• Mes frères ;Salah et MohamedPar :Pieds Noirs 9A..

    Un billet de 2015 dans Archives..

    Salah et Mohamed

     

    Pendant que le Pape se balade en Afrique à prêcher la bonne parole dans une quasi-indifférence médiatique, notre petit monde parigot s’enlise dans le marécage d’une COP 21, sur fond de terreur diffuse et d’interdiction de circuler, qui emmerde tout le monde sans qu’il soit permis d’en rien attendre de bon, ni pour le climat de la planète ni pour celui du débat politique franchouille. Après la jolie cérémonie des Invalides, Vendredi dernier, ses pavoisements plus ou moins fournis, sa chouette minute de silence somme toute plus plaisante à ouïr que les chansons un peu grinçantes qui suivirent -n’en déplaise à une Nolween un peu en dedans et à une Nathalie Dessay pas bien en forme-, son petit président rondouillard avec sa tronche d’enterrement rural, assis tout seul sur une petite chaise en avant d’une tribune de politicards en proie à une émotion bien professionnelle, nous n’allons pas tarder, maintenant, à passer aux choses sérieuses. Je veux dire les Régionales, bien sûr, qui, sauf attentat sanglant de dernière minute, ne manqueront pas de nous passionner quelque peu la semaine prochaine. Bon « passionner », j’en conviens, apparaît un peu excessif…toutefois les derniers sondages laissent présager pour les jours qui viennent, un certain emballement médiatique lié comme toujours à la progression du Front National.

    Ce matin, on nous sort que Marine devrait l’emporter à coup sûr en Nord-Picardie, ainsi que la petite Marion, nièce de cette dernière, en PACA; le délicieux Philippot leur emboîtant le pas en Champagne-Ardennes, alors que la Bourgogne et la Normandie laissent entrevoir une poussée fulgurante des nauséabonds. Il n’y a guère que l’Île de France qui semble acquise aux Ripoublicons et la Bretagne aux Socialopes -grâce à notre grand héros de guerre Le Driant dont la mission essentielle consiste non pas tant à défendre la France contre les hordes de Musulmans fanatiques lui déboulant de toute part sur les endosses, mais bien plutôt à pallier le risque de voir le pays des chapeaux ronds basculer de l’autre côté de l’échiquier politique-...

    La question se posera donc de savoir s’il reste envisageable de sauver le soldat Estrosi du côté de Marseille et le Frère Bertrand dans les marches du Nord, sachant qu’il faudrait pour cela que les listes socialistes se désistassent au second tour et que les électeurs de ces deniers se reportassent en masse sur les libéro-centristes suppôts du grand capital qui forment la coalition dite « de droite ». Inutile de préciser que si les media ne vont pas manquer de traiter abondamment le sujet, la cause apparaît cependant entendue d’avance vu le peu d’empressement que mettraient les têtes de liste socialos à renoncer à leur réélection ès qualité de conseillers régionaux…quand on sait ce que ça rapporte… Mais comme parler pour ne rien dire constitue le pain quotidien de nos folliculaires, nous en prendrons pour une dizaine de jours d’exégèse stratégico-déconnatoire sur fond de front républicain et de barrage à la bête immonde. Et c’est seulement le 13 Décembre au soir que nous pourrons compter les bouses…tout vient à point à qui sait attendre, pas vrai?...

