• Une nouvelle taxe sur les livres d'occasion ! Merci Macron !

    Une nouvelle taxe sur les livres d'occasion ! Merci Macron !

    Au Salon du livre de Paris, le Président de la République a évoqué la mise en place d'une taxe supplémentaire sur les livres d'occasion. Décidément, la politique économique gouvernementale semble se résumer aux taxes, contributions et impositions en tout genre.

    Un livre acheté sur cinq est un livre d'occasion. En 2022, le livre d'occasion a généré 350 millions d'euros de chiffre d'affaires, ce qui représente une augmentation de 30% en cinq ans. Pourquoi taxer et donc ralentir un secteur de l'économie en croissance ? Une fois de plus, l'État bureaucratique macroniste bride et freine les initiatives privées.

    Partisan de la libre entreprise, le Parti de la France s'oppose à ce projet de taxe qui, en plus, empêchera certains travailleurs et lecteurs aux revenus modestes d'avoir accès à la culture. De surcroît, les livres d'occasion, comme la bibliophilie et le secteur du livre ancien, font partie intégrante de notre patrimoine historique national et en cela d'une politique culturelle identitaire et conservatrice que le Parti de la France appelle de ses vœux.

    Mario Varraut - Membre du Conseil national du Parti de la France


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  • « NOTRE INDOCHINE » (Éric de Verdelhan)

    « Je suis passéiste depuis toujours. Depuis l’Indochine…
    Aujourd’hui, j’ai plus de belles choses à regarder derrière moi que devant.
    J’ai quoi devant, à part les quatre planches ? »
             

    (Alain Delon)

     

    Depuis presque quinze ans, j’ai commis quelques livres et des dizaines (voire des centaines) d’articles sur notre ex-empire colonial. Je ne prétends pas être un spécialiste de la question, tout au plus un historien amateur, mais je ne comprends toujours pas pourquoi nous aurions à rougir, à nous justifier, à battre notre coulpe et à faire repentance pour notre passé colonial. Assez régulièrement, je suis obligé de « remettre les pendules à l’heure » et de dénoncer, parfois vertement, quelques contrevérités, mensonges ou affabulations véhiculés par les médias, soit par ignorance, soit à des fins politiques pour flagorner une « diversité » issue de l’immigration. Je n’érige pourtant pas l’agressivité en modèle, ni la polémique en vertu, mais je veux qu’un homme digne de ce nom garde le courage d’exprimer son indignation devant le mensonge ou la félonie. Or, à l’heure actuelle  il me semble nécessaire, salutaire, voire indispensable, que les jeunes générations sachent qu’elles n’ont pas à rougir du passé de leur pays.

    On ne bâtit pas une nation sur la détestation de son histoire.
    Pour apprendre à aimer son pays, pour être prêt à le servir, il faut avoir la fierté de ses racines.

    On peut toujours philosopher, après coup, sur la nécessité ou non de coloniser une contrée plus ou moins lointaine. On doit aussi reconnaître que tout ne fut pas idyllique, tout ne fut pas irréprochable, dans nos guerres de conquête, mais – de grâce ! – gardons-nous de juger le passé avec nos mentalités d’occidentaux décadents et ramollis du XXI° siècle.

    J’ai beaucoup écrit sur l’Algérie ; aujourd’hui je vous parlerai de « notre » Indochine. Ce beau pays qu’on semble avoir oublié et dont les ressortissants sont discrets, travailleurs et, pour la plupart, parfaitement intégrés. Ils ne passent pas leur temps à récriminer et à critiquer leur terre d’accueil.

    L’Algérie est devenue française avant l’Indochine, mais c’est notre cuisante défaite de Diên-Biên-Phu, suivie des Accords de Genève, qui a marqué le début du « détricotage » de notre empire.

    La fille du général « Bob » Caillaud – qui était capitaine avec mon père à Diên-Biên-Phu – m’a offert un livre intitulé « Le Dieu Blanc est mort à Diên Biên Phu » (1). Le titre du livre résume bien son contenu : la suprématie de l’homme blanc a amorcé son déclin après Diên-Biên-Phu.

    Mais revenons à l’origine et aux motifs de la colonisation de l’Indochine.

    Rien ne prédestinait ces contrées lointaines à devenir des colonies ou protectorats français.

