• Témoignage d'un policier sur les violences des racailles au Stade de France

     


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  • Ukraine : Artillerie russe – Contre-attaques – Nouveaux systèmes de missiles

    La quantité de « d’opium médiatique » disponible pour les fans de l’Ukraine semble s’amenuiser.

    De plus en plus de médias grand public rendent compte des dégâts considérables que l’artillerie russe cause aux troupes ukrainiennes de la ligne de front. Même le New York Times s’y est mis :

    Sous le feu de l’arsenal à longue portée russe et face à un besoin désespéré de munitions et d’armes, les forces ukrainiennes restent dépassées sur le long et dispersé front oriental, selon les analystes militaires, les responsables ukrainiens et les soldats sur le terrain.

    Un seul engagement, jeudi et vendredi, sur une petite portion de la ligne, dans une forêt au nord de la ville de Sloviansk, a envoyé une douzaine de soldats ukrainiens dans un hôpital militaire avec de graves blessures dues aux éclats d’obus.

    « Vous demandez comment se déroulent les combats« , a déclaré Oleksandr Kolesnikov, le commandant d’une compagnie de soldats combattant dans la forêt, interrogé sur un brancard d’ambulance à l’extérieur d’un hôpital militaire de Kramatorsk. "Il y avait un commandant de la compagnie. Il a été tué. Il y avait un autre commandant. Il a été tué. Un troisième commandant a été blessé. Je suis le quatrième."

    Un autre exemple tiré du Washington Post :

    "Soixante-dix personnes de mon bataillon ont été blessées la semaine dernière", a déclaré un soldat et ambulancier juste devant les portes de l’hôpital qui s’est identifié seulement comme Vlad, 29 ans. "J’ai perdu trop d’amis ; c’est difficile pour moi. Je ne sais pas combien. … C’est de pire en pire chaque jour".

    La nuit précédente, dit-il, les bombardements étaient si forts qu’il a à peine pu dormir. "Ce ne sont que des bombardements d’artillerie" , a-t-il dit. "Tous les blessés viennent des éclats d’obus. La plupart des gars dans les tranchées n’ont même jamais vu l’ennemi en face à face."

    Depuis le début de la guerre, je souligne l’énorme quantité d’artillerie que les forces russes utilisent traditionnellement.

    La doctrine « occidentale », qui est essentiellement la doctrine américaine, mise sur la suprématie aérienne. Les défenses aériennes de l’ennemi sont d’abord détruites, dès les premiers jours de la guerre. Puis les formations ennemies sont anéanties par l’application d’une énorme quantité de bombardements aériens contre elles.

    La doctrine russe n’a jamais cru à la suprématie aérienne. La Russie elle-même possède d’excellentes défenses aériennes, elle sait donc de quoi elle parle. Pour détruire les formations ennemies, la Russie utilise de l’artillerie, beaucoup d’artillerie.

    Une équipe de combat de brigade (BCT) américaine standard compte deux ou trois bataillons de chars ou d’infanterie comme formations de tête et un bataillon d’artillerie pour les soutenir. Le reste des troupes de la brigade est constitué de diverses unités de soutien.

    Au lieu d’un rapport de 3 à 1 entre les formations de front et les formations d’artillerie, les unités russes ont un rapport de 1 à 1. Les brigades de fusiliers motorisés russes ont également deux ou trois bataillons comme formations de front, mais elles ont aussi trois bataillons d’artillerie avec divers canons et missiles pour les soutenir.

    Ce rapport de 1 à 1 se répète à presque tous les niveaux – bataillon, brigade, division, armée – des forces terrestres russes. Voici à quoi il ressemble lorsqu’il est appliqué.

    À moins que les forces de défense ne soient entièrement blindées ou extrêmement bien retranchées, comme elles l’ont été pendant huit ans sur la ligne de front de Donetsk, elles n’ont aucun espoir de résister à l’artillerie russe. Depuis que l’armée russe a franchi la première ligne de front, les Ukrainiens ont perdu la protection des abris fortifiés et sont en fuite.

    Rien de ce qui précède n’est nouveau et c’est la raison pour laquelle d’autres analystes et moi pouvions facilement prédire que l’armée ukrainienne perdrait la guerre.