    A propos de bouses et d’inflexion spectaculaire des intentions de vote, l’on ne saurait trop insister sur la manière assez curieuse dont nos gouvernants à la rose tentent de gérer le merdier islamo-malfaisant dont ils viennent à peine, semble t-il, de prendre conscience. Pendant que le Culbuto de ces dames s’en va faire le tour des popotes pour plaider la coalition anti « Daesh » auprès de ses homologues étrangers qui l’écoutent bien poliment, l’ineffable Fabius, avant de s’en aller présider la grosse pantalonnade climatique du Bourget,  s’emberlificote les déclarations entre le soutien pragmatique aux armées de l’infâme Bachar et ses velléités préalables d’éliminer absolument ce dernier; les affaires arabo-turco-syro-chiito-sunnites étant déjà assez compliquées comme cela, la sénilité galopante de notre Ministre des Affaires Étrangères vient encore en rajouter une couche…Dieu merci plus personne , désormais, ne l’écoute.  En revanche son collègue de l’Intérieur, Cazevide le Magnifique, tout le monde se trouve maintenant suspendu à ses lèvres en quasi-permanence. C’est qu’il se bouge le dargeot notre petit grand-flic, depuis l’état d’urgence il en a ordonné des perquisitions et des perquisition ,et attention, il a fait fermer deux mosquées salafistes, le mec, pas d’hésitation dites donc, deux! pas trois? . Sans parler des déchéances de nationalité : treize ,oui si peu hélas !. Le bilan, me direz vous, apparaît encore timide : deux sur deux cents, treize sur…deux ou trois cent-mille au moins… A ce rythme là on ne nous voit pas éradiquer l’islamisme-combattant avant plusieurs millénaires !Oui rire ou pleurer... Certes !, oui, j’en conviens, je l’avoue…mais sacré nom de dieu laissez leur le temps de s’habituer tout de même, on ne passe pas en quelques semaines de l’angélisme le plus bisounoursique à l’efficacité répressive de type poutinesque. Faut un temps d’adaptation, tout de même! Déjà qu’en ce moment il se trouve contraint de se colleter avec les « écologistes » genre Black-Bloks, de les arrêter aux frontières voire d’assigner à résidence ceux qu’on n’a pas pu empêcher d’entrer,  le ministricule de Beauveau, si en plus vous lui demandez de l’efficacité! Et puis comment voulez vous qu’il fasse, le nabot,ainsi le Hollande avec toute la gauche dure agrippée à ses basques pour l’empêcher autant que possible de travailler, hein?

    Mettez vous un peu à sa place à ces petits bonhommes, j’aimerais vous y voir, tiens…oui c’est vrai, ça, je préférerais mais bon, on peut pas alors ,ne n’y pensons plus et, en attendant, votons nauséabond ça leur collera un peu de pression supplémentaire à tous ces enfoirés!...

    En tout cas, la pression ce sont les Turcs qui nous la mettent depuis quelques temps. Vous souvenez, vous,  de l’époque où l’on disputait gentiment de l’opportunité de faire entrer ces gens-là dans l’Union-Européenne ?. Y sont où, maintenant, les mecs qui prônaient cette couillonnade majeure?. On ne les entends plus guère, dirait-on…enfin si on les entend toujours, hélas par la presse ,a part seulement ils ont un peu oublié la question, voyez vous ?. Et j’ai bien l’impression que la mémoire n’est pas près de leur en revenir...

    Mais vous vous rendez compte, tout de même, des abrutis irresponsables qu’on élit depuis des lunes, en France, ou qu’on autorise à parler haut et fort alors qu’ils n’apparaissent foutus que de nous proposer ce genre d’ineptie, d’historique foutaise!. Les Turcs européens! Les alliés quasi-déclarés de l’Etat-Islamique, ceux qui font commerce du pétrole d’Al Baghdadi, ceux qui descendent sans état d’âme les avions de Vladimir, ceux qui nous font chanter du genre « ou vous crachez au bassinet, ou je vous balance encore un ou deux millions de réfugiés dans les gencives »! Ça fait réfléchir, non, ces choses-la?...

