• DEMAIN SERA LA FRANCE POUR FAIRE PAREILS !...

    Le spectacle déplorable et désolant des amoncellements d'ordures ménagères ou autres sont une atteinte à la santé publique. Alger est la troisième ville la plus sale au monde.Alger avant 1962 se préparé pour s'aligner après le Japon en modernité ,et cela fut le désastre par la bradée sur un plateau d'argent ...
    Le classement a été établi en 2013 par le groupe britannique Urbain Clean Environnent. L'étude mentionne que le manque de civisme des Algériens est la raison de cette situation plus qu'alarmante. Les Algériens, par jalousie, estiment que ce classement est trop sévère. La «Blanche», pour eux, ne mérite pas cette image qu'on lui a attribuée.Et là, s'imposent des questions lancinantes : Alger est-elle vraiment sale ? A-t-elle perdu de sa blancheur ? Ou même nous voyons des balcons qui s'effondre ,ou même la Casbah n'est plus rien pour le tourisme ...
    Alors pour tenter de répondre à ces questions et à bien d'autres, Amokrane Hamiche nous a sillonné ses coins et recoins. Zoom sur la capitale. un jour comme un autre , Il est 10 h. Le soleil pointe d'ores et déjà son nez. Il fait chaud en cette journée ramadhanesque. Mais cela n'a pas empêché les citoyens de sortir.es rues tout comme les magasins grouillent de monde. Une véritable marée humaine circule à travers Algerqui n'est plus la blanche aux seins des Français d'Algérie . Pas un espace de libre. C'est un fait compréhensif : il s'agit du mois de Ramadhan.Les citoyens préfèrent sortir que de rester enfermés à l'intérieur de leurs maisons.Qui pour aller au marché qui pour visiter les magasins «d'à côté», une seule finalité les anime : faire les courses du jour et tuer par la même occasion le temps en ces journées longues et ennuyeuses du mois sacré.Histoire de faire d'une pierre deux coups. Cependant, à travers les artères de la capitale, un phénomène, plutôt un mal récurrent, vient se mêler au décor coloré de la ville : la saleté.Ce n'est point un effet de mode, mais bel et bien, une réalité que nous avons constatée de visu lors de notre randonnée dans les différents quartiers d’El Bahdja. Une situation que nous vivons quotidiennement.Des «collines» d'ordures sont visibles à l'oeil nu. Il n'y a pas un seul espace qui sort de ce nouveau décor. Aucun secteur n'échappe à ce nouveau look qui, le moins que l'on puisse dire, est déplaisant.La «Blanche» a changé d'habit pour revêtir, hélas, celui de la malpropreté. Un renversement de la situation incroyable. Un scénario remarquable qui ne laisse personne indifférent : Alger la «Blanche» ne l'est plus. Elle a perdu de sa beauté, sa propreté, de son image d'antan avec les Français...
    Alger est devenue tout bonnement invivable, inhabitable, une immense favela… Et tutti quanti.Des bacs à ordures parsèment nos rues. Cette image hideuse de la capitale n'est nullement fortuite, mais elle est due à certains facteurs aussi bien humains que matériels. La faille existe réellement. Tel un patient atteint d'une maladie incurable, Alger meurt à petit feu.L'amertume de la chose n'altère en rien sa véracité et les autorités ne sont pas les seules responsables, la population aussi», avant de le dire franco : «Nous ne sommes pas éduqués. Encore un long chemin à parcourir afin que nous puissions assimiler les vertus du civisme». Le constat de notre ami du jour ne fait pas l'unanimité au sein de ses voisins du quartier.Et pour cause, ces derniers soutiennent à cor et à cri que les services de ramassage ne font pas bien leur travail. Preuve en est : «Ils (les services de ramassage) laissent des poubelles pour deux ou trois jours afin qu'ils passent pour les évacuer.C'est inconcevable avec toutes les maladies que cela pourrait engendrer», soutient un vieil homme, non sans indiquer que les poubelles d'immeubles, une fois vidées par les ramasseurs d'ordures sont projetées de façon brutale dans une indifférence totale, laissant échapper les dernières ordures de la poubelle mal vidée qui s'éparpillent sur la chaussée et les trottoirs». A quelques encablures de là, nous nous sommes rapprochés d'un groupe de jeunes afin de les interroger sur l'état de leur quartier, la Casbah.Leurs réponses ont été sèches : « On ne gouverne pas un peuple par la morale. Seul un budget conséquent pour le ramassage des déchets et des amendes salées peuvent faire d'Alger une capitale.A mon avis, les pouvoirs publics s'en foutent, alors que dire des citoyens ?», dira le Mohamed, le plus jeune du groupe. Même son de cloche chez Lamine, qui a tenu néanmoins à préciser un fait qui lui tient à coeur, pour reprendre ses propos : «Il est utile de dire que dans tout cela, ce sont toujours les pauvres citoyens qui paient les pots cassés, car hormis les quartiers populaires, nos responsables s'occupent soigneusement des quartiers où ils vivent.tout sur les moyens pour faire de leurs résidences un éden sur terre». Il n'est pas question pour lui de s'étaler plus sur ce sujet car les exemples sont légion : il cite entres autres, les quartiers du Golf, Hydra... «la liste est encore longue».Sur ces mots, toutefois lourds de sens, nous avons quitté la Casbah. Notre prochaine destination en cette journée de Ramadhan, la rue Didouche-Mourad. Mais avant, nous avons fait une halte à la place Emir-Abdelkader, «figure historique» de l'Algérie.C'est ainsi que nous nous sommes rapprochés de quelques personnes qui se trouvaient sur place. Notre question est claire comme l'eau de roche : pourquoi la capitale est-elle sale ?La réponse, plutôt les réponses ne se sont pas fait attendre. Dans la foulée, nous en avons retenu quelques unes : «Les Algérois et les Algériens sont des gens qui donnent une grande importance à la propreté, contrairement à une idée reçue. Seulement, ils le font uniquement chez eux. En dehors de la maison comme dit le proverbe arabe : «»Takhti