    Etiré sur 1 600 km le long de la mer de Chine, l’Annam relevait de la civilisation chinoise. Il était l’héritier du puissant empire d’Angkor – dont l’apogée se situe entre le IX° et XIII°  siècle – lové au cœur même de la péninsule indochinoise, le royaume khmer était, comme les deux principautés qui se partageaient le Laos, de culture indienne et de religion bouddhiste. Les deux régions n’avaient rien en commun sinon d’avoir subi l’une comme l’autre l’impérialisme chinois. Mais celui-ci s’était fait sentir plus lourdement en Annam. L’Annam avait, entre le III° siècle av. J.-C. et le X° siècle, fait partie de l’empire chinois. Devenu indépendant en 939, il n’avait jamais cessé de reconnaître la suzeraineté chinoise. Ce lien de suzeraineté s’accompagnait de la conviction d’appartenir à une même civilisation.

    L’arrivée de la France dans la région eut, aux yeux des Chinois, le caractère d’une agression.  Elle mettait fin à une domination millénaire. On peut se demander ce que nous venions chercher en Indochine ? La péninsule était une région lointaine. Les sollicitations de la Compagnie des Indes, qui avait envisagé d’y établir des comptoirs, étaient restées sans suite pendant deux siècles. Elle n’avait rien non plus d’un pays dont on puisse espérer beaucoup de richesses. Alors pourquoi la coloniser ?

    Napoléon III avait, comme son oncle, des rêves de conquête et de grandeur. Il fut poussé à la guerre, en 1857, par l’aventurisme qui était la ligne directrice de sa politique étrangère. Il venait de gagner la guerre en Crimée ; il participait à la seconde guerre de l’opium en Chine ; il allait prendre les armes pour imposer à l’Autriche l’unité italienne ; il s’apprêtait à intervenir contre les Druzes au Liban ; et enfin, à lancer l’expédition pour tenter de donner au Mexique un empereur Habsbourg.

    Pour l’Extrême-Orient, Il fut poussé par sa volonté de satisfaire son électorat catholique. Les milieux catholiques étaient indignés par les persécutions dont les missionnaires étaient les victimes de la part d’un pouvoir annamite. l’Annam comptait à l’époque 600 000 chrétiens.

    L’aventure indochinoise, ne répondant  à aucune nécessité économique, suscitait d’emblée la réticence des milieux d’affaires. Le ministre des Affaires étrangères de l’empereur déclarait que le projet ne paraissait admissible « ni au point de vue du droit et des traités, ni au point de vue de l’utilité et encore moins de la nécessité ». Mais l’enjeu véritable était de ne pas laisser l’Angleterre – « la perfide Albion » – seule maîtresse du commerce avec l’Extrême-Orient. L’empereur avait obtenu l’adhésion enthousiaste de l’état-major de la Marine. Après la victoire des Anglais lors de la première guerre de l’opium (1840-1842), ils avaient reçu la concession du territoire de Hong Kong. Fortement implantés en Birmanie, ils poussaient leurs feux au Siam. Et la guerre qu’ils venaient de reprendre contre la Chine, avec l’appui des Français, ne pouvait manquer d’y renforcer leurs positions, étendant depuis l’Inde leur influence sur tout le sud-est de l’Asie. En assortissant sa participation aux côtés de l’Angleterre à la guerre de l’opium (2) d’une intervention en Indochine, la France espérait obtenir une base (ou un comptoir) en Cochinchine pour ne pas laisser à ses rivaux le bénéfice de disposer seuls d’une base navale et d’une place de commerce non loin de Canton.

    Les succès de l’Armée française débouchèrent, avec l’annexion de la Cochinchine, sur une implantation territoriale beaucoup plus étendue que prévu (1862) dans un contexte où, confrontée en Chine à la révolte des Taiping (1851-1864), et réduite à quémander l’aide de l’Angleterre et de la France pour y mettre fin, la cour de Pékin n’avait pas pu intervenir dans le conflit.