    Faudrait quand même un peu s’en souvenir des braves gens qui voulaient faire entrer dans l’Union, la Turquie d’Erdogan, histoire qu’on s’arrête un peu de voter pour eux…ça déblaierait déjà pas mal le terrain, ne croyez vous pas?. Remarquez, quand je vois Petit Caudillo au Parc des Princes s’époumoner sur La Marseillaise aux côtés du petit Nasser, le pote de l’Emir du Qatar…celui qui finance le PSG et aussi un peu le Calife, de temps à autre…

    Bon, ça donne tout de même légèrement envie de gerber, ce genre de considération, surtout que dans le coin, pas bien loin, il pouvait peut être y avoir aussi Sarko, je ne sais pas… Mais, comme on dit, pas vrai, du moment qu’on préserve les Valeurs de la République…

    Bien sûr nos amis Belges, comme ils n’ont pas la République, les pauvres, mais un brave Roi à bonne bouille d’ex-bon vivant de la grande époque sixties, ils ne peuvent s’en prévaloir des Valeurs de la République. Ce qui, toutefois, ne les empêcha pas de se faire entuber comme nous par la diversité-enrichissante. Ainsi les deux illustres fugitifs, Salah Abdeslam et Mohamed Abrini, arborent ils plus ou moins fièrement une nationalité belge qui vaut bien la Française de tous nos petits djihadistes hexagonaux (comme on dit pour éviter les répétitions). Si j’ai bien compris -si je me trompe,oui rectifiez moi svp- ce genre de « chance pour la Belgique » on le rencontre plutôt du côté de Bruxelles, en Wallonie à la rigue,mais pas chez les Flamands ce me semble, je ne les sens pas trop disposés ceux-là…

    Bon bref, les deux zigomars courent toujours;  et comme ils courent vite rien n’exclut qu’ils aient déjà franchi le Bosphore pour rejoindre tranquillement leur base de l’État Islamique. Peu importe, au fond, mais tout de même on se fait un peu de souci pour ce malheureux Salah qui s’est piteusement dégonflé au moment de se faire péter la ceinture. Cela dit, Allah sait pardonner, alors il a sa chance ce brave garçon. Ah, au fait vous avez vu? L’ Abdeslam en question s’était rendu fin Octobre chez Castorama (or something else) pour y acheter une grosse dizaine de détonateurs…comme quoi un mec de ce calibre et titulaire par surcroît d’une « fiche S » ça peut acheter tranquillement du matos de kamikaze par chez nous, personne ne s’en inquiète, pas de signalement, ni vu ni connu!. Je ne voudrais pas me montrer méchant mais on le mérite un peu, non, ce qui nous tombe sur la tête ? Ah, et puis au fait , le frère de Salah, pas celui qui explosait en terrasse le Vendredi 13, non, l’autre, le normal, le gentil garçon qui causait à la télé, Mohamed il se prénomme lui aussi ( ça vous étonne?), un garçon clean, tout bien propre sur lui et tout. Bon ben on vient d’apprendre qu’il fut condamné voilà quelques années…il appartenait au « Gang des Ambulanciers Charognards » le mec , il dépouillait les moribonds qu’il brancardait!…  Salah et Mohamed dites donc!  Comment on disait?… « Chances pour la Belgique »!

    Bonne continuation chers lecteurs et faites gaffe quand même si vous mettez un pied dehors…

    Pieds Noirs 9A..


    votre commentaire
  • Deux têtes de vainqueurs...Posté par:Pieds Noirs 9A..

     Dans Archives et le droit de savoir 

    Deux têtes de vainqueurs.

    Ou plutôt deux traîtres de vainqueurs .

    L’image contient peut-être : 1 personne, gros plan

    Deux têtes de vainqueurs......

    ll était une fois........des Anglais, et aussi des Américains qui depuis 1940 lorgnaient du côté de l'Algérie car l’importance géographique du pays, ainsi que le reste du Maghreb : le Maroc et la Tunisie les intéressaient particulièrement.

    Kennedy jeune sénateur démocrate va précipiter les choses avec son "discours algérien du 2 juillet 1957" qui fit à cette époque l’effet d’un coup de tonnerre . Il constitua la première contribution politique se prononçant franchement pour l’indépendance du peuple algérien.

