• Le faux-cul Omar Sy dit lutter contre le racisme mais ferme les deux yeux sur Gaza pour ne pas froisser Israël

    Omar Sy dénonce la montée de l'extrême droite et de l'individualisme sur le plateau de Quotidien, mais évite de prendre position sur le conflit israélo-palestinien. L'acteur avait affirmé ne pas avoir toutes les informations nécessaires sur la question, mais vit très mal la montée de l'antisémitisme en France.

    Omar Sy dénonce la montée de l’extrême droite, mais évite de parler du conflit israélo-palestinien.

    Omar Sy, ce millionnaire qui vit aux États-Unis, est venu dénoncer jeudi 25 avril 2024 sur le plateau de Quotidien, la montée des idées d’extrême droite et de l’individualisme. Dans un discours angélique, l’acteur nous réitère une fois de plus son positionnement de bisounours, où il se garde bien de mettre les deux pieds dans le plat.

    Rappelons à nos lecteurs que dans une interview accordée en 2015 à la chaîne sioniste israélienne i24 news, Omar Sy avait évité de prendre position sur le conflit israélo-palestinien, affirmant qu’il ne disposait pas de toutes les informations nécessaires au moment où les gazaouis se faisaient purement massacrer.

    « Comme tout le monde, je suis toute l’actualité. C’est toujours très difficile de se positionner. Le truc que je trouve dommageable c’est qu’on n’a pas toutes les infos. C’est aussi une question d’appartenance. Le vivre là-bas et ici commenté, est une chose totalement différente. »

    Cependant, il avait déclaré vivre très mal la montée de l’antisémitisme et du communautarisme en France.

    « L’antisémitisme et du communautarisme, je le vis très mal en tant que Français, il y a beaucoup de tristesse […] « 

    Il est légitime de se demander quelles sont les informations manquantes à Omar Sy pour pouvoir se prononcer sur le conflit, alors qu’il affirmait suivre l’actualité.

    Rappelons à cet acteur quelques faits sur le conflit israélo-palestinien qui n’est pas une guerre entre deux puissances égales, mais plutôt un conflit colonial opposant une puissance occupante (Israël) au peuple palestinien qui subit quotidiennement les conséquences de cette occupation. Au moment de cette interview d’Omar Sy en 2015, selon l’ONU :

    1 800 Palestiniens sont morts et 9 000 autres blessés sous les bombardements. 65 % des victimes sont des civils et 30 % au moins des enfants (l’UNICEF dénombre 400 enfants morts dont 70 % avait moins de 13 ans). Un demi-million de personnes ont été déplacées, soit un quart de la population de l’enclave palestinienne1. Les dégâts dans la bande de Gaza se situent entre 4 et 6 milliards de dollars.

    Rebelote aujourd’hui, Omar Sy remet en avant la question du racisme pour se parer de toutes les bonnes intentions et éviter de parler du conflit israélo-palestinien, où plus de 34 000 personnes ont perdu la vie suite aux bombardements de l’État sioniste ! Nous invitons nos lecteurs à aller lui demander ce qu’il pense de la situation à Gaza, ou peut-être qu’il n’a pas encore toutes les informations nécessaires à ce sujet ?

    Omar Sy a un plan de carrière : « J’espère aller en Israël ! »


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  • Jugé raciste et révisionniste, le film de Victor Fleming « Autant en emporte le vent », tiré de l'œuvre éponyme de Margaret Mitchell, va être retiré de plusieurs plateformes numériques .

    Autant en emporte aujourd'hui la connerie d'un monde occidental progressiste, bigarré, arc-en-ciel et soumis. 

    Vive le Sud et ses traditions ! Vive le juste combat des Confédérés ! Vive le Général Lee ! Et ceux qui, dans le sud profond sont restés fidèles.

    LE FILM EN CLIQUANT CI-DESSOUS ;


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  • Jean-Luc Mélenchon intervenait à l’occasion d’une prise de parole à Lille avec Rima Hassan le 18 avril 2024.

    Il y a 8 jours .


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  • Macron à la Sorbonne : ce que je ferais… si j’étais président !

    Ce jeudi 25 avril, Emmanuel Macron discourait à la Sorbonne, histoire de développer sa vision de l’Europe et, accessoirement, de donner un petit coup de pouce à Valérie Hayer, tête de liste de Renaissance, un peu en panne dans les enquêtes d’opinion. La vérité oblige à dire que notre président excelle en ce genre d’exercice, son éloquence n’étant plus à démontrer.

