• Pour l’Américaine Rochelle Gutierrez, l’enseignement des mathématiques « perpétue le privilège blanc »

    Publié par:Pieds Noirs 9A..

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    Où va se loger le « racisme en sens contraire » ! Rochelle Gutierrez, professeur de mathématiques à l’Université d’Illinois, vient d’asséner que l’enseignement de la géométrie et de l’algèbre « perpétue le privilège blanc ». Notre pédagogue et chercheuse américaine, sous le titre verbeux « Soutenir les pratiques universitaires dans les méthodes mathématiques », écrit ceci : « Sur bien des plans, les mathématiques par elles-mêmes jouent comme un blanchisseur. Celui qui parvient à faire et développer (une pensée) mathématique, celui qui est apte aux mathématiques, et celui qui se sent membre de la communauté mathématique, est généralement perçu comme blanc. » Et d’enfoncer le clou : « Les programmes scolaires en mathématiques mettent en avant des termes tels que Théorème de Pythagore, et les chercheurs perpétuent une perception des mathématiques largement développée par les Grecs et autres Européens. » Que le Samoën Pythagore, athlète et philosophe, eût pu avoir la peau mate et les yeux foncés, nul ne le sait. Mais Mme Guttierez n’est pas à cela près.

    Les mathématiques « privilège de naissance, comme le fait d’être blanc », affirme l’Américaine Gutierrez

    Plus avant, notre professeur de mathématiques déracialisées nous enseigne que les mathématiques fonctionnent comme un privilège de naissance, « exactement comme le fait d’être blanc ». Rochelle Guttierez, une brune à la peau albâtre et aux yeux noisette, s’interroge douloureusement, dans un édifiant accès de haine de soi : « En tant que chercheurs, obtenons-nous nos crédits parce que nous nous occupons d’enseignement des mathématiques plutôt que d’études sociales ou d’anglais ? » Pour elle, se concentrer sur les aptitudes d’un élève aux mathématiques perpétue la discrimination à l’encontre des minorités, particulièrement si elles ont de moins bons résultats que leurs concurrents blancs. Elle affirme aussi que de nombreux élèves « ont subi des micro-agressions en suivant des cours de mathématiques car on y juge les gens en fonction de leur aptitude à raisonner de façon abstraite ». « Sommes-nous tellement intelligents parce que nous faisons des mathématiques ? », se demande-t-elle. A la lire, on peut effectivement en douter.

    Pour la chercheuse Melissa Libertus, le sens des nombres est pour partie inné

    Face à ce supposé racisme de l’enseignement, Melissa Libertus, psychologue à l’Université Johns Hopkins de Baltimore, estime que les aptitudes aux mathématiques sont d’abord liées à l’intelligence globale, un don inné. Une étude qu’elle a menée a établi que les aptitudes au raisonnement mathématique des enfants en maternelle sont liées à un « sens des nombres » congénital et primitif, dénommé « Système approximatif des nombres ». Melissa Libertus poursuit : « Des études précédentes sur des enfants plus âgés ont laissé penser que des différences dans leur expérience d’apprentissage auraient pu déterminer leurs différences dans leur sens des nombres : en d’autres termes, quelques enfants testés dans les collèges ou au lycée ont semblé démontrer un meilleur sens des nombres simplement parce qu’ils avaient reçu un meilleur enseignement mathématique ». « Pour autant, poursuit Mme Libertus, à l’inverse de ces études, la nôtre montre que le lien entre le sens des nombres et l’aptitude au raisonnement mathématique est déjà présent avant le commencement d’un enseignement formel des mathématiques. »
     
    Tout cela ne signifie pas que les individus qui ne sont pas nés avec ce don ne peuvent pas devenir matheux. Les recherches montrent qu’un travail consciencieux et de bonnes études sont, en fait, les facteurs les plus importants pour améliorer l’aptitude aux mathématiques. Mais des gens comme Rochelle Gutierrez, plutôt que d’accepter que pour certains individus, blancs ou non-blancs, les mathématiques puissent exiger plus d’efforts que pour d’autres, les mathématiques sont « racistes » et l’affaire est pliée. « Si quelqu’un n’est pas considéré comme matheux, il subira toujours un sentiment d’infériorité car l’étudiant moyen ne se posera pas nécessairement la question du rôle des mathématiques dans la société », argumente-t-elle. Mais la question est-elle raciale ? Et la réduire à cela ne revient-il pas à adopter une pensée précisément de type raciste ?

