• Entre deux tueries, Mohamed Merah aurait braqué une bijouterie ..

     Entre deux tueries,Mohamed Merah aurait braqué une bijouterie ..Selon les informations d’Europe 1, Mohamed Merah aurait participé à un braquage à Toulouse deux jours avant sa tuerie de l’école Ozar Hatorah. Les enquêteurs cherchent maintenant à savoir si ses complices présumés du braquage l’ont aussi aidé à préparer sa tuerie.

    La semaine sanglante de Mohamed Merah recèle encore de mystères, à en croire les informations d’Europe 1. Entrele 15 mars 2012, date à laquelle l’homme tuait deux hommes à Montauban (Midi-Pyrénées), et le 19 mars, où il a abattu froidement trois enfants et un adulte devant l’école juive Ozar Hatorah, à Toulouse, le tueur au scooter aurait participé au braquage d’une bijouterie dans la ville rose.

    Dans la nuit du 16 au 17 mars, trois hommes font irruption au domicile d’un bijoutier dans la banlieue de Toulouse. Sous la menace, l’homme les conduit à sa bijouterie où il se verra dérober 200.000 euros d’or et de bijoux. Plusieurs indices mènent les enquêteurs sur la piste de Mohamed Merah. Le bijoutier lui, n’est pas en mesure de reconnaître ses agresseurs. Sur les lieux du casse, les gendarmes, initialement en charge de l’enquête, retrouvent une cartouche de 11.43, le même calibre que celui utilisé par le tueur au scooter, indique toujours Europe 1. C’est à la suite de cette découverte que le dossier sera transmis à la police judiciaire de Toulouse et aux spécialistes de l’antiterrorisme, en charge d’enquêter sur le «tueur au scooter».

    Les bijoux ont été revendus à l’homme qui a fourni une arme à Merah
    Les enquêteurs parviennent à remettre la main sur les bijoux du braquage, qui ont été revendus dès le lendemain du casse contre 10.000 euros en liquide. L’acheteur des bijoux ne serait autre que celui qui a fourni à Mohamed Merah le fusil qu’il a utilisé lors de la tuerie de l’école Ozar Hatorah. Il s’agit maintenant de savoir qui sont et où sont les complices du braquage. Sont-ils de «simples» braqueurs? Ont-ils aidé Mohamed Merah dans la préparation de son entreprise terroriste? Partagent-ils son idéologie radicale? Autant de questions soulevées par cette révélation sur lesquelles les enquêteurs doivent maintenant se pencher.

    http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2014/12/11/01016-20141211ARTFIG00046-entre-deux-tueries-mohamed-merah-aurait-braque-une-bijouterie.php

    © Gaïa pour www.Dreuz.info


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  • Par :Pieds Noirs 9A..La France "Petite Afrique qui deviendra grande"

    Article  N° B 1803 du 08 juillet 2014 dans Archives..

       La France multiculturelle .

    La France multiculturelle !!!

    La France multiculturelle vue des États-Unis .. Nos politiques depuis plus de cinquante ans ,qui poussent la France sur la voie du multiculturalisme choisi sans le dire trop haut ..Des politiques qui non aucune patrie ..Aucun drapeau a par le frics ..
    Le terme multiculturalisme n’est employé qu’une fois sur les 276 pages des cinq rapports, et encore à titre historique et anecdotique. C’est pourtant bien de multiculturalisme dont il s’agit dans ces rapports. Ces rapports nous expliquent que le terme intégration a servi de camouflage à une politique d’assimilation et que le Haut Conseil à l’intégration a été le lieu de ce camouflage.

    Puisqu’il n’y a ni héritage, ni culture, ni modes de vie à préserver côté « majoritaire », toute l’action politique doit être canalisée vers la lutte pour l’égalité et contre les discriminations de toutes sortes, y compris celles qui figurent dans nos textes de loi actuellement, comme la loi sur le voile à l’école ou l’exclusion des étrangers de la fonction publique. 

