• Ce que la presse ne parle pas !

    Voilà une information qui ne va pas plaire à tout le monde.

    ASSAD A GAGNÉ SON PARI : 600.000 RÉFUGIÉS SYRIENS SONT RENTRÉS CHEZ EUX  EN CE JOUR !

    Floris de Bonneville
    Journaliste

    Ancien directeur des rédactions de l’Agence Gamma

    Voilà une information qui ne va pas plaire à tout le monde. Je veux dire, par là, à ceux qui encouragent l’immigration, vers nos terres d’Europe, de ceux qui ont fui ou qui fuient les combats. Car il semblerait que la guerre, en Syrie, comme en Irak d’ailleurs, change de vainqueur. Les orgueilleux combattants du califat islamique comme ceux des milices islamistes anti-Assad perdent chaque jour un peu du terrain si chèrement acquis au détriment des populations chrétiennes, chiites et yézidies. Un exemple : les hauteurs stratégiques autour de la ville d’Aqerbat, dans la province de Hama, ont été reprises à Daech cette semaine, après de durs combats.

    L’OIM (Organisation internationale des migrations) vient d’indiquer que plus de 600.000 réfugiés syriens sont rentrés chez eux pendant les sept premiers mois de cette année. Le chiffre de l’ONU cité par Valeurs actuelles est de 602.759, dont 84 % étaient des Syriens qui ont trouvé refuge en Syrie même. Les 16 % restants ayant trouvé refuge en Turquie, au Liban, en Jordanie et même en Irak. Il en reste plus de cinq millions en dehors des frontières et, toujours selon les mêmes sources, six millions qui ont choisi de rester en Syrie mais à l’abri de leurs villes ou villages détruits ou occupés encore par Daech ou les rebelles djihadistes.

    Il est intéressant de noter que 97 % des 602.759 réfugiés ont regagné leur propre maison, même si celle-ci est en ruine. La journaliste britannique Vanessa Belley – qui revient d’Alep – écrit dans son dernier reportage avoir été étonnée de constater l’activité de reconstruction des Aleppins. De rue en rue, dans Alep-Est, d’immeuble en immeuble, tous les citadins mettent la main à la pâte. Avec patience et détermination, ils bouchent, réparent, remontent les murs de leur habitat.

    Elle y a rencontré de nombreux réfugiés ayant fui Raqqa, Homs, Ghouta-Est, Daraa, qui n’ont qu’une hâte : retrouver leur maison et leur vie d’avant. Une femme, Hadia, lui a dit : « Nous étions libres avant la guerre. Ces soi-disant combattants de la liberté n’ont rien apporté d’autre que la souffrance, la solitude, la pauvreté et la mort. » Vanessa raconte que ces femmes n’ont pas accepté d’être photographiées car leurs maris sont dans l’armée régulière, combattent les islamistes et craignent d’être reconnus.

    Alep, qui a pourtant énormément souffert des bombardements de la « rébellion » comme de ceux, syriens et russes, grâce auxquels elle a été libérée fin décembre, voit arriver des milliers de familles qui n’ont pu regagner leur village. D’autres réfugiés ont trouvé, dans les ruines de Homs libérée, un espoir de retrouver une vie normale avant de pouvoir regagner leur foyer dès que l’armée syrienne et ses alliés auront nettoyé leurs villages.

    Plusieurs millions de Syriens attendent le feu vert pour retrouver la paix et la sérénité dans une Syrie débarrassée des fanatiques musulmans et de leurs alliés djihadistes.

    Le sénateur de Savoie Jean-Pierre Vial nous demande d’être très prudents sur la manipulation politique des chiffres de ces rapatriés syriens, qu’il dit être surestimés par ceux qui les comptabilisent, à savoir les « rebelles » et le gouvernement syrien, puisque l’ONU n’a pas les moyens de le faire sur place. Mais prudent ou optimiste, le résultat est là : la guerre en Syrie s’essouffle, et ceux qui l’ont fuie espèrent tout naturellement y revenir.

    La victoire de Bachar el-Assad n’est pas très loin. Mais combien de vies coûtera-t-elle encore ?


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  • Le petit bonhomme

    Un billet de janvier 2016

    François Hollande est arrivé en jouant l’enfant gâté et capricieux à la tête de l’État Français. Un vrai gosse de riche, n’ayant jamais travaillé et qui, profitant de l’aubaine des circonstances, se revendique d’une autorité et d’une compétence qu’il n’a jamais eues.

    Le petit bonhomme .

