• L’UE file 75 millions au Hamas pour aider les Palestiniens !

    L’Union européenne « se fout de notre gueule ! » : 75 millions offerts au Hamas sous prétexte d’aide humanitaire aux Palestiniens. Est-ce que les Palestiniens ont besoin d’argent ? Certes pas. D’eau, d’aliments, de médicaments, oui, mais pas d’argent. À quoi leur servirait-il ? On peut se le demander, alors qu’il servira au Hamas, tout comme les précédents millions d’euros qui ont servi à acheter des armes pour massacrer les Israéliens. 

    Tous ces millions vont directement dans les poches des terroristes, qu’ils soient du Hamas, du Hezbollah ou des Frères musulmans, comme si les millions de l’Iran et du Qatar ne suffisaient pas. 

    Les prochaines élections des députés européens devraient nous permettre de nous opposer à ces décisions prises par Bruxelles et « envoyer aux chiottes » certains règlements dictés par la Cour européenne des Droits de l’Homme. 

    Cela suffit de ces lois, de ces magistrats, juges, avocats, associations, ONG et même du Pape et de notre « humanité ». L’état d’urgence, l’état de guerre même, est nécessaire pour combattre et vaincre l’islamisme. L’expulsion immédiate de toutes les OQTF doit être exigée, les titres de séjour des « radicalisés » doivent être supprimés. Les binationaux condamnés doivent être déchus de la nationalité française et renvoyés dans leur pays d’origine. Cela en ce qui concerne la France bien entendu, mais il faut s’attaquer surtout à l’origine du mal, c’est-à-dire à l’Iran tout d’abord car dès qu’il possédera l’arme nucléaire, et il la possédera bientôt, ce sera l’embrasement mondial car son premier objectif sera la destruction totale d’Israël et, par conséquence, la destruction totale de l’Iran par le nucléaire israélien. 

    Et la suite ? Je vous laisse y penser ! 

    Manuel Gomez

    Riposte Laique


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  • Qui commande chez “nous” ? Les autres !

    aspirateur à invasion migratoire,passoire,république

    Nicolas Zahar

    La République est une passoire, pire un aspirateur à invasion migratoire de toutes sortes. Il est vrai que dès les premiers jours de la République certains excités de la Révolution proposaient la bienvenue à tous les “mahométans” Ottomans, pendant que d’autres commettaient des “populicides” partout en France, particulièrement en Vendée. Au nom de la Liberté peut être ? Aujourd’hui, il n’est même plus question de savoir si nous sommes encore chez nous, il est question de savoir si nous sommes encore en sécurité dans ce qui reste de nos frontières ! Sommes-nous sereins de savoir nos enfants livrés à une Rééducation anti-nationale faisant la promotion des théories les plus douteuses, les plus malsaines, les plus anti-nationales, les plus haineuses à l’égard de nos anciens, au lieu de les instruire ? Pire nos enfants subissent-ils du harcèlement et risquent-ils même leur vie à l’École ? Oui ! Et avec le concours de ces associations subventionnées, financées par nos impôts, sans notre consentement, qui exigeaient que le terroriste Mohamed ne soit pas expulsé de chez nous; le gouvernement bien sûr s’exécuta, comme toujours, et nous connaissons la suite ! Qui commande chez nous ? En tout cas pas NOUS ! Nous savons aussi que nos merdias sont aux mains des mêmes, car ils sont partout. Et l’employé de banque mis en place à la tête de ce qui reste de notre État en est le liquidateur. Bref ! Nous sommes déjà en guerre de basse intensité chez nous, non contre le Covid, mais contre des mafias, parfois allogènes, en tout cas anti-FRANCE. Et voilà que pour couronner le tout, on voudrait absolument nous mêler aux concerts hystériques et fratricides des conflits extérieurs israélo-palestinien et ukraïno-russe. Les mêmes merdias de grands chemins, et politiques à la botte, imposent chez nous de manière crétine, douteuse et finalement absolument contraire à nos intérêts, à une volonté sincère de paix, et même à une vérité finalement complexe, ces objets pour nous distraire de nos propres drames et pour nous diviser davantage au lieu de défendre la France et les Français !

    À plus de 3 000 milliards d’€ de dettes, et avec une paupérisation qui s’étend, ce ne sont pas ces associations que nous devrions subventionner, et encore moins les conflits extérieurs, mais au contraire nous devrions nous concentrer sur une hausse de revenus des travailleurs français, nous soucier davantage de nos enfants et de nos parents. Au lieu de cela nous continuons à encourager une immigration de supposés travailleurs bon marché, en réalité inassimilables. Si nous avions un bon gouvernement, celui-ci veillerait au bonheur exclusif de son peuple et sa seine démographie plutôt que de s’obstiner à le remplacer.

    Qui commande chez NOUS ? Toutes les forces anti-nationales !

    PS : Je complète cet article en vous donnant la liste des associations et partis qui se sont opposés à l’expulsion de la famille du Tchétchène, en 2014. 
     
    Source : synthesenationale

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  • L’intubation a tué plus que la maladie.

