• La RATP cherche issue de secours !Par: Pieds Noirs 9A..

    Billet N°6558 du vendredi 11 novembre 2022..

    La RATP cherche issue de secours !

    La dégradation du climat social par les syndicats et les dirigeants de la RATP

    Grève, absentéisme, malade imaginaire , ouverture à la concurrence… Ils font grève malgré d'avoir voté Macron le destructeur de la France , de son patrimoine , de ses industries , de la famille. Les usagers des transports en commun franciliens doivent prendre leur mal en patience pour monter dans une rame.

    La RATP cherche issue de secours !

    Photo © Martin BUREAU/AFP

    Exemple :« Ce train ne prend plus de voyageurs ». Lundi 7 novembre à 9 h 30, à la station Trocadéro, sur la ligne 6 du métro parisien, l’annonce sonore de la conductrice suscite la colère. Les usagers qui souhaitent se rendre à Charles de Gaulle – Etoile, une des plaques tournantes du réseau francilien, est priée de changer d’itinéraire. Mais ce message vocal n’étonne plus tant les déboires dans les transports en commun se banalisent.

    Depuis des mois, l’offre de transport pâtit du manque de chauffeurs de bus et de conducteurs de métro. Dans un entretien accordé au Parisien dimanche 6 novembre, la pataugeuse dans le vide Valérie Pécresse, présidente LR d’Île-de-France Mobilités (IDFM, l’autorité organisatrice des transports), s’est agacée de la situation : « La RATP a complètement sous-estimé les problèmes qu’elle rencontre sur le métro. À la rentrée, nous avions constaté un vrai problème sur les bus en Île-de-France, surtout à la RATP, avec 25 % de service non fait, ou bien sur tout le monde s'en tapent au sein de l'entreprise.

    Mais la RATP nous avait assuré qu’il n’y aurait pas d’impact sur le métro et ‘que tout allait bien’ » Madame la marquise. Et de trancher : « C’était faux. » Pour l’ex-candidate à l’élection présidentielle, la détérioration touche principalement « les lignes 3, 4, 6, 8, 11, 12 et 13 (…) avec des taux de régularité inférieurs à 91 % », là où la région a exigé à la Régie autonome de « produire 98 % de l’offre de transports avant Covid ». Mais sur les réseaux sociaux, les internautes sont nombreux à souligner des défaillances sur le restant des lignes de métro.

    PS : C'est-à-dire comme dans le transport routier , il y aurait Pénurie de conducteurs , dans la mécanique générale de manque de tourneurs Fraiseurs , manque de carrossiers. ETC ; la France part en bouse . Un jeune qui voudrait travailler aujourd'hui , ont le pouvoir d'avoir une déboucher sans rester planquer entre les jambes de sa maman en ce reniflant de la choute.

    Pas étonnant que les immigrés feront le travail des Français car les entreprises non plus le choix .

    IL FAUT REMETTRE LA FRANCE AU TRAVAIL !

    Pieds Noirs 9A..

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  • Martine Wonner : “La macronie s’est trompée en me recrutant”

     
    Martine Wonner est l'une des grandes figures de la Résistance à la dictature sanitaire. 
     
    Quelques jours après son audition par la chambre disciplinaire du Conseil de l'Ordre des médecins, elle a bien voulu s'exprimer sur ses péripéties, sur son engagement et sur son parcours dans la macronie. Une interview à ne manquer sous aucun prétexte. 
     

    Les malheurs disciplinaires de Martine Wonner nous donnent l’occasion de témoigner notre soutien à cette figure importante de la Résistance à la dictature sanitaire. Elle a bien voulu se confier au Courrier des Stratèges sur l’épreuve qu’elle traverse et sur ce que sont ses projets. 

    Ses confidences sont allées jusqu’à évoquer son entrée en macronie, et sur les circonstances qui ont entouré cette entrée. 

    Une interview irremplaçable. 


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  • Pas de cadeau pour un pourri .

     


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  • Amnistier les covidistes ? Et puis quoi encore ?

    The Atlantic, vénérable mensuel fondé au XIXème siècle, a récemment fait paraître un article d’Emily Oster qui a largement défrayé la chronique : dans “Let’s declare a pandemic amnestie” (“Déclarons une amnistie pour la pandémie”), l’auteur tente d’aligner quelques arguments en faveur d’un pardon général pour tous ceux qui, pendant la pandémie, ont pris les décisions y compris les plus farfelues au motif essentiel que chacun a cru faire du mieux qu’il a pu avec le peu d’informations dont il disposait.

