• Mise en examen de Buzyn cassée : privilège de caste oblige !

    Mise en examen de Buzyn cassée : privilège de caste oblige !
     

    La Cour de Cassation a cassé aujourd’hui la mise en examen d’Agnès Buzyn, ancienne ministre de la Santé, sous un motif absolument hallucinant. 

    La ministre se voyait accusée de mise en danger de la vie d’autrui. La Cour de Cassation, manifestement aux ordres, a considéré qu’aucun texte n’avait obligé la ministre de la Santé à la moindre mesure de prudence ou de précaution… On en reste pantois. Les juges, qui pratiquent ici une incroyable et improbable justice de caste, absolvent donc les ministres de toute obligation de prudence et de protection vis-à-vis des Français… Ceux qui avaient encore confiance dans la justice de ce pays en seront pour leurs frais. C’est désormais officiel : « Selon que vous serez puissant ou misérable, les jugements de cour vous rendront blanc ou noir… » disait déjà La Fontaine en son temps. Trop, c’est trop ! Ne restons pas passifs devant cette atteinte majeure à la démocratie.

     Agnès Buzyn n’avait, selon la Cour de Cassation, aucune obligation de résultat

    La Cour de Cassation aurait voulu finir de convaincre les Français ordinaires que la Justice n’existe plus dans ce pays, qu’elle est aux ordres, qu’elle sert les puissants, qu’elle poigne les vilains… qu’elle ne s’y serait pas prise autrement. Alors que la Cour de Justice de la République avait mis en examen l’ancienne ministre de la Santé Agnès Buzyn pour sa désastreuse impréparation de la crise du COVID, la cour souveraine de la justice judiciaire vient de casser cette décision sur des motifs qui ne constituent rien d’autre qu’une arrogante, qu’une méprisante provocation lancée à tous ceux qui ont souffert en silence de l’incompétence de la ministre, prélude, il est vrai, à l’incompétence de bien d’autres ministres et bien d’autres hauts fonctionnaires demeurés impunis à ce jour.

    Agnès Buzyn : un bref rappel de son livre noir

    Rappelons quelques faits simples, pour que le même paysage soit bien campé pour tout le monde.

    Agnès Buzyn est l’épouse d’Yves Lévy, président de l’INSERM entre 2014 et 2018. À ce titre, il a inauguré le laboratoire P4 de Wuhan, d’où est probablement parti le virus du COVID-19. Ses conflits d’intérêt avec son mari seront tels que le dossier de la succession d’Yves Lévy à la tête de l’INSERM lui sera enlevé des mains. Nous sommes ici face au couple typique qui transforme l’intérêt général en vache à lait.

    Au début de 2020, Agnès Buzyn fait inscrire l’hydroxychloroquine, prescrite librement depuis des décennies sur la liste des substances vénéneuses. Comme par hasard, quelques semaines plus tard, l’hydroxychloroquine sera au centre des polémiques que l’on connaît dans le traitement du COVID. 


    Lorsque le COVID devient une pandémie, les Français mesurent l’impréparation de la ministre de la Santé, qui ne pouvait pourtant guère plaider l’ignorance de ce qui se passait à Wuhan, et découvrent avec stupéfaction que, si elle n’a pas oublié d’interdire l’hydroxychloroquine, elle a oublié de commander des masques… C’est ballot. 

    Rapidement, Agnès Buzyn abandonne son ministère pour prendre piteusement la tête de la liste En Marche aux élections municipales à Paris. Elle subit une cuisante défaite, ne parvenant même pas à être élue conseillère de Paris. Macron la recase finalement à l’OMS, le temps de réélire le directeur général. Petits arrangements entre amis dans la mondialisation des copains coquins.

    Les motifs stupéfiants de la Cour de Cassation

    En lisant les motifs par lesquels la Cour de Cassation justifie de casser la mise en examen d’Agnès Buzyn, on en reste pantois !

