• L'Europe surprise par le système Schengen ..Par :Pieds Noirs 9A..

    Billet N° 6673 du dimanche 20 août 2023 ..

    L'Europe surprise par le système Schengen ..

    On ne peut pas continuer à avoir des migrants qui arrivent sans contrôle .

    Gros plan de Schengen visa dans le passeport - Photo de France libre de droits

    L’immigration autre Europe fut de tout temps, et reste à ce jour, l'immense adoration de la gauche bobo. Dans les 101 propositions (chiffre officiel) en 1981 sous le régime socialiste de l'homme au chapeau rond ,rappelez-vous qu'il figurait le droit de vote des étrangers dans les élections locales ,déjà avec VGD dans son monde a lui sur le regroupement familial ,car beaucoup avant de ses flux migratoires colonisatrice n'existait pas ,dont tous cela étant suivit du grand et généreux sachant bien que l'Islam prendra tôt ou tard le monopole .

    À partir des années 1963 petit à petit et pendants des années, l’immigration change de nature. D’une immigration soit disant de travail, on passe à une immigration familiale par occupation des terres, voir demain les biens d'autrui comme ils ont fait en Algérie ,donc essentiellement issue du Maghreb et de l’Afrique Subsaharienne, et nous voilà aujourd'hui presque en 2024 et tout s'aggrave dans tout les sens .

    N'oublions pas qu'à l'époque le Parti communiste était le seul à tenir un discours anti-immigration : « La présence en France de près de quatre millions et demi de travailleurs immigrés et de membres de leurs familles, la poursuite de l’immigration posent aujourd’hui de graves problèmes. Il faut bien regarder cela en face et prendre rapidement les mesures indispensables », écrit dans l’Humanité Georges Marchais, candidat à l’élection présidentielle de 1981. Mais voilà, de cela, tout a foiré.

    Cet afflux de migrants est une arme du patronat pour baisser les salaires pour pouvoir mieux se remplir les poches sur le dos de la misère et fut une constatation à l'inverse d'aujourd'hui. Le Parti, communiste fut violemment critiqué et devient le paria de la gauche : parti fasciste, pétainiste, raciste… Le Parti, socialiste avait entamé sa mue libérale, mondialiste et sociétale. SOS Racisme devait consacrer le tournant « black blanc beur », prônant un modèle de société inclusive où était valorisé non pas le modèle républicain de l’assimilation, mais le respect des différences. Au nom de l’antiracisme, on était entré dans l’ère du racialisme.

    Dans les années 1990, le Parti communiste lui-même abandonne le combat anti-immigration et rejoint celui pour la régularisation des sans-papiers ou Mélenchon , CGT fut par la suite de cette reprise en charge pour faire eux aussi profit .(ce en quoi elle ne fut pas la seule, le clientélisme de droite et du centre existe aussi.). Voir de mette du bon beurre dans les épinards .

    Il faut le dire qu'à chaque fois qu’un homme politique de gauche a tenté d’avoir un discours de raison sur la question migratoire, il fut accusé de faire le jeu de l’extrême droite , voir de Jean-Marie Le Pen. Ce fut le cas de Chevènement, ministre de l’Intérieur sous Lionel Jospin, entre 1997 et 2002, clouées au pilori parce qu’il avait régularisé uniquement la moitié des sans-papiers et non pas leur totalité. Comme Manuel Valls, d'abord n'avait déjà rien à y faire dans un gouvernement Français, dont Premier ministre sous François Hollande le scootériste , partisan immigrationniste du pays France .

    À gauche, on considère l’immigration comme le sujet de la droite voire de l’extrême droite. Ceux qui tentent d’en parler sont criminalisés. Où sont réduits à parler en « off » à des visiteurs du soir. La gauche devrait pourtant s’emparer rapidement et dignement de la question. Un discours de maturité pourrait lui rendre l’autorité et la popularité qu’elle a perdues en se fondant dans les postures radicales de l’extrême gauche.

    Comment peut-on les accueillir dans des conditions décentes de logement et d’emploi ? Comment calmer l’inquiétude des plus précaires d’entre nous qui sont plongés dans l’insécurité culturelle et économique ? Les agressions s'aggravent de jour en jour pourquoi la gauche, qui devrait être solidaire des classes populaires, ne peut-elle pas, ou plutôt ne veulent pas le faire. Mais attention ou le jour où les guérillas prendront forme, et ce jour-là ? . Personne ne les retiendras et cela se feras par la puissante masse par le nombre et la loi du plus fort .