    Souffler dans un poumon nécrosé, non élastique, va « déchirer » les tissus, aggravant le phénomène inflammatoire, entraînant des septicémies. Ce qui fut fait par incompétence criminelle.

    Une étude de l’université Northwestern conclut que la majorité des patients Covid19 mis sous respiration mécanique invasive ont succombé à une pneumonie bactérienne, et non pas au SARS-CoV-2.

    Dans le monde entier, entre 66 et 86% de tous les patients Covid intubés sont décédés. De nombreux médecins s’étaient positionnés en 2020 contre la généralisation de cette pratique.

    Une étude de l’université Northwestern (États-Unis) leur donne raison : la majorité des patients Covid19 mis sous respiration invasive ont été tués des suites d’une pneumonie bactérienne, et non pas par le SARS-CoV-2.

    Les scientifiques ont également trouvé des preuves que le Covid-19 ne provoque pas de “tempête de cytokines”, souvent considérée comme une cause de décès.

    L’intubation provoque de graves infections bactériennes

    Selon les résultats de l’étude publiée en mai 2023, le remède serait pire que le mal puisque les décès par infection bactérienne dite “secondaire” pour les patients intubés dépassent les taux de mortalité dus à l’infection virale elle-même.

    Benjamin Singer, MD, médecin spécialiste des soins pulmonaires et intensifs à la Northwestern Medicine, USA.

    “Notre étude souligne l’importance de la prévention, de la recherche et du traitement agressif de la pneumonie bactérienne secondaire chez les patients gravement malades atteints de pneumonie sévère, y compris ceux atteints du Covid-19", a déclaré l’auteur principal Benjamin Singer, MD, professeur de médecine pulmonaire, de biochimie et de génétique moléculaire à l’université Northwestern. Le chercheur est également médecin pulmonaire et de soins intensifs.

    “Ceux qui ont été guéris de leur pneumonie secondaire étaient susceptibles de vivre, tandis que ceux dont la pneumonie ne s’est pas résorbée étaient plus susceptibles de mourir”, a déclaré Singer. “Nos données suggèrent que la mortalité liée au virus lui-même est relativement faible, mais que d’autres événements survenant pendant le séjour en unité de soins intensifs, comme la pneumonie bactérienne secondaire, contrebalancent cette tendance."

    Le “choc cytokinique” au placard

    Les résultats de l’étude réfutent également la théorie de la tempête de cytokines, a déclaré Singer.

    Le terme “tempête de cytokines” signifie un état inflammatoire généralisé qui entraîne une défaillance des poumons, des reins, du cerveau et d’autres organes. “Si c’était vrai, si la tempête de cytokines était à l’origine de la longue durée de séjour que nous observons chez les patients atteints de Covid-19, nous nous attendrions à voir des transitions fréquentes vers des états caractérisés par une défaillance de plusieurs organes. Ce n’est pas ce que nous avons observé”, ajoute le scientifique.

    L’intubation n’est pas un traitement

    L’intubation est-elle à proprement parler un traitement des infections respiratoires? Au début de la pandémie, de nombreux médecins ont remis en question l’utilisation de ventilation mécanique invasive pour traiter le Covid, pour lui préférer d’autres méthodes, comme l’oxygénothérapie. Parmi eux se trouve la Dr Noémie Zucman, auteure d’une étude sur la question :

    Le recours à la ventilation mécanique invasive a été la règle pour la très grande majorité des patients présentant les formes les plus graves de pneumonie à Covid-19, dépassant 90% dans certaines séries. L’oxygénothérapie à haut débit a été de fait utilisée dans quelques services de réanimation qui en avaient l’expérience, bien qu’elle ne figurait pas initialement parmi les recommandations de prise en charge du Covid-19 de certaines sociétés savantes. Elle est en effet maintenant très largement utilisée en première intention chez les patients présentant une insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique.

    Un autre médecin, le Dr Matt Strauss, avait déclaré dans The Spectator en mai 2020 que les “respirateurs ne guérissent aucune maladie : ils peuvent remplir vos poumons d’air lorsque vous êtes incapable de le faire vous-même”.

    Le Dr Thomas Voshaar, pneumologue allemand et président de l’Association des cliniques pneumologiques, avait déclaré en avril 2020 dans la Frankfurter Allgemeine :

    "Lorsque nous avons lu les premières études et les premiers rapports en provenance de Chine et d’Italie, nous nous sommes immédiatement demandé pourquoi l’intubation était si fréquente dans ces pays. Cela contredisait notre expérience clinique de la pneumonie virale."

    Le problème des infections décelé très tôt

    Le problème principal de la pratique est que les sondes d’intubation sont une source potentielle d’infection. Des études montrent que ce problème affecte jusqu’à 28 % de toutes les personnes placées sous ventilateur et qu’il tue 20 à 55 % des personnes infectées.

    La ventilation mécanique endommage également la structure physique des poumons, entraînant des “lésions pulmonaires induites par l’intubation”, qui peuvent avoir un impact considérable sur la qualité de vie, voire entraîner la mort.

    Certains experts estiment que 40 à 50% des patients ventilés meurent, quelle que soit leur maladie.