    Rochelle Guttierez propose une « vision politique » de l’enseignement des mathématiques

    Pour répondre à cette supposée perpétuation du privilège blanc par l’enseignement des mathématiques, Rochelle Gutierrez propose aux professeurs d’adopter une « vision politique de l’enseignement » leur permettant de cibler les opportunités d’apprentissage qui fonctionnent le mieux pour chaque étudiant. En d’autres mots, au lieu d’aider les élèves à se renforcer dans les domaines où ils sont faibles, les éducateurs devraient enseigner dans les domaines où ils sont forts. Mais l’enseignement ne vise-t-il pas pourtant à développer de nouveaux talents tout en renforçant ceux qui existent ?
    Malheureusement, l’université de l’Illinois ne s’inquiète pas des théories de Mme Gutierrez et de son dédain affiché pour la matière qu’elle enseigne. Son recteur par intérim, John Wilkin, se félicite qu’elle soit admirée et publiée : « Comme dans toutes nos facultés à Urbana-Champaign (ville universitaire dans le sud de l’Illinois), le professeur Gutierrez a droit à la liberté nécessaire à sa mission de recherche et d’enseignement sur des sujets importants, et à établir des conclusions même si certains ne sont pas d’accord avec elles ». Une façon pour Wilkin de souscrire aux théories de Gutierrez, d’autant qu’il ajoute que « Les enjeux pour l’équité et l’accès à l’éducation sont réels » et que « questionner les approches pédagogiques est exactement ce que doit faire une faculté, dans un établissement de classe mondiale ». Mais questionner les divagations universitaires sur la pédagogie est exactement ce que doit faire une démocratie qui se veut exemplaire.

    Matthieu Lenoir

    Source : reinformation.tv


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  • Pizzagate : deux suicides si identiques !Un billet de :François-Xavier Rochette

    Pizzagate : deux suicides si identiques !

    Non le Pizzagate n'est pas une affaire qui a fait pschitt ou qui serait passée de mode comme s'il ne s'agissait ou qu'il ne s'était agi que d'une nouvelle marotte passagère de geeks excités. Toutes les questions soulevées par les chercheurs de vérité du monde entier depuis novembre 2016 restent sans reprises officielles. Pourquoi le propriétaire du Colmet Ping Pong, James Alefantis, fait-il partie des 50 personnes les plus puissantes de Washington DC selon un classement établi par le Washington Mag’ ? Pourquoi publie-t-il des photos scabreuses où on le voit accompagné de très jeunes enfants attachés et mis dans des positions scandaleuses ? Pourquoi l'intérieur de ce restaurant est-il empli de fresques sadiques, cannibalistes, d'enfants suppliciés ? Pourquoi tous les symboles pédosatanistes dont la signification générale a été très officiellement divulguée par le FBI sont-ils gravés, dessinés ou moulés dans cet antre où l'on joue « au ping pong » ? Pourquoi y organise-t-on des concerts sataniques (des vidéos l'attestent sur Youtube notamment) au cours desquels les chanteurs et les convives font part de leurs goûts particuliers en matière de sévices pédomaniaques ? De l'humour incompréhensible pour les ploucs provinciaux et chrétiens ? Pourquoi ce restaurant, au demeurant fort laid, est-il devenu un heu de regroupement de la clique clintonienne à Washington ? Pourquoi John Podesta, son frère Tony (tous deux collectionneurs de tableaux pédomaniaques horribles) fréquentent-ils, eux, dés délinquants sexuels notoires comme Anthony Weiner et Jef Epstein ? Pourquoi les Podesta, les Clinton et tous leurs petits copains discutent-ils parfois en langage codé utilisant le lexique de la restauration rapide pour préciser certaines informations apparemment pas très catholiques ?