    Vu les articles 223-1 du code pénal et 80-1 du code de procédure pénale :

    38. Il résulte de la combinaison de ces textes qu’une juridiction d’instruction ne peut procéder à une mise en examen du chef de mise en danger d’autrui sans avoir préalablement constaté l’existence de l’obligation particulière de prudence ou de sécurité imposée par la loi ou le règlement dont la violation manifestement délibérée est susceptible de permettre la caractérisation du délit.

    39. Pour rejeter la requête tendant à l’annulation de la mise en examen de Mme [P] du chef de mise en danger d’autrui, prise notamment de l’inexistence d’une obligation particulière de prudence ou de sécurité prévue par la loi ou le règlement, l’arrêt attaqué se fonde sur les articles L. 1110-1, L. 1413-4 et L. 3131-1 du code de la santé publique, L. 1141-1 et L. 1142-8 du code de la défense ainsi que sur le décret du 24 mai 2017 relatif aux attributions du ministre des solidarités et de la santé.

    40. En statuant ainsi, la commission d’instruction, qui s’est référée à des textes qui ne prévoient pas d’obligation de prudence ou de sécurité objective, immédiatement perceptible et clairement applicable sans faculté d’appréciation personnelle du sujet, a méconnu les textes susvisés et le principe ci-dessus énoncé, pour les motifs qui suivent.

    Donc, la Cour de Cassation nous explique qu’une ministre de la Santé peut être parfaitement informée des risques d’une pandémie, interdire sciemment les traitements qui permettent de la combattre, ne commander aucun masque pour limiter la propagation du virus, mais n’avoir aucune obligation « de prudence ou de sécurité objective » vis-à-vis du phénomène en préparation. 

    J’invite tous les lecteurs à se reporter aux attendus de la Cour. Ils sont tout simplement confondants. Un ministre de la Santé serait, si l’on en croit la Cour de Cassation, un simple exécutant sans aucune responsabilité, sans aucune obligation de résultat. 

    Nous prendrons le temps d’approfondir cette question… mais on se demande quelle mouche a bien piqué la Cour de Cassation, si ce n’est celle de plaire au pouvoir au détriment de l’intérêt général…

    Comment la Cour de Cassation vient de tuer le reste de confiance en la Justice que nous pouvions avoir

    Donc, récapitulons, un ministre de la santé est là pour exécuter un budget, appliquer des procédures, pas pour mener des politiques d’intérêt général : 

    En cinquième et dernier lieu, le décret du 24 mai 2017 relatif aux attributions du ministre des solidarités et de la santé, qui dispose que ce dernier « est responsable de l’organisation de la prévention et des soins », et lui confie la charge d’élaborer, avec les autres ministres compétents, les règles relatives à la politique de la santé contre les divers risques susceptibles de l’affecter, n’a d’autre objet que de déterminer le champ de ses compétences.

    Traduction : le ministre de la Santé n’est pas là pour améliorer la santé, mais pour appliquer des règles !

    On hallucine ! jamais les juges n’avaient à ce point servi la soupe au pouvoir, en niant les évidences, en minorant quand cela arrange tout le monde, la responsabilité politique des ministres. Il est évident que cette décision est purement politique, et vise à protéger, dans un entre-soi coupable, qui constitue un scandale démocratique absolu, des ministres défaillants. On dirait Vichy qui absout les généraux de toute responsabilité dans l’effondrement face à l’ennemi. 

    Si certains Français conservaient, avec beaucoup d’efforts, un semblant de confiance dans l’institution judiciaire, la décision qui vient d’être prise dissipe désormais toute forme d’illusion. Nous sommes revenus à l’Ancien Régime ! »Selon que vous serez puissant ou misérable, les jugements de cour vous rendront blanc ou noir… » avait dit La Fontaine. Nous y sommes, sans autre forme de procès. 

    Les copains ministres d’Agnès Buzyn seront heureux d’apprendre qu’ils sont simplement chargés d’appliquer des règles, et qu’en aucun cas ils ne portent de responsabilité politique. Au fond, ils sont de simples bureaucrates aux ordres et aucun compte ne doit leur être demandé sur leurs défaillances.

