• A bas les privilèges !!

    Le chef des sans culottes rouges ?.

    Le chef des sans culottes rouges ?.Monsieur Mélenchon, fut célèbre avec sa voix hautaine à la tête de ses sans-culottes qui ne manquent  d'aucun culot ,avait repris à lui tout seul la Bastille ....médiatique.

    C'est un évènement hystérique!

    On aura tout vu, même la reconquête marcheuse d'un symbole qui n'appartient à personne sinon à l'histoire de France, que Mélenchon le tout premier malmène par son tri sélectif.

    Robespierre rond de cuir était de retour, dans son fauteuil sénatorial que pousse tout un peuple dit de gauche venu en car, rouge d'excitation pseudo-plébéienne.

    Quel mauvais cinéma! Ce n'est pas la Bastille qu'il faut prendre, c'est la nuit du 4 Août qu'il faut renouveler !. Virer tous ces incapables verbeux voleurs de symboles qui depuis  des années plombent la France de dettes, de déficits, d'immigration ruineuse, d'abandon des frontières, de mainmise  des banques, de pré bandes de toutes sortes, de copinage, de confiscation de toute vie démocratique!

    A bas les privilèges dont le tout premier, le jeune sénateur socialiste élu à trente cinq ans Mélenchon, profite depuis des lustres sans  passer la main, comme les autres la soupe est bonne.

    Plus de trente ans de parti socialiste, cela rend forcément révolutionnaire, tranquillement révolutionnaire. Un féroce de la force tranquille, le Mélenchon à tonton qui prône l'insurrection civique!.

    Les communistes et le civisme, ça fait froid dans le dos. C'est beau comme une tête de guillotiné que le vent ballotte à la lanterne ! 

    Si sous les pavés il y avait la plage, sous les lieux de rendez- vous, il y a le gag: Mélenchon à l'Opéra Bastille, Hollande au cirque d'hiver! La société du spectacle s'affiche! .sans oublier le minus du palais prenant la relève et plus fort que les autres dont il est devenu aujourd'hui chef de guerre .

    La ballade des bobos heureux à la Bastille c'est bien, sauf que la Bastille n'existe plus.

    En revanche, les privilèges existent toujours aussi sûrement  que le mois d'Août dans le calendrier. A se tromper de symbole, on se trompe de vérité. Il faut abolir les privilèges de la  République, qu'on  ne finirait pas d'énumérer dans tous les domaines. La prise de la Bastille aujourd'hui, c'est du Disneyland  politique, l'abolition des privilèges, c'est le réel.

    Pourquoi députés et sénateurs touchent-ils une sorte de  chômage s'ils ne sont pas réélus?.

    Pourquoi les juges ne sont-ils pas responsables?.

    Pourquoi l'URSSAF peut-elle se fabriquer des titres à elle-même?.

    Pourquoi la CGT a-t-elle des châteaux ?.

    Pourquoi les subventions pleuvent toujours sur les mêmes?

    Pourquoi notre minus comme les anciens, nomme-t-il tous ses amis au conseil  économique et social ? .

     Et ainsi de suite !.

     Faisons de la nuit du 4 Août un évènement essentiel enfin  célébré. Rejoignez le mouvement national pour l'abolition des  privilèges modernes. La vrai Bastille est là, l'autre n'est que  pastille pour révolutionnaire enroué.

     Véronique


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  • CETA : Quand la Macronie se moque de l’avis des Français.

    Il est l’un des accords de libre-échange qui étaient au cœur de la colère paysanne du mois de février dernier. Signé en 2016 et adopté en 2017 à l’échelle européenne, le CETA (Comprehensive Economic and Trade Agreement) supprime les droits de douane sur 98 % des produits échangés entre l’Union européenne et le Canada. Il est soutenu par certaines filières (viticole, notamment), mais fortement rejeté par les éleveurs français, qui dénoncent des importations de viande de piètre qualité et ne respectant pas les normes sanitaires ou environnementales auxquelles ils sont, eux-mêmes, durement soumis.

    En dépit de cette injustice criante, l’accord avait été adopté (de justesse) par l’Assemblée nationale en 2019. Il n’avait, en revanche, jamais été soumis au Sénat. C’est pour cette raison que des élus communistes l’ont mis à l’ordre du jour de leur niche parlementaire, le 21 mars 2024. Le verdict a été sans appel : rejet massif des sénateurs. Le fameux traité sera donc de retour à l’Assemblée pour un nouveau vote, le 30 mai prochain.