     

    " Le mal est si grand  "

    Le mal est si grand et si répandu que cette politique doit être « globale et systémique ». Les majoritaires baignent dans une société imbibée de pensées et attitudes "racialisantes" qui nécessitent des actions de formation qui leur feront voir la « diversité » sous son vrai jour.. C'est bien de la branlette intellectuel quand même en prime ça suppose quand même pour sortir ça de se croire supérieur a celui d'en face pour lui cracher ça au visage alors que j'en ai pas l'impression du tout. Pourquoi jamais personne parle de ceux qui doive raquer pour tout se déraillement de nos politique .

     Le problème...

    Va se régler tôt ou tard en France comme en Europe, et il m'est d'avis que ça ne tardera plus beaucoup surtout pour la France ..Ceux qui ont encore au moins une dizaine d'années à vivre en seront les témoins et surtout les victimes de se tremblement en voie de changement de population.. 

    Il n'y a pas cinquante sortes de mondes aujourd'hui, il y en deux: ceux qui avancent et ceux qui régressent en baissant le "slibard" . Les premiers se débarrasseront des seconds pour limiter la prolifération démographique qui devient un enjeu majeur tant sur le plan vital (nourriture) qu'énergétique et il ne sera pas consacré à  des ressources financières de plus en plus contestées par les peuples pour soutenir le fléau de l'abrutissement, de l'assistanat et de la réparation des maux causés par le terrorisme et "tutti quanti". Bien sûr que ce qui c'est passé en Europe il y a soixante dix ans va se reproduire et à plus grande échelle, les génocides sont des faits avérés dans toute l'Histoire de l'humanité, on ne parle surtout que des plus importants parmi les plus proches. La civilisation avancée ne se laissera jamais remettre une chape de plomb obscurantiste laissée en arrière au cours des siècles passés sur son intellect et sur l'avancée de ses libertés.La rue sera infecté par la pollution de détritus et la peste et le choléra aura lieu comme nous avons vue a Calais dernièrement ses immigrés clandestins entassées .. Et il a fallut  la peste pour agir ..Alors que font nos politiques?? Demain toute la France en sera concerner ..Ne pas dire qu'ils ne savaient pas de ce qui allait arrivé ou les rats devait danser la rumba dans tous ses détritus ...  

    Comme un doux parfum de traîtrise caractérisé..

    Dans cette magnifique poubelle migratoire qu'est devenu "ce pays", il est de bon ton de glorifier n'importe quoi venu d'ailleurs, de faire payer pour se faire coloniser en somme et de fermer sa bouche. Ne pas se tromper: l'UE est sur la même ligne. Plus de culture dominante, au propre comme au figuré. Nous sommes dans une expérience totalitaire de fabrication d'un nouvel homme nouveau, déculturé, hors-sol, "déneuronisé." comme le pratique sur nos  jeunes élèves avec leur méthode du "Genders" ou l'appeler comme vous le voulez ...

    Le Problème est bien voulu ..

    Cela a bien commencer après l'indépendance de l'Algérie.. Le problème de l'immigration a été le fait de voter le regroupement familial par l'innocent VGD pour favorisé les grosse firme pneumatique et autre ,pour de mains d’œuvres a pas cher,au même moment où a eu lieu le deuxième choc pétrolier (en gros). C'est là qu'on a commencé à avoir du chômage de masse (le cap du million franchi jusqu'à 3 millions). . L'autre problème c'est qu'on a dit aux gens "toute critique de l'immigration est une critique des immigrés, vous êtes donc raciste". Comme ça, circulez y'a rien à voir, vous ne pouvez pas critiquer. .Mais la vérité est bien là .Mais vous connaîtrez mieux les vrais racistes demain ..