    Injustice de caste contre Justice du peuple français

    On a bien compris la musique : Agnès Buzyn est protégée par la caste à laquelle elle appartient, et qui n’a plus aucune vergogne à s’affranchir des lois pour défendre ses privilèges. 

    C’est ce qu’on appelle la justice de caste. 

    Elle est prétendument rendue au nom du peuple français. Sauf que le peuple français n’obéit pas aux lois du copinage, du népotisme, qui consiste à oindre les malins et à poigner les vilains. La justice du peuple français obéit à l’article 15 de la déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen, qui précise :

    Art. 15. – La Société a le droit de demander compte à tout Agent public de son administration.

    Aujourd’hui, la Cour de Cassation a commis un grave déni de justice en nous privant du droit de demander compte à une ministre de sa désastreuse gestion de la crise sanitaire. Je sais bien que le cartel de la presse subventionnée cherche à masquer cette forfaiture en reprenant à son compte les éléments officiels de langage, selon lesquels Agnès Buzyn deviendrait témoin assisté. La réalité est que la Cour de Cassation l’a acquittée sans jugement, simplement parce qu’elle appartient à la caste, et que la caste ne s’estime pas soumise aux obligations républicaines. 

    Il est de notre devoir démocratique de combattre ce putsch institutionnel décidé par les juges. De le combattre légalement et pacifiquement. Mais de ne pas nous laisser faire. Trop, c’est trop !


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  • Il ne vaut mieux pas afficher la France !Par :Pieds Noirs 9A..

    Il ne vaut mieux pas afficher la France !

    Sur les 14 avions de transport militaire Hercules C-130, moins de la moitié est aujourd'hui en état de voler. Un problème déjà pointé dans un article de La Tribune en 2015. tout le nombre de véhicules de l'armée –,que ce soit des bateaux, des engins terrestres ou aériens –,sont hors d'usage, indisponibles car en attente de réparation..

     

    Et ce n'est pas que du matériel qu'il faut se soucier

    Combien combattront contre la France dans l'Armée ?

    La suspension du service national décidée par le président Jacques Chirac en 1996 fut un désastre ,cela étant bien une politique de gauche pour uniquement détruire la France .

    L'armée Française n'est pas prête à une guerre, nous avons eu que des déboires, car tout le monde s'en tape sur le coquillard, le grand homme que beaucoup le portent aux nues a capituler en baissant son falzar en Algérie départements Français. Aujourd'hui, son petit-fils vient nous donner des leçons sur son grand-père . Vraiment honteux. Il ne faut pas oublier que son grand-père a fait tirer sur une population Française d'une marche pacifique tenant comme arme le drapeau Français en tête. Que les moutons apprennent leur histoire bonne sang ! Un (e) journaliste ne pouvant pas lui réponde à son petit-fils. 

    Vous voyez des hommes avec des armes sur cette image ,seulement que notre Algérie reste Française .Et pas de drapeaux étrangers comme nous voyons dans les manifestations a Paris ou ailleurs .

    Il ne vaut mieux pas afficher la France !

    Pieds Noirs 9A..


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  • Thiais, Gare du Nord, Strasbourg: le vol noir des couteaux sur la plaine

    Thiais, Gare du Nord, Strasbourg: le vol noir des couteaux sur la plaine
     
    Des policiers gare du Nord à Paris, le 11 janvier 2023, après l'attaque de plusieurs passagers par un immigré © Michel Euler/AP/SIPA

    Opinel, Laguiole, crans d’arrêt, papillons, de boucher, de chasse ou militaires. Oui, il faut parler des couteaux, mais surtout de ceux qui s’en servent.

    Depuis quelques jours, quelques années diront les esprits les plus chagrins, les attaques au couteau se multiplient. 

    Qu’ils soient motivés idéologiquement ou le produit de l’ensauvagement de la société française, ces drames semblent inévitables et la classe politique résignée.