    Pourquoi aucune enquête n'-a-t-elle été ouverte sur l'agenda exact des frères Podesta, de Weiner et de Clément Freud, alors tous les 4 présents dans la petite ville du Portugal où fut enlevée la petite Maddie le 3 mai 2007 alors que les portraits robots correspondent traits pour traits (c'est estomaquant) aux visages de John et Tony Podesta et d'Anthony Weiner ? Pourquoi ignore-ton la cause de la mort de Clément Freud (petit-fils de Sigmund) en 2009 et pourquoi n'apprit-on que 7 ans après son trépas qu'il était un violeur d'enfants en série comme son ami Jimmy Savile ? Pourquoi les révélations de vedettes américaines sur les agissements monstrueux de pédomanes n'engendrent-elles pas l'intérêt des média mainstream ? Pourquoi ces stars immenses, selon les propres canons du média obèse, ces stars étrangement innombrables, ont-elles été si souvent victimes de la cruauté de pédomanes ? Pourquoi cette redondance pédomaniaque dans la biographie des rock stars ? Pourquoi la thématique du viol infantile, de la pédomanie, est-elle si développée dans les chansons, dans les tubes, dans les grands refrains à succès ? Nous y reviendrons mais avant de regarder de près cette particularité artistique, arrêtons-nous sur les inattendus décès de deux vedettes colossales du rock-grunge-metal mondiales.

    Chris Cornell étouffé

    Chris Cornell, de son vrai nom Christopher John Boyle, est mort dans la nuit du mercredi 17 au jeudi 18 mai à l'âge de 52 ans. L'ancien chanteur d'Audiolslav était pourtant sur scène quelques heures avant son décès, à Détroit où il chantait avec son ancien groupe quasi légendaire Soundgarden reformé timidement en 2010. Originaire de Seattle dans l'État de Washington, Chris Cornell avait fondé son groupe à la fin des années 1980. Ils connurent un succès phénoménal à cette époque, ouvrant les concerts des Gun's n Roses lors de leur tournée américaine ou en partageant l'affiche de festivals avec les Red Hot Chili Feppers, Çypress Hill ou encore Rage Against The Machine. Soundgarden avait obtenu deux Grammy Awards en 1995 dans les catégories meilleures performances de hard rock et meilleure performance de métal. La suite de la carrière de Chris Cornell est d'un point de vue professionnel tout à fait honorable ; il fut ainsi l'auteur de l'un des titres qui accompagne Casino Royal, l'un des meilleurs James Bond de toutes les époques. Mais son plus grand succès reste incontestablement Black Hole Sun, un titre et un clip incroyables incompris cependant du gros de son public. Donc, lorsque l'on découvrit Cornell sans vie dans sa chambre d'hôtel, la nouvelle fit l'effet d'une bombe. Une mauvaise et énorme surprise en effet pour les fans de Chris Cornell et surtout pour ses amis qui le connaissaient fort bien. Car si Chris Cornell était réputé pour être véritablement le fondateur du style grunge, avant ou devant Kurt Cobain du groupe

    Nirvana, pour être une sorte d'icône d'un rock noir, parfois caricature dépressive, commercialement dépressive à l'adresse d'un public adolescent toujours un peu torturé, il était devenu, et telle était la vérité, un bon père de famille parfaitement sensé, un papa au grand cœur, un homme équilibré, resté poète mais qui avait dépassé ses tourments et ses souffrances (un homme qui n'avait jamais été diagnostiqué psychotique par ailleurs). Sa mort stupéfia d'autant plus. Il fut en effet retrouvé "suicidé", pendu à une poignée de porte avec quelque bande en coton si serrée autour du cou que le sang coulait par la bouche du malheureux quand on le retrouva. Mais aussitôt l'énorme matrice journalistique déversa la version officielle du pourquoi du comment. Chris Cornell était en pleine forme mais il était bel et bien un chanteur de rock pop et il prenait des poses grunge dépressives ce qui laissait présager un suicide. Un écorché vif se suicide nécessairement selon le média débile. Même si rien n'indiquait un tel dénouement. Point.

    Chris Cornell était en forme, actif, social et poursuivait une tournée musicale très honorable qui le comblait. Et pourtant, il se serait suicidé... Le public le croit aisément : Cornell a été très malheureux de l'âge de 13 à 14 ans, et il chantait des textes tristes et glauques ; il fut donc "normal" qu'il se suicidât. Néanmoins, absolument rien n'indiqua que cette vedette sans problème (les molécules des médicaments qu'il ingéra n'étaient pas très dangereuses et il n'était même pas considéré comme un toxicomane, ce qui est finalement rare dans ce milieu qui connaît finalement très peu de suicides (le dernier en date, très controversé, - sans parler de la petite scène - est celui de Kurt Cobain en 1994) allait commettre l’irréparable. Cela arrive, entend-on, et il n'est pas nécessaire d'en faire tout un fromage !