    La Macronie droite dans ses bottes

    Sensibles aux arguments soulevés par les agriculteurs français, gauche et droite sont désormais majoritairement opposées au CETA. Ce dernier pourrait donc être rejeté lors du vote prévu le 30 mai. Pourtant, une telle décision pourrait s’avérer sans effet. Interrogée sur ce sujet, lundi 25 mars, sur France Info, Valérie Hayer a ainsi fait savoir que le gouvernement pourrait parfaitement s’asseoir sur le vote des représentants du peuple. La France « a des process institutionnels sur ces questions-là », a expliqué la tête de liste Renaissance aux élections européennes 2024, se disant « convaincue que cet accord, il est bon pour nos agriculteurs »« Ce sera la décision du gouvernement de voir quelle position sera prise », en cas de rejet du CETA par l’Assemblée, a-t-elle ajouté. Pourrait-il être appliqué même si les deux chambres votent contre ? Réponse de l‘intéressée : « Il pourrait. »

    CETA : Quand la Macronie se moque de l’avis des Français 

    L’opposition n’a pas tardé à réagir à ce déni caractérisé de démocratie. « Le plus simple c’est de supprimer le Parlement. Ça ira plus vite »a ironisé Fabien Gay, sénateur communiste de Seine-Saint-Denis. Tête de liste LFI, Manon Aubry a raillé l’habitude prise par le gouvernement de « passer en force », rappelant l’usage fréquent qui avait été fait, précédemment, de l’article 49.3. De son côté, le député LR de Belfort Ian Boucart a salué avec ironie une « belle conception de la démocratie ».

    Une entourloupe législative

    Il se trouve, pourtant, que l’avis des deux assemblées représentatives risque bien de compter pour du beurre et que l’opposition ne pourra rien y faire. La législation européenne prévoit qu’en cas de non-ratification d’un traité, son application soit remise en cause dans toute l’Europe… si et seulement si le pays concerné prend la peine de le notifier à Bruxelles. Or, rien dans les textes n’oblige le gouvernement français à le faire ! Cette entourloupe a déjà servi, par le passé : en juillet 2020, le Parlement de Chypre avait rejeté le CETA, mais le gouvernement chypriote n’a jamais notifié ce rejet à l’UE, permettant à l’accord dénoncé de continuer à s’appliquer comme si de rien n’était…

    Cette nouvelle affaire illustre l’omnipotence d’un projet européen qui avance coûte que coûte, avec toujours plus de brutalité, indifférent aux protestations des peuples méprisés.

    Jean Kast

    Source : http://bvoltaire.fr


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  • "Le Wokisme" La fabrique de malade du 21 ième siècle ...

     "Le Wokisme"  La fabrique de malade du 21 ième siècle ...« Devenir » une femme : Rappel, être une femme physiologiquement parlants présente toutes les caractéristiques biologiques de distinctions déterminées par l'analyse des caractères sexuels, liées à la génétique et aux chromosomes humains (2 XX). Si un homme décide d’une « transition » pour « devenir » une femme ? Dans le cadre d'une vaginoplastie, l'intervention commence par une ablation des testicules et du corps caverneux de la verge, tout en conservant la prostate. La peau du pénis est utilisée pour créer le vagin, tandis que le gland sert à la confection d'un clitoris.

    « Devenir » un homme : Rappel, être un homme biologique parlant se traduit par la présence d'un seul chromosome X hérité de la mère et par la présence du chromosome Y hérité du père, (XY). Si une femme décide d’une « transition » pour « devenir » un homme ? On prélève un lambeau de peau qui sert de base pour le nouveau « pénis », par exemple sur le bras du patient. Ce lambeau est reconstruit à l'aide d'une seconde greffe de peau ; le plus souvent sur la cuisse - Le vagin et l'utérus sont retirés pour laisser place au futur pénis ou hystérectomie - Un tube est placé pour former un canal de l’urètre artificiel, c'est là que passera l'urine une fois le pénis modelé - La forme longue et cylindrique du pénis est créé de toute pièce, en repliant le lambeau de chair et de vaisseaux sanguins prélevés sur le bras, autour du tube du canal de l'urètre - Le nerf du clitoris est rattaché au nouveau sexe - Les bourses sont conçues à l'aide de ce qui formait les petites lèvres du vagin - Le pénis a souvent l'aspect d'un sexe circoncis, sans prépuce - Il faut ensuite raccorder les vaisseaux sanguins, nerveux et raccorder le canal de l'urètre. Une simulation d'érection est possible à l'aide de l'ajout d'une pompe à actionner manuellement (prothèse érectile).

