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  • Par: Pieds Noirs 9A..

    Article N°3185 du 23 novembre 2017

    La France le devient !.

     

     

    Un responsable du CFCM demande 2500 lieux de culte en plus pour les musulmans .

    Vous voyez !. C'est ça qu'ils veulent implanter la religion musulmane, la charia ,leurs mœurs contre culture chez nous en France et ça sera la soumission de ce gouvernement de leur construire au frais des contribuables de très belle mosquée cathédrale chez nous en France et n'oubliez pas une chose une très grande majorité de Français est responsable de ce grand changement multiculturel et de l'islamisation de la France voulut pas nos chers politiciens de droite comme de gauche Française ...

    Il y a 18 000 mosquées en Algérie (Huffington post, 18/05/2015) pour 40 610 000 habitants, soit une mosquée pour 2 256 Algériens. En France, le nombre de musulmans est estimé à 4 710 000 (Etude du Pew Research Center, 2010) pour 2 449 mosquées (Ministère de l’Intérieur, 2012), soit une mosquée pour 1 923 individus de religion islamique. Notre pays comporte donc déjà plus de mosquées eu égard au nombre de musulmans que l’Algérie.
    Géraldine Smith, dans son livre « Rue Jean-Pierre Timbaud » raconte « le déploiement rituel des prières de rue dans son quartier alors même que la mosquée est à moitié vide ». (Marianne, 17/11/2017).

    Le 14 novembre 2017, TF1 révèle que des musulmans participant aux prières de rue à Clichy ne veulent pas aller prier dans la mosquée de 2 000m2 présente dans la ville.
    En mai 2016, Rémi Muzaeu, le maire LR de Clichy où se sont déroulées des prières de rue avait mis à disposition des fidèles un centre cultuel et culturel rue des Trois-Pavillons, situé à 1,5 kilomètre du centre-ville de Clichy-la-Garenne. Ce lieu comporte notamment deux salles de prière qui peuvent chacune accueillir 700 personnes. La mairie a admis également avoir proposé l’installation d’une salle de prière complémentaire sur un terrain municipal, « sans recevoir aucune réponse » de l’association islamique UAMC. Cependant, les fidèles estiment que la mosquée proposée est trop éloignée et trop petite pour accueillir tout le monde et exige « un terrain adapté avec option d’achat pour pouvoir installer un lieu de culte durablement » (17/11/2017, RTL Actu).

    Le porte-parole de l’association de La Grande Mosquée de Clichy reconnaît lui-même que les participants aux prières de rue ne viennent pas tous de Clichy : « Il y a un réel mouvement de solidarité » (31/03/2017, Le Parisien). Le but : gonfler les chiffres afin d’exiger de nouvelles mosquées toujours plus grandes.
    En Algérie ,il yen a pas autant !...

    Signalons aujourd’hui à Mr Boubakeur que les chrétiens d’Orient sont massacrés et leurs lieux de cultes brûlés et, aux portes de la France, les chrétiens de Kabylie sont persécutés par un pouvoir arabo-islamique, ils sont pourchassés même dans leurs maisons transformées en lieux de rencontre et de prière...

    Dans l’histoire des transformation des lieux de culte,la basilique Sainte-Sophie, église d’Istanbul reconvertie en mosquée au XVe siècle est l’un des exemples les plus connus et qui marquera la transformation de tout un pays et la reconversion de tout un peuple !...

    Aussi petit détail ,un tout petit !
    Mosquée géante à Cologne, symbole de la domination islamique ,dont un pouvoir a prévoir en place par la voie de l'Islam Une mosquée monstrueuse en plein cœur de Cologne. Son minaret de 30 mètres et sa forme massive dominent la ville et se veulent les nouveaux symboles de la domination islamique dans le pays...

    Et le pire ,en Algérie ,il nous on détruit les églises chrétiennes, comme ils le feront demain en France ...

    Pieds Noirs 9A..


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  • Les tribulations de Madame Hidalgo

    Sale temps pour Anne Hidalgo et son équipe. Ce lundi 21 novembre, l’opposition municipale a soumis au Conseil de Paris ce qu’elle considère être un conflit d’intérêts majeur pour Bruno Julliard, premier adjoint à la mairie et proche de Mme Hidalgo. Simultanément, celle-ci est également accusée d’avoir bénéficié d’un emploi fictif pendant deux longues années, qui lui aurait rapporté plus de 100.000 euros.