    ——

    Après avoir annoncé pendant des mois des victoires ukrainiennes qui n’ont jamais eu lieu, les journaux « occidentaux » reconnaissent enfin l’état réel de la guerre :

    L’Ukraine est en plus mauvais état que vous ne le pensez – Time

    L’Ukraine souffre sur le champ de bataille tout en implorant des armes américaines – Washington Post

    Les victoires russes dans l’est de l’Ukraine suscitent un débat sur le cours de la guerre – Bloomberg

    La tactique russe du « chaudron » pourrait faire pencher la bataille du Donbas en sa faveur – Guardian

    Shrapnel dans les forêts et obus dans le ciel : « Je n’ai jamais vu un tel enfer« . – New York Times

    Boris Johnson prévient que la Russie « ronge son frein » dans l’est de l’Ukraine et demande un soutien accru pour les forces de Kiev – Daily Mail

    ——

    Les médias ukrainiens ne sont toujours pas autorisés à rendre compte de l’état réel de la guerre.

    Les titres d’Ukrinform :

    L’armée ukrainienne lance une offensive dans la région de Kherson

    Les forces ukrainiennes ont lancé une offensive dans la région de Kherson, les envahisseurs russes subissant des pertes et se défendant sur des positions défavorables.

    C’est ce qu’a déclaré le service de presse de l’état-major général des forces armées ukrainiennes sur Facebook, rapporte Ukrinform.

    « Suite aux actions offensives des unités des forces de défense, l’ennemi a subi des pertes et a commencé à se défendre sur des positions défavorables près d’Andriivka, Lozove et Bilohirka, région de Kherson. Les combats se poursuivent. »

    Bien que cet article porte la date d’aujourd’hui, l’action décrite dans cet article s’est en fait déroulée samedi et dimanche sur la ligne de front sud-ouest.

    Un groupe de plusieurs centaines d’hommes des troupes ukrainiennes utilisant des véhicules blindés a traversé un pont à Davydiv Brid sur une rivière qui délimite le territoire tenu par les Russes au sud-ouest de celui tenu par les Ukrainiens. Le groupe a été chargé de pousser à une soixantaine de kilomètres au sud pour atteindre et saboter le barrage du Dniepr à l’ouest de Kherson.

    Après avoir progressé d’une dizaine de kilomètres vers le sud, une colonne d’une vingtaine de véhicules a été bombardée par l’artillerie russe. Le reste s’est dispersé dans la campagne et est actuellement traqué.

    L’opération entière a échoué en quelques heures. Pour la mission planifiée, la colonne était beaucoup trop petite et a attaqué sur un front trop étroit. Le commandement russe a décidé que les planificateurs de cette opération ukrainienne effrontée mais inutile méritaient une punition supplémentaire :

    Les missiles et l’artillerie ont frappé 62 postes de commandement, dont ceux du commandement opérationnel sud près de Novy Bug, dans la région de Nikolaev, ainsi que 593 zones de concentration d’hommes et d’équipements militaires des FAU et 55 batteries d’artillerie et de mortier en position de tir.

    Novy Bug est visible dans le coin supérieur gauche de la deuxième carte. L’Ukraine a confirmé qu’elle a été attaquée.

    Au total, la partie russe affirme que 200 soldats ukrainiens ont péri dans la tentative ratée, tandis que 35 autres ont été tués dans l’attaque du commandement sud de l’armée ukrainienne.

    ——

    Les articles sur la suprématie de l’artillerie russe cités ci-dessus soutiennent bien sûr l’intention des États-Unis d’envoyer des lance-roquettes multiples (HIMARS) en Ukraine. Ceux-ci peuvent, en théorie, tirer sur des cibles situées jusqu’à 300 kilomètres de distance. Toutefois, l’Ukraine ne recevrait des munitions que pour des portées nettement plus courtes d’environ 30 km :

    Certains responsables de la Maison Blanche ont exprimé leur inquiétude quant à la possibilité que la fourniture d’armes MLRS d’une portée de plus de 180 miles permette aux forces ukrainiennes d’atteindre des cibles situées loin en territoire russe, ce qui pourrait provoquer une escalade de la part de Moscou, mais la Maison Blanche est maintenant à l’aise pour gérer ce risque en retenant les munitions de plus longue portée pour le système, a déclaré un haut responsable américain au Post.