    Deux mois plus tard, même son de cloche. Chester Bennington, chanteur emblématique du groupe Linkin Park, se serait suicidé (il y a donc dix jours) à son domicile en se pendant un peu de la même façon. Le 20 juillet, jour anniversaire de son ami Chris Cornell, Chester se tue. Il n'aurait pas supporté la disparition de son collègue musicien bien qu'il fût père aimant de six enfants et que rien, là encore, ne laissait présager le pire. Cette fois, le gros média débile argua de la fragilité mentale de Chester Bennington, victime à l'âge de 7 ans de viols monstrueux qui le rendirent "dépressifs" (état légitimant un éventuel suicide). Les connaisseurs furent sceptiques cependant lorsqu'ils apprirent ce nouveau suicide. Car, là encore, même si la vedette était connue pour ses traumatismes d'enfance, tout allait bien pour lui : une famille nombreuse, une vie professionnelle active loin des frasques qui caractérisent le monde déjanté des punks toxicomanes auquel il n'appartenait absolument pas. Il se serait lui aussi tué soudainement, sans le laisser présager, à l'âge de 41 ans. Le scénario tissé par le média mainstream était cousu de fil blanc. Touché par la mort brutale de son ami, fragilisé par ses blessures, Chester se serait donné la mort sur la scène tragique du rock dur. Il ne faut pas se poser de questions, c'est l'univers de la souffrance habituellement sublimé qui a déraillé...

    Chester Bennington Liquidé ?

    Chester Bennington était une victime de pédomanie ; il fut violé à l'âge de 7 ans et il n'avait jamais fait mystère de cette blessure et de sa volonté d'aider les malheureux enfants souffrant dans leur âme de ce fléau infiniment pervers. Les métamorphoses du combat contre la pédomanie, l'éclatement du Pizzagate principalement, ont fait déferler des légions de chercheurs de vérité qui se sont mis à ratisser tout le champ médiatique afin de découvrir l'étendue du réseau pédomane dont la zone de Washington ne pouvait être que la face émergée de l'iceberg. Nous pouvons penser qu'un homme comme Chester Bennington fut très largement sollicité non seulement par une partie de ses fans mais par des milliers d'Américains désireux d'en savoir plus sur les agissements et l'identité des tarés pédomanes. Il l’était nécessairement, sollicité, puisqu'il avait d'autre part créé une association d'aide aux victimes de la pédomanie. Il en serait donc lui-même mort à 41 ans. Comment ?

    Répétons-le, le milieu dans lequel évoluait Chester Bennington est étonnamment rempli de victimes de pédomanes. D'ailleurs le chanteur de Linkin Park a évoqué à maintes reprises ce mal dans ses compositions, et quand on gratte un peu ses textes, souvent hermétiques, on se demande s'il ne parie pas de cela dans la plupart de ses titres ! Elément que le gros média et la presse spécialisée comme Rollington Stone magazine ou en France Les Inrocks n'analysent guère. Ces journaleux sont paradoxalement bien pudiques sur la chose...

    Deux hommes encombrants

    Même commentaire à propos du traitement médiatique de Chris Cornell, le chanteur de Soundgarden et du tube Black Hole Sun dont l'hermétisme n'a visiblement pas "travaillé" la presse spécialisée ! Et ce n'est pas parce que Cornell lui-même fut bien taiseux sur la signification de sa chanson que les exégètes doivent l'être pareillement à ce propos, surtout aujourd'hui ! Car avec la documentation dont on dispose actuellement en matière de symbolisme, le message sous-jacent véhiculé dans Black Hole Sun saute désormais aux yeux. Le clip très noir de cette chanson est tout autant parlant quant au sujet profond abordé par Cornell ; notamment cette séquence pendant laquelle une envolée de papillons traversant le living-room d'adultes abrutis par la télévision qui symbolise la fin de l'enfance sanctionnée par un viol silencieux dans une chambre voisine. Autre question lancinante : pourquoi la presse habituellement si curieuse, si indiscrète, ne s'est-elle pas intéressée aux causes de la dépression subie par Chris Cornell au tout début de son adolescence ? Pourquoi, par ailleurs, l’énorme entreprise Clear Channel avait-elle profité du 11 septembre 2001 pour rayer de sa liste de diffusion le titre Black Hole Sun ? Rappelons que Clear Channel est propriétaire de centaines de stations de radio et de plusieurs chaînes de télévision et premier organisateur de concerts dans le monde avec Live Nation Entertainment - « Au départ organisateur de concerts, Live Nation s'est transformé par des rachats successifs en société intégrée contrôlant toute la chaîne du spectacle. Live Nation opère sur cinq métiers principaux : promotion de concerts et gestion de salles ; billetterie gestion d'artistes (contrats publicitaires, gestion de fan-clubs, produits dérivés) ; vente en ligne (vente de billets de spectacles sur les sites internet de Live Nation) ; partenariats. En 2010, Live Nation organise près de 100 000 spectacles (dont 21 000 concerts) dans près de 40 pays, rassemblant 200 millions de spectateurs. Côté au Nasdaq, Live Nation réalise un chiffre d'affaires de 5 milliards de dollars et emploie 6 500 salariés au 31 décembre 2010 » selon Wikipédia. Ces faits ont-ils un rapport avec le silence assourdissant de Chris Cornell à propos de sa chanson fétiche qui semblait indisposer les producteurs de toutes sortes bien qu'elle soit depuis sa sortie formidablement "bankable" ?