    Nos politiques de tout temps se sont servit d'eux comme le fait aussi Mélenchon  et Eva Joly ou il faudrait déjà ma Joly s’intègre en apprenant l'Histoire de France et non le petit livre rouge du communisme , pour pouvoir avoir le pouvoir sur des pauvres gens perdu dans un pays .. Les cités ghettos se sont construites de manière très pragmatiques: si vous immigrez, vous allez où vous pouvez payer ou pas (= HLM en France) ou là où vous avez de la famille qui peut vous accueillir (= les HLM aussi), d'où cette hyper concentration (sans compter les pôles que constituent les grandes villes). . Bref: chômage endémique, immigration non maîtrisée,mais voulu par nos politique de droite molle comme de gauche ,donc hyper natalité des populations arrivante,s aucune possibilité de quitter les ghettos. . Là est le constat, mais personne n'a voulu ouvrir les yeux et bien au contraire "on" (les politiques) a joué de la culture de l'excuse pour tout et une politique de l'autruche. . Le mal est malheureusement incurable sauf à dire la vérité... Là dessus, rajoutez la détestation de la France par la gauche...

    L'Afflux Algérien de masse principalement et africaine qui en suit et pour cause..

    Les Hôpitaux et le reste comme L’hôpital de Constantine ou la maternité dans un état lamentable ,les pauvres femme accouche sur des tables d'accouchement imbibée de pollution ,lamentable,  une fois accoucher ,entasser dans une salle a coté au sol les une contre les autres  ,l' Algérie et complètement délabrer ,les Algériens viendront en masse ces années qui suivront en vidant leur pays pour ce nourrir et ce soigner en France ..OU passe l'argent du pétrole et gaz dans ses pays ultra riche??? ..A rabat (Maroc) de même..( nouveau)La Francs-Maçonnerie en met son nez a Alger et vont biens les soigniez les Algériens ..Et après c'est à nous qu’on nous traître de raciste ..NON MAIS ATTENDEZ !!! 

    Pieds Noirs 9A..

     


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  • SNCF : la France va payer pour les “descendants de miraculés”

    Par:Jérôme Bourbon..

    ON L’A APPRIS le 5 décembre. La France va verser 60 millions de dollars (environ 49 millions d’euros) aux victimes étrangères (comprendre : israélites) transportées par les trains de la SNCF vers les camps de concentration durant la Seconde Guerre mondiale, selon les termes d’un accord conclu avec les Etats-Unis dont les négociateurs ont dévoilé la teneur. Les « quelques milliers » de déportés survivants américains devraient ainsi recevoir environ 100 000 dollars chacun, selon l’ambassadrice française aux droits de l’homme, Patrizianna Sparacino-Thiellay. L’accord porte en effet sur la création d’un fonds d’indemnisation doté par la France, c’est-à-dire par les contribuables, dont le montant sera versé aux autorités américaines en faveur de déportés non français et… de leur famille, a ajouté avec munificence la diplomate. En contrepartie de ce fonds d’indemnisation, les Etats-Unis se seraient engagés à défendre l’immunité de juridiction dont bénéficient les entreprises étrangères outre-Atlantique, ce qui en théorie les protège de toute poursuite judiciaire…

    Suite de l’éditorial de Jérôme Bourbon dans Rivarol, disponible le 11 décembre 2014.

    Site du journal  Rivarol


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  • Croire en la France par Marcel Bucard

    C’est en 1933 que j’ai fondé le Francisme. Je l’ai défini Un acte de foi dans la France.

    La victoire des combattants avait été sabotée. L’esprit de lucre l’emportait sur l’esprit héroïque, le travail de plus en plus exploité servait d’enjeu aux saltimbanques de la politique pour la satisfaction de leurs profits ou l’asservissement de leurs haines. La démocratie livrée à l’or avait fait de la République une caricature invraisemblable. Et devant des nations qui, alentour, dans un effort gigantesque de renouvellement, se cherchaient et se donnaient de nouvelles maniéres de vivre, la France de la Révolution, celle qui doit toujours aller de l’avant, restait recroquevillé sur ses illusions mortes, accrochées aux oripeaux d’un conservatisme étroit et stérile ou se gargarisant des grands principes des grands aïeux, mais incapable d’un nouveau bond vers l’avenir!