    Au cœur de sa causerie, ce triptyque : « Une Europe unie, souveraine et démocratique » ; ce qui vaut toujours mieux que le contraire. D’ailleurs, « tout va bien, même si nous n’avons pas été assez loin. » S’il le dit, ça doit sûrement être vrai.

    L’union ? Elle est en cours, même si nos frontières devront « s’étendre à l’Ukraine et aux Balkans occidentaux. » Déjà qu’avec une Europe à vingt-sept, plus personne ne s’y retrouve, c’est la Foire du Trône qui nous attend. La souveraineté ? Elle est en bon chemin : « L’époque où nous achetions notre énergie à la Russie, faisions produire en Chine et déléguions notre sécurité aux États-Unis est révolue. » On aimerait le croire. Mais ce serait oublier que c’est précisément l’ensemble des prédécesseurs d’Emmanuel Macron, à l’Élysée comme à Bruxelles qui, depuis des décennies, nous ont poussés à une telle dépendance. Pareillement, la souveraineté économique est d’autant plus d’actualité que, « face au protectionnisme des Américains et des Chinois, l’Europe a fait preuve de naïveté. » Sans blague ? Pourtant, n’étaient-ce pas des Européens de haut vol, les Alain Minc, les deux Jacques, Delors et Attali (liste non-exhaustive) qui évoquaient la « mondialisation heureuse », allant jusqu’à assurer, lors du traité de Maastricht, en 1992, que l’Europe de demain serait source et mille et une félicités ?

    Essayer de réparer ce que lui et les siens ont saccagé ?

    D’où l’urgence qu’il y a à reconquérir cette « souveraineté ». Comment ? Rien de plus simple : « En devenant une puissance d’équilibre ». Soit redevenir ce qu’était la France avant que l’Europe ne s’en mêle. C’est pertinent de revendiquer cet héritage gaullien, mais ce serait plus crédible encore si ces propos n’étaient pas tenus par celui qui incarne cette longue lignée de politiciens à courte vue ayant bazardé l’héritage en question.

    Ce qui vaut encore pour la politique migratoire, Emmanuel Macron semblant manifestement retrouver quelques charmes à des frontières qu’il a largement contribué à ouvrir aux quatre vents. Mais nul doute que sa politique en la matière sera « ferme et humaine à la fois », pour reprendre l’expression consacrée. Pareillement, celui qui évoque le soft-power des Américains et des Asiatiques qui, entre Netflix, mangas japonais et pop coréenne, porte des « récits différents » du nôtre, est le même pour qui notre pays millénaire avait, affirmait-il au début de son premier mandat, vocation à devenir une « start-up nation », tout en se déhanchant sur le rap de Kiddy Smile en pleine cour de l’Élysée. Cohérence quand tu nous tiens.

    Il paraît que « l’humanisme » nous sauvera…

    Bref, Emmanuel Macron n’en finit plus de jouer sur les peurs – le reproche précisément fait à ses adversaires du Rassemblement national ou de Reconquête ! –, prétendant que les « démocraties illibérales » nous menacent, au même titre que ces réseaux sociaux, vecteurs de « complotisme », symboles des « influences étrangères ». C’est dire, précise-t-il, que « la bataille est loin d’être gagnée. »

    Heureusement, il y a Emmanuel Macron, torse bombé et sabre au clair, qui nous explique quasiment ce qu’il mettrait en œuvre, s’il était un jour président, comme s’il ne l’était pas déjà depuis sept ans. Une chance pour nous, nous possédons notre arme fatale : l’humanisme. « Nous ne sommes pas comme les autres. (…) Nous avons une certaine idée de l’homme qui place l’individu, libre, rationnel et éclairé au-dessus de tout. » Une « liberté » qui fait que le droit européen prime désormais le droit français. Une « rationalité » grâce à laquelle les « Mozart de la finance » ont endetté le pays pour mille ans, et plus si affinités. Quant à « l’éclairage », il semble tout relatif, surtout concernant un président dont on se demande parfois s’il a bien la lumière à tous les étages.

    Avec ça, nous voilà équipés pour le gros temps qui s’annonce.

    Nicolas Gauthier

    Source : http://bvoltaire.fr


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  • L'Heure des Pros - La réponse de Pascal Praud à l'attaque de Jean-Luc Mélenchon contre CNEWS.

    Il y a quelques jours ,mais d'actualité .


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