• Il traite Geoffroy Lejeune de fasciste. Cela fait vraiment rêver qu’un jour Joffrin se prenne une tarte dans la poire, sur un plateau de télé.

    Tout à fait toute la famille .Joffrin ajoute, dans sa réponse: "J’ai rencontré deux ou trois fois Jean-Marie Le Pen dans les années 70, dont une fois en vacances, quand il était un personnage plutôt marginal. J’étais jeune journaliste, tout m’intéressait. C’est un métier où l’on rencontre toutes sortes de gens. (...) Cela n’impliquait aucune sympathie pour ses idées, que j’ai toujours détestées. Et pour cause : je suis entré au PS en 1971 pour en sortir quand je suis devenu journaliste, huit ans plus tard. J’ai ensuite travaillé, trente ans durant, pour deux journaux : Libération et le Nouvel Observateur, qui ont toujours rejeté les idées du Front national."

    Pieds Noirs 9A..


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  • Voila le régime nazi que la France soutient en balançant les milliards de nos impôts

     


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  • Project Veritas dévoile une nouvelle vidéo de Jordon Walker (Pfizer) : “J’espère que l'ARNm ne persiste pas dans le corps (...) Ou toute la future génération (serait) super foutue. T'imagines le scandale ?”

    PV Pfizer
     
      Capture d'écran Twitter
    Auteur(s)
    Publié le 03 février 2023
     
    Dans une nouvelle vidéo publiée le 2 février 2023 par le média conservateur américain Project Veritas, le Dr Jordon Walker livre d'autres informations autour des vaccins ARN messager.
     
    Dans une nouvelle vidéo publiée le 2 février 2023 par le média conservateur américain Project Veritas, le Dr Jordon Walker, directeur de recherche et du développement international chez Pfizer, filmé à son insu par un journaliste sous couverture, livre d'autres informations autour des vaccins ARN messager. Les effets secondaires liés à l'utilisation de cette technologie, comme la perturbation des cycles menstruels, posent bien question au sein du laboratoire pharmaceutique : "Il y a quelque chose qui se passe, mais nous ne le comprenons toujours pas", avoue l'employé de Pfizer, qui évoque le risque de la persistance de l'ARN messager dans le corps humain. En conséquence, toute une génération pourrait être "super foutue", affirme le docteur, évoquant l'hypothèse d'un potentiel scandale à venir.
     
     Face au journaliste infiltré, il développe aussi son propos au sujet des recherches relatives aux mutations “orientées” du virus menées par le groupe industriel  - envisagées comme un business model d’avenir - et les applications futures de la technologie ARNm, notamment en cancérologie. FranceSoir a ajouté des sous-titres en français à la vidéo dévoilée par Project Veritas, disponible ci-dessous :

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  • Pierre Chaillot présente son livre et étrille Laurent Joffrin ,grand homme de gauche en direct chez Pascal Praud

     La chaîne humaine

    A l'occasion de la sortie de son livre "COVID 19: ce que révèlent les chiffres officiels", Pierre Chaillot, statisticien et créateur de la chaine @Decoderleco étrille avec calme le plateau de CNEWS au cours de l'emission de Pascal Praud diffusée en direct le 03/02/2023.


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  • Il n'en veut pas un de plus. En Ouganda, un homme de 68 ans est père de 102 enfants

    En Ouganda, un homme de 68 ans est père de 102 enfants

    En Ouganda, Musa Hasahya Kesera est le père de 102 enfants et peine à subvenir à leurs besoins... ou même à se souvenir de leurs prénoms. 
     
    A 68 ans, il est à la tête d'une famille de 12 femmes, 102 enfants et près de 600 petits-enfants.
    L'Ougandais est à la tête d'une famille extrêmement nombreuse.

    Il est devenu une attraction dans son village de Bugisa, dans l'est de l'Ouganda. Musa Hasahya Kesera, à 68 ans, est le père de 102 enfants. e plus jeune âgé de 10 ans, le plus vieux de 50 ans. Mais il s'arrêtera là, assure-t-il.