    @drpguerin

    Bonjour, Dès AVRIL 2020, une équipe de Strasbourg a mis en évidence le phénomène d’embolie pulmonaire, causé par une coagulation (thrombus) dans les vaisseaux du poumon.

    Les zones non irriguées se nécrosent (meurent). Le poumon perd en surface d’échange. Le taux d’oxygène dans le sang chute. Ce phénomène (hypoxie heureuse) n’étant pas douloureux, il n’est pas ressenti par le malade.

    Les tissus nécrosés ne sont plus élastiques. Donc, souffler dans un poumon nécrosé, non élastique, avec des zones mortes, va « déchirer » les tissus, aggravant le phénomène inflammatoire (la « tempête cytokinique »), pouvant entraîner des septicémies. Ce qui fut, par incompétence criminelle, fait. Il fallait faire varier la concentration dans l’air inspiré en oxygène, comme cela fut fait à l’IHU (et en routine en médecine vétérinaire )

    Rappelons que les auteurs mentionnaient, l’utilité du dosage des D-Dimères, et que le Professeur Raoult a, à plusieurs reprises, attiré l’attention sur l’importance de mesurer le taux d’oxygène dans le sang avec un simple oxymètre de doigt.

    Tout ceci est évident pour un SOIGNANT !

    https://sit-radiologie.fr/sites/www.sit-radiologie.fr/files/medias/documents/leonard-lorant_et_al_2020_radiology.pdf

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  • La Nouvelle-Zélande chasse les gauchistes pro-confinement après la victoire des conservateurs aux élections

    Christopher Luxon, nouveau Premier ministre élu de Nouvelle-Zélande

    Les électeurs néo-zélandais ont évincé samedi le parti autrefois dirigé par Jacinda Ardern et ont élu à la place le gouvernement le plus conservateur du pays depuis des décennies.

    Forcer ses citoyens à se faire vacciner, décréter que les informations d’État sont la seule « vérité » et enfermer les manifestants pacifiques opposés à l’autoritarisme pandémique n’a pas été bien accueilli.

    Samedi, le conservateur Christopher Luxon a été élu premier ministre de Nouvelle-Zélande. La composition exacte du gouvernement de Luxon n’a pas encore été déterminée, mais son parti de centre-droit, le National Party, semble prêt à former un gouvernement de coalition avec un ou deux partis mineurs.

    Le parti national combinera probablement les 50 sièges qu’il a obtenus avec le parti ACT (11 sièges), ce qui lui donnera 61 sièges, soit une faible majorité au sein du parlement néo-zélandais, qui en compte 121. Comme le note Goldman, les résultats sont largement conformes aux sondages préélectoraux, le parti travailliste sortant étant en passe de perdre sa majorité absolue au parlement pour la première fois depuis 2017.

    « Vous avez tendu la main vers l’espoir et vous avez voté pour le changement », a déclaré Luxon à ses partisans sous des applaudissements nourris lors d’un événement à Auckland, aux côtés de sa femme Amanda et de leurs enfants.

    Le Premier ministre sortant, Chris Hipkins, qui occupe le poste depuis neuf mois après la démission brutale de Jacinda Ardern, a déclaré à ses partisans samedi en fin de journée qu’il avait appelé Luxon pour qu’il cède sa place.

    Le Premier ministre néo-zélandais sortant, Chris Hipkins

    Hipkins a déclaré que même si le résultat n’était pas celui qu’il souhaitait, « je veux que vous soyez fiers de ce que nous avons accompli au cours des six dernières années », a-t-il déclaré à ses partisans à Wellington.

    Sur le plan économique, Goldman note que le parti de Luxon s’est engagé à réduire les taux d’imposition effectifs sur les revenus et les partis d’investissement. Alors que le parti National s’est engagé à compenser l’impact fiscal des réductions d’impôts par des économies réalisées ailleurs, Goldman considère que les risques sont « orientés vers une politique fiscale plus stimulante en 2024 » par rapport aux projections budgétaires actuelles de la Nouvelle-Zélande.

    Les réductions d’impôts et les nouvelles dépenses proposées représentent environ 0,8 % du PIB annuel, ce qui augmenterait le revenu disponible des ménages d’environ 1,5 % et donnerait un coup de pouce aux prix de l’immobilier en 2024. Bien que le gouvernement national se soit engagé à compenser les nouvelles dépenses et les baisses d’impôts par une réduction des dépenses et des nouveaux impôts, nous estimons que les risques sont globalement orientés vers une plus grande stimulation fiscale (par rapport aux projections fiscales actuelles) et de nouvelles hausses de taux de la part de la Banque nationale de Nouvelle-Zélande (GSe : scénario de base sur le maintien à 5,5 %).

    Luxon a également abordé la question de la criminalité en Nouvelle-Zélande, déclarant à ses partisans qu’elle était « hors de contrôle » et ajoutant : « Nous allons rétablir la loi et l’ordre, et nous allons rétablir la responsabilité personnelle ».

    Il a également promis de résoudre les problèmes de circulation de la capitale grâce à un nouveau projet de tunnel.

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