    Comme on le voit, la nature est têtue, et ne peut être changée. Jamais un homme ne connaitra l’orgasme d’une femme, jamais une femme ne connaitra l’éjaculation d’un homme. Quant à la reproduction ? Il y a uniquement complémentarité homme/femme pour perpétrer l’espèce. Donc, ces « transitions » sont dans les apparences extérieures telles que : la poitrine grâce aux traitements hormonaux et la presque disparition des poils chez l’homme en transition, et une masse musculaire plus importante grâce aux traitements hormonaux et un système pileux plus fourni chez la femme en transition. Pas plus. Tout se joue donc du côté du genre, du culturalisme. Et là, ce n’est que perception et discours.

    L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) résume la différence entre le sexe et le genre de la manière suivante : Le mot sexe se réfère aux caractéristiques biologiques et physiologiques qui différencient les hommes des femmes, comme les organes reproductifs, les chromosomes, les hormones, etc. Le mot genre sert à évoquer les rôles qui sont déterminés socialement, les comportements, les activités et les attributs qu’une société considère comme appropriés pour les hommes et les femmes, variables d’une société à l’autre et modifiable. Le concept de genre comprend cinq dimensions importantes : relationnelle, hiérarchique, historique, contextuelle et institutionnelle. Bien que la plupart des gens naissent de sexe masculin ou féminin, on leur enseigne les normes et les comportements appropriés – y compris la façon dont ils doivent interagir avec d’autres personnes du même sexe ou de sexe opposé dans les ménages, les communautés et les lieux de travail. Lorsque des individus ou des groupes ne « correspondent » pas aux normes de genre établies, ils sont souvent victimes de stigmatisation, de pratiques discriminatoires ou d’exclusion sociale, qui ont toutes des effets négatifs sur leur santé.

    Comme dans ce papier, je me suis plus focalisé sur la dysphorie de genre. Une organisation très officielle comme le Planning Familial a orchestré une campagne sur le thème « on sait au PF que les hommes aussi peuvent être enceint ». Mouais… La linguiste Yana Grinshpun (qui a toute sa tête) nous livre une réflexion sur l'arme du discours dans les revendications militantes. « Il ne sert plus à se référer à la réalité, mais prétendre la transformer ».[ii] S'en est ensuivi une polémique que seule notre époque a le secret. Ça a été un bon prétexte de diviser. Le Planning familial est accusé par plusieurs élus du Rassemblement national et des personnalités de Reconquête le parti d'Éric Zemmour, de promouvoir la théorie du genre. Julien Dray, fondateur de SOS Racisme : « Que des personnes se sentent différentes et veuillent aller jusqu'au bout de ce ressenti, je le respecte et peux le comprendre et le défendre. Que l'on veuille forcer une société à accepter cela comme un aboutissement naturel devient aussi une forme d'intolérance. » Pourquoi pas le mot « folie ? ».

    Si certains fustigent la nouvelle campagne du Planning familial, d'autres au contraire ont décidé d'afficher leur soutien. C'est le cas notamment de Philippe Poutou, porte-parole du NPA, d'Anne Hidalgo, maire de Paris et d'Isabelle Rome, la ministre déléguée chargée de l'Égalité entre les femmes et les hommes. « Ne laissons pas l'extrême droite attiser les haines en instrumentalisant une campagne de communication dont je peux comprendre qu'elle ne fasse pas consensus ». Mais comment pourrait-elle faire consensus ? C’est remettre en question que le soleil se lève à l’est ! J’insiste : seules les femmes peuvent être enceintes (le rappeler me fait penser dire à un fou que pour vivre il faut respirer), on est chez les dingos illuminés à vision d’utilisations politicardes. Et pendant qu’ils se posent des questions sur le sexe des anges, le pays s’écroule, la civilisation occidentale s’effondre et le reste du monde se bidonne de nos états d’âme et balivernes.

    Quant au Planning ? L'association estime être victime d'une attaque extrêmement violente sur X et sur d'autres réseaux sociaux, de la part de personnalités d'extrême droite et de leurs sympathisants. Ces attaques prennent prétexte d'une affiche présentant une personne trans pour appeler à notre désubventionnement, pour questionner notre légitimité en tant qu'association de défense des droits des femmes et de lutte pour le droit à l'avortement. L'association souligne qu'elle pratique un accueil inconditionnel.