    Numéro 103 de Causeur, juillet 2022

    Il y a de cela six jours, le journal Le Parisien publiait une enquête sur l’Opinel 13, un modèle de la célèbre marque d’une longueur totale de 50 centimètres. Prisé par les gangs et les rappeurs qui l’exhibent dans leurs vidéo-clips, à l’image du rappeur NM qui lui a carrément consacré une chanson, ce couteau est surnommé « le géant » dans les quartiers où il est une arme mythique. Malheureusement, la jeunesse des quartiers sensibles n’hésite pas à faire usage de ces armes autrement que pour animer leurs posts Instagram et leurs comptes Snapchat.

    Tué devant son lycée

    De plus en plus jeunes, les membres des bandes sont aussi de plus en plus violents. La vie n’a pour eux pas de valeur. Lundi 16 janvier, une bande a tué un jeune de 16 ans près du lycée Guillaume Apollinaire de Thiais, en blessant un autre gravement à la jambe. Les propos du procureur du parquet de Créteil, Stéphane Hardouin, font froid dans le dos: « Les agresseurs ont poursuivi les victimes sur quelques dizaines de mètres, l’un d’entre eux aurait alors fait usage d’une arme blanche. Sur place, plusieurs objets susceptibles de constituer des armes ont été retrouvés, à savoir deux gazeuses, un club de golf cassé et un morceau de bois. Trois cents mètres plus loin, un couteau a été retrouvé par la police municipale de Thiais ».

    Ces « rixes », ainsi pudiquement nommées, font maintenant partie du paysage des banlieues, à Paris comme à Marseille. Devenus majeurs, les « jeunes » troqueront l’opinel pour l’AK-47.

    Comment en sommes-nous arrivés là ? Interrogé sur BFMTV, un sociologue répondant au nom de Sauvadet a énuméré toutes les raisons possibles et imaginables, passant de la culture « gangsta rap » importée des Etats-Unis aux réseaux sociaux, devisant chômage et familles décomposées, évoquant le trafic de drogue et la puberté provoquant de profonds bouleversements hormonaux chez les adolescents de sexe masculin. Un peu plus et nous avions droit aux jeux-vidéos, aux gènes du guerrier et à la misère sexuelle houellebecquienne ! Peut-être qu’en fait de sociologues, nous devrions interroger des ethnologues et des anthropologues, mais passons.

    Gare du Nord, silence on poinçonne !

    Quelques jours en arrière, c’était en Gare du Nord qu’un couteau devenu fou perdait l’équilibre pour frapper six passants innocents qui attendaient leur train. Enfin, pas vraiment un couteau mais un « crochet métallique » – on retrouvera bientôt des masses d’armes, fléaux et haches à deux mains dans les rues, à ce rythme. Le profil de l’interpellé ne surprendra pas; un Libyen sous OQTF. Il y a d’ailleurs un truc puisqu’en l’espèce, l’OQTF ne pouvait être appliquée, en raison de l’instabilité régnant dans le pays de feu Mouammar Khadaffi… Eh oui, que voulez-vous, les autorités libyennes n’entretiennent pas de « canal d’échanges pour l’identification des ressortissants venus de Tripoli », comme l’ont confié des policiers déprimés.

    Pis, l’auteur était connu sous plusieurs identités dans le fichier automatisé des empreintes digitales. On ne peut donc même pas affirmer avec certitude qu’il est bien Libyen, de nombreux Algériens utilisant ce « truc » pour éviter d’être expulsés. Où que l’on regarde, on voit une multiplication des faits de violence. Gratuits, motivés, de droit commun ou terroristes. Facile à transporter et difficilement détectable, le couteau reste une arme permettant un maximum de dégâts rapides. Il est presque impossible de s’en protéger, sans être soi-même équipé d’une arme à feu.

    Il suffit d’ouvrir un journal local au hasard pour découvrir de nouveaux cas, ainsi cet homme à Strasbourg qui a agressé des passants samedi 14 janvier en hurlant Allah Akbar, ou de cet homme appréhendé Gare Montparnasse il y a quelques semaines avant de passer à l’acte. Partout, les couteaux s’aiguisent et sifflent. Il ne s’agit pas de faits divers isolés, mais bien d’un fait de société supplémentaire montrant la tiers-mondisation avancée de la France. Gageons qu’on nous proposera bientôt de limiter la circulation des couteaux sur le territoire français…

    Élisabeth Lévy: “À Strasbourg, un homme agresse des passants et ça devient presque banal!”