    Nos deux hommes étaient-ils sur le point de révéler les secrets du secret ? Le Système pédomane (pour parler comme Vladimir Poutine) utilise toujours la même stratégie pour inciter les masses à se désintéresser de toutes ces questions. Il existe ainsi une multitude de sites Internet "louches", très officieusement conspirationnistes qui s'empressent d'ajouter au vrai du taux et du grotesque afin de discréditer tout le travail des chercheurs de vérité aux yeux du grand public. Plusieurs sites inventèrent ainsi une parenté entre l'affreux John Podesta et Chester Bennington qui serait... son fils naturel caché... Le fait que Bennington ressemble très approximativement à John Podesta suffirait à étayer cette croyance et à ridiculiser du même coup tous ceux essayant de se poser les bonnes questions. Cette idée absurde rend de facto l'hypothèse d'une émulation antipédomane qui s'est développée autour de Cornell et de Bennington peu séduisante. Elle est pourtant évidente. Cornell était proche de Bennington, mais aussi du chanteur des Gun's and roses, Axel Rose, qui fut violé à l'âge de deux ans par plusieurs membres de sa famille, de Slash, victime lui aussi de pédomanie et qui en parle dans sa chanson The Unholy, de Serj Tankian du groupe System of Down, chanteur très engagé dans des causes humanitaires (protection de l'enfance notamment). À cette aune, il est certain que l'amitié liant Cornell à Bennington reposait sur leur volonté respective d'aider les victimes de pédomanie de la meilleure façon possible. Chris Cornell avait lui aussi créé une fondation à cet effet, la fondation Vicky et Chris Cornell destinée à aider les entants abusés de 5 à 15 ans. Cette association existe depuis fin 2012 mais depuis quelques mois elle s'était rapprochée de celle dirigée alors par Bennington...

    François-Xavier Rochette Rivarol du 3 août au 5 septembre 2017

    http://linformationnationaliste.hautetfort.com/archive/2017/08/31/pizzagate-deux-suicides-si-identiques-5975504.html


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  • Le témoignage de Eric Legros, artisan fromager agressé et harcelé.

    Par :Pieds Noirs 9A..

     Article N°3175 du mardi 7 novembre 2017..

    CET HOMME N'AURA AUCUN ESPOIR D'Y RESTER ..

     

    (VIDÉO) Le témoignage de Eric Legros, artisan fromager agressé et harcelé par un voyou notoire

    Le témoignage de Eric Legros, artisan fromager agressé et harcelé.Rien d’étonnant qu’on harcèle un Français dans une banlieue totalement laissé à l’abandon par le gouvernement, aucun secours venu a ce commerçant, Bagnolet et la Seine-Saint-Denis sont devenus territoires qu'il ne fait pas bon vivre où la France est bannie, avec évidemment cette complicité des pouvoirs publics ne voulant plus de nationaux. Ils font la loi comme s’ils étaient chez eux, alors qu’ils ne le sont pas. Je soutiens la démarche de ce fromager et publie sa vidéo, son appel pour lui venir en aide...
     