    Avec 300 kilogrammes, chaque missile a un poids important. Un camion équipé de HIMARS peut en transporter 6, tandis qu’un véhicule à chenilles en transporte 12. Leur réapprovisionnement en nombre important sera un cauchemar logistique.

    La Maison Blanche n’a pas encore dit combien de HIMARS elle allait envoyer en Ukraine.

    Les équivalents russes des HIMARS sont les systèmes BM-27 Uragan et BM-30 Smerch. Au début de la guerre, l’Ukraine disposait de quelque 70 systèmes Uragan et de quelque 80 systèmes Smerch. La plupart d’entre eux ont maintenant disparu.

    Il est très peu probable que les États-Unis envoient autant de systèmes que la centaine de lance-missiles que les Russes ont déjà détruits.

    Il y a aussi le fait que les défenses aériennes russes peuvent intercepter ces missiles en vol :

    En outre, 9 roquettes ukrainiennes à lanceur multiple Smerch ont été interceptées près de Malaya Kamyshevakha, Kamenka, Brazhkovka, Glinskoe dans la région de Kharkov et Chernobaevka dans la région de Kherson.

    Ces dernières semaines, l’Ukraine a également reçu un certain nombre d’avions de combat Su-25 d’un ancien État du Pacte de Varsovie. Sur les huit qui auraient été reçus récemment, au moins cinq auraient été détruits par la Russie quelques jours après leur arrivée en Ukraine.

    Tout cet armement supplémentaire des troupes ukrainiennes n’aura aucun effet significatif sur le champ de bataille. Il prolonge inutilement la guerre.

    ——

    L’ancien lieutenant-colonel de l’armée américaine Daniel Davis a écrit quelques articles réalistes sur l’Ukraine. Ses derniers ouvrages relèvent toutefois de la fantaisie. Il décrit en trois parties « Comment l’Ukraine peut chasser la Russie ».

    Tout d’abord, l’Ukraine devrait s’accrocher au Donbass et, à l’aide de raids et de contre-attaques, déséquilibrer les forces russes. Elle effectuerait ensuite une retraite sous le feu de plusieurs nouvelles lignes de défense créées à l’arrière. Cette action devrait lui laisser le temps de constituer une nouvelle force de 100.000 soldats dans l’ouest de l’Ukraine, qui serait équipée d’une énorme quantité de nouveaux systèmes « occidentaux ». Il faudrait douze à dix-huit mois pour constituer et entraîner cette force de contre-attaque.

    Davis sait bien sûr que chacune de ces mesures est totalement irréaliste. Son véritable conseil est de négocier la fin de la guerre le plus rapidement possible. Mais l’exposé de ce qui serait réellement nécessaire pour que l’Ukraine ait au moins une chance de gagner contre la Russie est utile car il démontre la futilité d’un tel effort.

    Il n’y a aucun moyen pour l’Ukraine de renverser la situation ou de gagner la guerre. Le gouvernement ukrainien doit abandonner. Pour mettre fin à la mort et aux nombreux dégâts causés par la guerre, il faut y mettre fin maintenant. La prolonger en fournissant plus d’argent et d’armes est criminel et devrait être puni.

    Moon of Alabama

    Traduit par Wayan, relu par Hervé, pour le Saker Francophone.


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  • Véran a-t-il couvert des milliers de vaccinations illégales de jeunes enfants ?

    Olivier Véran et Alain Fischer ont-ils couvert une vaccination illégale de plusieurs milliers de jeunes enfants, l'an dernier, en dehors de tout protocole médical et toute autorisation scientifique en bonne et due forme ? Ces vaccinations illégales et sans aucun encadrement posologique sont-elles à l'origine des hépatites aiguës qui frappent mystérieusement des enfants ? Ce sont les questions qu'Isabelle Hock pose au vu des informations récentes qui ont commencé à percer... dans le silence des autorités sanitaires françaises.

    Un nouveau scandale d’état semble se confirmer dans la décours de la gestion de la pandémie du Covid 19.

    En décembre 2021, alors que PFIZER ne dispose encore d’aucun vaccin pour les enfants de moins de 5 ans, pas moins de 4.512 enfants de cette tranche d’âge ont déjà reçu une première dose de vaccin à ARNm !