    C’est à l’initiative de l’amiral de La Grandière, gouverneur sur place, que fut signé le traité par lequel le roi du Cambodge plaça son pays sous le protectorat de la France (1863). C’est par la volonté de quelques jeunes officiers que fut explorée la vallée du Mékong. On découvrit à cette occasion la possibilité de relier, via le fleuve Rouge, le port de Saigon au sud de la Chine ; le Yunnan et ses mines de cuivre et d’argent. Et c’est à l’amiral Dupré que l’on doit, dès 1873, une première occupation de Hanoi et l’institution d’un protectorat de fait sur l’Annam. Cette première implantation en Indochine s’était faite sans véritable plan concerté, par la seule supériorité des forces françaises en Extrême-Orient, l’autonomie totale laissée à leurs chefs, l’impuissance du gouvernement de Hué, et l’atonie de celui de Pékin. Mais tout changea avec l’avènement de la III° République, surnommée par les historiens « la République des francs-maçons ». Après l’humiliante défaite de 1870, la droite française rêvait de reprendre l’Alsace et la Lorraine, mais la gauche voyait les choses autrement.

    Elle entendait faire profiter le monde entier des idéaux hérités des Lumières.

    Il est vrai que les pères fondateurs de la République avaient ouvert la voie. En 1871, Renan écrivait : « Autant les conquêtes entre races égales doivent être blâmées, autant la régénération des races inférieures ou abâtardies par les races supérieures est dans l’ordre providentiel de l’humanité ».

    En 1879, c’est Victor Hugo qui déclarait dans un discours vibrant : « Allez, peuples ! Emparez-vous de cette terre. Prenez-la. À qui ? À personne. Prenez cette terre à Dieu. Dieu donne la terre aux hommes, Dieu offre l’Afrique à l’Europe… Versez votre trop-plein dans cette Afrique, et du même coup résolvez vos questions sociales, changez vos prolétaires en propriétaires…».

    Notons, au passage, que c’est toujours au nom des idéaux des Lumières que les gens de gauche nous reprochent aujourd’hui la colonisation. Le manque de cohérence intellectuelle de ces gens-là m’étonnera toujours !

    « La République des francs-maçons » avait répondu à l’appel en Tunisie, en Afrique noire et à Madagascar, mais aussi en menant la conquête du Tonkin et l’assujettissement de tout le royaume d’Annam. Léon Gambetta avait prophétisé : « La civilisation européenne aura à lutter un jour contre la subversion de la race chinoise…Il faut donc que la France s’établisse au Tonkin…afin de mettre la main sur l’Annam, sur le royaume de Siam et sur la Birmanie et d’avoir ainsi barre sur les Indes ; et d’aider la civilisation européenne contre la race jaune. »

    Et Jules Ferry, le père de l’école laïque et obligatoire, cette belle conscience humaniste, déclarait : « Il faut dire ouvertement qu’en effet, les races supérieures ont un droit vis-à-vis des races inférieures… Je répète qu’il y a pour les races supérieures un droit, parce qu’il y a un devoir pour elles. Elles ont le devoir de civiliser les races inférieures… ».

    Notons, là encore, que les socialos-gauchistes actuels ne parlent pas de racisme, de discrimination, de suprématisme blanc et qu’ils continuent à aduler Jules Ferry.

    Cette conquête, du Tonkin en 1884, complétée en 1893 par un protectorat sur le Laos, allait permettre à l’œuvre coloniale française de réaliser de grandes et belles choses :

    Des routes, des infrastructures, des institutions sociales, des hôpitaux et dispensaires, des écoles, la mise en valeur des terres et des productions agricoles comme le riz et l’hévéa, etc…

    Beaucoup de colons, de fonctionnaires coloniaux, de soldats, attrapèrent « le mal jaune » en Indochine ; l’amour de ce pays et de ses habitants. J’ai compris ça il y a quelques années, quand, avant d’écrire mon livre « Au capitaine de Diên-Biên-Phu » (3) j’ai sillonné « notre » ex-Indochine, du Sud au Nord, pendant trois semaines. Ce pays est magnifique, ce pays est attachant.

    Et puis, et puis… la Chine va se venger. Elle va nourrir le nationalisme vietnamien au début du XX° siècle. Plus tard, lors de la prise de pouvoir par Mao-Zédong en 1949, elle nous mènera une guerre inexpiable par l’intermédiaire du Viêtminh.