    Tous l’avaient dit. Il n’a ni charisme ni autorité, encore moins la carrure présidentielle.Dont nous avons constater depuis Mai 2012 ... Le plus impopulaire de la V°, oui, mais il peut se consoler en se disant qu'il est moins impopulaire que Pierre Laval en 1944, à qui tout le monde dans le rue voulait lui balancer ses poubelles sur la tête. Et le gouvernement de Siegmaringen n'avait presque aucun soutien populaire ..

    La fonction n’a pas défait l’homme qu’il était. La Fonction n’a pas non plus changé l’esprit du petit homme dogmatique qu’il est. La fonction, dans son cas, n’a pas fait l’homme.

    Loin de l’esprit de la tradition française, le petit homme, bafoue l’esprit des institutions. Il bafoue les principes primordiaux et fondamentaux dont le premier d’entre eux, la souveraineté du peuple.

    Il a été élu à la majorité. Certes. Mais avec 33 % des inscrits. Peu importe me direz-vous puisqu’une fois élu, il devrait être le Président de tous les Français. Et non!!!, notre petit homme n’est que le Président de sa minorité.et par des voix étrangères qui ne seront jamais Français ..Une minorité qui ne fait plus l’unanimité dans la majorité. Cette majorité lui en voudra en cette année 2014 et voir empiré 2015 ..

    Le petit homme s’en va, tel un gosse rêveur, pensant qu’il changera le monde seul avec ses petits poings. La suite est à l’image de son investiture : pluie, nuage, orage et foudre.

    Le petit homme se prend des baffes dès le début. Maintenant on lui botte le train. Il est la risée de tous. Il n’a aucune autorité ni nationale, ni internationale. A vouloir jouer dans la cour des grands, il restera finalement accolé au mur des lamentations. Il sera de ceux dont on ne retiendra rien. Ou si plutôt de l’erreur qu’on ne devra jamais recommencer.

    Le petit homme invective les plus grands de ce monde : l’Angleterre, l’Allemagne, l’Europe, Le Monde.

    Il néglige les principes les plus élémentaires des relations diplomatiques et internationales.

    Pire, il rompt les règles du savoir vivre et du savoir être. Le petit homme, en gosse gâté, se prend pour le sauveur, tel le Robin des bois des pays du sud de l’Europe. Négligeant par là qu’il fait partie de l’élite économique mondiale et oubliant qu’il est avant tout un moteur économique, et non un train à vapeur, qui se doit d’être solidaire des grands de ce monde pour justement aider au développement des plus affaiblis. C’est un devoir.

    Le Petit homme détruit. Il détruit l’histoire pensant qu’on le marquera au fer rouge pour l’éternité.

    Il détruit les racines oubliant que sans elles, l’arbre meurt.

    Il détruit la richesse pensant qu’en prenant aux riches il fera moins de pauvres. Il fera surtout moins de riches et plus de pauvres.

    Il détruit la famille parce que, peut-être, n’en a-t-il jamais eu vraiment lui même.

    Il détruit l’économie par dogme.

    Passé un certain temps, il sera opportun de s’interroger sur les motivations du petit homme. Tel « l’ange noir » décrit dans unarticle publié ici même par le Comte de Paris, il est très loin du concept de la blanche colombe.

    Le petit homme vient de subir l’affront suprême. La désaffection de ses pairs de façon quasi unanime. Le sommet Européen est un échec.

    Le « compromis » tel que le petit homme le présente est une franche reculade et un désaveu Européen de la politique Française. Un désaveu non seulement sur le mode de gouvernance, mais également sur la nature des réformes internes. Comme l’ont avancé les Anglais, nul besoin de se cacher derrière l’attaque au Mali pour faire oublier les échecs.

    A Cameron et Merkel de dire en catimini « vos gaspillages, vos combines, faites ça en France, mais pas chez nous ». Et le petit homme s’en va, sans honte, toujours persuadé d’être dans la bonne mouvance.

    Le petit homme va revenir. "Le mur de la honte s’abat sur notre pays," pas sur lui. C’est la particularité des égocentriques que de croire que les autres sont toujours dans l’erreur sans remise en question, aucune. « Moi Président, je… »

    Le petit homme n’a plus le soutien de son peuple. Le petit homme est seul au monde.

    En revanche soyons certains que les autres pays Européens ou Mondiaux, les plus grands, suivent de prés la pensée du peuple de France.

    C’est sans doute dans cet esprit, et pour contraindre le petit homme, que l’Europe vient de lui donner une leçon d’économie et gestion. On ne brûle pas l’argent dont on ne dispose pas. C’est un principe de gestion en bon père de famille. Mais le petit homme ignore ses notions. Autant celles de «gestion» que de «bon» ou encore de «famille».