    En effet, selon le journal « le Monde » dans un article publié le 23 novembre 2021,  pas moins de 22.490 enfants français âgés de 0 à 11 ans ont déjà été injectés avec l’ARNm. Or la vaccination pour ces enfants ne sera proposée par la Haute Autorité de Santé (HAS), et ce sans aucune obligation, qu’à partir… du 20 décembre 2021

    Autrement dit, ces enfants ont été vaccinés en dehors de toute procédure scientifique admise. 

    Des enfants cobayes

    Des enfants français ont donc bel et bien servi de cobaye à une expérimentation du vaccin ARNm à grande échelle.

    Le chiffre de 17.199 enfants complètement vaccinés et de 22.490 enfants ayant reçu une première dose donne le tournis par rapport au 1.250 enfants de 5 à 11 ans ayant participé aux essais cliniques de PFIZER dans le courant de la même année 2021, selon les données statistiques officielles de Santé Publique France, et ce depuis le mois d’avril 2021, reprises dans l’article du « Monde ». Le journal avance même la date du 27 décembre 2020 pour les deux premières injections sur des tout-petits.

    Pourtant, au cours du mois de mai 2021, Alain FISCHER, M. Vaccin du gouvernement MACRON, déclarait que vacciner des enfants des enfants de moins de 12 ans n’était pas envisageable avant le début de 2022. Le 21 juin 2021, le Comité Consultatif National d’Ethique (CCNE), présidé par le Professeur DELFRAISSY déclarait « inacceptable de vacciner des enfants de moins de 12 ans avec ces produits. »

    Pour ces milliers d’enfants injectés illégalement, car avec un produit non adapté pour usage pédiatrique (celui-ci n’ayant pas encore été approuvé par les instances compétentes, nationales ou européennes), il n’y a eu aucun suivi de pharmacovigilance, ni aucune possibilité d’exercice du consentement éclairé de la part des parents, vu qu’aucune étude clinique n’avait été réalisée ni évaluée au préalable.

    Une vaccination de jeunes enfants totalement illégale

    Cette vaccination illégale et opaque soulève de nombreuses questions.

    Qui a autorisé des médecins français à injecter le vaccin expérimental ARNm dans sa version pour adultes sur 22.490 enfants de 0 à 11 ans avant la mi-décembre 2021, alors que ce produit n’avait été validé par aucune agence de santé publique (HAS, EMA) pour des enfants de cette tranche d’âge ? On sait qu’il ne sera jamais validé vu qu’il s’agit en tout état de cause de vaccins non-pédiatriques.

    Avec quelles proportions ces doses d’adultes ont-ils vacciné cette population, en particulier les 4.512 enfants de moins de 5 ans ? Qui a fixé les proportions, qui a surveillé ?

    Pourquoi l’ANSM n’a-t-elle rapporté aucune donnée concernant ces 24.490 enfants injectés en 2021 dans ses rapports de suivi des effets indésirables ? Pourquoi cette expérimentation n’a-t-elle donné lieu à aucune diffusion d’information  publique avant le début de la campagne de vaccination actuelle sur les enfants de 5 à 11 ans ?

    Le 11 décembre 2021, un courrier a été adressé par différents députés et représentants d’association à Olivier VERAN, Alain FISCHER et au Professeur DELFRAISSY en sa qualité de président du CCNE, entre autres figures de la politique vaccinale du gouvernement. Seul ce dernier a répondu mais en bottant en touche, renvoyant les auteurs à Alain FISCHER.

    Les craintes pour la future campagne pédiatrique

    L’accélération de la campagne d’injections pédiatriques s’annonce imminente, et les cas d’hépatites infantiles aigües ont fourni un argument de poids pour un revirement de position.

    Plus de 12 millions de doses pédiatriques du sérum PFIZER ont été livrés à la France, pays qui compte moins de 6 millions d’enfants âgés de 5 à 11 ans.

    Par ailleurs, dans un document officiel de la Commission UE, on peut lire qu’« avant le début de l’année scolaire 2022-2023, il y a lieu de considérer des stratégies pour accroître le taux de couverture vaccinale chez les jeunes enfants, par exemple en se coordonnant avec les pédiatres et d’autres professionnels de santé qui sont des sources d’information fiables pour les parents ».