    L’article, sobrement chapeauté par “Nous devons nous pardonner mutuellement pour ce que nous avons fait et dit lorsque nous n’étions pas au courant de l’existence du COVID”, a été légèrement remanié à mesure que les réactions (virulentes) s’accumulaient sur les réseaux, par un nouveau chapeau un tantinet moins polémique : “Concentrons-nous sur l’avenir, et réglons les problèmes qui restent à résoudre.”

    Certes, les problèmes qui restent à résoudre sont nombreux mais il n’en reste pas moins que proposer une telle amnistie est particulièrement osé et fait la démonstration d’un aplomb dont seuls les imbéciles et les hypocrites peuvent disposer dans les circonstances actuelles.

    À ce titre et sans surprise, l’article a reçu un accueil virulent de tous ceux qui ont tenté, pendant toute cette période, de rouvrir les débats violemment fermés par les médias de grand chemin, les experts de plateau télé, les journalistes et autres fact-checkeurs stipendiés directement ou indirectement par le pouvoir.

    Essentiellement, la proposition d’Oster d’une amnistie repose sur le peu d’informations dont on disposait au début de la pandémie lorsque la plupart des mesures ont été prises, mais cette affirmation n’est vraiment pas soutenue par les faits.

    Bien avant mars 2020, on savait que les confinements ne serviraient à rien, et lorsqu’ils furent mis en place, la Suède a amplement montré qu’ils étaient inutiles. Ils n’ont pour autant pas été interrompus. Pire, ils ont été remis, plusieurs fois. Est-il utile de revenir sur la quantité de misère économique et humaine qu’ils ont provoqués ? Est-il nécessaire, pour bien comprendre toute la cruauté de ces mesures, de revenir sur toutes les abominations qui furent leur résultante directe, depuis l’ostracisation des personnes âgées jusqu’au suicide des jeunes et des enfants, en passant par le réveil des instincts (délateurs) les plus vils de beaucoup trop de nos concitoyens ?

    De la même façon, on savait dès la publication des études chiffrées de Pfizer (dans les tous premiers mois de 2021) que les vaccins n’empêcheraient pas la transmission. La dynamique des contaminations dans les mois suivants a largement confirmé cette information mais n’a en rien arrêté les gouvernements et les hystériques de plateaux-télé de réclamer et d’obtenir d’infâmantes obligations vaccinales plus ou moins coercitives. Est-il là encore nécessaire de revenir sur ce qu’ont entraîné ces coercitions immondes et parfaitement contraires aux droits fondamentaux ?

    Pire : actuellement, on trouve encore de fébriles pisses-copies décidés à stigmatiser encore ceux qui s’opposent à la vaccination, et cette stigmatisation s’étend bien au-delà du monde médiatique. Pour rappel, les personnels soignants n’ont toujours pas été réintégrés en France. Perseverare diabolicum.

    Devant ces éléments, on doit se demander si l’apparition d’un tel article (dont la viralité n’est plus à faire tant il a été commenté récemment) ne fait pas partie d’une tentative de certains pour “tester les consciences” : demander une amnistie revient à admettre, au moins en creux, une certaine forme de culpabilité et cet article ressemble fort à une sorte de sondage d’opinion pour voir s’il n’est pas encore trop tôt pour une telle demande.

    Il n’est pas invraisemblable d’imaginer que certains ont commencé à comprendre que leurs opinions et agissements passés allaient progressivement leur revenir dans la figure avec violence et il faut admettre que la situation est quelque peu différente de ces politiciens, journalistes et autres experts autoproclamés lorsqu’ils nous baratinent sur le climat : alors que les prédictions catastrophistes sont toujours précautionneusement placées plusieurs années (ou décennies) dans le futur, les dégâts humains, sociaux, politiques et économiques causés par les mesures coercitives liées à la pandémie sont déjà palpables et quantifiables actuellement, et la facture, fort salée, s’allonge à chaque minute qui passe.

    Des comptes seront demandés et ce bien avant que les responsables n’aient eu le temps de se retirer sagement loin des affaires publiques.

    Cette demande est donc plus qu’audacieuse : elle cache mal une tentative de camouflage d’une des pires périodes de déprivations de liberté en Occident. Cette demande d’amnistie (et celles qui ne manqueront pas de suivre) n’aurait jamais été nécessaire si les politiciens, les journalistes et les experts de connivence ne s’étaient pas relayés pour forcer leurs comportements, leurs opinions et leurs lubies sur tous les autres.