    Comme je pourrai dire , «le système Schengen est un système qui s’effondre devant nos yeux mais (le couple exécutif) continue à en rêver: c'est non-assistance à peuple en danger»

     Pieds Noirs 9A..

    L'Europe surprise par le système Schengen ..


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  • La date approche : Gaffe de Christine Lagarde qui révèle la date du lancement de l’euro numérique

    Christine Lagarde dévoile par erreur la date du lancement de l’euro numérique. La patronne de la Banque centrale européenne (BCE) a été victime d’un canular téléphonique (voir vidéo ci-dessous) de la part de deux célèbres farceurs russes. Elle pensait s’entretenir avec le président ukrainien Zelensky, mais il s’agissait en fait de Vladimir Kouznetsov et Alexeï Stolaryov, connus sous les pseudonymes de « Vovan » et « Lexus ».

    Au cours de la conversation, elle a révélé que la BCE annoncerait le 23 octobre 2023 sa décision sur le projet d’euro numérique, une monnaie virtuelle qui remplacerait à terme les billets et les pièces.

    Selon Christine Lagarde, l’euro numérique serait un moyen de défendre l’Europe face aux menaces extérieures, comme la Russie, les géants du numérique qui veulent créer leurs propres cryptomonnaies. Elle a affirmé que le paiement en liquide était déjà limité à 1000€ dans l’Union européenne. Mais elle n’a pas expliqué en quoi l’euro numérique serait différent des autres modes de paiement électroniques existants. Or, ce système pourrait avoir des conséquences graves sur nos libertés individuelles : il permettrait à la BCE de surveiller et de contrôler tous nos achats et nos transactions quotidiennes.

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  • Le bel été de Poutine.

    Le Tsar est persuadé que la résolution des Occidentaux sera moins forte que la sienne. Et il a raison. Rien ne s’est passé comme prévu, du côté de l’Otan.

    Je reprends ce titre de Philippe Gélie dans le Figaro, car il illustre parfaitement la réalité du moment. Et si nous voulons résumer la situation en quelques mots, voici le bilan.

    1. La contre-offensive a totalement échoué et la troisième armée otano-ukrainienne est quasiment détruite, après s’être fracassée sur les fortifications de Sourovikine, totalement infranchissables.

    Marc Legrand, dont les chiffres sont similaires à ceux du ministère russe de la Défense, annonce 50 370 tués au 75e jour de la contre-attaque, dont 900 tués et 1060 blessés pour la seule journée d’hier.

    Les 200 km2 repris par les Ukrainiens sur les 100 000 km2 perdus, Crimée incluse, sont insignifiants, puisque les Russes avancent partout, notamment sur Kupiansk et dans la région de Kharkov.

    Kiev a perdu 400 000 tués et autant de blessés en 18 mois. Une hécatombe voulue par l’Otan, totalement responsable de cette tragédie et de ce bain de sang par procuration.

    Car n’oublions pas l’essentiel, à 180° du discours otanien :

    – C’est la CIA qui a renversé en 2014 le pouvoir pro-russe en place à Kiev

    – C’est Kiev qui a mené pendant huit ans une guerre sans merci contre les populations russes du Donbass, faisant 15 000 victimes

    – C’est Washington qui a refusé de répondre aux multiples demandes de Poutine sur les garanties de sécurité en Europe, la dernière tentative de paix russe datant de décembre 2021

    – Ce sont la France et l’Allemagne qui ont sabordé les accords de Minsk et trompé sciemment Moscou pour mieux armer l’Ukraine

    – Ce sont les Anglo-Saxons qui ont interdit à Zelenski de négocier dès les premiers jours de la guerre, puis en mars 2022, lui promettant des armes et la victoire finale

    – C’est l’Ukraine qui envisageait une offensive majeure contre le Donbass, dès mars 2022

    – C’est à la demande des régions séparatistes que Moscou est venue secourir les populations du Donbass, persécutées depuis huit ans avec l’aval des Occidentaux, qui refusaient d’appliquer les accords de Minsk, lesquels auraient évité la guerre.

    En résumé, il n’y a qu’un seul agresseur responsable de cette boucherie : l’Otan, qui a préparé cette guerre depuis 2014 avec le soutien de tous les valets de Biden.

    2. Les sanctions économiques, qui devaient mettre Moscou à genoux en trois mois et semer la révolte en Russie, ont totalement échoué. La cote de Poutine est au plus haut et il devrait être réélu dans sept mois avec un score à l’africaine, sans besoin de tricher comme Biden.

