• Loi sur l’immigration : la leçon d’histoire des derniers romains de l’Empire .

    Cet article est fort agréable à lire  .

    Malheureusement, il se base sur une analogie et un syllogisme

    La chute de Rome, et la chute de l'Occident...cette comparaison séduisante pour les latinistes et en retard d'un train, l'analogie a retenir est plutôt à faire avec Byzance, dans ce cas on verra l évolution sous un autre œil.

    Viser à l'effondrement de la puissance romaine n'a en effet pas produit le néant, mais un subtil développement alliant l'héritage Greco romain et la christianité .

    A ma connaissance les conversion des Empereurs et de chef francs comme Clovis ne se sont pas accompagnées de persécutions.
    Pour Byzance rien de semblable.....l'envahisseur est d'une autre nature, en témoigne le sort récent de Ste Sophie.

    Loi sur l’immigration : la leçon d’histoire des derniers romains de l’Empire .

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    Des milliers de personnes avaient manifesté lundi 18 décembre à Paris contre le projet de loi sur l'immigration.

     CARON/ZEPPELIN/SIPA
    Loi sur l’immigration : la leçon d’histoire des derniers romains de l’Empire .

    Par: Guillaume Malaurie

    EDITORIAL - A force de promettre pour demain la restauration des modèles d’avant-hier, nous nous dupons les uns les autres. La preuve par une version latine signée d’un haut fonctionnaire romain la fin de l’Empire : Rutilius Namatianus.
    SIPA_01138806_000012.jpgDes milliers de personnes avaient manifesté lundi 18 décembre à Paris contre le projet de loi sur l'immigration.

    C’est entendu : tous les sondages exigent des mesures dures pour juguler les flux migratoires. Et les mêmes enquêtes d’opinion plébiscitent ceux des politiques qui se font les plus intransigeants.
    En clair : si les dispositifs les plus contestables en matière de liberté individuelle ou de réalisme sanitaire - ne pas soigner un étranger porteur d’un virus épidémique, c’est exposer la société entière -, ne passent pas aujourd’hui, ils reviendront demain portés par une majorité compacte de combat. D’autant que l’idée d’une « majorité absolue » revient en grâce dans l’opinion face au souk parlementaire donné à voir dans l’hémicycle.
    82 % des pensent que la France est en déclin
    Une colère lourde proportionnelle au désarroi des Français face au futur : « 82 % des Français pensent que la France est en déclin, selon l’enquête Ipsos d’octobre dernier. Et c’est irréversible pour 34 % d’entre eux ».
    Projet de loi immigration : la gauche de la macronie retrouve un second souffle.

    Face à cet avenir plombé, qui peut vraiment croire qu’il suffirait de conditionner les prestations sociales à cinq ans de présence sur le territoire ou de restreindre l’aide médicale d’Etat aux sans-papiers pour retrouver le moral ? Qui peut croire à un revirement d’une opinion qui exprime depuis des années son mécontentement sur à peu près tous les sujets sauf le chômage qui n’est plus un sujet ! Comment imaginer que la perte de confiance à l’endroit de la plupart des politiques (Macron comme Mélenchon), hors Le Pen, puisse s’effacer à la faveur d’un accord bancal dans une Commission mixte paritaire ?

    Détour par un vieux grimoire de Rutilius Namatianus
    Pour sortir des lieux communs, j’invite à un détour par un vieux grimoire. Une sorte de poème écrit par Rutilius Namatianus (1), un notable gallo-romain du Ve siècle après J-C. Ce haut fonctionnaire de l’Empire part de Rome en bateau en 417 pour rejoindre ses propriétés en Narbonnaise. Et il évoque le grand Big Bang de son vieux monde en capilotade : le récent sac de Rome par les Goths (410) , la crise sécuritaire, l’omniprésence des migrants et ces chrétiens qui déstabilisent les antiques croyances païennes.
    Bref Namatianus décline le « Tout fout le camp ». Son bouc émissaire ? « Stilicon », un « général » romain coupable d’avoir mené sciemment une politique « immigrationniste » avant l’heure, pour avoir permis aux « barbares » d’intégrer l’armée et autres responsabilités dans la société romaine…

    Stilicon a introduit, dit-il, « un ennemi redoutable dans le sein même de la patrie désarmée, et par le mal qu’il lui faisait ainsi, se préparait des moyens de lui en faire davantage. Rome était livrée à ces barbares couverts de peaux ; elle était captive avant d’être prise ».

