• Nicolas Dupont-Aignan fâche les descendants de De Gaulle

    VIDÉO. Le petit-fils du Général s'agace de l'utilisation de l'étiquette "gaulliste" par le président de Debout la France, rallié à Marine Le Pen.

    (AVEC AFP)
    Il le met en avant dans toutes ses prises de parole : « de Gaulle » est au cœur du discours de Nicolas Dupont-Aignan depuis des années. Hier encore, au meeting de Marine Le Pendurant lequel il a été invité à s'exprimer, le président de Debout la France l'a revendiqué : « Je suis gaulliste, humaniste, républicain », a-t-il lancé devant les militants FN

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  • Loi du nombre et suffrage universel

    Elections = aliénation

    Je trouve absolument incroyable qu’il y ait encore tant de gens qui s’imaginent que c’est en votant qu’ils exercent leur liberté. C’est justement tout le contraire ! En allant urner, ils aliènent totalement leur liberté.
    En « donnant leur voix » – peu importe à qui, en l’occurrence – ils se plient à la règle du « jeu démocratique » (sic), c’est-à-dire qu’ils acceptent à l’avance le « verdict des urnes », et qu’en conséquence ils remettent de fait leur liberté entre les mains de celui qui sortira vainqueur du suffrage, qu’il ait été leur « candidat » ou pas.

    Quel que soit le candidat d’ailleurs, on se rend compte que – sauf pour une toute petite minorité de « militants » dont le dévouement inconditionnel confine à l’hystérie – les électeurs qui votent pour lui ne lui accordent jamais une pleine confiance. Si vous n’en êtes pas convaincus, allez écouter les conversations du tout-venant : vous verrez bien qu’à l’évidence les électeurs sont généralement assez désabusés et votent rarement parce qu’ils sont convaincus qu’un candidat est le « meilleur », mais seulement parce qu’ils pensent qu’il est le « moins mauvais ». La nuance est d’importance.
    Le « moins mauvais » : c’est celui dont ils s’imaginent, ou dont ils font semblant de croire, ou encore dont ils espèrent (sans trop d’illusions souvent), qu’il les trompera un peu moins que les autres, qu’il abusera un peu moins que les autres du crédit qu’ils lui accordent au travers de leur suffrage, qu’il lèsera leurs intérêts un peu moins que les autres… peut-être (car on n’en est jamais complètement sûr).
    C’est dire que par ce système électoral tel qu’il est aujourd’hui pratiqué, l’immense majorité des citoyens a conscience de se remettre pieds et poings liés aux décisions d’élus sur lesquels ils ne pourront plus exercer aucun contrôle, qui ne leur rendront aucun compte, et contre lesquels le seul et unique recours sera de ne plus voter pour eux à l’élection suivante, après les avoir subis pendant un certain nombre d’années (ce qui leur permet de jouir jusqu’à leur mort de retraites et de prébendes en comparaison desquelles les privilèges de l’Ancien Régime sont peu de choses)… Et avec en arrière-plan la quasi certitude que celui pour lequel ils voteront alors ne vaudra sans doute pas mieux !

     Néanmoins ils continuent de prétendre que voter leur permet d’exercer leur liberté ! Ils continuent de donner à cela le nom quasi magique de démocratie !

    Je me demande s’il s’agit d’un aveuglement volontaire ou bien d’un manque de réflexion qui, à un tel niveau, doit être appelé ilotisme absolu, aliénation mentale, esclavage consenti, bêtise, stupidité, crétinerie et abrutissement.

    Objection :
    « Mais ceux qui s’abstiennent de voter subissent la même chose que ceux qui sont allés voter : l’abstention ne leur épargne pas de subir  les mêmes inconvénients. Ils ne sont pas en dehors de la société ! »
    Réponse :
    « Certes ! Etant dans la société, ils subissent comme leurs concitoyens les résultats des élections, mais du moins n’ont-ils pas contribué en « idiots utiles » à l’esclavage que leur impose la république et n’ont-ils pas prostitué leur honneur et leur conscience, ce qui fait qu’ils demeurent malgré tout intérieurement libres et forts ! »

    Voter - conjugaison

    De Jacques Brel :

    « Mettez onze imbéciles d’un côté, dix philosophes de l’autre ; les imbéciles l’emporteront. C’est ça, la démocratie ! »

    soir d'élections

    Chèque en blanc

    Vous arrive-t-il souvent de signer des chèques en blanc ?
    Moi je connais beaucoup de personnes qui ne le font jamais, même pour des très proches, même pour ceux avec lesquels elles partagent leur existence et dans lesquels elles disent cependant avoir confiance : ce n’est pas une confiance illimitée ; et il est tout simplement « raisonnable » et « prudent » qu’il en soit ainsi.