    «J'ai appris de mon attitude irresponsable d'avoir eu autant d'enfants dont je ne peux pas m'occuper», regrette-t-il. En effet, il connaît de nombreux problèmes pour les nourrir et s'en occuper. Sans compter ses 578 petits-enfants.

    Musa Hasahya Kesera, père de 102 enfants et grand-père de 578 petits-enfants, chez lui dans l'est de l'Ouganda le 17 janvier 2023.

    Maison délabrée au toit de tôle

    Sa vaste famille vit entre une maison délabrée au toit de tôle rouillée et une vingtaine de huttes en terre situées à proximité.

    «Avec ma santé défaillante et moins d'un hectare de terre pour une si grande famille, deux de mes femmes sont parties car je ne pouvais plus subvenir à l'essentiel, comme la nourriture, l'éducation ou l'habillement», souligne ce père de famille, actuellement sans emploi.

    Pour éviter que la famille ne s'agrandisse encore, ses épouses prennent des moyens de contraception. «Pas moi», lâche-t-il.

    Polygamie autorisée dans son pays

    La polygamie est autorisée dans son pays. Musa Hasahya Kesera s'est marié pour la première fois en 1972 à l'âge de 17 ans lors d'une cérémonie traditionnelle. Son premier enfant est né un an plus tard.

    «Comme on n'était que deux enfants (dans sa famille), mon frère, mes parents et mes amis m'ont conseillé d'épouser plusieurs femmes pour avoir beaucoup d'enfants et agrandir notre patrimoine familial», explique-t-il.

    Attirés par son statut de vendeur de bétail et de boucher, des villageois lui offrent alors la main de leurs filles, certaines encore mineures - une pratique interdite depuis 1995.

    Des réunions mensuelles

    Mais avec les années, il ne peut même plus identifier ses propres enfants.

    «Je ne me rappelle que des noms du premier et du dernier né, je ne me souviens pas de la plupart des autres», avoue-t-il sans détour, en fouillant dans des piles de vieux cahiers à la recherche de détails sur leurs naissances: «Ce sont leurs mères qui m'aident à les identifier». 

    Musa Hasahya Kesera avoue avoir aussi du mal à se souvenir du nom de certaines de ses épouses. Il doit les demander à l'un de ses fils, Shaban Magino, un instituteur de 30 ans qui aide à gérer les affaires de la famille. Il est l'un des rares enfants à être allé à l'école.

    Une partie de la descendance de Musa Hasahya Kesera, père de 102 enfants et grand-père de 578 petits-enfants, chez lui dans l'est de l'Ouganda le 17 janvier 2023

    Pour résoudre les différends, qui ne manquent pas dans la famille, des réunions mensuelles sont organisées.

    Des tâches domestiques

    Le village de Bugisa vit en grande partie de l'agriculture, avec de petites exploitations de riz, de manioc, de café, ou de l'élevage de bétail.

    Dans la famille de Musa Hasahya Kesera, certains essaient de gagner un peu d'argent ou de nourriture en faisant des tâches domestiques pour leurs voisins ou passent leurs journées à la recherche de bois de chauffage et d'eau, parcourant souvent de grandes distances à pied. D'autres restent à la maison, des femmes tissent des nattes ou tressent les cheveux tandis que des hommes jouent aux cartes sous l'abri d'un arbre.

    Faire la queue pour manger

    Lorsque le repas de midi, souvent composé de manioc bouilli, est prêt, le père de famille sort de sa hutte, où il passe la majeure partie de sa journée et appelle d'une voix forte la famille à faire la queue pour manger.

    «Mais nous avons à peine assez de nourriture. Nous sommes obligés de nourrir les enfants une fois, voire deux fois les bons jours», déplore Zabina, la troisième épouse de Musa Hasahya Kesera, qui affirme qu'elle ne l'aurait jamais épousé si elle avait su qu'il avait d'autres femmes. «Il a ramené la quatrième, puis la cinquième jusqu'à atteindre 12», soupire-t-elle.

    Sept vivent encore avec lui à Bugisa. Cinq l'ont quitté, faute de ressources suffisantes ou de place dans la ferme familiale.


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