• Un film de la honte anti Français

    Des hommes : un film pourri, pro-FLN et antifrançais

    L'auteur

    Encore un film pro-Algérien financé par la France qui s’autoflagelle sur l’éternelle guerre d’Algérie que les communistes français et les Algériens ressassent depuis 66 ans avec la même hargne et la même rancœur. Toujours en quête de l’occultation par la France des terreurs infligées aux Français et aux musulmans pro-français par les terroristes du FLN.

    Le réalisateur dit s’être appuyé sur « les recherches de Benjamin Stora » pour mettre en œuvre son film. Mais nous savons tous que Benjamin Stora est un trotskiste, antifrançais, pro FLN qui n’a jamais reconnu et ne veut pas reconnaître les hommes du FLN et de l’ALN comme des terroristes mais comme des résistants et des militants. Par contre, nous savons tous la haine que Benjamin Stora voue à l’armée française et aux harkis, vrais patriotes français, qui nous ont défendus contre ces barbares sanguinaires.

    Pour avoir eu besoin des recherches sur la guerre d’Algérie « vue par Stora », c’est que le livre dont s’est inspiré ce réalisateur franco-belge pour son film a été écrit sur la guerre d’Algérie par un auteur français, Laurent Mauvignier, né à Tours, en 1967. Cet homme âgé de 53 ans est donc né en France métropolitaine et bien après l’indépendance de l’Algérie.

    Que connaît-il de l’Algérie puisqu’il n’y a pas vécu ?

    Rien, comme Benjamin Stora. Mais… son père, ou son grand-oncle auraient-ils été appelés et auraient-ils gardé un mauvais souvenir de cette guerre que nous ont déclarée les terroristes algériens du FLN ? Certainement.
    Sinon, dites-nous pour quelles raisons il aurait éprouvé le besoin de faire renaître ce ressentiment contre la France en général, le conscrit appelé en Algérie et, en particulier le Français d’Algérie, supposé raciste, anti-arabe, dans ses écrits et dans le film à partir desquels il a été réalisé ?

    Que dit la 4e de couverture du livre « Des hommes » ?

    « Ils ont été appelés en Algérie au moment des « événements », en 1960. Deux ans plus tard, Bernard, Rabut, Février et d’autres sont rentrés en France. Ils se sont tus, ils ont vécu leurs vies. »

    C’est incroyable comme cette 4e de couverture me rappelle tous ces jeunes conscrits que nous avons connus en Algérie, que nous avons aimés et même aidés, souvent, qui criaient à s’égosiller : « la quille, Bon Dieu ! ». Ces mêmes qui, aujourd’hui encore, 66 ans plus tard, sont inscrits avec leurs enfants, leurs femmes et leurs petits-enfants à la Fnaca, organe du Parti communiste français offrant la carte du Combattant à n’importe qui. Ceux-là mêmes qui sont allés, à Alger, offrir aux terroristes du FLN devenus ALN, leur misérable retraite allouée aux combattants que leur offrait la Fnaca.

    La sortie du film est prévue pour le 11 novembre 2020. Ils auraient pu le faire sortir le 1er novembre en mémoire de la Toussaint Rouge.
    D’ailleurs, dans l’article du quotidien algérien « L’expression dz.com » concernant le film, la journaliste n’hésite pas à écrire en conclusion :
    « Dans ce film […] le FLN fait revisiter l’histoire à travers les restes d’une guerre qui n’a pas voulu dire son nom. »

    Le synopsis du film ne dit rien de plus que la 4e de couverture du livre. Mais… avec un avertissement : « des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs ».

    Avec un tel avertissement, on peut s’attendre à tout. Peut-être n’avons-nous pas encore tout entendu dans les mensonges façonnés par les Stora et C°.

    Et, comme tout film algérien antifrançais ET financé par la France, comme on a eu les « Indigènes » et les « Hors-la-loi » de Rachid Bouchareb, avec leurs inexactitudes pour ne pas dire leurs mensonges, ce film fera également partie de la Sélection Officielle Cannes 2020, pourquoi faire moins, n’est-ce pas ?

    L’autoflagellation de la France continue. On n’en verra jamais la fin tant que les Algériens dépendront de la France, ce qui est encore et malheureusement le cas aujourd’hui.

    Dans ce film où l’horrible Depardieu déclare : « Si j’avais été d’ici, j’aurais été fellaga », le réalisateur ose encore affirmer que son film « n’évoque pas la torture mais explore les cendres du Front National qui est, en grande partie, construit sur les cendres de cette guerre-là. »

    Un film pro-algérien, un film pro-FLN, un film antifrançais, un film contre l’armée de France.

    Que celui qui se dit encore « patriote » s’abstienne de donner le moindre centime à cette tartuferie.

    Danièle Lopez


  • Commentaires

    1
    Samedi 5 Juin 2021 à 20:43

    Je laisse à ce pays France et ses habitants de choisir leur destin et je leur souhaite bon vent.

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