• 763 célébrités mortes après la vaccination au Covid ! Combien alors dans la population ?

    Si autant de personnes meurent rien que parmi les célébrités, qu’en est-il des anonymes et des inconnus qui ne sont pas publiés dans les médias ?

    Source : Kla.TV


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  • Réquisitoire contre la trahison du général de Gaulle en Algérie (1958-62)Posté par: Pieds Noirs 9A..

    Réquisitoire contre la trahison du général de Gaulle en Algérie (1958-62)

     RIEUNIER & ARGOUD
     
    Virginie Vota remet à l’honneur deux livres qui mettent en évidence la trahison du général de Gaulle.
     

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  • IMMIGRATION : ÇA NE COÛTE RIEN, C’EST L’ÉTAT QUI PAYE .

    L'immigration, une chance pour la France qu'ils disent ? Quand on se penche sur les comptes, l'addition est toutefois salée : le coût total de l’immigration s'élève à 32,8 milliards d’euros. Petite séance de calcul.
    © Sándor Csudai

    Dans un rapport de 2020, la Cour des comptes estimait le coût des immigrés légaux à 6,57 milliards d’euros pour 2019. La somme comprenait les montants investis dans les conditions d’accès et de séjour, l’accueil et l’intégration des populations déjà installées en France, soit une dépense de 23754 euros pour chacun des 276576 titres de séjour délivrés en 2019. Par comparaison, la même année, la France dépensait 751 milliards en mesures sociales pour ses 67 millions d’habitants, soit 11393 euros par tête. En moyenne, l’État dépense deux fois plus pour les immigrés que pour ses citoyens.

    LIRE AUSSI : Jean-Thomas Lesueur : immigration, une chance pour la France ?

    Heureusement, la plupart des immigrés travaillent. D’après le ministère du Travail, ils représentent 9 % de la population active occupée, soit 2,439 millions de personnes, qui touchent un salaire moyen calculé par l’Insee de 19300 euros par an, à qui il faut retirer 16,9 % d’aides publiques. Il reste 16038 euros par an. L’État prélève encore au moins 15 % via la TVA et autres prélèvements. Les immigrés rapportent donc 5,867 milliards. À ce stade, le total pour le budget de l’État est déficitaire de 700 millions. L’immigration clandestine est estimée entre 20000 et 200000 arrivées par an. Le stock de clandestins a été l’objet d’une estimation de coin de table en 1998, qui le situait entre 200000 et 400000 personnes. Pour le seul département de Seine-Saint-Denis, un rapport parlementaire de 2018 estimait que le nombre de clandestins oscillait entre 150000 et 400000. Dans son dernier avis sur le volet « asile, immigration, intégration et nationalité » du projet de loi de finances pour 2021, la commission des lois du Sénat a évalué que l’aide médicale d’État, qui donne aux étrangers un accès gratuit aux soins médicaux et hospitaliers spécifiques, a bénéficié à 334546 clandestins en 2019. Pour eux, on va débloquer 1,061 milliard d’euros supplémentaires. Cela fait plonger le déficit à 1,761 milliard.

    Selon l’Insee, les immigrés représentent environ 25 % des pauvres. Or, l’État dépense pour ces derniers. La lutte contre l’exclusion, les minima sociaux, les autres prestations de lutte, les mécanismes fiscaux ciblés sur les personnes en difficulté et les aides médicales représentent une dépense de près de 60 milliards. 25 % de ce montant représentent 15 milliards. Avec eux, le déficit du coût de l’immigration s’enfonce à 16,761 milliards. Sans que les Français ne soient jamais consultés, ils se sont retrouvés avec une population exogène sur leur sol. Selon l’Insee, les immigrés et les descendants directs d’immigrés représentaient en 2018 plus de 14 millions de personnes, soit 20,9 % de la population. Or selon le ministère de l’Intérieur, ils sont deux fois plus concernés par le chômage que les non-immigrés (16 % contre 8 %). Un coût pour les finances publiques de l’ordre de 3 milliards, à ajouter au déficit global de l’immigration, désormais à 19,761 milliards.

    Ajouté aux autres dépenses, ce montant porte le coût total de l’immigration à 32,8 milliards d’euros. De quoi payer les retraites

    Christophe Guilluy explique dans La France périphérique que la « surdélinquance des populations issues de l’immigration, notamment jeunes, est une réalité bien connue ». Impossible de connaître les origines ethniques des prisonniers en France. Mais nous savons que 25,8 % de la population carcérale a demandé un plateau-repas spécial ramadan en 2017. Et nous savons aussi que 59 % des musulmans sans diplôme ont jeûné pendant le ramadan 2019 (Statista, 2021). Si nous appliquons une règle de trois, force est de constater que les musulmans représentent 60 % des prisonniers. Les musulmans sont descendants d’immigrés. Au bas mot, ils impactent 60 % de la somme des budgets de la Justice et de l’Intérieur, soit 13 milliards d’euros. Ajouté aux autres dépenses, ce montant porte le coût total de l’immigration à 32,8 milliards d’euros. De quoi payer les retraites.