    En Indo, notre Corps Expéditionnaire d’Extrême-Orient mènera une guerre de pauvres, une guerre de gueux. Il fera preuve de courage, d’héroïsme, de générosité et écrira quelques-unes des plus belles pages de notre histoire. Tout ceci se terminera tragiquement, après des combats à un contre trois, puis à un contre dix, dans la cuvette maudite de Diên-Biên-Phu, le 7 mai 1954.

    Le 11 juillet 1951, le général de Lattre, le « Roi Jean », avait déclaré : « D’entreprise aussi désintéressée que cette guerre, il n’y en avait pas eu, pour la France, depuis les croisades ». Quelques  semaines plus tôt, il avait perdu son fils unique, le lieutenant Bernard de Lattre de Tassigny, tué le 30 mai 1951 près de Ninh Binh, au Tonkin.

    Alors que dans les milieux militaires – chez qui le « devoir de mémoire » a encore un sens – on s’apprête à honorer la chute de Diên-Biên-Phu, je voudrais qu’on se souvienne que de 1946 à 1954, à plus de 10 000 km de la mère-patrie, des soldats français, des Légionnaires étrangers, des supplétifs, se sont battus, seuls (4), contre l’expansion de la « peste rouge », le communisme international.

    Et je voudrais aussi que les jeunes générations soient fières de leur épopée glorieuse, mais je sais, hélas, que je fais preuve d’une naïveté confondante.

    Eric de Verdelhan

    13 avril 2024

    1)- « Le Dieu Blanc est mort à Diên Biên Phu »: de Jean-Luc Ancely ; éditions Mols ; 2019.

    2)- La seconde guerre de l’Opium, de 1856 à 1860.

    3)- « Au Capitaine de Diên-Biên-Phu » publié chez SRE-éditions ; 2011 ?

    4)- Bien que très  modérément soutenus par un « allié » américain qui, en réalité, œuvrait pour nous chasser d’Indochine.


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  • L'Iran a lancé une attaque de plus de 200 drones et missiles contre Israël.

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    Dans la nuit du samedi 13 au dimanche 14 avril 2024, l'Iran a lancé plus de 200 drones et missiles contre Israël. L'attaque aurait été effectuée en réponse à une frappe contre son consulat à Damas.

    L'Iran a lancé plus de 200 drones et missiles contre Israël dans la nuit du samedi 13 au dimanche 14 avril 2024, en réponse à une frappe contre son consulat à Damas, la première attaque directe jamais menée par la République islamique contre le territoire israélien.

    Dans le même temps, les alliés de l'Iran, le Hezbollah libanais et les rebelles yéménites houthis, ont mené des attaques anti-israéliennes, le premier en tirant deux salves de roquettes en quelques heures sur le Golan occupé par Israël, et les seconds en lançant des drones en direction du territoire israélien. Une réunion d'urgence du Conseil de sécurité est prévue dimanche, après que le chef de l'ONU, Antonio Guterres, a condamné "une grave escalade". Dimanche également, les dirigeants du G7 seront convoqués afin de coordonner une "réponse diplomatique unie" à l'attaque iranienne "éhontée", a annoncé le président américain Jo Biden, dans un communiqué. Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, dont l'armée est engagée dans une guerre dévastatrice dans la bande de Gaza, s'est entretenu au téléphone avec le président américain à l'issue d'une réunion du cabinet de guerre israélien, a indiqué le bureau du Premier ministre. M. Biden a réitéré à cette occasion son soutien "inébranlable" au Premier ministre israélien.

    Dans la nuit du samedi 13 au dimanche 14 avril 2024, l'Iran a attaqué pour la première fois Israël en lançant plus de 200 missiles et drones sur le territoire.© AFPTV

    L'intervention des forces américains

    Affirmant vers 03H20 locales (00H20 GMT), le dimanche 14 avril, que l'attaque iranienne était toujours en cours, l'armée israélienne a indiqué que l'Iran avait "lancé un essaim de 200 drones tueurs, des missiles balistiques et des missiles de croisière", dont "la grande majorité" a été interceptée. "Des missiles iraniens sont tombés en territoire israélien, provoquant des dégâts mineurs sur une base militaire mais sans faire de victimes", a déclaré le porte-parole de l'armée, Daniel Hagari.

