• Pour le bien être de la France d'avoir ses chances pour elle ...

    Par: Pieds Noirs 9A ..

     

     

     


    C'est l'exacte réalité , ces millions de "chances pour la France "
    pourrissent notre pays et notre civilisation, avec la complicité, la
    lâcheté, la traîtrise de nos politiciens pourtant censés protéger le
    peuple français, + Medef, médias, commission de Bruxelles, tous valets,
    pions de l'oligarchie judéo/maçonne, principalement financière, réalité
    incontournable... Des majorités de "bons français" ont voté depuis une une bonne cinquantaines d'années, pour des majorités de gouvernements de la fausse droite ou de la vieille gauche, (mêmes politiques), par millions, pour arriver à la situation actuelle, ces idiots, pour la plupart,n'en ont même pas conscience
    malgré les attentats qui se multiplient, notamment en Europe...

    PN 9A..//

     

    Oui alors !

    Pardon petit fellagha ... !l

    Pardon petit fellagha...(écrit en 1958 par Pierre Jean VAILLARD)
    Il y avait, à l'époque, des gens qui avaient de l'esprit
    En 1958 déjà la repentance .......pour les crimes contre l'humanité
    Quel talent !
    Et, petit Fellagha, c’est à toi que je pense
    En voyant ta rancune à l’égard de la France.
    J’ai beaucoup réfléchi et ma méditation
    Me décide à venir te demander pardon….
    Oui, pardon, Fellagha, pardon pour mon grand père
    Qui vint tracer des routes et labourer la terre.
    Il est venu chez toi, il a tout chamboulé.
    Où poussaient des cailloux, il a planté du blé.
    En mettant après ça, Ô comble de l’’ignoble,
    Où poussaient des cailloux, il a fait un vignoble.
    Pardon, cher petit Fellagha,
    Oh, pardon de tous ces dégâts.
    Et mon affreux grand-père (il faut qu’’on le confesse)
    N’était bien sur, pas seul à être de son espèce.
    Ces autres scélérats ont bâti des cités,
    Ils ont installé l’eau et l’électricité.
    Et tu n’en voulais pas, c’est la claire évidence
    Puisque on sait que avant que n’’arrive la France
    Tu n’’avais en dehors de la Casbah d’Alger
    Que la tente ou bien le gourbi pour te loger.
    Et pour ton éclairage, tu n’’avais que de l’’huile.
    Alors nos maisons, bien sûr, c’était la tuile.
    De l’électricité, là encore soyons francs,
    Tu ne demandais pas qu’’on te mette au courant …
    Tu t’’es habitué à ces choses infâmes,
    Mais c’’est à regret et la mort dans l’âme …
    Stoïquement d’’ailleurs, tu supportes ces malheurs,
    Avec force courage et tant de belle humeur.
    Donc tu a engraissé, mais de mauvaise graisse.
    Car tu prenais le car (une invention traitresse)
    C’est ce même car que, pris d’un délire divin,
    Tu devais, un beau jour, pousser dans le ravin.
    Je comprends ta rancœur, je comprends ta colère,
    Tu n’es pas au niveau des arabes du Caire.
    Tu glandes et tu vis mieux qu’un fellah égyptien.
    A quoi Nasser … Nasser à rien.
    Nous avons massacré tes lions et panthères.
    Nous avons asséché tes marais millénaires.
    Les moustiques sont morts … Les poux … De Profundis.
    Nous avons tout tué, jusqu’’à la syphilis.
    Ah pardon Fellagha pour tous ces carnages.
    Nous avons fait tout ça, c’est bougrement dommage.
    Bien pardon Fellagha, de t’avoir mieux nourri,
    De t’’avoir vacciné pour le béri-béri
    Et d’avoir à tes pieds nus mis (oh maladresse)
    Des souliers ….
    Pour nous botter les fesses.

     


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