    « La mystique républicaine, avait écrit, déjà en 1914, le grand Péguy, c’était quand on mourait pour elle. C’est à présent qu’on en vit … »

    Devant la carence d’autorité, l’incapacité, la veulerie ou la perfidie des gens au pouvoir, et l’inquiétude d’une opinion démoralisée, j’en appelai alors à un sursaut de la jeunesse. On ne fait rien de grand ni de durable sans la foi.

    Qu’elle soit l’affirmation d’une croyance en Dieu, ou dans un idéal, dans la patrie ou dans l’honneur ou simplement en soi-même, la foi conduit à l’enthousiasme et entraine les volontés. La France avait perdu confiance en elle-même.

    Le Francisme, qui puisait sa force dans l’instinct de renouvellement du peuple, en conformité avec son génie propre et ses traditions révolutionnaires, s’affirmait la seule mystique capable d’entrainer les esprits, la seule doctrine de construction de l’Etat moderne, selon les lois éthiques et culturelles qui se développent en Europe, le seul mouvement d’action ayant la volonté d’agir non pour le sucés d’un parti politique ou d’une classe sociale, mais pour la sauvegarde du patrimoine commun, le bien-être du travailleur et le Triomphe de l’idéal français. C’était en un mot une Révolution des Ames que nous prêchions.

    Il en coûte toujours et souvent fort cher de vouloir briser les idoles. Mais je me garde de me plaindre des persécutions que nous avons endurées. A souffrir pour son idéal on se durcit la volonté!

    Interdit par Blum en 1936 pour crime de patriotisme, renaissant aussitôt sous le nom « d’Amis du Franciste », puis se réaffirmant dans le cadre légal du « Parti Unitaire Français d’Action Socialiste et Nationale », combattu sans trêve par le capitalisme judéo-marxiste et par la réaction bourgeoise, sans cesse se redressant plus vigoureux et plus fier, malgré la répression des pouvoirs publics, le mouvement ouvrier et paysan franciste, sans argent et sans soutien, riche seulement de sa foi exaltante, fort de son idéal révolutionnaire ardent, a lutté jusqu’à la demière minute pour barrer la route aux massacreurs de la patrie.

    Hélas ! Rongé par le chancre de la politique alimentaire, asservi et trahie par une tourbe internationale, livré à de fausses élites qui se servaient de la république au lieu de servir la France, le peuple, chloroformé par des bandits de presse et de finance, fut mené vers de nouveaux abattoirs et dut se battre, sans gloire, pour une cause qui n’était point celle des intérêts sacrés et immédiats de la patrie.

    Une guerre n’a de grandeur que dans la mesure où elle est dominée par les réalités du monde psychique et moral. La guerre dans laquelle la IIIème République jeta la France était sans grandeur!

    On se servait de l’armée française pour tenter d’endiguer une révolution en marche d’où le peuple doit tirer sa libération. Le sang des hommes allait encore couler … Et la France, celle de Guynemer, celle de Foch, celle des Poilus de Verdun, allait être conduite à la défaite et à la ruine…

    Tous ceux que nous avons attaqués se sont révélés à l’expérience les pires ennemis de notre peuple et de notre patrie. Toutes les idées que nous avons soutenues au prix de notre sang ont été vérifiées par les faits. Si les Français, étourdis par la propagande tapageuse des vendus et des traitres, avaient su se rendre compte à temps qu’ils avaient dans le mouvement franciste cette poignée de militants d’élite qui ont été de tous temps le ferment des révolutions et le meilleur gage de l’avenir de la cité, ils se seraient à coup sûr épargnés toutes leurs misères présentes et tous leurs deuils.