rassi», a estimé un sexagénaire.Et l'autre de poursuivre : «Hélas ! Nous n'avons pas la notion de vie commune et l'idée que l'espace public appartient à tout le monde. Il m'est arrivé de rendre visite à des familles à Alger dans des bâtiments qui étaient dégeulasses mais l'intérieur de leurs appartements était nickel. Tel est l'amer constat».Avant qu'une autre voix s'en mêle pour mettre en relief le volet relatif à la surpopulation, dont souffre Alger : «Il ne faut pas oublier qu'Alger était conçue pour un nombre limité d'habitants, elle frôle aujourd'hui les 5 millions.Ce n'est pas la déchetterie de Oued Smar qui arrivera à recycler toutes les ordures ménagères ». Et ce n'est pas fini : «Le parc des véhicules de ramassage est vraiment obsolète et n'est même pas adéquat.Du temps du fameux GGA (Grand Gouvernorat d'Alger) de Chérif Rahmani, on a installé des poubelles au niveau de la rue Didouche, un mois après elles avaient toutes ou presque disparu», a souligné un citoyen, à la place Audin.Faudra-t-il, donc la mise en place d'un arsenal juridique sanctionnant ce genre de comportements : «Il faut de la répression mais une éducation s'impose», a-t-il suggéré. «Le ramassage des ordures est avant tout une question d'organisation et de management, que ce soit à l'intérieur de la maison qu'à l'extérieur.Il est temps que les gens apprennent à se comporter de façon civilisée, à commencer par la manière avec laquelle ils évacuent leurs ordures», a-t-il conclu.Les archés des produits alimentaires sont la source de tous les maux. Fréquentés assidûment par les citoyens, les marchés des produits alimentaires constituent l'une des principales causes de l'état d'insalubrité très avancé de la capitale.Il suffit d'une virée sur ces lieux pour s'en rendre compte : Un véritable drame à ciel ouvert, les dégâts sont énormes. L'hygiène n'a pas de place parmi les autres règles que les commerçants sont tenus de respecter.Peine perdue.La propreté est la dernière préoccupation des marchands. Attirés par le gain, rien que le gain, ces commerçants sans scrupules ne se soucient point de l'environnement ambiant.Une fois que le marché «tire à sa fin», ces derniers laissent à même le sol, et sur n'importe quelle place, les résidus de leurs marchandises et autres articles de tout acabit. Et c'est ainsi que des montagnes d'ordures s’y forment, rendant la vie insupportable aux riverains. Car, la majorité des marchés algérois se situe à proximité d’habitations.Le constat est amer.Pourquoi amer ? Parce que ces endroits, censés être des lieux de propreté par excellence, se sont avérés être le contraire : les lieux les plus sales, voire même des sources de la saleté dans les quartiers. Témoignage : «J'habite à proximité d'un marché et sincèrement, c'est pas facile d'y vivre et de mener une vie normale. Les ordures sont disséminées dans tous les coins du quartier. Aucune place n'est épargnée.Trouver un endroit propre relève de l'exploit », nous a fait savoir Salim, habitant à Bab El Oued. Pour lui, la majorité des ordures provient du marché de proximité. «Je comprends bien la situation des jeunes chômeurs qui viennent ici pour gagner quelque pitance de plus.Cependant, ces derniers se doivent, une fois le marché fermé, de ramasser leurs déchets et les remettre dans des poubelles. Ce n'est pas la mer à boire, comme mission», a-t-il dit. Il est midi.La journée est loin d'être terminée. Il nous reste encore d'autres escales. Notre future cible n'est autre que le marché de fruits et légumes de Bachdjarrah. A notre arrivée sur les lieux, nous sommes étonnés par la foule nombreuse qui s'y trouve. Il nous a été expliqué que l'affluence est quotidienne, même avant le Ramadhan.Il s'agit là de notre première stupéfaction. En sillonnant les recoins du marché, nous sommes attirés par un autre fait qui ne diffère point de celui constaté à Bab El Oued et Alger Centre : les lieux sont malpropres.On s'est demandé d'ailleurs comment les ménages procèdent à l'achat de produits alimentaires tout en sachant que l'hygiène est quasiment absente. Réponse : «Les prix de ces produits sont largement inférieurs à ceux affichés sur d'autres étals. La cherté de la vie pousse nombre de familles à venir ici pour s'approvisionner », nous avait-on expliqué. No comment. Ce fut notre deuxième stupéfaction.La saleté règne donc en maîtresse des lieux. Des «collines» d'ordures sont dispersées un peut partout dans le marché. Les citoyens ne semblent point embarrassés par cet état de fait et continuent de faire leurs emplettes.Ceux que nous avons pu interroger répondent : «Nous sommes en Algérie», une sentence évasive, ô combien lourde de sens. C'est le cas à El Harrach où un vieil homme qui, d'une manière ironique, nous a dit ceci : «Tout va bien, tout baigne. Ici, c'est l'Algérie…», laissant sa phrase en suspens.A Bachdjarah, la situation de saleté de ces quartiers est expliquée par les autorité locales par le triptyque : Civisme des citoyens, insuffisance des moyens et enfin le marché informel. Les citoyens, aux dires d'un responsable de la commune, sont également responsables. Comment ? «Ils ne laissent pas les services de ramassage pénétrer dans leur cité», a-t-il indiqué.Il est hors de question pour lui d'établir une comparaison avec les autres communes de la wilaya d'Alger. Pour la simple et bonne raison que «Bachdjarrah est une commune surpeuplée avec pas moins de 97 000 habitants. Son budget financier, très limité, ne correspond pas aux besoins réels de la population.A cela s'ajoute l'aspect urbanistique très exigu d'une partie des habitations», argue-t-il. Notre virée dans la capitale s'achève. Ce qu'il faut retenir c'est que la capitale va mal. Les pouvoirs publics, par leur laisser-aller, ont la part du lion de responsabilité de cet état de fait.Les citoyens, par manque de civisme, sont également responsables.