    Certaines personnes trans demandent conseil pour la contraception, l'avortement (?), le suivi médical de leur transition, et il nous appartient de faire en sorte qu'elles se sentent les bienvenues.[iii] Dire que cette association est subventionnée à hauteur de (2,8 millions en 2019)[iv] pour débiter de telles choses… Il faut préciser que les soins de transition sont pris en charge par l’Assurance Maladie depuis un décret du 8 février 2010, à 100 % comme soins au titre des « troubles de l'identité de genre ».[v]

    Bref ! Dans une société où tout devient « wokisme », ou plutôt wokisbankable (car, il ne faut pas oublier le gros pognon qui est derrière) : Qu’est-ce donc que le Wokisme ? Le wokisme vise à mettre en œuvre des changements progressistes dans la société. Le mouvement est par exemple responsable de la création de l'écriture inclusive. La langue française serait inégalitaire et sexiste. Selon les « wokes », le fait que le masculin l'emporte sur le féminin est une discrimination. Alors, que des mecs habillés en fille viennent dans les écoles faire peur aux gamins va dans le sens de ces non-sens wokabilistes noyautés par des minorités ultra-présentes. J’admets que mon discours est rétrograde, pas popolitiquement correct, et masculiste, mais je crois fermement à l’ordre inné des choses — que chacun soit à sa place, et ainsi les moutons ne seront pas parqués, car ils penseront et se foutront éperdument des wokes comme de leur première moumoute !

    Homme ENCEINT ou femme à BARBE ? Le Planning Familial en question [Micro-Trottoir]

    Véronique


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  • Le casse du siècle!.

    Les écolo-qui nous font les poches, nous gonfle les bourses.

    Environnement : Greta Thunberg de nouveau jugée fin septembre pour une  action climatique

    Les écolo-qui nous font les poches, nous gonfle les bourses.Présenté comme une urgence planétaire absolue, les écolo-bobo est une belle opportunité pour les entreprises et les pays qui savent se positionner au bon endroit au bon moment. En d'autres temps, ils auraient vendu des indulgences pour le paradis ou des abris anti-atomiques... La peur, la bêtise et le panurgisme sont les meilleurs alliés de ces mercantis. À défaut, on créera un délit d'opinion de climato-scepticisme. La prétendue urgence climatique est le nouveau lyssenkisme. Une pseudo science mise au service d'une idéologie politique.
    Le premier profiteur du écologique a été le lobby nucléaire, venant en suite par l'intrépide fossoyeur et pollueur de la nature avec ses engins fut Hulot subventionner par la bourse de la classe moyenne. Les radiations atomiques n'émettent pas de CO2. La théorie du complot écolo fut inventée par un groupe d'ingénieurs atomistes anglais sur l'instigation de Margaret Thatcher, co-fondatrice du GIEC, qui voulait mater les syndicats de mineurs. En France, les écolos viennent aussi de l’industrie nucléaire. Jean Jouzel, ancien directeur de recherches au CEA (commissariat à l'énergie atomique) s'est soudain converti à la climatologie. Car tout cela rapporte du blé dans leurs poches !.

    Véronique 


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  • Les réchauffistes sont pour le vaxxin, pour l’Ukraine et pour l’islam !

    Bien sûr que non ! Puisque ce sont des gobe-mouches qui croient tout ce que racontent les propagandistes du Nouvel Ordre Mondial sur les chaînes de désinformation continue. Ils ont peur du réchauffement, du covid et de Poutine. Par contre, ces petites têtes ont déjà oublié la ruine de la France, la dictature sanitaire et la menace islamiste permanente.

    Seule la peur peut sauver des crapules comme Choupinet et Pustula, qui ont vendu leur pays aux émirs, après l’avoir saigné. Seule la peur peut leur éviter, après la destitution, de passer en Haute Cour pour y répondre de leurs crimes contre l’humanité.

    Il est donc vital pour eux de rabâcher inlassablement les mêmes mensonges, tant que les gobe-mouches seront majoritaires. Et puisque ces crétins aiment les insectes, on va leur faire bouffer de la purée de cafards, des sauterelles rôties et en dessert de la compote d’asticots. C’est une alternative acceptable pour les mauvais esprits qui refusent de devenir herbivores. Ils en redemanderont !