    Ils avaient pourtant cru pouvoir échapper au scandale. Contacté à l’improviste par le magazine Challenges, Paul Le Goff avait préféré prendre les devants et déclarer : « Je démens absolument que Noctis m’ait embauché en contrepartie de l’attribution par Bruno du Showcase ». Pour comprendre cette excuse non demandée, il faut avoir en tête que c’est l’époux de Paul Le Goff, Bruno Julliard, qui attribue les concessions de nombreux lieux de fêtes disponibles dans l’espace public.

    Or, Paul Le Goff a été embauché par Noctis au mois d’août comme conseiller juridique, soit au même moment où cette société, « empire de la vie nocturne parisienne », gagnait l’appel d’offres pour la gestion de l’espace situé sous la culée du pont Alexandre-III, où se tenait jusque-là le Showcase, célèbre boîte de nuit de la capitale.

    Pour l’opposition municipale, le conflit d’intérêts paraît simplement « évident », et ce, malgré les curieuses tentatives d’explication de M. Le Goff. En effet, s’il avance parfois des arguments d’ordre procédurier (comme lorsqu’il affirme que son cas « a été soumis à la Haute Autorité de la transparence »), il tente aussi maladroitement de faire pleurer dans les chaumières sur sa situation professionnelle : « Il faut bien trouver du boulot », affirme-t-il.

    C’est vrai que les temps sont durs pour tout le monde… Sauf, peut-être, pour le nouvel employeur de M. Le Goff : le groupe Noctis réalise un chiffre d’affaires de 70 millions d’euros par an, et ce ne sont pas les activités qui manquent. Car il paraît qu’on organise désormais toutes sortes d’événements dans l’ancien Showcase, notamment, fin octobre, une soirée libertine très particulière, « dans la lignée des soirées berlinoises SM les plus hard et les plus déjantées », lit-on dans Challenges. Heureusement que l’on peut compter sur Bruno Julliard et son mari pour offrir aux Parisiens ce type de soirées fort divertissantes, le tout dans le cadre de la politique culturelle de la municipalité.

    Alors, bien sûr, Paul le Goff doit « trouver du boulot » : il n’est pas le seul, certains essayent même d’en trouver deux, ou disons qu’ils essayent de toucher deux salaires. Ainsi, en octobre dernier, Capital avançait que le maire de Paris aurait bénéficié, de 2001 à 2002, d’un emploi fictif au ministère du Travail pendant qu’elle était première adjointe de Bertrand Delanoë. 

    Le 7 novembre dernier, Le Canard enchaîné confirmait ces informations et les documents révélés par Capital, en précisant que les montants alors perçus par Mme Hidalgo atteignaient les 116.000 euros. Selon le magazine économique, « après avoir été élue première adjointe de Bertrand Delanoë à la mairie de Paris en mars 2001, Anne Hidalgo a continué de se faire payer pendant des mois par son administration d’origine, le ministère du Travail ». Grâce à la mobilisation du syndicat SUD Travail, le ministère avait fini par demander à Mme Hidalgo qu’elle rende les sommes indûment perçues – ce qu’elle finira par faire partiellement.

    En tout, l’édile parisienne aura remboursé 21.659,05 euros, ce qui laisserait un solde en sa faveur d’environ 100.000 euros. Une belle somme, qu’elle pourra peut-être utiliser pour venir en aide au brave M. le Goff, qui avait tant trimé pour s’insérer sur le marché du travail.

    Gilbert Meurice

    Source : http://bvoltaire.com


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  • Marchés aux esclaves en Libye: un enfer qui ne date pas d'hier

    Dans le port de Tripoli, le 4 novembre 2017, des migrants sauvés en mer par la marine libyenne (photo d'illustration).
    © REUTERS/Ahmed Jadallah

    Le cauchemar vécu en Libye par les migrants africains et les images d’un marché aux esclaves diffusées par la chaîne américaine CNN, ont causé une vague d’émotion mondiale. Un cauchemar que certains font mine de découvrir aujourd'hui, bien qu’il s’agisse d’un phénomène que l'on connaît bien et qui dure depuis des années.