    Avant même de pouvoir arguer d’une pathologie pédiatrique liée à un nouveau variant du SARS-COV2, les académies de médecine et de science de même qu’Alain FISCHER ont déclaré qu’il fallait «vacciner les enfants de 5 à 11 ans sans hésiter ». 

    Le vaccin cause-t-il des hépatites infantiles aiguës ?

    Le 15 avril dernier, l’OMS a déclaré une alerte mondiale concernant les enfants attaqués par un mystérieux virus qui cause l’hépatite infantile aigüe (HIA). Elle déclarait par la même occasion que la priorité était de déterminer l’étiologie de ces cas afin d’orienter les actions cliniques et de santé publique à venir.

    Selon deux sources totalement indépendantes les unes des autres (Jean-Marc SABATIER et le « Journal of Hepatology »), la protéine spike est susceptible d’engendrer de graves lésions au foie («Our case demonstrates conclusive evidence of vaccine-induced immune-mediated hepatitis with a rapid onset of liver injury after the first Moderna dose, which on re-exposure led to acute severe autoimmune hepatitis”).

    Jean-Marc Sabatier, Directeur de Recherches au CNRS, a quant à lui expliqué que la protéine Spike du coronavirus peut, elle aussi, engendrer ces mêmes dommages… ce qui en pratique rendra impossible -ou presque- l’identification de l’origine de l’infection.

    “Selon Jean-Marc Sabatier, ces hépatites aiguës correspondent à une maladie de la Covid-19 et sont induites par un variant ou sous-variant émergent du SARS-CoV-2 (Omicron, XD, XE ou autres). Ceci suggère qu’il existe un risque qu’avec les nouveaux vaccins basés sur la protéine Spike d’Omicron, le même phénomène inflammatoire du foie puisse survenir chez les jeunes enfants vaccinés avec les nouveaux vaccins.” 

    On se sera pas étonné de constater que c’est évidemment la protéine spike “naturelle” qui est maintenant incriminée pour les quelques cas d’hépatites infantiles. Cette probabilité a aussi été évoquée par JM Sabatier, mais aussi par des études publiées par le Lancet (« acute hepatitis has been reported in children with multisystem inflammatory syndrome, but co-infection of other viruses was not investigated.  We hypothesise that the recently reported cases of severe acute hepatitis in children could be a consequence of adenovirus infection with intestinal trophism in children previously infected by SARS-CoV-2 and carrying viral reservoirs “).

    Quoi d’étonnant que de constater que, depuis plusieurs semaines, le narratif selon lequel la vaccination des enfants les protégeraient contre l’HIA se construit et se répand dans la presse subventionnée ? On ne cherche pas du côté du vaccin vu que les enfants ne sont pas sensés être vaccinés. C’est sans compter les 22.490 enfants vaccinés, certains selon un schéma complet,  depuis 2021…

    En mars 2021, la Société française de Pédiatrie affirmait que le COVID n’était pas une maladie pédiatrique, tout en autorisant l’injection d’un vaccin ARNm sur des enfants de 0 à 11 ans…

    A supposer même que chez certains sujets présentant une prédisposition particulière, l’infection au Covid pourrait causer des cas d’HIA, on ne pourra que s’interroger sur le rapport bénéfice-risque de l’injection de ce sérum qui demeure expérimental à l’ensemble de la population infantile, alors qu’il est reconnu que le COVID n’affecte en principe les enfants que de manière mineure. Le fait que le COVID perd en virulence au fil de ses mutations ne fait que renforcer ces questionnements légitimes sur les réelles motivations sous-tendant cette propagande très inquiétante pour la vaccination de nos enfants.

    Reste que, pour tous les cas d’effets secondaires contractés par des enfants vaccinés illégalement, la responsabilité de l’Etat est désormais lourdement engagée. 

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  • Le fiasco du Stade de France n’a rien à voir avec les supporters anglais mais beaucoup avec des jeunes de cités (…) Les stadiers de samedi soir étaient amis avec les agresseurs .

    ENTRETIEN – Contrairement à ce qu’affirment les autorités, les débordements en marge de la finale de la Ligue des Champions n’ont pas été causés par des supporters anglais, explique le journaliste sportif Daniel Riolo. Selon lui, ces événements révèlent un problème global de sécurité en France.