    La peur, toujours la peur, pour contrôler les peuples

    Pour le secrétaire général de l’ONU António Guterres « L’effondrement climatique a commencé ». Qu’est-ce qu’il en sait ? L’homme est un technicien en électronique qui a vendu des téléphones pendant deux ou trois ans avant de se consacrer à la politique. Cela ne qualifie pas particulièrement en climatologie, astrophysique et physique de l’atmosphère. Or ces trois disciplines sont liées pour comprendre les évolution climatiques.

    Ses prédictions apocalyptiques sont de nature à terroriser les masses, que seules les Zélites pourraient sauver. Avec pour principales cibles les jeunes gens. De moins en moins instruits dans les matières scientifiques. Et de plus en plus déconnectés des réalités par les réseaux asociaux. Où la ré-information reste un murmure fliqué par les cenSSeurs.

    Les vaticinations de Guterres, nouveau professeur Philippulus, ne proposent que des solutions bancales au prétendu réchauffement climatique, en surfant sur la hantise du CO2, dont la traque est propre à ruiner l’Occident suicidaire, sans empêcher l’Inde et la Chine, regroupant 40 % de la population mondiale, de continuer à construire les centrales thermiques dont elles ont besoin pour leur développement.

    La réalité n’est pas conforme aux prédictions, donc la réalité a tort !

    Parmi les prédictions des savants autoproclamés : plus de neige en France dès 2010… Submersion des deltas des grands fleuves autour de l’an 2000… Engloutissement des atolls du Pacifique au plus tard en 2020… Fonte de la calotte arctique et du permafrost sibérien libérant des virus préhistoriques en 2020… Fonte des glaciers de l’Antarctique dans le même laps de temps… Disparition des « neiges éternelles » de l’Himalaya avant 2030.

    Fort heureusement, rien de tout cela ne s’est produit : la neige continue à tomber l’hiver… Les deltas se sont légèrement développés grâce aux apports en alluvions des fleuves et des courants marins… Les atolls sont stables ou sujets à un exhaussement constant du fait de la sédimentation des rivages et des mouvements de la lithosphère… Les glaciers himalayens gagnent et perdent régulièrement en épaisseur et superficie selon des mouvements cycliques connus.

    La Sibérie est soumise à des phases cycliques de chaud et de froid depuis toujours, sans que les humains qui y vivent aient été terrassés par des virus inconnus… Quant à l’Antarctique, des mesures au sol et des vues satellite s’accordent sur une refroidissement progressif depuis 30 ans.

    Nous allons tous cramer, c’est la panique !

    Un des plus grosses escroqueries des réchauffards est d’évoquer des températures de 55 ou 60° C. Elles sont rarissimes. On les trouve en de rares endroits sur la planète, généralement dans les déserts. Mais l’étude de la dislocation minérale sous l’effet de la chaleur diurne et de la froidure nocturne, prouve qu’il en est ainsi depuis des centaines de milliers d’années. Et les humains n’ont pas disparu pour autant.

    Certes le corps humain ne pourrait pas supporter longtemps ces températures. Mais elles sont relevées « sous abri ». Comprendre, dans nos contrées, sous des verrières où la chaleur s’accumule, où l’hygrométrie est faible et où le vent n’entre pas. Comme la chaleur infernale dans une automobile fermée, restée trop longtemps en plein soleil.

    J’ai passé de nombreuses années de ma vie dans des pays tropicaux. Les indigènes appliquent des recettes empiriques venues de la nuit des temps. Installation au fond de vallées aux parois abruptes sur lesquelles les rayons du soleil s’arrêtent, provoquant des brises thermiques et de la condensation qui rafraîchissent. Occupation de rivages balayés par les alizés ou les moussons. Construction de maisons de couleur claire, sous la canopée, ou semi troglodytes, avec des ouvertures étudiées pour favoriser les courants d’air. À proximité d’un ruisseau ou d’un plan d’eau douce ou salée pour se rafraîchir.

    Tout le monde va boire la tasse

    La hantise du waterworld prochain est une des antiennes les plus infondées et en même temps une des croyances les mieux ancrées chez les téléphages.