    L'urgence maintenant est de retrousser les manches pour sortir Alger de cet abîme et lui redonner son faste d'antan ,mais voilà !

    Posté par: Pieds Noirs 9A .. L’Algérie ,demain la France voulue par la majorité de son peuple !

     


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  • M. Macron, je vais vous raconter ma famille de criminels contre l’humanité

     par  -
     
    Monsieur Macron,

    J’ai longuement réfléchi avant de vous adresser ce courrier. Il est tellement difficile de reconnaître ses crimes… Mais votre remarquable, lucide, mesurée et sage intervention d’Alger a réussi à m’en donner le courage.

    Et voilà, grâce à vous et à cette extrême rigueur qui vous honore, je me suis enfin décidé. Mais par quel bout commencer ? Car il ne s’agit pas de reconnaître un simple et banal petit crime de rien du tout, mais bien hélas de confesser une monstrueuse série de crimes. Crimes contre l’humanité, qui plus est ! Et qui s’étendent, comme vous l’avez pressenti, sur plusieurs générations…

    Je trouve, entre parenthèses, que votre déclaration télévisée et mondialement diffusée était d’ailleurs bien timide. « Crimes contre l’humanité », « barbarie », peut-être que, lorsque l’on a décidé de salir sa propre patrie sur une terre étrangère, faut-il encore prendre quelques gants.