    De son côté, l'agence officielle iranienne Irna a fait état de "sérieux dégâts dans la plus importante base aérienne du Néguev (sud)". Alors que l'Iran a demandé à Washington de "rester à l'écart" du conflit, les forces américaines présentes dans la région ont aidé Israël à abattre "presque tous" les drones et les missiles iraniens, a annoncé Joe Biden. Cette attaque est une réponse à la frappe le 1er avril qui a détruit le consulat iranien à Damas et coûté la vie à deux hauts gradés des Gardiens, ont-ils précisé. L'Iran a accusé Israël de cette frappe, mais ce dernier n'a ni confirmé ni démenti.

    Le ciel piqué de lumières rouges

    Peu avant 02h00 dimanche matin (23h00 GMT samedi), une série de détonations a figé Jérusalem. Le ciel s'est piqué de lumières rouges et jaunes filmées par l'AFP, et par de nombreux habitants qui ont partagé les images sur les réseaux sociaux.

    "Les rues sont vides, tout le monde se dépêche de rentrer chez soi", a déclaré Eliyahu Baraka, un commerçant du centre-ville. Des images saisissantes de projectiles frôlant l'emblématique coupole dorée du dôme du rocher, sur l'un sites les plus saints de l'Islam, au coeur de la vieille ville, font le tour des plateformes. Les sirènes d'alerte ont retenti à Jérusalem, selon des journalistes de l'AFP, ainsi que dans la région du Néguev et dans le nord du pays. Une heure environ après l'annonce du lancement de l'opération iranienne, baptisée "Promesse honnête", l'agence Irna a indiqué qu'"une première vague de missiles balistiques" avait été lancée "en profondeur" du territoire israélien. "L'armée de l'air des Gardiens de la révolution a tiré des dizaines de missiles et de drones sur des cibles spécifiques", selon la télévision d'Etat citant les Gardiens, l'armée idéologique de l'Iran. En annonçant l'attaque iranienne peu après 23H00 samedi (20H00 GMT), le porte-parole de l'armée israélienne Daniel Hagari a affirmé: "nous surveillons de près les drones tueurs envoyés par l'Iran et en route vers Israël". Il a dénoncé comme une "escalade dangereuse" cette "attaque directe lancée depuis le sol iranien". D'autres "vagues de drones" visant Israël sont possibles, a prévenu un responsable militaire israélien.


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  • Suède, le 2è pays au monde qui compte le plus de viols, après le Congo .

    Vous ne le saviez peut-être pas, mais la Suède est le deuxième pays au monde où il y a le plus de viols, après le Congo…

    Le Conseil Suédois pour la Prévention du Crime (Brottsförebyggande rådet, ou BRÅ) a déterminé que seulement 5 à 10% des viols étaient reportés à la police, par peur de représailles. La Suède enregistre 60 000 viols par an, soit environ 5000 viols par mois, soit 164 viols par jour. C’est 20 fois plus que dans les autres pays européens. Le nombre de viols a augmenté de 12% entre 2009 et 2010.

    Le Human Right Service révèle que les viols en réunion ont augmenté de 377% entre 1995 et 2006. Les viols commis en extérieur ont augmenté de 300% entre 1975 et 2007.

    Selon un sondage du quotidien Aftonbladet, 82% des femmes ont peur de sortir le soir. La situation est telle qu’un groupe d’adolescentes suédoises a créé une sorte de ceinture de chasteté, que seul le porteur a le moyen d’enlever, et à l’aide de ses deux mains.

    Mais pourquoi cela ? Les hommes suédois, pourtant réputés pour leur calme et leur nonchalance, seraient-ils de terribles tortionnaires ? 

    Pourquoi autant de viols en Suède ?

    Voilà les explications données par les autorités du pays pour expliquer cette inquiétant épidémie de viol. Il est intéressant de constater que ca ne sont pas les hommes qui sont mis en cause, mais plutôt les femmes…

    - Une hystérie collective
    Les Suédoises seraient plus hystériques  que dans le passé et porteraient plainte plus souvent que les femmes d’autres nationalités. Apparemment, ce phénomème serait amplifié depuis quelques années.

    - Le réchauffement climatique
    La chaleur entraînerait les Suédoises à se dévêtir d’avantage. Un article dans Aftonbladet en 2007, le quotidien national suédois le plus lu, parle même de « l’été, la saison du viol ».

