•  Une page d’histoire : 

    De l’Algérie Française… à la France Algérienne ..Par la voix de la population Française ..

    sacrifies

    « Vous avez voulu acheter la paix au prix du déshonneur.
    Vous avez le déshonneur et vous aurez la guerre »
    (Winston Churchill)

    Le dimanche 1er juillet 1962, la France vota sur la question de savoir si l’Algérie devait devenir un état indépendant. En répondant « Oui » à cette question, chaque électeur annulait pour sa part l’existence de l’Algérie française et ce fut la somme de ces « Oui » qui réduisit à néant cette Algérie là dont l’existence avait commencé le 5 juillet 1830 lorsque les troupes du général de Bourmont, après avoir débarqué à Sidi-Ferruch, occupèrent la capitale des deys. Le gouvernement français, tel Ponce-Pilate se lavait les mains et tournait la page.

    Pays sans nom, sans frontière, sans unité, c’est par la France et dans la France que l’Algérie avait acquis une personnalité, pour la première fois dans l’histoire. C’est par la France qu’elle devint, ce jour, indépendante. A cet instant, elle était devenue celle que Joachim de Bernis dépeignait au comte de Choiseul après qu’elle eût cédé le Canada à l’Angleterre par le traité de Paris en 1763 : « La plus méprisable des nations est aujourd’hui la nôtre, parce qu’elle n’a nulle espèce d’honneur et qu’elle ne songe qu’à l’argent et au repos. Nous sommes à la dernière période de la décadence ».

     De Gaulle avait dit : « Il faut que la France, dans sa masse approuve ce qui vient d’être accompli en son nom » et son art fut de donner à une politique honteuse un caractère de victoire. Il rassura les consciences et trouva une explication pour sauver le prestige national. La France ayant gagné la guerre donnait aux « patriotes » algériens l’indépendance selon la Charte de l’Atlantique, les déclarations des Nations Unies, les droits de l’homme et la vocation généreuse de la France éternelle. La fuite devenait héroïque. La résistance à l’abandon se transformait en crime. Les bons citoyens respirèrent. Puisque « le plus illustre des Français » préconisait le repli sur l’Hexagone, on pouvait le suivre… et c’est ainsi que la France suivit son guide… elle approuva.

    Le peuple français, souvent indifférent, parfois hostile, abusé de surcroît par son gouvernement, venait de livrer une province française à l’ennemi, après que l’armée française eût, en réalité, largement triomphé sur le terrain. Après avoir accueilli avec soulagement et satisfaction la signature des accords d’Evian, la Métropole se réjouissait de cette indépendance de l’Algérie. On y voyait « enfin » la fin d’une guerre impopulaire. Le boulet algérien serait détaché de son corps, les dépenses militaires allaient diminuer considérablement, la prospérité irait croissante et le bien être du peuple serait amélioré de façon radicale ! Le pactole allait pouvoir couler !

    Il n’y avait plus à cet instant que les ambitions à court terme d’un gouvernement veule, de chefs de partis aveuglés par de maigres illusions, de chefs militaires en quête de nouvelles promotions et d’usuriers aux aguets du bénéfice qu’ils entrevoyaient déjà avec cette masse de « richards » qui leur arrivait de l’autre côté de la Méditerranée … sans oublier que la France allait également être « nettoyée » de tous ces Nord-Africains qui, désormais, allaient pouvoir rejoindre un pays « bien à eux ». Quel leurre que tout cela !

    A cet instant ; qui pensait au propre destin de la France ? Qui voyait aussi loin ? Seul le présent comptait et ce présent reposait uniquement d’une part sur le mépris que nourrissaient les métropolitains vis à vis des Pieds-Noirs, d’autre part sur l’intérêt immédiat de leur propre personne, de leur parti politique ou de leurs ambitions. Ils s’imaginaient avoir fait une bonne affaire en mettant fin à une guerre « onéreuse », mais quel avantage illusoire que cela !

    Qui pensait à l’avenir de ses enfants ; de la Nation ? Car en guise de pactole, c’est à un chômage croissant que les Français allaient être réduits et ils allaient également être très vite confrontés à ce que l’on appela dès cette période « La Crise » qui allait inexorablement s’amplifier d’année en année avec l’augmentation sans cesse croissante des matières premières dont la France est si pauvre et si friande, la dépendance vis à vis d’autres nations moins puissantes qu’elle et un flot migratoire de Nord-Africains – principalement d’Algériens – qui allait déstabiliser complètement ses institutions.