    Alors, ce que vous ne faites pas pour ce qui concerne votre compte en banque, pourquoi le faites-vous pour la gestion de l’Etat, pour l’administration de votre pays, pour votre avenir et celui de vos enfants ?
    D’autant plus que, ce chèque en blanc, vous le remettez à des personnes dans lesquelles vous n’avez pas totalement confiance, dont vous ne savez finalement pas grand-chose, envers lesquelles vous savez que vous devez garder une méfiance certaine (méfiance que les faits justifient par trop souvent)…
    Alors, un « chèque électoral en blanc », est-ce bien raisonnable ? Est-ce bien prudent ?

    Le système électoral actuel est l’exacte antithèse de la démocratie : il ne consiste en rien d’autre qu’en la remise sans aucun contrôle d’un chèque en blanc à des inconnus qui prétendent être vos amis… le temps d’une campagne électorale.
    Et pas seulement à eux.
    Car derrière eux, en réalité, il y a des inconnus – partis, lobbies, groupes d’intérêts, sociétés secrètes, trusts, groupes de pressions, systèmes politico-financiers complexes, officines occultes… etc. – , il y a toute la partie immergée d’un iceberg dont vous ne savez rien ou presque rien ; et c’est là que se trouvent les véritables décideurs, les véritables acteurs de la vie politique aujourd’hui. Les candidats et les élus ne sont que leurs pantins articulés dont ils tirent les ficelles dans l’ombre.

    Le chèque en blanc que vous signez inconditionnellement lorsque vous glissez votre bulletin dans l’urne ne va pas simplement au candidat, au mouvement ou au parti auxquels vous donnez votre voix : il tombe en réalité dans la poche de ces décideurs occultes qui se chargeront, eux, d’y écrire un chiffre et beaucoup de zéros derrière…

    A de très rares exceptions près (et uniquement à l’échelon local), quelle que soit la marionnette « élue démocratiquement », l’actuel système prétendûment représentatif vous livre pieds et poings liés à la maçonnerie dont la république est l’émanation, vous livre pieds et poings liés aux grands groupes financiers internationaux, vous livre pieds et poings liés aux décideurs de l’ombre qui méprisent au plus haut point et ce que vous pensez et ce que vous êtes.

    Votez Ali Baba

    Du « contrat social »

    La prétendue démocratie, telle qu’elle est conçue aujourd’hui, repose sur une fiction : celle du « contrat social » théorisé par Rousseau (que sa mémoire soit en malédiction !).
    Mais le « contrat social » – auquel même certains mitrés croient bon devoir se référer quand ils veulent parler de politique – n’a historiquement jamais existé. Jamais !

    L’idée de « contrat social » est une fiction philosophique qui se fonde sur une fausse notion de la nature humaine : la notion rousseauiste de la bonté naturelle de l’homme.
    Mais la nature humaine n’est pas une nature bonne que corromprait la société, c’est une nature créée bonne, certes, mais qui est déchue – pas en totalité cependant – et qui, laissée à elle-même, incline vers le mal ; une nature déchue qui toutefois porte aussi en elle la capacité d’être relevée, d’être réparée, d’être – par la grâce de Dieu, par les grâces de la rédemption accomplie par le Christ Sauveur – élevée à l’ordre surnaturel (pour lequel elle a été créée).

    Il n’existe pas de « contrat social » : l’homme est par nature un « animal social » (« Zoon politikon » selon la définition aristotélicienne) ; l’homme est par nature un être vivant fait pour vivre en société, un être vivant qui ne peut vraiment devenir un homme que s’il grandit dans la société de ses semblables (sans société, l’homme n’est qu’un enfant-loup).
    L’individu en tant qu’individu n’existe que parce qu’il vit en société (famille, village, paroisse, corps de métier, corporations, associations diverses…), c’est la société qui lui permet de devenir pleinement un individu unique. Tandis que le menteur Rousseau a échafaudé son système (système idéologique directement inspirateur de la révolution et de la république française) en faisant abstraction des faits réels et en imaginant que l’individu préexiste de manière parfaite avant la société.

    élections truc cochon

    « Loi du nombre, suffrage universel. – Etre « élu aux voix »… Mais parmi ces voix, combien ne sont que des échos ? »

    Gustave Thibon, « Parodie et mirages ou la décadence d’un monde chrétien »
    Ed. du Rocher – 2011, p. 126

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  • CHÔMAGE DE MASSE !
     

    CHÔMAGE DE MASSE !