    - L’alcool
    Les Suédoises – les jeunes, surtout – auraient une forte prédispositon à l’alcoolisme, ce qui en ferait des victimes idéales.

    - La multiplication des sites de rencontre et réseaux en ligne
    Les Suédoises seraient des adeptes des rencontres en ligne et n’hésiteraient pas à donner rendez-vous à n’importe qui.

     

    La vérité

    En réalité, la Suède est victime d’une immigration massive et d’une islamisation extrêmement importante, à tel point que certaines villes telles que Malmö comptent 25% de musulmans au sein de la population.
    Selon les sources, 75% à 85% des crimes en Suède sont perpétrés par des immigrés musulmans. Les violeurs sont en majorité des Algériens, des Lybiens, des Tunisiens et des Marocains. Selon eux, le fait qu’une femme ne soit pas voilée est un appel au viol. L’un d’entre eux avoue : « c’est mieux de violer une Suédoise plutôt qu’une Arabe. La Suédoise aura de l’aide après, et de toute facon elle a déjà baisé. Alors que la fille arabe elle aura des problèmes avec sa famille, cela sera source de honte. Il est important qu’elle reste vierge jusqu’au mariage ».

    Pourtant, certaines organisations continuent de nier le fait que la majorités des viols en Suède soit commis par des musulmans. Ainsi, Amnesty International occulte complètement le problème : selon Yakin Ertürk, des Nations Unies, « la majorité des viols sont perpétrés par des hommes suédois ordinaires ». Il conclut en disant que le problème vient du fait que « la société suédoise est une société aux normes patriarcales profondéments ancrées, ce qui influe grandement sur les nature et la qualité  des relations sexuelles »…

     

    La loi du silence

    Bien sûr, personne en Suède ne s’avance à faire des statistiques ethniques, et encore moins à répertorier les cas de criminalités liés à l’immigration… La Suède est en effet devenu le premier pays musulman en Europe !

    La photo en tête de l’article représente Linda, une Suédoise de 18 ans, violée par 4 hommes « non suédois », âgés de 16 à 18 ans. Elle a été torturée, et violemment frappée avec une matraque. Voilà la photo des coupables :

    Sachant qu’en Suède, il est interdit de signaler la couleur de peau ou l’ethnicité des agresseurs, ceux-ci ont été identifiés comme « deux Suédois, un Finlandais et un Somalien », alors qu’ils sont tous les quatre des immmigrés originaires de Somalie.

    Voilà les signalements de ces deux criminels « suédois » tels qu’ils apparaissent publiquement dans la presse du pays :


    Impossible de reconnaître leur ethnicité !

    Les autorités suédoises veulent à tout prix cacher l’identité des agresseurs. Et au nom du multiculturalisme et du « vivre-ensemble », il est interdit de parler négativement de l’immigration et de l’islam.
    Le 25 mai 2005, le Suédois Björn Bjorkqvist a été condamné à 2 mois de prison avec travaux forcés pour avoir écrit « Je ne pense pas être le seul à être dégoûté quand je lis que les Suédoises se font violer par des gangs d’immigrés ».

    … En Norvège par contre, on ose appeler un chat un chat… :


    Les Norvégiens n’ont pas honte de dire que les actes de barbarie et de violence extrême sont perpétrés par des criminels qui ne sont pas norvégiens.

    Victimes ignorées,
    violeurs non condamnés

    Nous avons vu que selon le Conseil Suédois pour la Prévention du Crime (Brottsförebyggande rådet, ou BRÅ) a déterminé que seulement 5 à 10% des viols étaient reportés à la police.
    C’est en partie du au fait que les victimes sont de moins en moins bien traitées par la justice suédoise. Ainsi, depuis quelques mois, la justice a décrété que le témoignage seul ne suffisait pas à faire arrêter un suspect de viol

    Ainsi, le nombre de viols reportés et officiellement reconnus et traités en justice est extrêmement bas (on imagine les statistiques si tous les cas de viols étaient reconnus !). En 2007 par exemple, seulement 416 cas de viols ont été étudiés par la justice, contre 4 800 officiellement reportés… Selon Eva Diesen, chercheuse à l’Univesrité de Stockholm, seulement 1 cas sur 10 est traité  lors d’un procès… Quelle proportion est condamnée ? On sait que les avocats trouvent toujours des circonstances atténuantes aux agresseurs : chômage, pauvreté, difficultés d’intégration, racisme… Difficile d’y croire quand on sait que la Suède est le pays au monde qui accueille le mieux les immigrés
    D’après les études de la Child and Woman Abuse Studies Unit (London Metropolitan University)le taux de condamnation en Suède était d’environ 8% entre 1993 et 1997, contre 17% en Finlande, 15% en Norvège et en Allemagne, et 22 en République Tchèque.

    Sarah, cette jeune Suédoise de 15 ans, a été violée en 2009 par un immigré musulman âgé de 42 ans. Malheureusement, elle n’a pas supporté les traumatismes causés par la torture physique et psychologique que lui a infligés son agresseur. Elle a mis fin à ses jours… et comme elle n’était pas présente au procès pour témoigner contre son agresseur, celui-ci a été libéré !

    Malheureusement, plutôt que de miser sur la répression et une meilleure prise en charge des cas de viols, la Suède préfère miser sur la « prévention ». Nyamko Sabuni, le ministre suédois de L’Egalité et de l’Intégration, a annoncé en 2008 la mise en place d’un plan de près de 6 millions de dollars afin d’améliorer les conditions de sécurité en ville, via un meilleur éclairage… Selon lui, « la peur des espaces publics limite la liberté de mouvement et la qualité de vie »

    Un « kit viol » pour les Suédoises

    Afin d’aider les victimes à réussir dans leurs démarches lors des dépôts de plainte, le National Center for Knowledge on Men’s Violence Against Women, une organisation fondée en 1194 à l’Université d’Uppsala, a créé fin novembre 2008 « The Rape Kit Box », le « kit viol », avec l’aide du Laboratoire Criminel de l’Etat.
    Ces kits ont été distribués dans 5 grandes villes du pays.
    Dans chaque boîte, on trouve des écouvillons afin d’effectuer des prélévements ADN, des bandes adhésives permettant de collecter des fibres, poils ou cheveux, ainsi que des enveloppes en papier pour préserver la salive, le sang ou le sperme (contrairement au plastique, le papier éviterait aux substances de se déteriorer trop rapidement en attendant le procès).

    Les établissements médicaux qui proposent les kits viol, et à qui les victimes doivent les retourner, sont sensés garder les échantillons pendant une durée de 2 ans, afin qu’ils puissent être utilisé lors d’éventuels procès. Malheureusement, Lotti Hellstrom, qui dirige la cellule de crise spéciale viol du plus grand hôpital de Stockholm regrette que seulement 63% des kits soient utilisés par la police dans le cadre des enquêtes pour viol.

    Sources : Stoppavåldtäkterna.nuFjordmanNyhettenpressenSnaphanenBalder Blog


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  • La motivation au travail – La carotte et le bâton !

    La motivation au travail – La carotte et le bâton

    Il ne se passera rien 

    Nous sommes leurs esclaves !.

    Seine-et-Marne : les défis d'un jeune agriculteur céréalier et éleveur de  bêtes | Le Pays Briard

    Ils sont biens dans leurs palais ! N'on seulement l’état ne fait rien ; n’a jamais rien fait ,a part pour leurs immigrations, et ne fera rien ! La FRANCE n’est plus souveraine ! C’est cette « Europe » mortifère qui décide de tout .

    C’est des « technocrates » de Bruxelles qui décident et disent aux agriculteurs ,quand ,comment et quoi planter dans leurs champs !. Comment voulez vous que ça marche ? C’est tout bonnement IMPOSSIBLE .

    Les agriculteurs n’auront rien de Macron et de son 1er ministre ; ce n’est plus eux qui décident ! Et en plus « ils » interdisent aux pêcheurs de ne plus travailler pendant un mois ; soit disant pour sauvegarder les dauphins .! Si ça c’est cela de ne pas prendre les FRANCAIS pour des demeurés , il faut m’expliquer . Pour les Espagnols pas de problème , eux peuvent continuer !.

    Véronique de Papa Falco 

    COMBIEN de TEMPS les VACCINÉS DOIVENT-ils VIVRE ?


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