    Mais Namatianus qui voit tout et décrit tout de la débâcle de l’ordre ancien n’a qu’une seule et unique conclusion : la restauration à l’identique de l’ordre impérial de toujours. « Relève ta tête chargée de lauriers, ô Rome, et que tes cheveux blanchis se disposent sur ton front sacré, comme la chevelure d’une jeune déesse. »

    Namatianus a d’ailleurs des mots magnifiques pour dire Rome l’universelle d’antan : « Aux nations diverses, tu as fait une seule patrie ; les peuples qui ignoraient la justice ont gagné à être soumis par tes armes ; et, en appelant les vaincus au partage de tes droits, de l’univers, tu as fait une seule cité. »
    Du Hugo, du Mitterrand ou du Mélenchon dissertant sur la nation France !

    Ou encore : « Toi, dont les triomphes embrassent et civilisent le monde entier, tu fais de l’univers une vaste société ; c’est toi, déesse, toi que célèbrent tous les peuples devenus Romains ; tous portent une tête indépendante sous ton joug pacifique. » On dirait au choix du Hugo ou du Péguy ou même du Jaurès et même du Mitterrand ou du Mélenchon dissertant sur la nation France !
    Tout ça est bel et bien, mais c’était hier. Namatianus n’imagine pas une seconde que ce n’est pas l’Empire ressuscité d’Auguste mais précisément les royaumes romano-barbares européens, composés de Goths, de Francs, de Burgondes ou d’Alamans, qui vont sauver la Romanité, sa langue, son droit, sa littérature, sa philosophie, de la ruine de la vieille Rome. A commencer par le règne brillantissime de l’Ostrogoth Theodoric le Grand moins d‘un siècle plus tard.

    Namatianus est à ce point presbyte qu’il n’envisage pas non plus que l’Église chrétienne romaine puisse perpétrer l’idée de l’universalité perdue. Quand il décrit les moines de l’île de Capraia, il les traite de cafards, de lâches, de dépravés, de maniaques des papyrus orientaux parce qu’ils se détournent du forum, de la vie civique et du glaive vengeur. Des ermites qui ont, en outre, le défaut de lire et penser en grec et sont donc peu ou prou suspects à ses yeux de pervertir la Rome de souche.

    Attention, ne vous moquez pas de Namatianus. Nous sommes tous un peu des Namatianus. Nous imaginons l’avenir comme un copié-collé vaguement mis à jour de notre passé. Nous pensons le plus souvent l’avenir à reculons et nous nous réveillons toujours déçus. Mutilés. Trahis et donc à la recherche de coupables : un consul mou d’un genou ou un président faible, le dernier arrivé pas bien net sur lui…

    LIRE AUSSI Immigration en France : la vérité des chiffres
    De nos mythes et légendes d’avant-hier, nous ne sommes, bien sûr, pas tout à fait dupes. Mais ça rassure. Ça sert de Lexomil. Comme ça rassurait le brillant Namatianus. Puissions-nous tirer quelques leçons de l’illusion latine, nous qui savons maintenant que Namatianus s’est planté dans les grandes largeurs, que la nostalgie est un poison, que l’Histoire qui se fait n’est pas l’histoire qui se défait. Que l’Histoire est un métal que chaque nouvelle époque porte au fer rouge pour une nouvelle forge .
     
    https://www.challenges.fr/
     

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  • Agression : Oriane Filhol découvre le sentiment d’insécurité…

    Je me demande si ce ne serait pas plutôt un coup de méchants membres du RN ou de Reconquête, déguisés en Nord-Africains pour brouiller les pistes…

    Mais où va-t-on mes braves gens, si les racailles se mettent désormais à attaquer même ceux qui les soutiennent contre leurs propres concitoyens… et encore plus si l’agressée est une personnalité de « gôche » ?

    Non mais sans blague… cela ne leur suffit plus de s’en prendre aux vilains-Français-racistes refusant de les entretenir via leurs impôts, en échange d’insultes-coups-agressions… pouvant aller jusqu’au meurtre… nullement par méchanceté, simplement par « manque de codes » ? Il faut qu’ils s’attaquent à leurs soutiens ?

    J’y crois pas !

    C’est pourtant ce qui vient d’arriver à la gentille gauchiste Oriane Filholadjointe au maire socialiste de Saint-Denis dans le 93, agressée en pleine nuit (21 h 30) rentrant chez elle après une séance de travail.

    Se sentant suivie par plusieurs hommes (deux au final)… elle se dirige vers le domicile proche d’un ami.

    À quelques mètres du lieu, elle a subi une balayette, avant de recevoir des coups de pied au niveau du visage et du corps. Ses agresseurs étaient de type nord-africain et portaient des masques chirurgicaux. Ils ont pris la fuite sans qu’aucun vol n’ait été commis et ont rejoint une berline noire conduite par un troisième individu. La plaque d’immatriculation du véhicule a permis d’identifier les agresseurs…

    https://www.bvoltaire.fr/saint-denis-une-adjointe-au-maire-ps-passee-a-tabac-en-pleine-rue/

    Mais nous n’en saurons pas plus pour l’instant… l’AFP pratiquant toujours une pudeur de bon aloi sur certains détails « sensibles »… sauf quand ils concernent des « Vladimir » ou autres prénoms bien européens…

    Oups ! Madame l’élue vient de faire brutalement connaissance avec le « sentiment d’insécurité » tant reproché aux citoyens lambda, notamment par ceux qui d’ordinaire se sentent tellement à l’abri de vilaines actions de leurs petits protégés… qu’ils en sont sûrement « sur le cul » après cette terrible nouvelle.