    La croissance économique russe est supérieure à celle de l’UE, le chômage est à son plus bas historique, l’industrie représente 32% du PIB contre 10% en France et l’agriculture connaît une production record. Pétrole, gaz et matières premières ont trouvé d’autres débouchés que l’UE, qui risque de connaître un hiver catastrophique en se privant de l’énergie russe.

    Signalons à Bruno Le Maire, notre lumière de Bercy, que la dette russe représente 13% du PIB contre 115% en France. Quand on est nul en maths, on ne tient pas les cordons de la bourse. Ce génie de la finance nous a mis 700 milliards de dettes supplémentaires sur le dos.

    Chaque Russe, bébés compris, est endetté de 1500 euros. Mais chaque Français est endetté de 45 000 euros. Y a pas photo !

    On est loin de la débandade militaire et de la débâcle économique promises par les idiots d’Occidentaux, suffisamment stupides pour ignorer à la fois la puissance de l’armée russe et la solidité de l’économie, peu financiarisée mais qui s’appuie sur une puissante industrie, une forte agriculture et un trésor de matières premières inestimable, représentant 20% des richesses minières mondiales. Tout le contraire de la France, qui ne fabrique et ne produit plus grand-chose, mais a tout misé sur les services. Elle n’a dorénavant ni pétrole, ni idées.

    Les industries d’armement russes tournent à plein régime, alors que les stocks occidentaux sont épuisés. Comme en 1942-43, les usines se sont adaptées aux besoins. La Russie, en manque munitions dès mars 2022, c’est encore un conte de fées dont les médias occidentaux raffolent. Chaque jour, un illuminé nous sort une nouvelle fable encore plus grotesque que la précédente.

    Poutine malade et mourant, ou bien les jeunes soldats russes appelant leur mère en pleurant, l’armement russe obsolète datant de l’ère soviétique, resteront dans les annales. Les ingénieurs de l’armement russes sont visiblement les meilleurs du moment. La panoplie des armes russes du futur est impressionnante.

    3. La population russe ressent peu la guerre au quotidien. La vie suit son cours normalement. Rues, commerces, restaurants et bars ont l’apparence d’un pays en paix. Il n’y a pas eu des vagues de mobilisation comme en Ukraine. Et si la guerre fait malheureusement des victimes, des veuves et des orphelins, il y a beaucoup moins de soldats tués dans le camp russe qu’en Ukraine.

    Les drones qui tentent de frapper Moscou ne perturbent pas la population qui vit avec et affiche son flegme habituel. D’ailleurs ces drones font surtout des blessés légers. “Il n’y a pas de peur sur la ville”.

    Les stations balnéaires sont pleines à craquer, les Russes passant leurs vacances chez eux.

    Bref, la vie estivale se poursuit sans l’angoisse de la guerre, pour la majorité des Russes qui n’ont pas un proche sur le front.

    Côté Kremlin, on se prépare à une guerre longue, bien loin des plans initiaux de février 2022.

    Poutine, qui espérait régler la question du Donbass en quelques semaines comme en Crimée, n’avait pas prévu une telle réaction obstinée de l’Otan. De leur côté, les Occidentaux n’avaient jamais imaginé que la Russie afficherait une telle capacité de résistance aux sanctions économiques et ferait face à l’aide militaire colossale fournie à Kiev. Le résultat est une guerre qui s’éternise en saignant le peuple ukrainien, victime des fous furieux du Pentagone qui refusent la défaite et ses terribles conséquences pour l’Occident.

    Face à cette obstination, Poutine veut porter les effectifs de son armée à 1,5 million d’hommes d’ici 2026 et augmente la limite de la conscription à 30 ans au lieu de 27. Dans la tête des Russes, un affrontement avec l’Otan décadent reste une possibilité, avec une Amérique belliqueuse et dominatrice, incapable de vivre en paix.

    Dans un éclair de lucidité, Nicolas Sarkozy, qui a commis la faute impardonnable de réintégrer le commandement de l’Otan, vient de déclarer que l’Ukraine doit rester neutre, en ne rejoignant ni l’UE, ni l’Otan. Quant aux frontières de l’Ukraine, il faut oublier tout retour à celles de 2014. Il n’y aura pas de retour en arrière pour Poutine.

