• Suède, le 2è pays au monde qui compte le plus de viols, après le Congo .

    Suède, le 2è pays au monde qui compte le plus de viols, après le Congo .

    Vous ne le saviez peut-être pas, mais la Suède est le deuxième pays au monde où il y a le plus de viols, après le Congo…

    Le Conseil Suédois pour la Prévention du Crime (Brottsförebyggande rådet, ou BRÅ) a déterminé que seulement 5 à 10% des viols étaient reportés à la police, par peur de représailles. La Suède enregistre 60 000 viols par an, soit environ 5000 viols par mois, soit 164 viols par jour. C’est 20 fois plus que dans les autres pays européens. Le nombre de viols a augmenté de 12% entre 2009 et 2010.

    Le Human Right Service révèle que les viols en réunion ont augmenté de 377% entre 1995 et 2006. Les viols commis en extérieur ont augmenté de 300% entre 1975 et 2007.

    Selon un sondage du quotidien Aftonbladet, 82% des femmes ont peur de sortir le soir. La situation est telle qu’un groupe d’adolescentes suédoises a créé une sorte de ceinture de chasteté, que seul le porteur a le moyen d’enlever, et à l’aide de ses deux mains.

    Mais pourquoi cela ? Les hommes suédois, pourtant réputés pour leur calme et leur nonchalance, seraient-ils de terribles tortionnaires ? 

    Pourquoi autant de viols en Suède ?

    Voilà les explications données par les autorités du pays pour expliquer cette inquiétant épidémie de viol. Il est intéressant de constater que ca ne sont pas les hommes qui sont mis en cause, mais plutôt les femmes…

    - Une hystérie collective
    Les Suédoises seraient plus hystériques  que dans le passé et porteraient plainte plus souvent que les femmes d’autres nationalités. Apparemment, ce phénomème serait amplifié depuis quelques années.

    - Le réchauffement climatique
    La chaleur entraînerait les Suédoises à se dévêtir d’avantage. Un article dans Aftonbladet en 2007, le quotidien national suédois le plus lu, parle même de « l’été, la saison du viol ».

    - L’alcool
    Les Suédoises – les jeunes, surtout – auraient une forte prédispositon à l’alcoolisme, ce qui en ferait des victimes idéales.

    - La multiplication des sites de rencontre et réseaux en ligne
    Les Suédoises seraient des adeptes des rencontres en ligne et n’hésiteraient pas à donner rendez-vous à n’importe qui.

     

    La vérité

    En réalité, la Suède est victime d’une immigration massive et d’une islamisation extrêmement importante, à tel point que certaines villes telles que Malmö comptent 25% de musulmans au sein de la population.
    Selon les sources, 75% à 85% des crimes en Suède sont perpétrés par des immigrés musulmans. Les violeurs sont en majorité des Algériens, des Lybiens, des Tunisiens et des Marocains. Selon eux, le fait qu’une femme ne soit pas voilée est un appel au viol. L’un d’entre eux avoue : « c’est mieux de violer une Suédoise plutôt qu’une Arabe. La Suédoise aura de l’aide après, et de toute facon elle a déjà baisé. Alors que la fille arabe elle aura des problèmes avec sa famille, cela sera source de honte. Il est important qu’elle reste vierge jusqu’au mariage ».

    Pourtant, certaines organisations continuent de nier le fait que la majorités des viols en Suède soit commis par des musulmans. Ainsi, Amnesty International occulte complètement le problème : selon Yakin Ertürk, des Nations Unies, « la majorité des viols sont perpétrés par des hommes suédois ordinaires ». Il conclut en disant que le problème vient du fait que « la société suédoise est une société aux normes patriarcales profondéments ancrées, ce qui influe grandement sur les nature et la qualité  des relations sexuelles »…

     

    La loi du silence

    Bien sûr, personne en Suède ne s’avance à faire des statistiques ethniques, et encore moins à répertorier les cas de criminalités liés à l’immigration… La Suède est en effet devenu le premier pays musulman en Europe !

    La photo en tête de l’article représente Linda, une Suédoise de 18 ans, violée par 4 hommes « non suédois », âgés de 16 à 18 ans. Elle a été torturée, et violemment frappée avec une matraque. Voilà la photo des coupables :

    Sachant qu’en Suède, il est interdit de signaler la couleur de peau ou l’ethnicité des agresseurs, ceux-ci ont été identifiés comme « deux Suédois, un Finlandais et un Somalien », alors qu’ils sont tous les quatre des immmigrés originaires de Somalie.

    Voilà les signalements de ces deux criminels « suédois » tels qu’ils apparaissent publiquement dans la presse du pays :


    Impossible de reconnaître leur ethnicité !