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  • Afflux de migrants en Alpes-Maritimes : le maire de Menton parle d’une « situation intenable », appelle Darmanin et Dupond-Moretti à venir afin de se rendre compte « de la pression migratoire »

    L’édile souhaite que les membres du gouvernement se rendent compte de “la pression migratoire” sur place afin de mettre en place de réelles solutions.

    Pour le maire de Menton, il est grand temps que l’État “se rende compte” de la situation à la frontière. Yves Juhel a adressé ce mercredi deux lettres à Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur, et Éric Dupond-Moretti, ministre de la Justice, afin de les alerter sur “la pression migratoire”.

    À deux pas de l’Italie, Menton “vit une situation intenable”, écrit l’édile. “La situation a hélas vocation à se dégrader et nous ne sommes pas en mesure, nous les collectivités locales, d’apporter une solution durable”, estime Yves Juhel dans son courrier.

    […] BFMTV


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  • Planning familial : après les hommes enceints, les « personnes ayant une vulve »

    Marie Delarue  

    C’est une jolie petite brochure très colorée, avec des dessins très réalistes pour nous aider à trouver la bonne voie dans les chemins de la vie. 

    Lesquels sont comme les voies du Seigneur : parfois impénétrables ; ou alors avec risques.

    Deux ans, déjà, que ce chef-d’œuvre circule, mais le Planning familial, toujours à l’affût des tendances sociétales qui nous font du bien, en conseillait, mercredi, la lecture sur son compte Twitter : « Quelques ressources qu’on aime beaucoup et qu’on partage volontiers. » Et ça, question partage, c’est un modèle du genre. Pardon, en son genre. Enfin… de son espèce. Non, ça ne va pas non plus. Bon, c’est un modèle, vous m’avez comprise.


    À ce sujet — Le Planning familial : à woke toute !

    Ça s’intitule « Sur le bout des lèvres », en sous-titre : « Petit manuel des infections sexuellement transmissibles entre personnes ayant une vulve ». À savoir « femmes cis, b.i.e.s, lesbiennes, non-binaires, hommes trans, pan ».

    Je le confesse, ma naïveté en la matière est grande et j’ignorais qu’on pût avoir une vulve sans être femme. Voyez comme je suis bête.

    Consciencieuse, me voilà donc partie à la pêche aux renseignements sur ces multiples identités. J’y ai découvert que « les personnes non binaires peuvent ne se sentir ni homme ni femme, les deux, ou toute autre combinaison des deux (sic) ». Là, je regrette qu’on ne soit pas plus explicite, car je ne vois pas de quelle combinaison il peut bien s’agir, même si l’on nous dit que le terme « désigne donc toutes les possibilités en dehors d’une identité strictement féminine ou masculine ». Quant aux « pan », qu’on dit aussi genderqueer ou gender fluid, ils.elles.iels « sont attirés par les hommes, les femmes, personnes non binaires, mais également tout individu ne se qualifiant pas par ces termes (resic) ».

    Et voilà pourquoi votre fille est muette, comme disait Molière… Bref, SOS Homophobie vole au secours de ce cheptel à l’aide de charmants dessins : femmes obèses, couples mixtes, êtres mamelus et barbus… Sans vouloir faire de discrimination, on notera cependant que sur ces illustrations de bon goût, les très moches adipeuses sont blanches de peau.

    Sur le fond (sans mauvais jeu de mots), la cause est hygiénique et sanitaire : « Le sexe entre personnes ayant une vulve est trop souvent perçu à tort comme sans risque alors que des contaminations sont possibles. L’absence de traitement en cas d’IST peut également avoir des conséquences importantes sur sa santé. » Raison pour laquelle SOS Homophobie « a imaginé ce manuel contenant des informations clés » et le met à disposition « dans les différents lieux LGBTI, auprès des délégations de SOS Homophobie et en téléchargement libre » sur leur site.

    Soyons clairs : je me fous de ce que mes contemporains font de leurs parties intimes, comme disait ma grand-mère. L’égalité citoyenne – la seule qui vaille – leur est acquise, ils peuvent comme tout un chacun se marier, se démarier, faire des enfants à deux, voire trois, voire tout seul. Ils peuvent en leur for intérieur se sentir monsieur, madame, mademoiselle, ou rien du tout, ça les regarde et je le redis, on s’en fout ! Du moins, on aimerait bien pouvoir.

    Hélas, tout ce cirque militant, payé par nos impôts, est relayé et encouragé par un Planning désormais ouvertement antifamilial, totalement inféodé aux associations LGBTQI+ pour une cause qui ne concerne qu’une infime minorité de citoyens. Et parce que le rire est parfois la seule arme qui nous reste, on finira sur le commentaire de The Stalker (Twitter) : « Au Planning familial, si tu baises pas avec des moches au moins une fois par semaine, t’as raté ta vie. »


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