    L’universitaire Virginie Duvat a publié une étude portant sur une centaine d’îles du Pacifique : archipel Marshall, Kiribati, Tuvalu, États fédérés de Micronésie, Tuamotu. La statistique confirme les observations : 77 % des atolls sont stables, 15 % sont en expansion et 8 % en légère régression. En d’autres termes, si le niveau de la mer monte un peu, les îles montent encore plus vite. Des sismographes ont enregistré des signaux de mouvements tectoniques provoquant une dilatation du magma qui pousse la lithosphère vers le haut.

    Par ailleurs, des chercheurs de l’université d’Auckland (NZ) ont publié une étude dans la revue « Nature Communications » après avoir analysé une multitude de photos aériennes et satellites prises entre 1971 et 2014. Ces clichés répertorient les 9 atolls principaux des Tuvalu qui devaient être engloutis avant 2020. Cette observation sur plus de 40 ans montre que la taille de 8 atolls sur 9 ainsi que celle des 3/4 des îlots coralliens ont augmenté en surface de l’ordre de 3 %. Les autres sont sans altération notable.

    Les humains vont tous mourir de faim

    Le prétendu réchauffement climatique est supposé réduire les rendements agricoles de moitié. Or les chiffres de la FAO montrent que les rendements agricoles mondiaux ont triplé depuis les années 1960. Grâce à la sélection des semences, à la mécanisation et à l’amélioration des techniques, on produit déjà plus que ce qu’on consomme ! Les disparités locales sont affaire de répartition sous la coupe de monopoles, ou de mauvaise gestion. Comme la population mondiale semble devoir se stabiliser, avec le coup de pouce du covid, de nombreuses surfaces de culture et d’élevage commencent à être rendues à la nature. Une première depuis le néolithique !

    Quelques changements ici ou là, mais pas la fin du monde

    Les humains ont prouvé depuis longtemps leurs grandes capacités d’adaptation. Notre espèce occupe, en dehors des zones tempérées, des espaces difficiles comme des déserts arides, des hautes montagnes glacées et des banquises. Là où la mer constituait une barrière, on a construit des esquifs pour aller voir au delà de l’horizon et s’y installer.

    Depuis les premiers Sapiens, éventuellement croisés de Néandertaliens, nos ancêtres ont survécu à trois périodes glaciaires sévères et autant de réchauffements importants… Il y a eu des déluges, des retraits des rivages, des éruptions volcaniques, des fleuves et lacs asséchés… Il y a 25.000 ans, un glacier de plusieurs kilomètres d’épaisseur descendait jusqu’en latitude d’Orléans… Dans le même temps, le Sahara était une zone tropicale humide avec des rivières, des lacs, des jungles, des gazelles, des girafes, des éléphants et des hommes qui les chassaient.

    L’ingérence climatique, un nouveau colonialisme

    Et si c’était ça, le but ultime de l’alarmisme climatique ? Forcer les politiques régionales à s’adapter à la globalisation ? Intimider les chefs d’États et se donner le droit d’aller chez ceux qui n’obéissent pas assez vite aux injonctions de la mondocrature pour les contraindre à faire ce qu’on exige d’eux ? Dans leur intérêt. Bien évidemment.

    Le club Bilderberg, la commission Trilatérale, l’open society de Soros, les forums de Davos et la fondation des Young Leaders sont prêts à faire profiter de leurs lumières tous les égarés. Pour « sauver la planète ». Et l’urgence climatique impose des déplacements de populations… Là où les banksters ont besoin de renouveler leur cheptel d’esclaves, on a recours aux méthodes des Soviétiques et des nazis : déplacer des populations entières contre leur gré, là où elles gênent. Ou là où on pourrait en avoir besoin.

    Comme tout le monde ne peut pas se prétendre persécuté politique, les faiseurs d’opinion consolident un nouveau concept, celui de « réfugié climatique ». Qu’on ne peut pas refuser d’accueillir. À moins d’être des monstres conspués par la vertueuse communauté internationale. Et d’en subir les représailles diplomatiques et économiques.

    On est en train de nous faire le coup avec le Sahel et le Proche-Orient. Comme on a réussi à déporter en Nouvelle-Zélande des habitants des Kiribati qui n’avaient rien demandé à personne, en prévision de l’engloutissement de leurs îles avant 2020. Parole de GIEC… Vivant heureux chez eux dans une société océanienne traditionnelle, ces gens sont aujourd’hui parqués dans des suburbs où règnent la violence, la drogue, le suicide et le racisme. Pas vraiment ce qu’on leur avait promis en les faisant déménager pour échapper à la fin du monde !

    Christian Navis


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