Contre Zemmour et Onfray, les truies ultragauchistes étaient effectivement de sortie !

Ainsi, à Ajaccio (Corse) pour Éric Zemmour et Perpignan (Pyrénées-Orientales) pour Michel Onfray, l’engeance ultragauchiste s’est encore une nouvelle fois excitée contre la bébête d’extrême droite qui monte, particulièrement les femelles du troupeau qui sont à la femme ce que le râpeux Médine est à la chanson française !

Car, suivant une logique imparable de liberté d’expression libre si et seulement si ladite expression suit à la lettre la doxa ultragauchiste, ces truies transpirantes avaient décidé de s’en prendre à Zemmour et Onfray, qui énoncent trop de vérités dérangeantes.  Car, en dignes héritiers fanatiques des SA de Röhm ou des Gardes rouges de Mao, ces immondices rêvent d’un grand soir exterminateur.

Zemmour s’est donc pris des œufs dans la face de la part des ultragauchistes dont les femelles semblaient être en première ligne. Hélas, excédé à juste titre – qui ne le serait pas quand on sait que, par ailleurs, il est menacé de mort et sous protection policière 24 heures sur 24 –, Zemmour a rejoué le coup du Menhir en s’en prenant à l’une des harpies qui l’agressaient. Comme jadis JMLP qui, accueilli lui aussi par des gauchistes enragés à Mantes-la-Jolie (Yvelines), avait montré sa colère à une candidate socialope sans pour autant la molester, contrairement à ce qui s’était dit à l’époque où, déjà, les médias déglutissaient leurs mensonges en toute impunité. La curée gauchiste contre Zemmour a d’ailleurs commencé : « Frapper une femme ? @ZemmourEric peut tout faire. La presse le protège, depuis des années. Étonnant, non ? », a ainsi twitté le venimeux ennemi intérieur de la France, Jean-Michel Aphatie.

Donc, on va retenir « l’agression » de Zemmour contre une pauvre fille qui, si elle en avait le pouvoir avec ses petits camarades de dégénérescence politique, n’hésiterait pas à jeter des nourrissons d’extrême droite dans des fours comme jadis ses modèles républicains en Vendée !

Côté Onfray, ce dernier a eu plus de sang-froid, se contentant de désigner une « meute » venue interrompre sa conférence en vomissant, par la voix d’autres sordides femelles égarées dans un mauvais genre sans doute, des slogans tels que : « Les fachos au cachot ! ». En attendant qu’elles se décomplexent un peu plus pour faire plaisir à leurs copains djihadistes du Hamas en hurlant : « Les Juifs et les mécréants, à mort ! ».

Onfray participait ainsi au Printemps de la Liberté d’expression, que les ultragauchistes ne supportaient pas de se voir tenir, considérant, avec leur haine identique à celle d’un Saint-Just : « Pas de liberté pour les ennemis de la liberté. » Ce Printemps avait d’ailleurs été sali comme il faut par la torche-cul Libération titrant : « À Perpignan, un salon du livre rien que pour l’extrême droite »… Au fait Libération, à quand un titre du genre : « Les djihadistes occupent Sciences Po » ?!

Telle est la France qui se fait violer un peu plus chaque jour par ses ennemis et leurs serviles collabos autochtones, mais qui ne bouge pas…

Charles Demassieux