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  • Belgique : un couple se porte volontaire pour loger une famille de migrants, 36 000 € de dégâts dans leur maison

    […] À notre arrivée, une femme enceinte avec trois enfants et son mari nous attendaient. Pendant une conversation d’une demi-heure, on nous a expliqué d’où ils venaient et la route qu’ils avaient empruntée. Ensuite, nous sommes rentrés avec eux.”

    “Nous avons rapidement remarqué qu’il ne s’agissait pas d’une famille ukrainienne ordinaire. Deux semaines plus tard, le CPAS nous a indiqué qu’il s’agissait de gitans roms. Par exemple, les membres de cette famille ne savaient pas comment utiliser une machine à laver, un sèche-linge, un four… Tous ces appareils leur étaient inconnus. La mère lavait les vêtements dans notre baignoire.” Résultat après plusieurs semaines d’occupation? “De la moisissure est apparue partout sur les fenêtres, les murs étaient couverts d’inscriptions, le bois a été arraché du cadre du lit, les portes et les armoires ont été endommagées. Mais ce n’est pas tout: toutes les chaises de la cuisine ont été cassées, la moulure a été arrachée des escaliers, il y avait des trous dans le sol, les jouets de nos enfants ont été cassés, même leur tirelire a été ouverte.”

    Sven et Evy ont le sentiment que le CPAS les a laissé tomber. “Nous aurions dû établir un contrat de location, mais le CPAS n’en a jamais discuté avec nous. Ils ont seulement dit que nous allions recevoir une compensation. Nous avons contacté le CPAS à plusieurs reprises, mais ils étaient peu enclins à nous recevoir. Ils nous ont simplement dit: ‘Soit nous emmenons les réfugiés, soit ils restent chez vous et vous arrêtez de nous solliciter’. À ce moment-là, la famille n’était pas là depuis longtemps, alors nous avons décidé de lui donner une seconde chance. La femme a demandé un emploi pour son mari. Nous avions trouvé trois endroits où il pouvait travailler, mais il ne voulait pas. Il trouvait une excuse à chaque fois.”

    Un jour, Sven a découvert que les réfugiés ukrainiens hébergeaient une autre famille dans la maison. “Une autre femme, son mari et trois enfants séjournaient chez nous. Ils faisaient de la sous-location. À un moment donné, plus de 11 personnes se trouvaient dans la maison. Cela aurait pu causer de gros problèmes en cas d’incendie, par exemple, car nous avions été persuadés de les laisser s’enregistrer à notre adresse personnelle. Ils nous demandaient aussi constamment de l’argent. Une fois, c’était soi-disant pour le cadeau d’anniversaire de leur plus jeune fille, mais il s’est avéré que c’était pour une voiture, même si nous savions que l’homme n’avait pas de permis de conduire. Quand ils ont cassé le cadeau de naissance de notre fils, ça a été la goutte d’eau. En septembre, nous avons dit au CPAS qu’ils devaient vraiment déménager, mais il a fallu attendre fin novembre pour qu’ils partent. Ce n’est qu’à la fin du mois de décembre qu’ils sont venus chercher toute leurs affaires. C’était un véritable bordel.”

    Après le départ de la famille, Sven et Evy ont pris conscience de l’ampleur des dégâts dans leur maison. “Nous avons transmis tous les dommages au CPAS. Le coût total s’élevait à 36.000 euros, et cela ne comprend même pas tout. Le CPAS nous a ensuite annoncé que nous ne recevrions aucune compensation. On nous a conseillé d’attaquer la famille en question par le biais du tribunal de paix. Nous allons le faire, mais la famille vit d’un revenu d’intégration. Comment vont-ils payer ça? Nous comprenons que 36.000 euros, c’est beaucoup d’argent, mais le CPAS aurait pu prendre en charge une partie des dommages, qui ont été prouvés.

    […]

    7sur7.be via fdesouche


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