    Qui donc en effet aurait pu prévoir que madame Filhol, responsable de la solidarité… donc de l’attribution des subventions… lesquelles, en toute justice (de gauche) vont essentiellement aux généreuses associations humanistes, tellement bien sous tous rapports… qu’il n’est même pas question de leur demander (et encore moins exiger) des comptes sur leur gestion desdites généreuses subventions… serait victime d’une si sauvage agression :  balayette (coup de pied porté au niveau de la cheville ou du tibia de quelqu’un pour le faire tomber), puis coups de pied au niveau du visage et du corps.

    Plus de peur que de mal, puisque l’élue s’est rendue à l’hôpital, d’où elle est sortie depuis… aucune atteinte à sa vertu n’ayant eu lieu (ce qui est exceptionnel… ce type d’agresseurs n’étant pas connu pour la finesse de ses goûts dans ce domaine), le choc est très certainement bien plus moral que physique.

    D’autant plus qu’en pleine campagne d’alertes tous azimuts des citoyens sur le méga-danger représenté par l’ultra-droite (n’ayant encore tué personne, mais avec eux mieux vaut prévenir que guérir !), c’est quand même hyper-vexant d’être attaquée par des potes… et que contrairement au meurtre de Thomas à Crépol, des détails ont fuité, non pas sur le prénom des agresseurs, mais sur leur type… (lequel devait être particulièrement aveuglant pour être discerné malgré des masques chirurgicaux…).

    C’est d’ailleurs tellement extraordinaire que l’info est même parue au Canada… c’est dire l’impact mondial de cette atroce violence !

    https://www.journaldemontreal.com/2023/12/21/emoi-apres-lagression-dans-la-rue-dune-elue-en-france

    Mais c’est quand même ballot, non, pour de tels idéalistes ! Se faire alpaguer par ceusses à qui précisément ils s’évertuent de toujours trouver des excuses pour justifier leur actes inqualifiables, les transformant en « maladresses »… à cause de tous ceux qui leur font des misères, à commencer par d’incessantes critiques stigmatisantes et d’odieux amalgames à propos de tout.  

    Pour noyer le poisson, il se murmure officiellement que « le motif de l’agression n’est pas clairement établi » !

    Ah bon, deux mecs qui tabassent une femme en pleine rue, de nuit… c’est juste une nouvelle façon de draguer, peut-être ?

    Pour beaucoup de citoyens, c’est pourtant clair comme de l’eau de roche ; pour ce genre de gus, il suffit d’être du genre féminin pour ouvrir immédiatement en eux les vannes de la violence dominatrice qui sommeille toujours en eux (mais que d’un œil) pour affirmer leur prétendue supériorité masculine, avec toujours les mêmes arguments de conquête, leurs poings ou leur couteau !

    Il s’agit, désormais, de déterminer le motif de l’agression, car si l’adjointe a été agressée en tant qu’éluela réponse pénale sera plus sévère… qu’ils nous disent, révélant au passage que pour eux l’agression d’une élue est nettement plus grave que celle d’une simple citoyenne « qui n’est rien ».

    Curieux que la chargée de « l’accès aux droits » et du « droit des femmes », socialiste de surcroît, cautionne ce genre de « préférence » !

    « L’engagement des élus de Saint-Denis pour mener à bien leur mandat est total. Rien ne fera reculer leur détermination. Les auteurs de cette agression lâche doivent être appréhendés le plus rapidement possible et sanctionnés par la Justice », a déclaré, dans un communiqué, la mairie de Saint-Denis.

    https://www.lefigaro.fr/faits-divers/saint-denis-une-adjointe-au-maire-passee-a-tabac-en-pleine-rue-20231221

    On en reparle bientôt… ou bien dans cinq ans, lors du procès des deux voyous !

    En même temps, on peut aussi se demander si dans le noir il n’y pas eu confusion, et si, apeurée par des pas derrière elle, et persuadée qu’elle était suivie par de féroces « estrèmedroates » dont on a toujours tout à craindre (d’après ses pairs de la bien-pensance…), Oriane n’aurait pas un peu provoqué ses suiveurs en les traitant de sales racistes ou autres anathèmes sympathiques dédiés exclusivement aux ultras…

    Même Christophe Béchu (???) ministre de la Transition écologique, a fait part de son « effroi » et de sa « profonde colère », avant de condamner : « La violence contre les élus est une honte pour notre République ».