    En effet, durant l’épisode sanglant de la guerre d’Algérie, le leitmotiv constant des responsables du FLN était que la rébellion se justifiait par le besoin de plus de justice, de bonheur et de liberté pour la « malheureuse » population musulmane… cette même population enivrée durant huit ans de promesses fallacieuses qui dansait – comme lors de ce 5 juillet 1962, à Oran –  autour des cadavres éventrés et désarticulés des Européens et qui, quelques semaines plus tard, dansait déjà une toute autre danse en tournant en rond devant un buffet vide… Cette même population, qui, n’obtenant rien des promesses invoquées tout au long de la guerre et réduite soudain à la famine, émigra avec une mine attristée et des yeux de douleurs, dans cette France qu’elle eût plaisir à humilier et dont elle persécuta avec délice ses enfants.

    Dès lors, le destin de la « douce France » était tracé. Après l’Algérie, l’Islam conquérante abordait nos rivages rendant actuelles les menaces énoncées dans un tract du F.L.N. rédigé en Algérie en 1956 puis rediffusé en mars 1962, lors du « cessez-le-feu » :

    Oh ! France de malheur, tout est fini pour toi. Mais la France ne fait qu’agrandir son histoire, mais elle ne peut que diminuer instantanément ses forces. C’est une grande armée forte avec des armes automatiques et lourdes. Toutes ses armées sont celles des « soldats femmes » de la maigre France.

    Plus vous grandissez les renforts, plus nous vous piétinons. Je fais appel à Guy Mollet qu’il faut trois cents hommes de France pour combattre un vrai fellagha âgé de 17 ans seulement.

    Notre armée qui donne de puissants échecs aux armées de la blague de la faible petite France, écoutez population française, notre armée de la Libération nationale est composée de Marocains, Tunisiens et Algériens.

    Rappelez-vous que, quand nous serons indépendants et dans un minimum de temps, nous combattrons les trois cents kilomètres que nos ancêtres ont envahis en France. Voici les limites, Poitiers, Saint-Etienne, Lyon, les environs des Alpes et les Pyrénées. Toutes ces terres et ces villes sont celles de nos ancêtres. Après la guerre d’Afrique du Nord, nous allons envahir les trois cents kilomètres qui nous appartiennent et les ports de Toulon, Marseille, Bordeaux. Nous sommes les fils de Mohamed, fils de l’Islam.

    Voici, l’amitié est finie entre la France et l’Afrique du Nord. Vous allez avoir le Diên Biên Phu, pas celui de notre amie l’Indochine, il est mille fois plus grand.

    Adieu la France, c’est maintenant la dernière ordure du globe terrestre. L’Algérie est en lutte contre le colonialisme. Malheur à tous fils du diable.

    Toi, Monsieur, tu es son moteur. Tu as facilité sa tâche. Tu es donc vomi par l’humanité, excommunié. Le peuple te condamne, parce que tu as agi contre ses intérêts.

    Traître à l’humanité, tu es vomi par l’humanité, tu es un collaborateur. Notre devoir est de t’abattre ! Nous sommes fiers d’agir selon les consignes du Tribunal du Peuple qui est la volonté de Dieu.

    Indigne à la nation, on t’exécute. Une nation pure est une nation forte. C’est elle qui élimine les traîtres.

    Cinquante trois ans après la diffusion de ce tract, la prophétie est en voie de se réaliser…

    José CASTANO


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  •  Acte Isolé ou déséquilibré . Posté Par : Pieds Noirs 9A..

     Haute trahison : les services de renseignements algériens avaient prévenu la France des attentats de Paris et donné le nom du kamikaze du Bataclan

     
    Cet article est une pièce centrale du puzzle. Apparemment de nombreux pays savaient ce qui se préparaient, en ont informé la France...qui n'a rien fait pour éviter les attentats. Tout d'abord, Israël a avertit les services français deux semaines avant. Puis se fut le tour de l'Irak, un jour avant. La Turquie également dit avoir alerté la France au sujet d'Omar Ismaïl MostefaïOn apprend aujourd'hui que les services algériens aussi avaient prévenu la France. Dans ces conditions, on voit mal comment les Etats-Unis  ne pouvaient pas être au courant, eux qui ont des oreilles qui traînent un peu partout. 

    Si c'est bien le cas, soit Washington n'en a pas averti la France soit celle-ci a ignoré ces avertissements (ce qui rappelle furieusement le 11 septembre): dans les deux cas, cela pose problème. On constate donc que ces manquements graves des services de renseignements français dépassent de loin l'incompétence. Avec autant d'avertissements et des renseignements précis incluant le nom du preneur d'otage qui s'est fait explosé au Bataclan (l'alerte à même été donnée par deux fois pour Mostefaï), nous avons la confirmation de la pré-connaissance par les services secrets de suffisamment d’informations capitales pour arrêter ces attentats.

     Que peux-t-on espérer de mieux que le nom de l'un des terroristes dans ce type d'affaire? C'est une preuve inespérée qui aurait dû suffire à déjouer ces attentats. Au lieu de cela, la France a manifestement préféré laisser faire. Au delà de cette tragédie qui a endeuillé la nation, le peuple français devrait se lever d'une voix pour demander la destitution de l’exécutif français et sa mise en examen pour Haute trahison. Il n'y a pas d'autres mots. Faites connaitre cette information autour de vous jusqu'en Alaska. Fawkes
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    Attentats de Paris : le DRS algérien avait prévenu la DGSE

    Au cours du mois d’octobre dernier, le DRS, les services secrets algériens, ont transmis une note exhaustive à la DGSE dans laquelle ils préviennent leurs homologues français d’un fort risque d’attentats terroristes dans la région parisienne au niveau des « centres abritant des grands rassemblements de foules ».

    Le DRS a fourni une liste de noms de certains « radicaux » français d’origine algérienne et maghrébine qui sont entrés en contact avec les combattants algériens de Daech. Placés sous surveillance depuis plusieurs mois par les renseignements algériens, ces combattants ont longuement conversé avec des radicaux français qui ont séjourné, pour certains d’entre eux, dans les camps syriens.

    Le DRS, selon nos sources, dispose aussi d’agents très bien entraînés qui ont infiltré les rangs de Daech depuis plusieurs mois en se faisant passer pour des candidats au djihad.

    Le DRS s’est procuré, ainsi, grâce à  ces agents infiltrés des informations très précieuses sur les plans de l’organisation terroriste. « C’est ce qui explique, d’ailleurs, pourquoi nous n’avons pas subi d’attaques d’une aussi grande cruauté que celles de Paris », se targue un officier du DRS qui ne comprend pas le manque de réactivité de la DGSE face aux informations qui leur ont été transmises.

    Le DRS inquiet

    Dans sa note, le DRS avait signalé les agissements suspects de Omar Ismaïl Mostefaï, l’un des kamikazes français du Bataclan dont la radicalisation avait été signalée par les services du contre-espionnage algérien lors de ses séjours successifs en Algérie auprès de sa famille. Le DRS avait aussi demandé dans sa note des échanges d’informations au sujet des réseaux Belges qui s’activent énormément pour envoyer des renforts à Daech en Syrie.

    L’incapacité de la Belgique à contrôler les va-et-vients de ces radicaux a suscité une profonde inquiétude chez les responsables du DRS. Ces derniers ont même élaboré une liste nominative des « frères », ces jeunes radicaux originaires de France, dont des jeunes issues des banlieues ou des français convertis, qui arrivent dans les aéroports algériens pour rallier ensuite des centres de formation « théologique » proches du courant salafiste.

    Pistés et surveillés, ces curieux visiteurs retournent en France après avoir amélioré leur arabe et leur connaissance de la religion. Et comme par hasard, plusieurs d’entre eux ont été repérés par le DRS en Syrie ou à la frontière turque. Mais, dans les esprits de plusieurs officiers du DRS, quelque chose ne tourne pas rond en ce moment au sein des services de la DGSE.


    http://fawkes-news.blogspot.fr/2015/11/haute-trahison-le-drs-algerien-avait.html

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  •   Acte Isolé ou déséquilibré .Par : Pieds Noirs 9A..

    Article N°3012 du Mardi 22 Mars 2016.

    26 Mars 1962  "le drame"..


    Alger le 26 mars1962  "Le drame"Ce jour-là, c'est en toute confiance que les ALGEROIS, drapeaux tricolores en tête, marchent vers BAB EL OUED. Ils n'y arriveront jamais. Ils trouveront la mort en chemin.L'armée va tirer sans sommation, ce 26 mars 1962, pendant 12 minutes.

    Alors que le cessez le feu a été signé, l'armée française tire sur ordre du gouvernement français sur une population innocente, dont le seul crime est de vouloir rester FRANCAISE sur une terre française. Une centaine de morts, plus de 200 blessés, des rescapés de ce génocide traumatisés à vie, des familles anéanties à jamais par ce drame.

    Ce qui rend cette journée atroce, c'est que des Français ont été assassinés par traîtrise : par des balles françaises, des rafales tirées dans le dos des manifestants. Pire, les blessés ont été achevés à bout portant, alors qu'ils étaient à terre, sans défense. OUI IL FAUT LE DIRE...

    Le 19 mars, à l'annonce du cessez-le-feu entre la France et les rebelles algériens, l'EMT 1 est sur le terrain en mission de « pacification ». L'ALN, armée du FLN est vaincue. Les accords d'Evian viennent de mettre fin au conflit. Les Français de métropole, indifférents à notre sort ,nous français d'Algérie , ne voient qu'une chose : les jeunes soldats appelés vont pouvoir rentrer chez eux. Les Pieds-Noirs, Français tout autant qu'eux, vont être abandonnés par la politique du Général de Gaulle de par sa trahison qui ne souhaitait d'ailleurs pas leur retour en métropole.

    Dès 1961, le gouvernement avait changé de politique, ce n'est plus le « je vous ai compris » de 1958 mais l'autodétermination du peuple algérien, autrement dit des musulmans. L'armée française est épurée des officiers « Algérie française », nommés en métropole, en RFA ou poussés à la retraite. Leurs remplaçants obéissent aux ordres sans état d'âme, perquisitionnent chez les Pieds-Noirs ,vaisselles, lit renversé et autre de vengeance et qu'on arrête, et emprisonne ses civils Français. La Police et l'Administration subissent aussi une épuration qui ne dit pas son nom. Dans le même temps l'OAS qui s'est développée subit une répression féroce. Les Français attachés à l'Algérie française sont torturés et remplacent dans les prisons les terroristes du FLN libérés. les traitant a l'eau et un morceau de pain dur ... L'armistice de 1962 s'appliquera aux terroristes du FLN mais pas aux Français d'Algérie car eux étant de la merde ..

    De Gaulle souhaitait briser les Pieds-Noirs pour laisser le champ libre au barbare du FLN : c'est la raison d'être du 26 mars 1962. La collusion entre le FLN et le pouvoir politique est alors totale. Le Gouvernement et le Général de Gaulle sont déterminés à désengager les troupes en Algérie au plus tôt, quel qu'en soit le prix à payer.

    Les libertés ordinaires des Français d'Algérie sont supprimées ;Ils sont plus chez eux , la censure de la presse devient monnaie courante ; nos droits civiques sont bafoués : nous ne sommes pas autorisés à voter pour les accords d'Evian ; ni même d'écouter la « Marseillaise » ou de chanter « les Africains ». Mettre les mains dans ses poches est formellement interdit. Les perquisitions chez les Pieds-Noirs sont fréquentes et se passent souvent avec violence envers eux comme moi torturé a l'âge de 13 ans ..

    DONC :

    Le 26 mars 1962 à Alger, une foule de Français d’Algérie manifesta contre l’action des forces de l’ordre dans le quartier périphérique de Bab-el Oued. Plusieurs sections du 4ème R.T . leur faisaient face et leurs tirs firent plusieurs dizaines de morts dans leurs rangs.


     

    Les Militaires ont utilisé 1982 projectiles :

    1135 cartouches de pistolet mitrailleur

    427 cartouches de fusil

    420 cartouches de fusil-mitrailleur


    102 gradés et hommes de troupe ont fait usage de leur arme.

                                        Et ce fut le départ vers l'exil

    Ce n'est qu'une petite partie de cette trahison ..

    Petite anecdote ;

    En mois de mai 68, de Gaulle lançait à Pompidou une phrase qui résumait toute sa carrière : « Mais, Pompidou, figurez-vous que j’ai passé ma vie à tirer contre des Français ! » (rapporté par Édouard Balladur à Daniel Rondeau, auteur de Vingt ans et plus – Journal 1991-2012).   Pieds Noirs 9A...


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  • Se soigner à Mayotte, un rêve de migrants qui coûte très cher aux Français. Merci Sarkozy!

     
    Un Grand Reportage de RFI montre que l'hôpital de Mayotte draine tous les malades de la sous-région, ainsi que toutes les femmes enceintes qui peuvent passer dans les fameux "kwassa-kwassa" afin d'accoucher dans un "vrai" hôpital, afin que leur bébé profite du droit du sol français. Il est remarquable de constater que les clandestins arrivant d'Anjouan ou de toutes les Comores connaissent parfaitement les droits que procure une naissance dans le 101e département français.Les soins sont gratuits pour les femmes enceintes et les mineurs depuis le 30 novembre.Gratuits pour eux, bien sûr, puisque c'est le contribuable métropolitain qui paie. Ecouter le reportage ici (19:30)


     











    Marie Bethanie

     http://lesalonbeige.blogs.com/

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  • 19 MARS 1962 - LE CESSEZ LE FEU

     Ou la victoire du FLN

    19 MARS 1962 - LE CESSEZ LE FEU- Ou la victoire du FLN.

    Document transmis par José Castano.

    LA   V E R I T E ?… C’EST  CELLE-LA !  

                 La lutte pour l’indépendance de son pays justifie telle de telles atrocités ? Repentance pour qui ? 

    «Il y a eu envers les Pieds-Noirs des fautes inadmissibles, des crimes de guerre envers des civils innocents et dont l’Algérie devra répondre au même titre que la Turquie envers les Arméniens »(Hocine Aït Ahmed – chef historique du FLN)  

             Pour ceux qui n’acceptent pas la vérité, voici quelques photos édifiantes de la barbarie du FLN… et, çà, ce n’est pas de la fiction : ce sont des preuves !  

    Visages lacérés où les yeux manquaient, nez et lèvres tranchés, gorges béantes, corps mutilés, alignement de femmes et d’enfants éventrés, la tête fracassée, le sexe tailladé ; c’était le lot journalier de la terreur… Malheur à ceux qui refusaient d’obéir au FLN ! Un sadisme et une cruauté sans pareil à l’égard de ceux qui aimaient la France…  

    « La France a commis un crime : Elle a livré le peuple algérien aux tueurs et aux assassins ! » (Ferhat Abbas (ex-leader du FLN)  

    Ci-dessous, Musulmans assassinés à l’Arba, le 27 février 1956. Les tortionnaires ont commencé par leur couper les paupières, le nez et les lèvres, avant de les achever tandis qu’un troisième était égorgé devant sa famille… pour l’exemple.

    319 MARS 1962 - LE CESSEZ LE FEU- Ou la victoire du FLN.

    "O croyants, combattez les infidèles qui vous avoisinent, qu’ils trouvent toujours en vous un rude accueil. Sachez que Dieu est avec vous et avec ceux qui le craignent" (Coran - IX, 124)  

    Le 27 mai 1956, au douar Zenata (Remchi), deux musulmans, Benmrah Bouhassoun et Beneli Mohamed, sont torturés par les fellaghas. Ils sont décapités à la sape après avoir eu la verge sectionnée et enfoncée dans la bouche.

    19 MARS 1962 - LE CESSEZ LE FEU- Ou la victoire du FLN.

    "C’est pourquoi il est de notre devoir d’éprouver une haine farouche et de la léguer à nos descendants… La haine est le premier sentiment des nations, et le premier jalon dans l’édification des peuples" (A. H. Bakouri).

    Le 30 janvier 1956, à Sétif, toute la famille Cruet sera sauvagement assassinée. Voici deux des enfants, le père et le  grand-père.

    « Le facteur initial et fondamental qui doit décider les Français à évacuer et à déguerpir est un climat de terreur permanente et de peur perpétuelle » (Radios Arabes).

    19 MARS 1962 - LE CESSEZ LE FEU- Ou la victoire du FLN.

    Le massacre de Hel Halia, le 20 aout 1955, qui anéantit des familles entières, fit cinquante victimes européennes, dont un grand nombre d’enfants qui furent sauvagement mutilés et égorgés.

    « Aucune cause ne justifie la mort de l’innocent. Si je peux comprendre le combattant d’une libération, je n’ai que dégoût devant le tueur d’enfants » (Albert CAMUS)

    Le  3 mai 1956, trois écoliers européens d’Ain-Beida sont attirés dans un guet-apens par un de leurs petits camarades de classe musulman ; les corps des enfants, martyrisés, lapidés et massacrés, furent retrouvés dans un puits le 23 juin 1956.