    Mesdames ,Mesdemoiselles ,Messieurs;

    Pour ma part rien ne sera net sur le social au sujet des emplois ,ainsi continuera ce désastre et pour cause ;

    À quoi a-t-il servi de ne plus avoir d'employés sur les autoroutes, de pompistes dans les stations, de banquiers aux guichets des banques, et maintenant, c'est en cours - de caissières dans les hyper-marchés ? Ils sont remplacés par des appareils remboursés par les impôts alors qu'ils détruisent les emplois. Pour avoir des chômeurs coûtant presque aussi cher ! En effet : au montant du chômage ou du RSA ajoute la CMU et l'APL plus les cotisations patronales et salariales qu'auraient versées ces chômeurs s'ils avaient eu un emploi et vous arrivez largement à la conclusion que l'emploi est plus profitable à l'économie que ces appareils automatiques qui ne font nullement travailler l commerce, enfin d'autre gens de par la paie d'un ou d'une salarié, ses machines censées les remplacer au nom d'un modernisme imbécile et coûteux. De plus, ces appareils envahissants ne boivent pas, ne mangent pas, ne s'habillent pas, ne vont pas s'acheter des chaussures ou des chemises, ne vont pas chez le coiffeur ,et j'en passe !. Et c'est autant de boutiques abandonnées pour cause de fermeture perdant elles-mêmes des emplois fleurissants dans tous les centres-villes de France et de Navarre...

    Comme au nom de la loi sur les investissements, ces appareils détruisant les emplois sont remboursés sur les impôts,nos impôts , c'est autant de manque à gagner pour les finances publiques. De cela il fallait y réfléchir que de vouloir écraser sou pression cette masse salariale qui rentabilise mieux les caisses d'un pays ...

    J’avais déjà évoqué justement ce problème,mais voilà la presse s’intéresse qu'aux "mammouths" pour mieux se donner de l’influence.Donc anticipé sur ces bouleversements avec la robotisation et l'avènement de " l'intelligence artificielle " en proposant le revenu universel afin de donner à chaque jeune la possibilité de se former pour occuper ces nouveaux emplois. Voilà un choix qui amorçait un début de réflexion, qui s'impose à nous. Et ce n'est ni l’Europe, ni le repli sur soi, ni la sortie de l'euro qui apporteront le remède a cette maladie du siècle politiquement contaminé ...

    Sera-t-il plus facile de calquer la France sociale sur l'Europe, ou de la quitter pratiquement en ignorant ses lois ? Aucune option ne parait réalisable, et on peut se demander si ce n'est pas pareil pour les autres points, convergents ou divergents des programmes de Macron et de Marine Le Pen. Il sera impossible à tout candidat d'ignorer les interactions obligatoires de nos jours, entre les pays et les continents, comme au temps où l'on avait des contacts qu'à une journée de marche , et aucun Président Français ne modifiera plus l'ordre politique et économique du monde sauf obstination jusqu'à la catastrophe !

    On a pu apprécier la stature des présidents qui ont laissé la France dans cet état et le reste suivra ,dont a qui la faute ,ci ce n'est au peuple Français de par lui-même ...Je vous remercie .Sylvestre Brunaud ..


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  • IIIe FORUM DE L’EUROPE – 13 MAI 2017 – PARIS

    Publié par: Dominique MOREL

    Le 13 mai prochain, pour la troisième année consécutive, à l’appel de Jeune Nation, les nationalistes d’Europe se retrouvent à Paris pour une journée d’échange et de convivialité sur le thème :

    NATIONALISTES DE TOUS PAYS : EN AVANT !

    Confrontés à la tentative de génocide des Européens par l’action conjuguée d’une invasion migratoire massive et de la pratique avorteuse généralisée, les délégations étrangères présenteront leurs expériences de l’avancée du projet nihiliste du judaïsme politique dans leurs pays respectifs.

    Mais animés de cette foi ardente et sans cesse renouvelée puisée dans la plus longue mémoire de nos pays d’Europe, ils témoigneront également des succès de leurs militantismes enracinés dans les traditions nationales ainsi que des résistances des peuples qui refusent la disparition des nations.

    Jeune Nation vous invite donc à venir pour entendre et rencontrer les nombreuses délégations étrangères qui feront le déplacement et qui constituent les ferments de l’Europe nouvelle.

    Nombreux stands d’organisations amies et nombreuses délégations étrangères dont : Allemagne, Angleterre, Belgique, Bulgarie, Chypre, Espagne, Grèce, Italie, Roumanie, Russie, Suède…

    Samedi 13 mai 2017, à partir de 11 h – Entrée : 10 € (gratuit – de 16 ans)

    Renseignements et inscriptions : 07.81.72.58.81 ou forumeurope.france@gmail.com

    IIIe FORUM DE L’EUROPE – 13 MAI 2017 – PARIS

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