    Cet Etat socialiste, fondé non sur la haine des classes, mais sur la justice et la solidarité, que les politiciens d’hier furent incapables de bâtir, aurait été édifié depuis plusieurs années déjà, sans heurts, sans larmes ni sang versé. Au lieu d’errer comme de pauvres bêtes traquées a la recherche d’un ravitaillement problématique, les Français connaitraient une vie simple mais saine et heureuse. Au lieu de se trouver encore sons la domination des puissances d’argent, les Français connaitraient la liberté, la liberté ! Ce bonheur incomparable pour un peuple de se sentir le maître de ses propres destinées.

    Au lieu d’être inquiets et désarmés en face des forces qui continuent à les exploiter comme si rien ne s’était produit, comme si rien ne devait changer, paysans, employés, ouvriers, artisans, tous ceux qui travaillent et produisent, groupés en organisations puissantes, seraient intégrés à la première place dans l’Etat. Si les Français nous avaient écoutés alors, cette collaboration que les convertis de la onzième heure ont déterrée dans la défaite, nous la leur aurions donnée, nous, sous le signe de la victoire, dans la joie et dans le plein épanouissement de notre fierté intacte.

    Mais…  pas un grain, pas un seul, ne sera perdu de nos semailles obstinées ! Cette Paix, cette Justice, cet Ordre qui conditionnent la sécurité des foyers, le droit au travail et la tranquillité des peuples, nous allons nous acharner a les établir.

    II y a dans le peuple de France trop de réserves d’énergie, de bon sens, d’honnêteté et de courage que la pourriture judéo-capitaliste avait pu masquer sans la détruire, pour désespérer de l’avenir. Et c’est à lui qu’il appartient, en définitive, de construire la paix. Car il n’y aura de paix en Europe qu’à la condition expresse que la France, régénérée dans son vouloir-être sache, par la vertu de sa foi elle-même, par l’effort tenace de son propre travail, reprendre sa place. Une Europe sans la France ce serait le monde sans joie. Seule une France refaite par le socialisme franciste pourra connaître cette paix bienfaisante et féconde.

    II n’y a dans cette paix ni lâcheté, ni faiblesse, ni abdication de notre personnalité. Certes il nous faut payer aujourd’hui nos fautes, toutes nos fautes. « Nos actes nous suivent », a écrit Paul Bourget. Car, c’est une loi imprescriptible à la foi divine et humaine que le châtiment s’abatte sur qui a manqué à son devoir. Mais dans la douleur qui nous étreint tous, sachons nous instruire et nous grandir. Autour du plus noble vieillard de ce temps, Pétain, le plus grand de France, qui s’évertue à redresser la patrie blessée et pantelante, serrons les rangs et entrons hardiment dans le mouvement révolutionnaire qui doit recréer une France éternelle dans une Europe enfin unie. C’est pour faire cette révolution que le Francisme vous appelle.

    Dans le grand désert d’idées et d’hommes où notre patrie semble agoniser s’élève le drapeau du Francisme. Sa doctrine qui est celle de la nécessité historique est le meilleur ciment pour bâtir la cite française telle que l’on rêvée nos morts des deux guerres. Son idéal, sa mystique puisent dans le tréfonds de notre histoire toutes les raisons d’exaltation de l’âme.

    Hommes et femmes de France, mes frères d’armes des champs de batailles, mes camarades francistes, la France sera ce que nous voudrons qu’elle soit. Ensemble faisons le miracle de la foi !

    Croire ou désespérer : il n’y a pas de milieu. Ou le désespoir qui engloutit tout ou la foi qui sauve : « Celui qui croit en moi vivra quand même il serait mort », dit le Christ.

    Croire en la France, c’est le premier mot d’ordre du Francisme !

    Marcel Bucard     http://la-flamme.fr/


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  • Amnésie française

    Voici un article de Christian Vauge paru sur le site « Le rassemblement« . Il s’agit d’un texte fort bien écrit qui dénonce l’occultation volontaire des grands événements de notre Histoire. En l’occurence, la bataille d’Austerlitz.