    Voilà des années que les témoignages abondent et des années que la situation empire sur les routes de l'exil. Ceux qui ont un peu de mémoire se souviennent par exemple des centaines de migrants africains enfermés dans les prisons de Kadhafi et qui rachetaient leur liberté en travaillant pour leurs gardiens. Et puis peut-être aussi de ces Erythréens pourchassés pendant la révolution de 2011 sous prétexte que la dictature dont ils s'étaient échappés soutenait le Guide libyen. On peut évoquer aussi, en passant, les prises d'otage d'Ethiopiens et d'Erythréens dans le Sinaï par les mafias locales à partir de 2009, qui les torturaient au téléphone pour obtenir des rançons de leurs familles... Bref, la route d’Afrique du Nord est infernale depuis bien longtemps pour ceux qui cherchent à fuir vers l'Europe.

    La situation actuelle, notamment les ventes aux enchères, comme celle qu'a pu filmer CNN, est également connue et largement documentée. Ces dernières années, les ONG et les journalistes qui s’intéressent au sujet ont relayé des dizaines de témoignages sur ces horreurs. En avril dernier, quelques mois après l’ONU, c'est l'Organisation internationale pour les migrations elles-mêmes, l'OIM, qui publiait un rapport sur des « marchés publics aux esclaves » actifs dans toute la Libye. Mais à l'époque, comme les témoignages recueillis par la presse ou les travailleurs humanitaires les années précédentes, ce rapport n'avait pas fait beaucoup de vagues.

    Toujours est-il qu’aujourd’hui que l’émotion est mondiale, tout le monde cherche à désigner des coupables. Mais que peut-on en dire ? D'abord, que cette barbarie est avant tout le fruit pourri d’un écosystème qui commence dans les villes d'Afrique, qui va jusqu'aux bureaux de vote des pays européens, en passant par les dynamiques internes des pays de transit, comme la Libye. D’un côté, on connaît les causes de départ : la misère, l'oppression, les conflits, le dérèglement climatique, et parfois aussi la pression sociale de familles qui ont besoin d'argent.

    De l’autre, au bout de la route, il y a l'Europe, où les électeurs élisent majoritairement des gouvernements qui défendent une solution drastique, des contrôles sévères des frontières, et donc la politique de sous-traitance sécuritaire appliquée, par ricochet, par l'Union européenne. Au milieu de tout cela, prospèrent des mafias ou des bandes armées qui en profitent et font de l'argent, beaucoup d'argent, grâce à cette mécanique qui fournit de « la chair fraîche » pour un business qui représente plusieurs centaines de millions de dollars par an. A ce sujet, un chiffre officieux circule : 350 millions de dollars de chiffre d’affaires en 2016, rien que dans l’Ouest libyen. Ce qui, explique un bon connaisseur de la Libye, est paradoxalement peu de chose dans un pays dont l'économie est ruinée et où le trafic d'êtres humains nourrit des familles entières, faute d’autres revenus possibles.

    Cela étant dit, en Libye, on connaît les acteurs principaux du calvaire des migrants africains. Les responsables du trafic d’êtres humains, en l'absence d'autorité centrale crédible depuis l’effondrement de l’Etat, sont des miliciens, anciens « révolutionnaires » anti-kadhafistes devenus soldats professionnels. Par exemple à Sabratha, un port de départ connu des canots pneumatiques qu'on repêche en détresse au large, un célèbre groupe armé gérait le trafic jusqu'à l'été dernier et protégeait aussi les installations pétrolières de Mellitah pour la compagnie pétrolière italienne ENI.

    Mais après un accord - assez opaque - conclu avec le gouvernement italien en août 2017, c'est cette même milice qui est désormais payée pour faire empêcher les migrants de prendre la mer dans le secteur, au nom du « rétablissement de l’ordre » et de « la lutte contre le crime », gage de respectabilité dans ce pays sans Etat et sans loi. Et ce sont les miliciens de ce groupe, officiellement regroupés au sein d’une « salle des opérations contre l’Etat islamique » par le gouvernement reconnu par la communauté internationale, qui gèrent le centre de détention des migrants à Sabratha, pour leur propre compte.

    C'est du reste la même chose dans toute la Libye, avec des groupes armés différents, pris dans des alliances fragiles et mouvantes, faisant commerce de tout. La route de la mer étant fermée à la demande pressante de l’Union européenne, de plus en plus d’exilés se retrouvent coincés sur les territoires sous leur contrôle, ce qui augmente d'autant leur travail... et leurs profits. Difficile donc, dans ces conditions de désigner un seul coupable, mais plutôt une mécanique internationale, aux acteurs multiples, qui, en quelque sorte, crée des monstres et des monstruosités.

    http://www.rfi.fr/afrique


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