    En prenant la parole au Sénat, Kennedy critiqua brutalement la politique américaine de soutien total à la France dans sa lutte contre les rebelles algériens. Il jugeait que le moment était venu "où les États-Unis doivent faire face et assumer leurs responsabilités de leader du monde libre pour tracer la voie vers l’indépendance politique de l’Algérie". 
    (Ce discours s'inscrit dans un contexte international bien particulier, celui de la guerre froide entre les deux blocs : l’Est et l’Ouest. Cet activisme de Kennedy montre une croyance infaillible dans les capacités illimitées de l’Amérique et ce n'était certainement pas sans arrière pensée car Kennedy savait qu’en donnant à l’Afrique une belle place dans sa campagne électorale, il séduirait les électeurs noirs dont il avait besoin. Il voulait aussi démontrer que l’Afrique était devenue l’un des théâtres d’opération de la guerre froide.)

    Cela ne vous rappelle pas certains dirigeants Français avec les printemps arabes? Et au nom du droit des peuples à disposer d'eux-mêmes... (surtout pour les mémoires courtes).

    Et l’Humanité voit dans "le discours algérien", tout d’abord, une critique de la politique de l’Administration américaine sur le dossier algérien, puisque Eisenhower hésitait toujours et les Anglais le suivaient de toutes façons.
    Déjà le 13 février 1950, un appel fut adressé aux États-Unis pour venir en aide aux Algériens, cet appel lancé par Saïd, petit-fils de l’émir Abdelkader, ne fit qu’augmenter les soupçons de la France.

    Les autorités et la communauté Françaises en Algérie n’avaient plus confiance envers les Américains. Kennedy n’hésita pas à recevoir les Algériens et à s’entretenir avec eux. Ils cherchaient, à cette époque, par tous les moyens, à faire entendre la voix de leur mouvement de libération nationale aux États-Unis, et surtout aux Nations Unies.

    Pourquoi un sénateur américain prononce un tel discours sur l'Algérie? qui lui a soufflé dans l'oreille ? Certains désignent Abdelkader Chanderli le cerveau à l’origine du "discours algérien". 
    Chanderli était présenté comme un ami et même un intime de Kennedy qui allait souvent partager le sandwich qui servait de déjeuner au sénateur, pour lui parler de la situation en Algérie. 
    D'autre part, les hommes du FLN ont mené une grande campagne internationale en 1957, et une grande offensive médiatique aux États-Unis. Son but était de rompre le silence et de faire parler de la question algérienne à tout prix. 
    Cette tactique de contact et de harcèlement des responsables et des formations politiques influentes était, selon Hocine Aït Ahmed, l’un des chefs historiques du FLN, la force du mouvement algérien de libération.

    Voilà donc l'ambition d'un homme prêt à tout, un sénateur démocrate américain, un animal politique qui a œuvré pour l'indépendance de l'Algérie.Alors que cela ne lui regarder pas cette affaire ...Visant principalement le Pétrole du Sahara ...Cet homme fut un traître surtout voyant la population civils innocentes se faire massacrer ... 

    Les Américains par l'intermédiaire de Kennedy qui a été élu entre temps Président des Etats Unis, ont poussé De Gaulle à agir.


    Le livre de Manuel Gomez "J'accuse De Gaulle" est à lire et à posséder dans notre bibliothèque pour nos descendants.


    votre commentaire
  • Bataclan : les BAC en première ligne

    Policiers à côté du Bataclan le 13 novembre 2015 ) - DESSONS Eric/SIPA

    Une soirée où des tueurs ont transformé une salle en piège mortel.

    Vendredi 13 novembre, les BAC (brigade anticriminalité) franciliennes ont pesé à deux reprises sur le cours du scénario. Retour sur cette soirée où des tueurs ont transformé une salle de concert en piège mortel.
     