    Mais au fond je pense que vous avez bien agi et qu’ainsi, par ces mots odieux dont vous ne pourrez plus jamais vous détacher et qui désormais vous poursuivrons, vous êtes parvenu à payer le juste prix de ces dizaines de milliers de voix dont vous allez avoir grand besoin dans quelques semaines. Chacun reçoit les trente deniers qu’il peut, car il n’est pas de petit judas… Mais pour le grand politicien que vous êtes, cela n’est que broutille.

    Venons-en maintenant à mes propres aveux. Vous l’avez compris, je fais partie de ce million de Français d’Algérie qui , les mains rouges du sang de nos esclaves musulmans, ont pris en 1962 le juste chemin de l’exil. Certes, ma culpabilité est presque mineure par rapport à celle de mes ancêtres ; je n’avais alors que vingt ans. Mais rassurez-vous, conscient de ma prédestination et du châtiment qui s’approchait, j’ai mis les bouchées doubles.

    J’habitais dans le faubourg d’Eckmühl, quartier très populaire d’Oran. Imaginez un peu : Il y avait en ce petit bout de France à peu près autant de représentants de chacune des trois communautés (comme l’on dit aujourd’hui). Imaginez l’horreur : on jouait ensemble, et souvent même on était copains.

    Pis encore : on fréquentait les mêmes écoles et les mêmes classes ! N’est-ce pas là le plus grand des crimes contre l’humanité qui se puisse rêver ? Mais vous avez certainement compris que si nous cohabitions ainsi, c’était pour humilier un peu plus les fils de nos esclaves.

    Mon père est né aussi à Oran. Porté par sa vocation de futur criminel contre l’humanité, il commença à travailler à 14 ans, et je vous passe dans quelles conditions. Après son retour d’une seconde guerre mondiale à laquelle il donna volontairement quelques années de sa courte vie, c’est à ma naissance qu’il entra comme ouvrier ajusteur-mécanicien à l’usine Berliet d’Oran, et comme vous l’imaginez, pour un salaire royal.
    Mon infâme exploiteur de père n’hésita pas à vivre les mains dans le cambouis, et les oreilles brisées par le bruit permanent des moteurs.

    Crime contre l’humanité : 48h de travail par semaine. Autre crime contre l’humanité : son chef d’atelier se prénommait Miloud (très important : à souligner dans son dossier d’accusation). Son dernier crime contre l’humanité : il mourut de tuberculose et un peu d’épuisement lorsque j’ai eu quinze ans. Il en avait cinquante trois ; il en paraissait soixante-dix. Quelle barbarie…

    Sans doute enrichie dans le commerce des esclaves, ma mère put ensuite acheter une gigantesque épicerie de 16m2. Sans doute encore pour humilier un peu plus ses nombreux clients musulmans, elle ne baissait son rideau qu’entre 21 et 22h, été comme hiver. Quelle horreur, quelle barbarie, devez-vous penser avec raison ! Mais elle ne s’en tint pas là, elle aussi ayant l’âme d’une grande criminelle contre l’humanité, elle laissa piller notre magasin et échappa de justesse à une (juste) mort ; C’était fin juin 62.

    Quelques jours plus tard, elle échappait de nouveau à une seconde (juste) mort : le 5 juillet 62, jour de justice comme vous devez les apprécier sans doute, où un petit millier d’autres Français d’Algérie, coupables d’une multitude de crimes contre l’humanité, furent enlevés et assassinés au hasard des rues. Mille morts…, hommes femmes enfants mêlés, c’est peu cher payé sur une population locale de plus de deux cent mille criminels contre l’humanité.