    Alors oui, proposer une telle amnistie ne manque ni de culot, ni d’un certain cynisme, mais c’est en outre fort dangereux.

    On ne peut en effet s’empêcher de faire le rapprochement avec d’autres périodes (vraiment) sombres de l’Histoire où l’amnistie n’aurait jamais pu être réclamée.

    On ne peut s’empêcher de se rappeler que lorsqu’elle fut mise en place, notamment pour les communistes à la fin du régime soviétique dans les pays d’Europe de l’Est, elle n’a en rien permis de purger ces pays des gangrènes communistes qui y sévissaient alors. Pire : certains de ceux qui en ont alors bénéficié ont pu continuer à prospérer au point de se retrouver dans les petits papiers des grandes fortunes du moment (voire d’en devenir eux-mêmes).

    Il ne doit pas y avoir d’amnistie.

    Il faudra clairement renvoyer chacun des acteurs de ces drames à leurs responsabilités respectives pour qu’ils soient correctement jugés et sanctionnés à hauteur de leur implication. Ceci sera une étape indispensable de l’analyse complète de ce qui s’est passé, et un passage obligé pour que ne se reproduisent pas les dérives abjectes dont beaucoup trop furent les victimes.

    Et surtout parce que l’explication “Nous ne savions pas, nous ne faisions que suivre les ordres” ne suffira vraiment pas.

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  • 50% de hausse pour la taxe foncière à Paris ! Des rats et des taxes… la calamiteuse gestion d’Hidalgo.

    La gestion de la mairie par les socialistes parisiens emmenés par Anne Hidalgo est une catastrophe objective et Paris est une ville aux lumières éteintes qui plonge.

    Logements insalubres au sein même de la RIVP l’organisme de logement social de la ville dont la directrice générale reconnaît « qu’il y a des rats », des rats qui pullulent dans toute la ville.

    Des problèmes d’insécurité grandissants.

    Des problèmes de transports et de déplacements affligeants.

    Bref, Paris plonge et se détroitise. Non pas que Paris devienne de droite. Non, Paris devient comme la ville de Détroit aux Etats-Unis sauf que c’est la capitale de la France.

    La mairie veut désormais atteindre l’objectif de 40 % de HLM.

    La dette de la ville explose et la mairesse en chef se retrouve « contrainte » d’augmenter de 50% la taxe d’habitation.

    Cette hausse ahurissante des impôts locaux va encore aggraver la crise du logement, car si les organismes HLM sont exonérés de taxe foncière je crois pendant les 25 premières années, après il la paye, et cela va plomber les finances des logements détenus depuis plus de 25 ans par exemple par la RIVP qui aura encore plus de mal dans sa guerre contre les rats !

    La taxe foncière à Paris va augmenter de plus de 50% en 2023, annonce Anne Hidalgo

    « Le taux d’imposition passera de 13,5 % à 20,5 % en 2023. Une exonération totale est prévue pour les propriétaires engagés dans la rénovation thermique de leur bien et ceux « rencontrant des difficultés économiques », a précisé la maire de la capitale.

    Confrontée à une situation budgétaire difficile, la maire de Paris, Anne Hidalgo, a décidé d’augmenter la taxe foncière de 52 %, renonçant à sa promesse de campagne de ne pas augmenter les impôts, selon une lettre qu’elle a publiée lundi 7 novembre.

    Le taux d’imposition de la taxe foncière passera donc de 13,5% à 20,5% en 2023, sauf pour les propriétaires qui s’engageront dans la rénovation thermique de leur appartement et ceux « rencontrant des difficultés économiques », notamment les titulaires d’allocations de solidarité ou les redevables de plus de 75 ans (sous condition de ressources), a précisé l’élue socialiste. Ces deux catégories bénéficieront d’une exonération totale.

    Pour les autres, un propriétaire d’un 50 mètres carrés verra sa taxe foncière passer de 438 à 665 euros en moyenne, et celui d’un 75mètres carré de 576 à 874 euros, selon des chiffres communiqués par la Ville. La taxe foncière « est aujourd’hui à Paris la plus basse de France, à 13,5% contre 41,61% en moyenne dans les grandes villes françaises, et elle n’a pas augmenté depuis 2011 », a fait valoir Anne Hidalgo ».

    Pour la vedette de la mairie de Paris comme c’était pas « cher » c’est normal qu’elle augmente !

    La ville de Paris était très riche.

    Elle est très pauvre.

    Dans 5 ans et avec la fin des JO elle sera en faillite.

    Brillant résultat.

    Charles SANNAT

     

    Source Le Monde avec AFP ici


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