favorisait, divisant pour régner.
    Faut-il oublier qu’en 1830 les populations étaient sous développées, soumises aux épidémies et au paludisme. Les talebs les plus évolués qui servaient de toubibs (les hakems), suivaient les recettes du grand savant « Bou Krat » (ou plutôt Hippocrate), vieilles de plus de 2.000 ans .La médecine avait quand même sérieusement évolué depuis !
    Faut-il oublier qu’à l’inverse du génocide, ou plutôt du massacre arménien par les Turcs, du massacre amérindien par les Américains, du massacre aborigène par les Anglais et du massacre romano-berbère par les Arabes entre l’an 700 et 1500, la France a soigné, grâce à ses médecins (militaires au début puis civils) toutes les populations du Maghreb les amenant de moins d’un million en 1830 en Algérie, à dix millions en 1962.
    Faut-il oublier que la France a respecté la langue arabe, l’imposant même au détriment du berbère, du tamashek et des autres dialectes, et a respecté la religion (ce que n’avaient pas fait les Arabes, forçant les berbères chrétiens à s’islamiser pour ne pas être tués, d’où le nom de « kabyle » - j’accepte).
    Faut-il oublier qu’en 1962 la France a laissé en Algérie, malgré des fautes graves et des injustices, une population à la démographie galopante, souvent encore trop pauvre, - il manquait du temps pour passer du moyen âge au XX ème siècle - mais en bonne santé, une agriculture redevenue riche grâce aux travaux des Jardins d’Essais, des usines, des barrages, des mines, du pétrole, du gaz, des ports, des aéroports, un réseau routier et ferré, des écoles, un Institut Pasteur, des hôpitaux et une université, la poste… Il n’existait rien avant 1830. Cette mise en place d’une infrastructure durable, et le désarmement des tribus, a été capital pour l’Etat naissant de l’Algérie.
    Faut-il oublier que les colons français ont asséché, entre autres, les marécages palustres de la Mitidja, y laissant de nombreux morts, pour en faire la plaine la plus fertile d’Algérie, un grenier à fruits et légumes, transformée, depuis leur départ, en zone de friche industrielle.
    Faut-il oublier que la France a permis aux institutions de passer, progressivement, de l’état tribal à un Etat nation, et aux hommes de la sujétion à la citoyenneté en construction, de façon, il est vrai, insuffisamment rapide. Le colonialisme, ou plutôt la colonisation a projeté le Maghreb, à travers l’Algérie, dans l’ère de la mondialisation.
    Faut-il oublier qu’en 1962, un million d’européens ont dû quitter l’Algérie, abandonnant leurs biens pour ne pas être assassinés ou, au mieux, de devenir des habitants de seconde zone, des dhimmis, méprisés et brimés, comme dans beaucoup de pays islamisés. Il en est de même de quelques cent mille israélites dont nombre d’ancêtres s’étaient pourtant installés, là, 1000 ans avant que le premier arabe musulman ne s’y établisse. Etait-ce une guerre d’indépendance ou encore de religion ?
    Faut-il oublier qu’à notre départ en 1962, outre au moins 75.000 Harkis, sauvagement assassinés, véritable crime contre l’humanité, et des milliers d’européens tués ou disparus, après ou avant, il est vrai, les excès de l’O.A.S. il y a eu plus de 200.000 tués dans le peuple algérien qui refusait un parti unique, beaucoup plus que pendant la guerre d’Algérie. C’est cette guerre d’indépendance, avec ses cruautés et ses horreurs de part et d’autre, qui a fondé l’identité algérienne. Les hommes sont ainsi faits !
    Monsieur le Président, vous savez que la France forme de bons médecins, comme de bons enseignants. Vous avez choisi, avec votre premier ministre, de vous faire soigner par mes confrères du Val de Grâce. L’un d’eux, Lucien Baudens, créa la première Ecole de médecine d’Alger en 1832, insistant pour y recevoir des élèves autochtones. Ces rappels historiques vous inciteront, peut-être, Monsieur le Président, à reconnaître que la France vous a laissé un pays riche, qu’elle a su et pu forger, grâce au travail de toutes les populations, des plus pauvres aux plus aisées - ces dernières ayant souvent connu des débuts très précaires -. La France a aussi créé son nom qui a remplacé celui de Barbarie. Personne ne vous demandera de faire acte de repentance pour l’avoir laissé péricliter, mais comment expliquer que tant de vos sujets, tous les jours, quittent l’Algérie pour la France ?
    En fait, le passé, diabolisé, désinformé, n’est-il pas utilisé pour permettre la mainmise d’un groupe sur le territoire algérien ? Je présente mes respects au Président de la République, car j’honore cette fonction.
    André Savelli citoyen français, Professeur agrégé du Val de Grâce.
    "La médecine française au Sahara"

    Le Professeur André Savelli est né en 1927 à Rabat de parents originaires de Blida et Oued El Aleug. C'est l'aîné de 7 garçons, il fait ses études secondaires à Rabat. Il entre à la Faculté de Médecine d'Alger en 1945 puis à l'Ecole du Service de Santé de Lyon. Il passe sa thèse à Alger sous la direction du Professeur Benhamou puis passera trois ans comme médecin militaire à In Salah avant de rejoindre le 1er RTA à Blida. En 1961 il sera chef du service psychiatrique de l'Hôpital Maillot puis sera nommé Professeur Agrégé au Val de Grâce. Par la suite il fut Chargé de Cours en psychopathologie à la Faculté des Lettres de Montpellier et Chargé de Criminologie Psychiatrique à la Faculté de Droit. Il est l'auteur d'une centaine de publications en psychpathologie. Il est Chevalier de la Légion d'Honneur, Officier de l'Ordre National du Mérite et membre de l'Académie des Sciences et des Lettres de Montpellier.


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