    Les autorités suédoises veulent à tout prix cacher l’identité des agresseurs. Et au nom du multiculturalisme et du « vivre-ensemble », il est interdit de parler négativement de l’immigration et de l’islam.
    Le 25 mai 2005, le Suédois Björn Bjorkqvist a été condamné à 2 mois de prison avec travaux forcés pour avoir écrit « Je ne pense pas être le seul à être dégoûté quand je lis que les Suédoises se font violer par des gangs d’immigrés ».

    … En Norvège par contre, on ose appeler un chat un chat… :


    Les Norvégiens n’ont pas honte de dire que les actes de barbarie et de violence extrême sont perpétrés par des criminels qui ne sont pas norvégiens.

    Victimes ignorées,
    violeurs non condamnés

    Nous avons vu que selon le Conseil Suédois pour la Prévention du Crime (Brottsförebyggande rådet, ou BRÅ) a déterminé que seulement 5 à 10% des viols étaient reportés à la police.
    C’est en partie du au fait que les victimes sont de moins en moins bien traitées par la justice suédoise. Ainsi, depuis quelques mois, la justice a décrété que le témoignage seul ne suffisait pas à faire arrêter un suspect de viol

    Ainsi, le nombre de viols reportés et officiellement reconnus et traités en justice est extrêmement bas (on imagine les statistiques si tous les cas de viols étaient reconnus !). En 2007 par exemple, seulement 416 cas de viols ont été étudiés par la justice, contre 4 800 officiellement reportés… Selon Eva Diesen, chercheuse à l’Univesrité de Stockholm, seulement 1 cas sur 10 est traité  lors d’un procès… Quelle proportion est condamnée ? On sait que les avocats trouvent toujours des circonstances atténuantes aux agresseurs : chômage, pauvreté, difficultés d’intégration, racisme… Difficile d’y croire quand on sait que la Suède est le pays au monde qui accueille le mieux les immigrés
    D’après les études de la Child and Woman Abuse Studies Unit (London Metropolitan University)le taux de condamnation en Suède était d’environ 8% entre 1993 et 1997, contre 17% en Finlande, 15% en Norvège et en Allemagne, et 22 en République Tchèque.

    Sarah, cette jeune Suédoise de 15 ans, a été violée en 2009 par un immigré musulman âgé de 42 ans. Malheureusement, elle n’a pas supporté les traumatismes causés par la torture physique et psychologique que lui a infligés son agresseur. Elle a mis fin à ses jours… et comme elle n’était pas présente au procès pour témoigner contre son agresseur, celui-ci a été libéré !

    Malheureusement, plutôt que de miser sur la répression et une meilleure prise en charge des cas de viols, la Suède préfère miser sur la « prévention ». Nyamko Sabuni, le ministre suédois de L’Egalité et de l’Intégration, a annoncé en 2008 la mise en place d’un plan de près de 6 millions de dollars afin d’améliorer les conditions de sécurité en ville, via un meilleur éclairage… Selon lui, « la peur des espaces publics limite la liberté de mouvement et la qualité de vie »

    Un « kit viol » pour les Suédoises

    Afin d’aider les victimes à réussir dans leurs démarches lors des dépôts de plainte, le National Center for Knowledge on Men’s Violence Against Women, une organisation fondée en 1194 à l’Université d’Uppsala, a créé fin novembre 2008 « The Rape Kit Box », le « kit viol », avec l’aide du Laboratoire Criminel de l’Etat.
    Ces kits ont été distribués dans 5 grandes villes du pays.
    Dans chaque boîte, on trouve des écouvillons afin d’effectuer des prélévements ADN, des bandes adhésives permettant de collecter des fibres, poils ou cheveux, ainsi que des enveloppes en papier pour préserver la salive, le sang ou le sperme (contrairement au plastique, le papier éviterait aux substances de se déteriorer trop rapidement en attendant le procès).

    Les établissements médicaux qui proposent les kits viol, et à qui les victimes doivent les retourner, sont sensés garder les échantillons pendant une durée de 2 ans, afin qu’ils puissent être utilisé lors d’éventuels procès. Malheureusement, Lotti Hellstrom, qui dirige la cellule de crise spéciale viol du plus grand hôpital de Stockholm regrette que seulement 63% des kits soient utilisés par la police dans le cadre des enquêtes pour viol.

    Sources : Stoppavåldtäkterna.nuFjordmanNyhettenpressenSnaphanenBalder Blog


  • Commentaires

    1
    Lundi 15 Avril à 08:18

    Là  aussi,    on  n'  en   parle   pas    chez    nous    et   pourtant !!

    La  Chance    comme   disent   les   politiques

    Bonne    journée

     Amitié

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :