• Quand le mensonge gagne du terrain en France !

    Quand le mensonge gagne du terrain en France !

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                                                        La Guérilla du 8 mai 1945 

    Quand le mensonge gagne du terrain en France par toute cette gauche haineuse est seulement qu'a vomir !

    Quand la France , et sa grandeur participe au mensonge au lieu de justifier la réalité des choses ...

    Voici l'enquête d'un historien fiable sur la guérilla du 8 mai 1945 en Algérie .

    La bataille des chiffres.

    Comme l'écrit Stéphane Courtois, auteur du Livre noir du communisme, le comptage des victimes est un des éléments importants de l appréciation historique. On admet le chiffre de 102 Européens dont 14 militaires tués par les émeutiers, mais les évaluations divergent sur les victimes de la répression.

    Or les médias les plus modérés ont retenu le chiffre de 15 à 20.000 victimes de la répression de ce soulèvement. L'ancien premier ministre Abdesselam ayant estimé que le chiffre de 45.000, officiellement déclaré par le PPA en 1951, était un argument de propagande, on se réfère à un papier non signé et non daté trouvé dans les archives d'outre-mer à Aix-en-Provence (l'auteur de cette découverte vient d'ailleurs de doubler son estimation dans le Monde du 8-9 mai, ce qui prouve bien qu'il n'est pas sûr de lui). D'autres historiens inventent un rapport de 100 Arabes tués pour une victime européenne, moderne adaptation de la loi du talion selon les critères de la shoah.

    Le commandement militaire fit une estimation précise de 2.628 tués : 1.500 par les forces civiles, 755 par les unités terrestres, 173 par la Gendarmerie, 200 par l'Aviation et 4 par la Marine. Le dégagement des villages au nord de Sétif a fait 250 victimes, et 150 autour de Guelma. La Marine est intervenue pour interdire la coupure de la route Bougie - Cap Aokas, elle a dispersé quelques rassemblements par des tirs d'intimidation. L'armée de l'air a effectué des vols d'intimidation dans la Kabylie des Babors, et est intervenue par le feu contre les groupes armés de Guelma et contre les villages environnants : Héliopolis, Millesimo, Petit, Nador, Kellermann, Nador et Gounod.

    Les estimations connurent alors une inflation hyperbolique. Un tract de l'Humanité du 20 mai, fondé sur de prétendues déclarations d'officiers, indique un chiffre de 6 à 8.000 tués. Le chiffre de 5 à 6.000 est repris par Ageron; mais le major Rice de l'OSS l'estime exagéré. L'évaluation du PCA (15 à 20.000) et des trotskistes (35.000), précède celle de la Fondation de Bachir Boumaza, devenue la vérité officielle de l'Algérie (45.000). Les oulamas et le journal El Moudjahid sont allés jusqu'à 80.000. C'est davantage que le nombre des manifestants, qui ne dépasse pas 50.000. Pour eux, le génocide est évident !

    Les estimations partielles des enquêteurs sont plus modérées. Pour Sétif, le général Tubert indique 20 à 40 morts, ce qui est loin du massacre décrit par Kateb Yacine en 1984. Les archives du PPA inventoriées par Kaddache et Ainad Tabet indiquent 447 fusillés à Guelma, chiffre réduit par Bergé à 3 ou 400. Rappelé par le gouvernement, Tubert n'a pas dépassé Constantine, mais il indique que les musulmans de Guelma prétendent avoir eu 7 à 800 tués, chiffre repris par Ferhat Abbas. Pour Chevreul, Kaddache indique 127 tués et Mekhaled 375 ; pour Kherrata, on recueille des témoignages de 10 à 45 fusillés, et de 30 pour Amoucha.

    L'addition de ces chiffres partiels aboutit à un total de 2.000 à 3.000 tués. 3.000 tués sur 50.000 manifestants disposant de 700 fusils de guerre et 12.000 fusils de chasse, c'est beaucoup, c'est trop, mais ce n'est pas un génocide ; ce fut sans doute une réaction de panique face à la violence des émeutiers qui assaillaient les fermes et les villages avec le dessein de tuer les roumis. C'est encore la peur qui provoqua le communiqué du parti communiste, exigeant de passer par les armes les instigateurs de la révolte, dénoncés comme des provocateurs hitlériens. On sait en effet que les cégétistes participaient activement aux milices dites de colons. Le parti communiste semble oublier aujourd'hui qu'en 1945 il avait condamné le soulèvement nationaliste, qu'il attribuait à des provocateurs hitlériens liés à de gros colons fascistes.

    Général Maurice Faivre
    Historien .

    Photo utiliser par les gauchistes et les algériens , comme quoi c'est le massacre de Sétif .
    La vérité que cette photo c'est un camp américains en Allemagne...

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