    Leurs dépouilles justement martyrisées furent jetées au lieu-dit du Petit-Lac à Oran. Mais foin de ces salauds, il est tout à fait compréhensible que vous ayez plutôt choisi de déposer une gerbe sur la tombe de Roger HANIN ; lui peut être exempté du chef d’accusation de crime contre l’humanité, puisqu’il eut la bonne idée de définitivement quitter son Alger natal dès 1951. C’est sûrement pour cela que vous n’avez pu déposer la moindre fleur sur ce charnier d’Oran…

    Je suis à peu près certain que vous avez dû en débattre longuement avec vos honnêtes interlocuteurs du désormais provisoire gouvernement d’Alger. Et que vous avez sûrement obtenu d’eux la prochaine ouverture des archives algériennes toujours inaccessibles.
    Mais non, c’est idiot, surtout pas ! Sans doute ces dignes personnages craindraient-ils d’aggraver notre cas devant votre tribunal. Ah, les braves gens…

    Revenons aux barbares et autres criminels de ma famille. Mon grand-père, né en 1875 à Tlemcen, qui assouvit ses pulsions morbides et racistes en posant les voies du chemin de fer d’Algérie (CFA) durant plus de vingt ans.
    Mon arrière grand-père né en 1852, qui connut lui aussi une dure vie criminelle de forgeron maréchal-ferrant. Selon les souvenirs trafiqués de mon odieuse famille, il mourut d’ailleurs des suites d’un mauvais coup de pied de cheval. Pas si bête la bête, déjà un criminel contre l’humanité en moins.

    Le grand-père du grand-père enfin. Celui-là, on ignore presque tout de sa vie ; il parait qu’il ne savait pas écrire. Bien fait pour ce tout premier criminel amené à sévir en cette pacifique et paisible terre algérienne !

    Né en 1820 en Pologne, et sans doute avide de débuter une longue carrière de crimes contre l’humanité, il fuit Lwow et ses réguliers pogroms, traversa l’Europe à pied à 20 ans, et se retrouva deux ou trois ans plus tard dans une immonde cahute de torchis près de Tlemcen.
    Esclavagiste dans l’âme, il parvint très vite cependant à nourrir une belle engeance de futurs criminels colonialistes. C’est lui la source originelle de mon épouvantable lignée d’ancêtres, et dont la belle carrière criminelle a dû servir de modèle à tous les Himmler de l’Allemagne nazie.

    Ce dossier est bien long ; vous m’en excuserez. Mais votre acte d’accusation doit être circonstancié et précis. J’espère y avoir contribué.
    A quand les débuts de cet immense procès qui devrait éclipser son modeste précédent de Nuremberg ? Je compte sur vous pour y tenir la digne et haute fonction de procureur général (Président de la République Procureur Général, pas mal comme titre…), mais connaissant votre calme, votre sagesse d’orateur et vos grandes capacités de saine réflexion, vous n’aurez aucune peine à surpasser la pourtant belle performance de M. Robert Houghwout Jackson.

    Quand les sbires de votre future police viendront m’arrêter, prévenez-les quand même que je suis prêt à signer tous les aveux qu’ils voudront. Et que je suis même volontaire pour témoigner contre tous ces fichus Pieds-noirs que je n’ai même pas connus.
    Barbare émérite, criminel contre l’humanité moi-même, je sais de quoi, dès le berceau, ce million de criminels était capable, et jusqu’à la valise ou au cercueil…

    Permettez-moi pour finir de souligner respectueusement une terrible fausse manœuvre de votre part : redire à des Pieds-noirs pensant les séduire « Je vous ai compris », cela m’a laissé pantois. Là, vous m’avez déçu. Je suis à peu près certain que cette bande de salopards criminels (dont je suis) va vous en vouloir longtemps.

    De plus, la citation est douteuse dans sa portée. N’est-ce pas Alain DUHAMEL qui, en décembre 2009, qualifia le Général auteur de cette funeste phrase, de plus grand traître de l’histoire de la France moderne ? Justement pour cette phrase de juin 1958, et son comportement ultérieur en Algérie.
    Mais ce grand homme reste bien excusable, lui qui savait déjà l’emprise qu’exerçait sur ce malheureux pays notre innommable bande de barbares et de criminels contre l’humanité…

    Ah , deux détails encore à vous signaler pour votre futur réquisitoire . Au moment des fêtes pascales communes aux juifs et aux chrétiens, nos quartiers populaires et néanmoins criminels devenaient le lieu d’un échange qui incluait également la communauté musulmane : pendant quelques jours s’offraient triangulairement mounas, zlabias, makrouds et autres galettes azymes.