    Les russophobes ont oublié les leçons de l’histoire. Les Russes ont vaincu les deux plus puissantes armées de leur temps, la Grande Armée de Napoléon et la Wehrmacht de Hitler. Deux aventures militaires qui se sont terminées avec l’armée russe à Paris, puis à Berlin.

    Soyons assurés que la détermination de Poutine et du peuple russe ne faiblira pas.

    Jacques Guillemain

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  • Pap Ndiaye ambassadeur : ça passe mal chez les diplomates. Ah bon ?

     
     

    « Ils n'ont pas honte », titre Marianne, reprenant les propos d'un diplomate français, que l'on devine quelque peu agacé, qui réagissait à la nomination de Pap Ndiaye comme ambassadeur de France au Conseil de l'Europe.

     Évidemment qu'ils n'ont pas honte, les politiciens macronistes, et leur chef moins que les autres. Cette nomination éminemment politique, appuyée sur le recasage et le copinage bien plus que sur la compétence, ne surprendra que les naïfs. 

    Dès l'entre-deux-tours de l'élection présidentielle, Emmanuel Macron avait mis en extinction, par décret, les grands corps des conseillers des affaires étrangères et des ministres plénipotentiaires, laissant à l'entière discrétion du pouvoir politique la nomination des ambassadeurs. Il rompait en cela avec la tradition française, qui formait des élites diplomatiques que le monde entier, pour une fois, nous enviait. La France possède le deuxième réseau d'ambassades du monde : il faut bien que tout le monde puisse en profiter.

    Avec un humour teinté d'amertume, le diplomate interrogé par Marianne ajoute qu' « il faut bien payer l'École Alsacienne (école privée parisienne où sont scolarisés les enfants de l'ancien ministre, NDLR) ». Est-ce l'une des raisons de cette nomination, avec le fait de pouvoir, selon la même source, « rester à Paris » en occupant ce poste ? Allez savoir... Pap Ndiaye et son entourage arguent de la compétence de l'ancien ministre en matière de lutte contre le racisme et de connaissance de l'histoire sociale de l'Amérique. Cela n'a rien de rassurant, mais c'est au moins intéressant de voir que ces combats sont censés faire partie de la fiche de poste d'un ambassadeur au Conseil de l'Europe. « Résignation et lassitude » sont donc palpables du côté des diplomates, qui savent bien que leur formation exigeante et les années qu'ils ont passées à l'étranger pour se former aux subtilités de leur métier ne valent pas grand-chose s'il y a un copain à recaser dans le coin.

    Plus encore, tout se passe comme si Emmanuel Macron ne voulait pas seulement, comme n'importe quel chef pensant que tout est permis, donner des prébendes à ses amis sans se soucier de leur adéquation au poste. On a le sentiment qu'il y a chez lui une volonté d'humilier les grands serviteurs de l'État. Il a commencé avec les armées, en provoquant le départ du général de Villiers. Il a poursuivi avec l'ENA, dont il sort, et dont il a souhaité la transformation en INSP pour donner des gages, pensait-il, aux gilets jaunes, qu'il prenait, avec la myopie de sa caste, pour des sans-culottes envieux des élites. Et puis vint le tour des diplomates, dont la nomination de Pap Ndiaye n'est qu'une des modalités symboliques - une anecdote, presque.

    Vers la chute ?

    Notre époque fait décidément penser à Rome. Il y eut, à la fin de l'Empire, l'édit de Caracalla (212), qui « régularisa massivement » comme citoyens romains des sujets qui, auparavant, devaient mériter leur naturalisation. C'était la fin de la fierté du civis romanus, un titre que l'on n'avait plus à conquérir et qui cessait, au même moment, d'être digne de respect. Il y eut Héliogabale (empereur de 218 à 222), qui se "maria" avec des hommes, demanda à être appelé "elle" et souhaita être mutilé pour avoir les deux sexes. Il y eut la délégation de la garde du "limes", les frontières de l'Empire, à des bandes de barbares, entérinant la démission de l'Etat et la création de zones de non-droit. Mais, bien avant tout cela, il y eut le troisième des douze Césars immortalisés par l'œuvre de Suétone : Caligula (empereur de 37 à 41). Successeur du vieux Tibère, ce petit homme irrationnel, cruel, violent, prenait un plaisir particulier à humilier la vieille aristocratie (l'ordre équestre de Rome) et les sénateurs, qui venaient de familles patriciennes formées à l'exercice du pouvoir. Parmi d'autres délires, Caligula, pour montrer qu'il faisait ce qu'il voulait, imagina un jour de nommer consul son cheval Incitatus, qu'il avait déjà fait faire une mangeoire en marbre et une housse de pourpre. Il paraît que ce fait du prince précipita son assassinat par les soldats de sa garde.