    Cette année encore, la bataille d’Austerlitz, le 2 décembre 1805, n’aura été rappelée par aucun des grands médias, comme s’il était capital d’occulter une époque où la France avait su imposer à l’Europe son humanisme, passât-il par la violence des armes.

    On doit s’interroger sur les raisons et les conséquences d’une amnésie si française et si contraire à la nature même de l’Histoire, science exacte tant qu’elle s’en tient aux faits et détestable manifeste lorsqu’elle est revue pas les exégètes à travers leur prisme idéologique. Notre époque a choisi la seconde vision pour rendre compte de notre passé à partir du postulat majeur, imposé par les « humanistes » que la Révolution marque une « année zéro » abolissant tout ce qui lui était antérieur. Cette vision, bien peu scientifique, est désormais la vulgate de notre instruction publique où des pans entiers de l’Ancien Régime sont résumés dans les manuels scolaires en quelques images et jugements lapidaires. Il ne fait aucun doute que nos tant vantés « hussards noirs » de la IIIème République, seraient horrifiés du saccage de la mémoire nationale perpétré par les idéologues qui ont remplacé les Lavisse, Malet & Isaac, voire Lagarde & Michard, chantres émérites du passé de la France où en toute honnêteté doivent se mêler ombres et lumières dans la froide impartialité du « Réel ».

    austerlitz

    Ainsi, pour nos modernes exégètes, la France a émergé à la fin du XVIIIème siècle de quelque mille années d’obscurantisme. Soit. Mais alors appliquons le postulat dans toute sa rigueur et la césure historique introduite par la Révélation de 1789 doit être nette et honnête : avant elle égale « mauvais », après elle égale « bon », Napoléon 1er y compris. Mais l’opprobre sur Austerlitz contredit cette interprétation pourtant recommandée dans les programmes scolaires et l’on ne comprend plus pourquoi l’Empereur est banni comme n’importe quel pré-révolutionnaire… Certes, il avait pris le pouvoir de manière un peu vive pour en finir avec la « chienlit » d’après 89. Mais oublie-t-on que son exemple avait suscité beaucoup d’espoirs et secoué les tyrannies dans tant de pays d’Europe qu’il ne pouvait être totalement mauvais pour ses contemporains. A preuve, la liesse des Italiens pressentant avec sa venue la fin du joug autrichien ou l’hommage du grand Beethoven par son concerto « L’Empereur » (renié sur le tard…).

     La faute de Napoléon serait-elle d’avoir rendu un temps à la France son rang en Europe, parmi les puissances jalouses de son redressement économique et politique ? Faut-il lui reprocher, avec tant de victoires pour la Liberté, d’avoir rendu leur honneur aux armées de la république, souillées par les ordres abjects de la Terreur et par le génocide vendéen ?

     Le bi-centenaire d’Austerlitz en 2005 a été ostensiblement boudé par la France, à la différence des autres nations impliquées dans le conflit pan-européen de l’époque. Cette marque appuyée d’une « repentance » imposée par nos modernes exégètes semble durablement inscrite dans le calendrier mémoriel de la France. Seuls, les saint-cyriens lui restent fidèles ainsi que les Français de longue mémoire.

     Mais qu’en est-il des jeunes générations à qui l’on enseigne une France humiliée par d’innombrables contritions et dépouillée, au profit de l’idéologie, des faits qui l’ont construite : victoires ou défaites, hommes d’Etat ou pauvres figurants, aussi nombreux en monarchie qu’en république ? Sur leur culture sans racines, fragilement fondée sur quelques abstractions grandiloquentes, que pourra croître sinon l’aspiration à servir une cause quelconque – magnifique ou maléfique – qui répondrait à leur besoin quasi biologique d’engagement ?

     Devant une jeunesse a-culturée qu’ils ont privée de cap et de carte au sein même de leur patrie – fût-elle d’adoption – nos pédagogistes et les idéologues qui les inspirent comprendront-ils un jour les conséquences de leur manipulation de l’Histoire de France ?

    Christian Vauge

    Christian Balboa@ChrisBalboa78

     


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