    Cet homme est une victime d'occupation des lieux ,et devoir partir de force , ils feront tout pour le détruire de son quartier, de sa vie familiale de son emplacement de travail. S’il pense qu’il en sera sauvé, inutile d'y croire, il finira par succomber de cette attente et de cela les destructeurs le savent très bien, surtout de savoir la façon de pratiquer pour faire déguerpir une personne du quartier même né sur ce lieu, aucun recourt de l’Etat, ou de ses représentants... 
    Depuis des années de dire que ce n'est que les autres les racistes, on a tellement mis dans la tête des Français de France de ce vivre ensemble, ce germe du pacifisme, de la faiblesse, de baisser la tête toujours et encore, comme on créé un peuple de faibles d'innocent et d'inconscient. C’est l’enseignement de celui dont on doit se débarrasser...

    La paix des braves en France sera terminer ! ...

    Pieds Noirs 9A..


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  • Pascal Praud fait fermer sa grande gueule au rappeur anti-blancs Rost ...

    Publié par :Thomas Joly 

    Alors qu'il devait commenter la bagarre entre Patrice Evra et des supporters (maghrébins) de l'OM, le rappeur Rost a commencé son intervention en invoquant le sempiternel « racisme » alors qu'il n'en est absolument pas question dans cette histoire. Pascal Praud, le courageux animateur, lui a demandé d'arrêter « de mettre à tout bout de champ les insultes racistes sur le débat »« ça suffit ! Ça va là ! »« c'est obsessionnel chez vous ! »


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  • "GOULAG, UNE HISTOIRE" D'ANNE APPLEBAUM, OUVRAGE DE REFERENCE PARU EN 2003 ET TRADUIT EN FRANCAIS EN 2005.
    Voici la notice rédigée par Luba Jurgenson parue dans les Cahiers du monde russe au moment de la sortie du livre.

    Constituant l’une des plus importantes études sur le système concentrationnaire soviétique parues dans le monde anglo-saxon ces dernières années et destinées au grand public, Goulag d'Anne Applebaum, est un excellent ouvrage de synthèse qui a le mérite, d’une part, de récapituler les recherches déjà publiées (le lecteur en trouvera le détail dans une impressionnante bibliographie), d’autre part, de puiser dans un grand nombre de témoignages de survivants, de souvenirs non publiés et de textes d’archives. Diplômée de l’université de Yale, l’auteur a effectué un monumental travail de documentation qui servira de référence pour ceux qui souhaitent s’initier sérieusement à l’histoire soviétique ou acquérir rapidement une vue d’ensemble sur le Goulag.

    Les camps étant une émanation du régime totalitaire, leur histoire fluctue au gré de celle de l’État soviétique. Dans un premier temps, même s’il est clair pour les dirigeants qu’il faut réformer le système pénitentiaire en fonction de la nouvelle conception socialiste du crime, où l’activité anti-étatique devient le délit numéro un et entraîne donc des peines plus lourdes que les crimes de droit commun, on a l’impression d’un tâtonnement pour ce qui est de la méthode. L’organisation, reposant en grande partie sur les responsables locaux, oscille entre un extrême sadisme et un total laisser-aller. Cette période dure jusqu’au grand tournant, l’année 1929 où, ses ennemis écrasés et son pouvoir consolidé, Staline entreprend la collectivisation et l’industrialisation.

    À chaque période historique correspond son propre modèle concentrationnaire. Si celui des années 1920 est représenté par les îles Solovki, un ancien monastère reconverti en pénitencier, le début des années 1930 verra émerger celui du Grand Chantier, le canal de la mer Blanche. Désormais, la réclusion et l’isolement ne suffisent pas pour châtier les ennemis du peuple. Ces derniers doivent payer leur crime en travaillant, situation plutôt paradoxale dans un État où le labeur est censé être la valeur suprême. Cette seconde période est marquée également par la mise au pas de la culture : les écrivains sont désormais utilisés au service de la propagande. On pratique la fameuse refonte, ou rééducation qui privilégie le criminel, proche du peuple et facilement transformable en travailleur de choc, au détriment du politique irrécupérable, car ennemi de classe. C’est donc aux truands que seront confiés les postes qui permettent de survivre : surveillants, chefs de baraque, normeurs, cuisiniers, etc. Vient ensuite la Grande Terreur, pendant laquelle le système s’étend à l’ensemble du pays, avec ses grands complexes concentrationnaires et ses petites « missions », envahissant, somme toute, d’assez vastes territoires et devenant partenaire incontournable de toutes les branches de l’économie. Là encore, un nouveau modèle émerge : la Kolyma, avec ses gisements aurifères que le gouvernement tsariste n’avait pas réussi à exploiter véritablement à cause des conditions climatiques : pendant l’hiver, qui dure neuf mois, les températures atteignent presque – 60˚. Qu’à cela ne tienne : rien n’est impossible pour l’homme soviétique. Ces chantiers, qui tuaient en trois semaines, engloutirent des centaines de milliers de détenus.