    Grâce à votre révélation, je me demande maintenant si ma mère n’enrichissait pas sa production de quelques pincées de poudre de zyklon B. J’ai maintenant un doute…

    Second détail : Toujours très barbares, les vieux criminels contre l’humanité ont pris l’habitude de retourner de temps en temps en Algérie sur les lieux de leur enfance et de leurs innombrables crimes. Et comme vous le devinez sans doute, ils sont toujours plus que chaleureusement accueillis par leurs vieilles victimes. C’est tellement évident et logique, n’est-ce pas ?

    Qui dois-je saluer ? Le Procureur ou le futur Président de la République ? Dans le doute je saluerai les deux hautes fonctions.
    Gérard ROSENZWEIG
    Cinquième génération, dont quatre nées en Algérie.
    Toutes les cinq Algérie-Française sans le moindre scrupule.

    https://ripostelaique.com/m-macron-je-vais-vous-raconter-ma-famille-de-criminels-contre-lhumanite.html


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  • AVOCATS : JUSTICE ET SNCF

     Au moment où certains élus,  pas partout,  encore heureux,  de la profession d’avocat  appellent à la grève,  sous le drapeau rouge des syndicalistes de la S.N.C.F., je voudrais leur rappeler, pardon leur apprendre, ce qu’ils défendent ainsi.

    Le statut des personnels de la S.N.C.F. concerne 140.000 personnes. Deux fois et quelque chose plus que les avocats. Et pourtant nos sommes beaucoup trop nombreux…

    Ils disposent de la garantie de l’emploi, du 13è mois de salaire, d’une gratification de vacances, d’avantages pratiques médicaux, divers et variés, de R.T.T. importants, ce qui n’empêche nullement leur taux d’absentéisme, le plus élevé de la moyenne nationale, soit 24 jours/an pour l’ensemble des personnels de la S.N.C.F.,  contre 17 pour l’ensemble des Français.

    Les agents de la S.N.C.F. peuvent partir à la retraite à 52 ans s’ils sont conducteurs de trains, et 57 ans pour tous les autres, y compris ceux qui donnent  tranquillement des coups de tampon,  ca et là.

    Leur pension de retraite est calculée sur la base des six derniers mois d’activité,  en incluant une grande partie des primes.

    Bien sur, ils disposent de la gratuité des  transports, qu’ils soient en activité ou à la retraite.

    La dette de la S.N.C.F.,  que nous payons tous contribuables par nos impôts,  est de 50 milliards d’euros.

    Il faudra vérifier, mais je suppose que la caisse de retraite des avocats, puisqu’elle est bénéficiaire, par nos cotisations, je dis bien nos cotisations, doit abonder à l’équilibre du régime de retraite des cheminots,  dans le cadre de la sur cotisation patronale.

    En tout cas, l’Etat verse,  de son coté,  une subvention d’équilibre qui pour 2017, et c’est chaque année pareil, s’est élevée à 3,2 milliards d’euros. Uniquement pour payer les grasses retraites des cheminots.

    Pour mémoire, je signale à nos confrères  grévistes et bêlants, certains bâtonniers en tète,  que :

    • L’ensemble du budget TOTAL de la justice, y compris s pour payer les traitements des magistrats et des greffiers et le reste, s’élèvera à 7 milliards d’euros en 2018.
    • L’estimation du C.N.B. pour 2014, à ma connaissance,  dernier chiffre connu,  de l’ensemble des revenus du travail de toute la profession d’avocat,  était de l’ordre de 4 milliards et demi d’euros.

    Soit un tiers de plus que la seule participation de l’Etat français au déficit du seul régime d’assurance vieillesse des cheminots.

    Alors, un peu de décence. Au moins que le vent de connerie générale qui souffle actuellement au barreau cesse le plus vite possible.


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  • Le procès des agresseurs de Marin se déroulera à huis-clos

    Publié par: PN 9A ..

    Le 11 novembre 2016, à la sortie de la gare de « La part-Dieu », à Lyon, Marin Sauvageon, qui venait de fêter ses vingt ans quatre jours plus tôt, s’était porté au secours d’un couple qui s’embrassait en public et était violemment agressé par un groupe de cinq jeunes maghrébins qui exigeaient que l’on respecte la « Police de la Charia ».

    La bande des cinq jeunes l’avait poursuivi jusque dans le bus et l’un des agresseurs, un jeune de 17 ans, l’attaquait dans le dos, lui explosant littéralement le crâne à l’aide d’une béquille.