    Ben voyons ! agressez, violez, zigouillez, qui vous voulez chez les gens de rien, mais pas touche aux élus !

    Sympa ce bonhomme…

    Des fois je rêve que je suis un Nord-Africain, donc intouchable, en maraude la nuit… de préférence du côté des ministères où les forçats du gouvernement travaillent d’arrache-pied jusqu’à plus d’heure, pour le respect des valeurs de « leur » République.

    Josiane Filio, au nom de la Liberté d’expression

    Riposte Laique


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  • Quatorze morts dans une fusillade à Prague, l’assaillant retrouvé mort

    Un homme armé âgé de 24 ans a tué jeudi 14 personnes dans la prestigieuse université Charles de Prague avant d'être retrouvé mort sur place par les forces de l'ordre, ont annoncé les autorités, qui ont écarté la piste du « terrorisme international ».

    Un bilan précédent, qui faisait état de 15 morts, a été révisé à la baisse dans la soirée par le chef de la police, Martin Vondrasek, qui a déclaré à la presse : À l'heure actuelle, je peux confirmer qu'il y a eu 14 victimes de ce crime horrible et 25 blessés, dont dix graves.

    Cet acte de violence, qui s'est produit en plein centre historique de la capitale tchèque, a provoqué une intervention massive de la police, lourdement armée. La fusillade a éclaté à la faculté des arts, située à proximité de sites touristiques majeurs tels que le pont Charles, qui date du XIVe siècle.

    Rien n'indique que ce crime soit lié au terrorisme international, a déclaré à la presse le ministre tchèque de l'Intérieur, Vit Rakusan.

    M. Vondrasek a indiqué aux journalistes que la police avait commencé à rechercher le futur assaillant avant même la fusillade après que son père eut été retrouvé mort dans le village d'Hostoun, à l'ouest de Prague.

    Le tireur est parti pour Prague en disant qu'il voulait se suicider, a dit M. Vondrasek.

    Les policiers ont d'abord fouillé le bâtiment de la faculté des arts où le meurtrier devait assister à un cours, mais ce dernier s'est rendu dans un autre bâtiment, situé à proximité, et les policiers ne l'ont pas trouvé à temps.

    À 14 h 59 [heure locale], nous avons reçu les premières informations sur la fusillade, a indiqué M. Vondrasek, ajoutant que l'unité d'intervention rapide est arrivée sur les lieux dans les 12 minutes qui ont suivi.

    À 15 h 20 [heure locale], les agents qui participaient à l'opération nous ont parlé du corps immobile du tireur, a-t-il précisé, ajoutant que selon des informations non confirmées, il s'était suicidé.

    Citant une enquête menée sur des médias sociaux, M. Vondrasek a indiqué que le tireur s'était inspiré d'une affaire similaire qui s'est produite en Russie cet automne. Il a précisé qu'aucun policier n'a été blessé.

    La fusillade la plus grave depuis que la République tchèque est devenue un État indépendant, en 1993, a provoqué une vague d'émotion dans le monde.

    Le président tchèque s'en est dit choqué.

    Je suis choqué par ces événements [...]. Je voudrais exprimer mon profond regret et mes sincères condoléances aux familles et aux proches des victimes de la fusillade, a déclaré Petr Pavel, qui achève jeudi une visite de deux jours à Paris, sur le réseau X.

    Pour sa part, le premier ministre Petr Fiala a déclaré ceci : Ce tireur isolé [...] a pris la vie de jeunes personnes. Il n'y a aucune justification à un acte pareil.

    Réactions à l'étranger

    À Washington, la porte-parole de la Maison-Blanche a assuré que le président [Biden] et la première dame prient pour les familles qui ont perdu des êtres chers et pour tous ceux qui ont été touchés par cet acte de violence insensé.

    La cheffe de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a adressé à Prague un message de compassion. J'exprime mes plus sincères condoléances aux familles des victimes et au peuple tchèque dans son ensemble. Nous nous tenons à vos côtés et pleurons avec vous, a-t-elle écrit dans son message sur le réseau X.

    Le président français Emmanuel Macron a lui aussi exprimé sa solidarité avec le peuple tchèque, tout comme de nombreux autres dirigeants européens, dont le président ukrainien Volodymyr Zelensky.

    Bien que la violence massive avec recours à des armes à feu soit inhabituelle en République tchèque, ce pays en a connu quelques cas ces dernières années.

    En 2015, un meurtrier de 63 ans avait abattu sept hommes et une femme avant de se suicider dans un restaurant de la ville d'Uhersky Brod, dans le sud-est du pays.

    En 2019, un homme avait tué six personnes dans la salle d'attente d'un hôpital de la ville d'Ostrava, dans l'est du pays, une femme étant morte quelques jours plus tard. L'assaillant s'était suicidé par balle environ trois heures après l'attaque.

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