    Le petit homme s’en ira sans que l’histoire ne retienne son passage, le sien et celui des sept nains. Le petit homme dépasse la ligne blanche.

    Ses manquements répétés et cumulés font que ses actes, pire sa pensée, sont incompatibles avec la poursuite de son mandat.

    Petit homme, fais attention, le peuple gronde. Quand il aura faim, ce qui ne saurait tarder, c’est ta pomme qu’on viendra manger.

    Un petit homme n’est pas une référence au physique, c’est pire : c’est une référence à l’esprit…

    Hollande devrait s'inspirer de Cicéron

    Qui en 55 avant JC disait ceci :

    " Les finances publiques doivent être saines

    Le budget doit être équilibré

    La dette publique doit être réduite

    L arrogance de l'administration doit être combattue et contrôlée

    Et l'aide au pays étrangers doit être diminuée de peur que Rome ne tombe en faillite.

    La population doit encore apprendre à travailler au lieu de vivre de l'aide publique. "

    On est loin du compte avec Hollande qui ne fait que nous mentir avec des écrits de la réalité inversé par son gouvernement socialiste pour faire bonne figure comme le fût pour la repentance devant Boutéflika en décembre 2012 en Algérie .. Disons le mur de la Honte tous simplement ..Je vous remercies .

    Sylvestre Brunaud ..

    Le petit bonhomme


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  • Mai 1945, les troupes allemandes se rencontrent en Tchécoslovaquie après la capitulation des troupes américaines à l'ouest. C'est la fin de la Seconde Guerre mondiale. Des photographies colorées uniques de chars, demi-chaînes, camions, camions, uniformes, etc.

    www.ALFASHIRT.de


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  • Posté par Pieds Noirs 9A..

    Le 20 août 1955 
    Le massacre d'El-Halia , perpétré par le FLN contre des paysans européens sans défense ...

     

    Dans le village, quand la foule déferlera, excitée par les « you-you » hystériques des femmes et les cris des meneurs appelant à la djihad, la guerre sainte, certains ouvriers musulmans qui ne participaient pas au carnage regarderont d'abord sans mot dire et sans faire un geste. Puis les cris, l'odeur du sang, de la poudre, les plaintes, les appels des insurgés finiront par les pousser au crime à leur tour. Alors, la tuerie se généralise. On fait sauter les portes avec des pains de cheddite volés à la mine. Les rebelles pénètrent dans chaque maison, cherchent leur « gibier » parmi leurs anciens camarades de travail, dévalisent et saccagent, traînent les Français au milieu de la rue et les massacrent dans une ambiance d'épouvantable et sanglante kermesse.

    Des familles entières sont exterminées : les Atzei, les Brandy, les Hundsbilcher, les Rodriguez. Outre les 30 morts, il y aura 13 laissés pour morts et deux hommes, Armand Puscédu et Claude Serra, un adolescent de dix-neuf ans, qu’on ne retrouvera jamais. Quand-les premiers secours arrivent, El-Halia est une immense flaque de sang.

    Aïn-Abid, dans le département de Constantine, est attaqué à la même heure. Un seul groupe d'émeutiers s'infiltre par différents points du petit village, prenant d'assaut, simultanément, la gendarmerie, la poste, les coopératives de blé, l'immeuble des travaux publics et les maisons des Européens.

    Comme à El-Halia, jusqu'à 16 heures, c'est la tuerie, le pillage, la dévastation. Les centres sont isolés les uns des autres, les Français livrés aux couteaux. A Aïn-Abid, les civils sont mieux armés et ils se défendent avec un acharnement qui finit par tenir les rebelles en respect jusqu'à l'arrivée des renforts militaires, vers 16 heures. C'est à cette heure-là qu'on découvrira le massacre de la famille Mello. Ce nuage de sang dissipé, viendra l'heure des informations plus claires et des bilans. On se rendra compte que, dans cette journée du 20 août, la chasse à l'homme commença d'abord, sur les ordres de Zighout, par la chasse aux Européens.

    En tout, de Constantine à Philippeville, à Jemmapes, à Catinat, à Hammam-Meskoutine et dans toutes les localités du Nord Constantinois, 171 Français ont été massacrés.
    Un grand merci à popodoran 
    Mémoire France Afrique du Nord

    Le 20 août 1955  Le massacre d'El-Halia  ...


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  • Que les pieds-noirs aillent se réadapter ailleurs !Posté par: Pieds Noirs 9A ..

    Ni oubli ,Ni pardon !...

    Les migrants mieux accueillis que les Français d’Algérie...

    Que les pieds-noirs aillent se réadapter ailleurs !