    Daniel Riolo est journaliste et éditorialiste sur RMC et BFMTV. Il a publié Racaille Football Club (2013), Autopsie du sport français (2018), L’énigme Tuchel (2018) avec Polo Breitner, et Cher football français (2020).

    LE FIGARO. – Gérald Darmanin a pointé du doigt ce samedi 28 mai dans la soirée l’attitude de «milliers de «supporters» britanniques sans billet ou avec des faux billets qui ont forcé les entrées» du Stade de France, leur faisant porter la responsabilité du chaos, le soir de la finale de la Ligue des Champions. Que vous inspirent ces propos ? Les supporters britanniques sont-ils responsables des événements ?

    Daniel RIOLO. – Il n’aura pas fallu très longtemps pour se rendre compte que tout ce qu’a dit le ministre après le match était complètement faux. Le problème, c’est que c’est en train de continuer: ce matin sur RTL, la ministre des Sports parlait de «fait générateur» avec des faux billets, à 30.000 40.000 exemplaires selon elle, ce qui est à nouveau archi faux. J’aimerais bien savoir quelle machine a fabriqué autant de faux billets… Je ne peux pas croire à ça ; tant qu’on ne me l’aura pas prouvé plutôt que dit, je n’y croirai pas. Donc entre le point A Darmanin et le point B Oudéa-Castéra, on prend la mesure pour l’instant du fiasco total au niveau organisationnel et, surtout, dans l’analyse de ce qui s’est passé. Entre les deux, il y a les témoignages: ceux qui y étaient, ceux qui racontent, des images, et on voit très bien que l’organisation était défaillante sur plusieurs aspects, notamment du fait de stadiers mal formés, incompétents, recrutés une semaine avant la rencontre via Facebook ; ce n’était même pas le niveau ligue 2 des stadiers ! C’étaient des jeunes des cités, qui étaient amis avec les agresseurs. C’était n’importe quoi. L’histoire des faux billets, je n’y crois pas: le tourniquet a bloqué après le premier faux billet qui est passé et ils ne se sont jamais remis en marche, d’où l’embouteillage monstrueux qu’il y a eu. Il y a dû avoir quelques centaines à peine de billets qui ont été fabriqués par les jeunes de cité qui les ont revendus à des Anglais.

    Ce qui s’est vraiment passé, c’est une histoire semblable à une attaque de diligence par des Indiens: environ 300 ou 400 «riverains» comme les a gentiment appelés Le Parisien ce matin, alors qu’il s’agissait essentiellement de bandes de cités. Ça a donné au moins 1000 voleurs, détrousseurs, bandits, qui ont agressé des familles, qui ont jeté des gens au sol, qui leur ont tout pris, laissant les gens dehors, ne pouvant assister au match. Il y a aussi beaucoup de gens qui avaient des vrais billets et qui n’ont pas pu rentrer du tout. On nous a dit qu’ils n’étaient pas arrivés à temps, etc. Mais tout cela est faux.

    Les supporters anglais étaient là deux ou trois heures avant, ils se sont comportés de manière remarquable ; il n’y a pas eu d’incident entre les supporters. Les Espagnols ont été moins agressés parce qu’ils étaient de l’autre côté mais ils n’ont pas été mieux traités, petit à petit les témoignages vont venir. Les gens qui ont l’habitude de fréquenter les stades, notamment les journalistes anglais, disent qu’ils n’ont jamais vu ça depuis 20 ou 30 ans: c’est un fiasco monumental.

    (…) Vous pointez aussi le problème des stadiers. Quel est le problème: ils ne sont pas assez formés, pas assez nombreux, on n’en trouve pas ?

    On sait qu’il y a un problème avec les stadiers en France parce que plus personne ne veut faire ce métier. Donc on met des gens à peine formés, payés au lance-pierre, et ils sont complètement débordés. Les stadiers de samedi soir ont été recrutés à la va-vite, il y a une semaine, parce que la France a récupéré cette finale au débotté, au dernier moment, après qu’on l’ait retirée à Saint-Pétersbourg. Donc on a recruté sur Facebook, et il n’y a qu’à voir les images: les stadiers n’essaient même pas d’arrêter tout ce qui rentre, il n’y a aucun contrôle, ils font passer leurs copains… C’est grotesque.

    Presse: Le Figaro.


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  • Peut être un dessin animé


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