    Le scénario de l’attaque de la salle du Bataclan par un commando de trois terroristes armés comme à la guerre, le vendredi 13 novembre, se précise chaque jour davantage.
     Habituellement employés pour débusquer les dealers dans la rue ou démasquer les pickpockets, les fonctionnaires des BAC (brigades anticriminalité) parisiennes sont souvent les premiers sur les lieux en cas d’urgence. 
    Ce soir là, ce n’est cependant pas de criminalité qu’il s’agit, mais d’une scène de guerre.
    Nous avons déjà rapporté la manière dont ces policiers du quotidien avaient paré au plus pressé et organisé l’évacuation des blessés à l’aide de barrières métalliques transformées en civières, sous les yeux pétrifiés de la haute hiérarchie, notamment le préfet de police Michel Cadot.
     Dans l’incapacité de figer l’action avec leurs armes réglementaires.

    Il est par ailleurs désormais avéré que , en tenue de travail, a fait basculer le cours des événements.
     Entré par la porte principale, ce fonctionnaire qui souhaite garder l’anonymat a rapidement aperçu dans la pénombre un homme en train d’achever une victime ; il a instinctivement sorti son arme, s’est calé sur un comptoir et a fait feu.
     La balle a atteint sa cible et déclenché le gilet explosif du terroriste.

     Ne disposant d’aucune information sur le nombre d’assaillants et sans doute choqué par le spectacle des cadavres dans la fosse, le policier a rebroussé chemin pour se mettre à l’abri.

    C’est à cet instant que le cours de la soirée bascule

    Les deux complices de celui qui vient de mourir, loin d’opter pour l’attentat suicide, tentent de quitter le Bataclan. 
    Qu’ils aient reculé devant la mort ou décidé de se préserver pour une action future - ce que permet de penser les révélations intervenues depuis sur une action terroriste dans le quartier d’affaire de la défense - ne change rien aux faits : l’un d’eux au moins a tenté à cet instant de regagner la rue par une porte latérale. 
    Il a alors été pris pour cible par un autre fonctionnaire d’une BAC francilienne qui du bout de la rue a épaulé son fusil à pompes, tandis que fusaient autour de lui les balles du fusil mitrailleur.
     Le terroriste, sentant que toutes les issues étaient fermées, s’est alors retranché dans la salle.
    On connaît la suite : les deux assaillants se retranchent à l’étage, dans un local technique, où ils mourront lors de leur confrontation avec la première colonne de la BRI (brigade de répression et d’intervention).

    Conclusion provisoire : incarnation d’une police qui n’a jamais quitté la rue, le modèle des BAC rappelle que la seule police qui vaille est celle qui joue la proximité, avec tous les risques que cela comporte pour elle et pour ses chefs.

    source

    votre commentaire

  • votre commentaire
  • Rachid Nekkaz: "Bouteflika est mort"! Posté  Par : Pieds Noirs 9A..
     
    Il affirme que celui qu'on nous montre n'est pas le vrai .

    Rachid Nekkaz: "Bouteflika est mort"! (Vidéo)

    Rachid Nekkaz qui était l’invité d’une émission de télévision sur El Magharibia afin d’analyser les résultats des élections locales du 23 novembre passé,  affirmait que le président Abdelaziz Bouteflika « était mort et que celui que l'on nous montrait à la télévision était un sosie ».

    Le trublion Nekkaz voulait pour preuve, le dernier lapsus du SG du FLN, Djamel Ould Abbes, lorsqu’il a prononcé, dans l'une de ses nombreuses déclarations « Allah Yerhmou », en évoquant le Président Bouteflika.

    « Vous savez, expliquait Nekkaz, aujourd’hui on peut fabriquer un masque 3D en 1 heure. Celui que l'on nous montre à la télévision n’est pas le vrai président, pour la simple raison qu'Abdelaziz Bouteflika est mort », soutenait-il.

    « C’est un scénario hollywoodien que l'on nous fait là. Si le président était réellement vivant, pourquoi n'il m'adresse pas au peuple algérien? S’il le faisait, tout le monde les démasquerait,car le peuple connaît la voix du vrai Bouteflika », affirmait-il encore devant le journaliste qui ne savait pas comment réagir face à de tels arguments!

    Auteur
    B. Karima
     
    http://www.lematindz.net/
     

    votre commentaire