    Les pieds-noirs n’oublieront jamais comment ils furent accueillis en France en 1962 par les autorités de l’époque.

    Heureusement tous n’étaient pas à l’image des autorités, et nombreux furent ceux qui trouvèrent en Provence une terre d’accueil à laquelle ils seront à jamais reconnaissants.

    Mais tout de même, rappelons quelques propos pas si lointains que ça, puisqu’ils sont contemporains :

    Gaston Defferre :
    « Ils fuient. Tant pis ! En tout cas, je ne les recevrai pas ici. D’ailleurs, nous n’avons pas de place. Rien n’est prêt. Qu’ils aillent se faire pendre où ils voudront ! En aucun cas et aucun prix je ne veux des pieds-noirs à Marseille. »
     À la question « Voyez-vous une solution aux problèmes des rapatriés à Marseille ? », il répond : 
    « Oui, qu’ils quittent Marseille en vitesse ; qu’ils essaient de se réadapter ailleurs et tout ira pour le mieux. »
    Mais Gaston Defferre n’est pas un cas isolé.

    Un sondage IFOP de début juillet 1962 indique que 62% des métropolitains refusent toute idée de sacrifice à l’égard des Français d’Algérie

    Voici d’ailleurs un rapport découvert lors de l’ouverture des archives : « Les Français d’Algérie qui débarquent en métropole font l’objet d’une froide indifférence, ou même d’appréhensions. On ne les connait pas. On ne sait d’où ils viennent ni si ils sont “vraiment” français. Jugés premiers responsables du conflit qui vient de se terminer et qui a coûté la vie de trop nombreux soldats métropolitains, ils ne semblent pas “mériter” que l’on porte sur eux le regard compatissant que beaucoup espèrent ».
     
     Au Conseil des ministres du 18 juillet 1962, Louis Joxe s’exclame :
    « Les pieds-noirs vont inoculer le fascisme en France. Dans beaucoup de cas, il n’est pas souhaitable qu’ils retournent en Algérie ni qu’ils s’installent en France. Il vaudrait mieux qu’ils aillent en Argentine, au Brésil ou en Australie. »

    Georges Pompidou, Premier ministre, appuie cette idée :
    « Pourquoi ne pas demander aux Affaires étrangères de proposer des immigrants aux pays d’Amérique du Sud ou à l’Australie ? Ils représenteraient la France et la culture française. »

    Même de Gaulle y va de sa petite suggestion : « Mais non ! Plutôt en Nouvelle-Calédonie ! Ou bien en Guyane, qui est sous peuplée et où on demande des défricheurs et des pionniers ! » qui en rajoute le 4 mai 1962, en Conseil des ministres : « L’intérêt de la France a cessé de se confondre avec celui des pieds-noirs ». Un autre jour, à son ministre Peyrefitte qui lui expose « le spectacle de ces rapatriés hagards, de ces enfants dont les yeux reflètent encore l’épouvante des violences auxquelles ils ont assisté, de ces vieilles personnes qui ont perdu leurs repères, de ces harkis agglomérés sous des tentes, qui restent hébétés… », de Gaulle répond : « N’essayez pas de m’apitoyer ! »
    Parlant d’Edmond Jouhaud, l’un des généraux putschistes du 13 mai 1958, de Gaulle dira : « Ce n’est pas un Français, comme vous et moi, c’est un pied-noir. »

    Le 22 juillet 1962, Gaston Defferre poursuit ses anathèmes sur Paris-Presse :
    « Français d’Algérie, allez vous faire réadapter ailleurs. Il faut les pendre, les fusiller, les rejeter à la mer… Jamais je ne les recevrai dans ma cité. »

    Dans le centre de Marseille, une inscription sur un grand panneau :
    « Les pieds-noirs à la mer. »

    À l’aéroport d’Orly, la direction interdit aux pieds-noirs d’emprunter l’escalier mécanique parce qu’elle estime que leurs valises et leurs ballots volumineux sont une gêne pour les autres voyageurs.

    Ce sont les mêmes Français, les mêmes politiciens, les mêmes autorités, qui hier rejetaient leurs compatriotes, aujourd’hui accueillent à bras ouverts les « réfugiés  » du monde entier, alors même que les conditions économiques se sont considérablement dégradées.

    Tenter de comprendre ce qui s’est en moins d’une génération, c’est tenter de comprendre comment va le monde. Nice Provence Info s’y emploie.

    Georges Gourdin

    http://www.nice-provence.info/blog/2015/09/09/refugies-pieds-noirs-1962/#sthash.N8xO0MgF.VN6QgWWp.dpbs


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