    Vers la fin des années 1930, le système est forgé et restera plus ou moins stable jusqu’à la fin du stalinisme. Ici, la première partie du livre prend fin. La seconde, plutôt sociologique ou anthropologique, montre l’organisation de la société concentrationnaire, le travail, les stratégies de survie, la mort, les révoltes et les évasions. Le fonctionnement des camps nous est déjà assez bien connu, notamment à travers les témoignages d’Aleksandr Solženicyn, de Varlam Šalamov, d’Anatolij Žigulin et d’autres. L’étude d’Anne Applebaum est ici précieuse non tant par son analyse, rigoureuse mais pas très originale, que par des incursions très approfondies dans le détail de la vie concentrationnaire, témoignages à l’appui, et des documents précieux éclairant la biographie de certains personnages, par exemple les grands chefs des camps, tels que Frenkel, chef de chantier au canal de la mer Blanche et inventeur de la fameuse « échelle du ventre », qui consistait à calculer la ration selon le travail effectué et à éliminer ceux qui ne remplissaient pas la norme ; ou encore Berzin, le premier chef du Dal´stroj, auteur du projet de mise en valeur de la Kolyma, et Nikišov, l’un de ses successeurs.

    Dans la troisième partie, la trame chronologique est reprise. La guerre apporte la famine et met fin aux exécutions de masse dans la plupart des lieux de détention, car la pénurie de main-d’œuvre se fait sentir partout. Après la guerre, l’atmosphère dans les camps change. Le nombre de prisonniers s’accroît brusquement à la suite des arrestations massives en Ukraine occidentale et dans les pays Baltes. Le rapport de force entre politiques et truands, dû à l’arrivée massive d’invidus capables de manier les armes et ayant parfois connu des camps nazis, se modifie. Les autorités sont obligées d’en tenir compte. Le monde criminel lui-même est déchiré par une guerre sans merci : le partage du territoire entre les vétérans des bataillons disciplinaires, qui ont « servi l’État », et ceux qui s’en sont abstenu en vertu de leur code d’honneur. Une série de révoltes éclate parmi les détenus « politiques ». Puis, c’est la mort de Staline. Le modèle du camp stalinien, avec la mort pour horizon proche, ne sera pas renouvelé. Mais les amnistiés et les réhabilités ne retrouvent pas pour autant la liberté, ni ne peuvent révéler ce qu’ils ont vécu et, après une brève période de libéralisation, de nouvelles répressions auront lieu jusqu’à la perestroïka. Pendant la période dite de stagnation, notamment, apparaît une nouvelle catégorie de détenus politiques, appelés les dissidents, punis par la prison et le camp ou internés dans des hôpitaux psychiatriques.

    Bien que l’acronyme « Goulag » soit apparu en 1931, après la réorganisation du système pénitentiaire par l’OGPU, il est ici utilisé au sens large, pour désigner l’ensemble des camps et des prisons, embrassant ainsi toute la période d’existence de l’État soviétique.

    Anne Applebaum a travaillé dans les archives de Moscou, de Saint-Pétersbourg, d’Arkhangelsk, de Petrozavodsk, de Londres, s’est rendue dans les musées de Vorkouta et des Solovki et a effectué une trentaine d’interviews avec des survivants ou des descendants de déportés, dans plusieurs villes de Russie et à Londres. Elle a obtenu ainsi des documents originaux qui enrichissent l’horizon du chercheur. Elle cite également de nombreux livres de mémoires qui donnent un éclairage nouveau, par exemple les souvenirs de Henry Wallace parus en 1946 aux États-Unis, qui relatent l’unique voyage d’un Américain à la Kolyma à cette époque et montrent à quel point il a été abusé par la mise en scène préparée à son intention (tandis que Varlam Šalamov, dans les Récits de la Kolyma, fait plutôt de Wallace une sorte d’instance de la vérité).

    source AMCHAC


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