    Les bombes dans les lieux publics ont fait des centaines de petites victimes innocentes

    « Quittez le pays, quittez l’Algérie arabe, avant que l’on ne vous chasse, que l’on ne vous jette dehors comme des bêtes féroces et nuisibles » (Radios Arabes)

    19 MARS 1962 - LE CESSEZ LE FEU- Ou la victoire du FLN.

    1er Mars 1962 – Assassinat de Mme Josette ORTEGA, concierge du stade de la Marsa, à Mers el-Kébir, et de ses deux enfants de 4 et 5 ans. Leurs têtes seront fracassées contre la muraille.

    « Le cœur de chaque algérien est rempli de haine à l’égard des Français… Chaque algérien est résolu à sacrifier son sang et sa vie pour élever l’étendard de son pays sur le corps des Français » (Radios Arabes)

    Ci-dessous, le 18 juillet 1956, dix-neuf militaires tombent dans une embuscade en se rendant au Douar de Sidi-Ghalem où ils étaient invités par des indigènes infiltrés et terrorisés par le FLN. Ils furent tous atrocement  mutilés.  

    « Mes frères, ne tuez pas seulement… mais mutilez vos ennemis… crevez-leur les yeux, coupez-leur les bras et pendez-lez » (« Ez Zitouna », organe du FLN)  

    « Les tortionnaires se ressemblent… Ils appartiennent à la sombre patrie des bourreaux et insultent d’abord à notre espèce avant de salir, au hasard des guerres, le drapeau de leurs victimes » (Pierre Moinot)  

     

    Les massacres collectifs furent innombrables… El-Halia, Ain-Manaa, Wagram, Melouza, entre autres, où plus de 300 personnes furent exécutées le 28 Mai 1957. Villages entiers rayés de la carte. Ci-dessous, le massacre d’Honaine  

    Ci-dessous, deux victimes musulmanes égorgées comme  des moutons selon la coutume du FLN.

    « J’ai choisi la discipline, mais choisissant la discipline, j’ai également choisi avec mes concitoyens et la nation française, la honte d’un abandon, et pour ceux qui, n’ayant pas supporté cette honte, se sont révoltés contre elle, l’Histoire dira peut-être que leur crime est moins grand que le nôtre » (Général De Pouilly)

    19 MARS 1962 - LE CESSEZ LE FEU- Ou la victoire du FLN.

    18 Mai 1956 : Le massacre de PALESTRO. Une section du 11/9e R.I.C tombe dans une embuscade. Vingt jeunes soldats appelés sont effroyablement massacrés.

    Le lieutenant Pierre Poinsignon, commandant la 6ème compagnie de cette même unité venue en renfort, témoignera : "Des cadavres mutilés gisent dans les buissons. Les yeux sont crevés, les corps vidés de leurs entrailles et bourrés de cailloux. Les testicules ont été coupés, et les pieds zébrés de coups de couteaux… "

    Les âmes chagrines  disent que la conscience se révolte au spectacle de certains crimes. Nous sommes ici en présence du plus monstrueux florilège du crime qui puisse se concevoir. Les images qui représentent les milliers d’êtres humains égorgés, les visages mutilés au couteau, les corps écorchés vivants à coups de canif, les enfants déchiquetés par les bombes, les femmes éventrées, les hommes suspendus encore vivants aux crochets d’abattoir, reculent les limites assignées à l’horreur. Cependant, ces atrocités ne révoltent pas les consciences contre  les criminels, mais contre les victimes. Ces milliers d’innocents versés dans la mort servent à apitoyer le monde sur le sort des bourreaux. Le réflexe n’est pas l’indignation devant la sauvagerie du crime, mais la compassion envers les assassins à qui l’on trouve toujours une excuse à leurs actes « désespérés »… Et si les survivants excédés ou terrorisés prennent les armes pour sauver leur vie, dans un geste de défense aussi vieux que les âges –c’est ce qui s’est passé en 1961 et 1962 avec l’avènement de l’OAS-, ils soulèvent contre eux l’unanimité des censeurs.

    19 MARS 1962 - LE CESSEZ LE FEU- Ou la victoire du FLN.

    Et pourtant, en dépit de ces atrocités, c’est l’Algérie qui voudrait condamner la France pour ses « crimes » et traite nos soldats de « criminels de guerre »…sans la moindre réaction de nos gouvernants.

     - 19 Mars 1962 : Le Cessez-le-feu (cliquez) :http://popodoran.canalblog.com/archives/2009/03/05/12835509.html

    Anciens combattants d’Algérie, adhérez au C.N.C (Président : Roger HOLEINDRE, grand résistant de l’Algérie française)


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