    Pap Ndiaye est évidemment un universitaire de renom et n'a rien à voir avec Incitatus, mais sa nomination, aux yeux du Quai d'Orsay, qui s'y connaît, n'en semble pas plus légitime. Chose amusante, Caligula parvint au pouvoir, selon certaines sources avec la complicité d'un préfet du prétoire, un homme retors et violent, qui accepta d'être fait cocu par Caligula en espérant en tirer un profit personnel. On attribuait à ce préfet la mort par étouffement de l'empereur Tibère ainsi que la persécution des chevaliers et des sénateurs romains. Ce préfet arriviste et méprisable s'appelait Naevius Sutorius Macro - en français, Macron Quand on pense que l'histoire antique n'est plus enseignée par l'Éducation nationale... C'est peut-être à cela que Gabriel Attal devrait s'atteler.


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  • Le Pentagone a perdu toute une génération.


    Réseau International

    par RRN Staff

    La qualité des troupes américaines est en baisse : les personnes saines et intelligentes ne veulent pas servir l’État.

    La sécurité nationale des États-Unis est en péril : bientôt, il n’y aura plus personne pour gérer les équipements militaires ultramodernes. L’armée traverse une grave crise de main-d’œuvre.

    80% des jeunes hommes âgés de 18 à 24 ans sont jugés inaptes au service. Quatre recrues sur cinq échouent en raison de leurs mauvaises performances physiques et psycho-intellectuelles – ils sont obèses, touchés par les conséquences de la consommation d’alcool et de drogues, instables et mal éduquées.

    Non seulement ils seront inutiles dans les combats corps à corps, mais ils ne seront même pas capables d’utiliser la tactique suprême de l’OTAN, à savoir le pilonnage aérien des personnes désarmées. En effet, ils ne peuvent tout simplement pas manipuler les véhicules. Sans parler des tâches complexes liées au renseignement et à la cybersécurité.

    Et les «soldats idéaux» potentiels choisissent tout autre chose qu’une carrière militaire – bureaux, activisme, art et autres domaines où ils peuvent s’épanouir sans la pression de supérieurs en uniforme.

    Les jeunes hommes forts, dotés de bonnes références professionnelles, s’apprécient trop pour donner leur temps ou leur vie à une structure douteuse. Selon une étude de l’Institut national de sécurité Reagan, 62% des Américains considèrent que le commandement militaire est devenu trop politisé, ce qui réduit leur confiance dans les forces armées.

    Difficile de les contredire : Joe Biden et ses subordonnés du Pentagone se soucient davantage de «l’inclusivité» des troupes que de leur efficacité au combat. Les autorités recherchent une tolérance totale dans les rangs des soldats, mais elles le font de manière assez étrange. Au lieu d’essayer de réconcilier les blancs et les hommes de couleur et d’instaurer la discipline, elles imposent aux militaires des collègues qui n’ont pas décidé de leur propre genre. Par la suite, l’armée ressemble plus à un «cirque de bêtes curieuses» qu’à une institution sociale prestigieuse. Le personnel de qualité la contourne.

     
    Les cadres exemplaires : l’amiral Rachel Levine et le fonctionnaire du ministère de l’Énergie Sam Brinton, qui était accusé d’avoir volé des valises quelque temps après.

    Les propagandistes pensent que les citoyens doivent être convaincus que leurs libertés, qu’ils considèrent comme acquises, peuvent être facilement supprimées. C’est pourquoi la Maison Blanche a inventé le danger en la personne d’Arabes, d’Européens de l’Est ou d’Asiatiques. Biden a détruit tous les progrès de la politique étrangère de Trump en matière de normalisation des relations avec la RPDC et a commencé une guerre par procuration avec la Russie – les ennemis ne sont jamais en trop. Mais, de toute évidence, les Américains ne l’ont pas cru, c’est pourquoi il n’y a toujours pas de file d’attente devant les bureaux de recrutement.

    Ce n’est pas que les militaires soient sous-payés ou que les jeunes d’aujourd’hui aient de mauvaises valeurs. Ils se rendent compte que la menace réelle pour leur bien-être ne vient pas de l’Est, mais de Washington.

    source : RRN Staff


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