    Laissé pour mort, Marin fut hospitalisé en quasi mort cérébrale, le pronostic vital engagé, à l’hôpital Edouard Herriot puis opéré à l’hôpital de neuro-cardiologie de Bron.

    Après 5 semaines en réanimation, Marin est enfin sorti du coma près de deux mois plus tard et n’a survécu qu’après qu’on lui a ôté ¼ de la boîte crânienne. Il devra porter pour le reste de sa vie un casque protégeant son cerveau, désormais à nu.

    Handicapé à vie, avec des séquelles très importantes sur le plan moteur et cognitif : perte du sens de l’équilibre, pertes de mémoire irréparables, Marin ne peut, dorénavant, que s’exprimer très difficilement, son débit est lent.

    Il subira une nouvelle opération crânienne prochainement, après l’échec de la première intervention, infection et retrait d’une partie de l’os crânien et pose d’une prothèse définitive, un volet crânien en céramique. Il s’agira de sa quatrième trépanation en quinze mois.

    Marin était un étudiant brillant, bachelier à 17 ans, avec mention « très bien », en troisième année de droit, il n’a pas reçu la visite de François Hollande, alors président de la République, qui s’était pourtant empressé de se rendre au chevet d’un Théo, ce soi-disant « empalé » par des policiers, un acte qui a bouleversé la France de toute la gauche, celle des artistes, des chanteurs, des politiciens, qui se mobilisent si promptement en fonction des origines et de la couleur (politique j’entends) pour soutenir les victimes, et même quelquefois, les accusés.

    Marin, lui, n’a pas de chance. Il n’a bénéficié d’aucun soutien de cette France-là. Il est « blanc », français de souche, catholique, honnête, courageux, et ce n’est pas la police qui l’a agressé et laissé pour mort !

    Le ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb, pourtant maire de Lyon à l’époque des faits, s’est souvenu de Marin Sauvageon un an plus tard. Fin novembre 2017 il lui a attribué la « Médaille d’Or » pour son acte de courage et de dévouement.

    Le procès des agresseurs de Marin, notamment du jeune de 17 ans, connu des services de police pour de multiples infractions et faisant l’objet d’un suivi judiciaire depuis plusieurs années, est prévu du 2 au 4 Mai 2018. Il se déroulera à « huis-clos » devant la Cour d’assises des mineurs pour « violences ayant entraîné une mutilation ou une infirmité permanente, avec usage d’une arme ».

    Marin Sauvageon sera représenté par l’avocat pénaliste Jean-Félix Luciani. On attend de savoir qui sera le célèbre avocat qui assurera la défense de l’agresseur principal, aux côtés de son avocat actuel, Me Anne Guillemat !

    Nous le suivrons de très près car celui qui s’est acharné sur Marin était mineur à l’époque de l’agression et l’on sait que les peines sont très réduites dans de tels cas !

    Accompagné par le cardinal Barbarin, archevêque de Lyon, Marin Sauvageon sera reçu par le Pape ce 11 avril.

    Il ne se passe pas une semaine sans que l’on déplore une agression, assassinat serait plus justifié, d’un innocent par une bande de jeunes : en mars, à Elbeuf (Seine-Maritime) c’est un handicapé de 60 ans, roué de coups pour lui voler… une cigarette. Il est mort quelques heures plus tard. Mardi 10 avril, en plein centre-ville de Metz, un couple attaqué, toujours par une bande de jeunes. L’homme, 40 ans, a été tué et la femme blessée. Pour quelles raisons ? Peu importe. Toujours ce mardi des policiers sont agressés à Besançon et le docteur Quynh Régent, urgentiste, roué de coups dans le Val de Marne, pour la huitième fois, et hospitalisé. A Saint-Brieuc, un agent de la SNCF menacé de mort, à Sigean, c’est un collégien qui sort un couteau et crie« Allah Akbar ». Je pourrais poursuivre cette liste non exhaustive car ne comptez pas sur les médias pour vous tenir informer, silence radio sur ordre.

    Il y avait des quartiers interdits en France, interdits aux forces de l’ordre, aux pompiers, aux médecins, etc. Aujourd’hui c’est la France qui devient interdite aux citoyens français, ils ne sont plus en sécurité nulle part ! Et ça ne fait que commencer…

    Manuel Gomez

    Source : ripostelaique


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  • Hassi-Messaoud 1959

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