• L'AURORE.overblog.fr -:-:-:-:-:-:- par Manuel GOMEZ
     Par Manuel GOMEZ

    Mise au point…finale sur une polémique avant qu’elle ne prenne un tour personnel alors qu’elle me laisse totalement indifférent.

    J’ai été contacté au mois de juin dernier par M. Pierre Granès, chef d’état d’un « Gouvernement provisoire Pied Noir en exil ».

    Pierre Granès me proposait de me nommer « ministre de l’information et de la communication » de ce gouvernement.

    J’ai refusé pour une raison impérieuse : mon absence de France une moitié de l’année qui m’empêcherait d’être présent lors des réunions mensuelles.

    On m’a donc proposé le poste d’Ambassadeur extraordinaire pour l’Espagne, le Portugal, etc. et j’ai accepté ce poste dans un premier temps.

    Pierre Granès, que je considère comme un homme intègre et intelligent, a démissionné de son poste de « Chef d’État » du Gouvernement provisoire Pied Noir en exil.  Voyant, au fil du temps évoluer une situation compliquée où l'intérêt fondamental des Pieds-Noirs s'estompait, il a préféré réagir avant que cela ne dégénère. Son retrait définitif l'exempte de toutes décisions prises par ce Gouvernement après le 6 novembre, date de sa démission.

    En ce qui me concerne, je ne peux ni supporter, ni accepter, ni tolérer, que l’on se moque impunément des Pieds Noirs en général et du Peuple Pied Noir en particulier.

    Quelles sont les raisons qui me permettent de penser que l’on se moque de nous ?

    Je pouvais, à la rigueur, regarder d’un œil favorable la constitution d’un « Collectif du Peuple Pied Noir», s’il s’agissait de « mémoriel », « d’histoire » de « culture », bien que cela existe déjà, mais cela pouvait faire parler, écrire, rêver même, mais à ce « Collectif » est venu s’ajouter un « Gouvernement provisoire Pied Noir en exil ».

    Le 17 septembre 2017, dans un article publié sur « L’Aurore », j’insistais sur la nécessité d’un rassemblement entre le « Collectif » et le « Gouvernement ». Rassemblement qui a été, semble-t-il, réalisé quelques jours après mais qui, apparemment, n’était qu’un rassemblement de façade, comme nous sommes navrés de le constater puisqu’il n’existe plus !

    Tous d’abord sur le fond :

    *« Peuple Pied Noir en exil ?». Pour être en exil il faut exister en dehors de sa Patrie, or, tout ceux qui prétendent nous gouverner vivent en France, leur Patrie !

    Et le « Peuple Pied Noir » n’est pas en exil puisqu’il est français et installés chez lui, en France.

    *Le « Peuple Pied Noir » ne peut pas avoir de territoire puisque « son » territoire est celui de « sa » nationalité et ceux qui le composent sont français, donc leur territoire c’est la France, ils ne sont donc pas en exil ! CQFD !

    *Un gouvernement en exil est un gouvernement qui a son propre pays occupé, or nous sommes en France et, que je sache, pour le moment la France n’est pas encore occupée. Elle le sera peut-être un jour, mais pas actuellement.

    *Les dirigeants de ce « Gouvernement » l’écrivent eux-mêmes : « La France notre mère patrie et l’Algérie notre berceau »

     *« Notre berceau ce fut des départements français qui se nommaient « Algérie » et qui appartenait à la France, notre patrie » et pas un pays qui se nomme Algérie et qui appartient aux Arabes.

    À présent sur la forme :

    Ce « Gouvernement en exil » veut se doter d’un territoire afin d’exister. Il veut en acheter un pour en faire « son pays », le pays du peuple Pied Noir.

    Où ? Entre Gênes et Alicante, paraît-il ! En Espagne, en Bulgarie, dans le sud de la France, peu importe.

    Un territoire « acheté » ne serait donc qu’un territoire privé et n’aurait aucune compétence juridique pour édicter des lois, un code civil ou pénal, une armée, une police, etc.

    Il s’agit là d’une initiative totalement utopique et absurde.

    Ce ne sera une bonne affaire que pour celui qui le vendra et l’intermédiaire de cette transaction inutile !

    Car la première question qui se pose est : qui va payer ce territoire ? Les membres du gouvernement provisoire ou demandera-t-on au «Peuple Pied Noir» de se cotiser pour l’acquérir ?

    Mais là où j’estime que ce « Gouvernement » a pris une initiative non seulement scandaleuse, honteuse et même humiliante c’est d’avoir adressé un courrier officiel, le 30 mai 2017, via l’ambassadeur d’Algérie à Paris, au président Abdelaziz Bouteflika, et pour lui demander quoi ? Tout simplement de quémander un petit territoire de quelques hectares, pour en faire le « pays » du Peuple Pied Noir.

    J’ai honte, rien que de penser que j’ai pu, même de très loin et sans bien entendu le savoir, participer ne serait-ce que quelques jours, à une telle humiliation : quémander quelques hectares de cette terre algérienne aux égorgeurs du FLN et de l’ALN, aux assassins d’El Halia, des poseurs de bombes du casino de la Corniche, du Milk-Bar et de bien d’autres attentats, du massacre de juillet 62 à Oran et de milliers d’autres victimes enlevées, exécutées, égorgées, avant et après le 19 mars 1962, comme les harkis par exemple(Auraient-ils le droit, eux, de retourner dans ce territoire Pied Noir en Algérie ?).

    Imaginaient-ils, ces membres du gouvernement, heureusement provisoire, que Bouteflika allait leur offrir Sidi-Ferruch, La Madrague, Fort de l’Eau, Bou Sfer, Les Andalous, le Cap Falcon, Aïn El Turk, Tipaza, Stora ou Béjaïa, etc.

    Il est bien regrettable que le gouvernement algérien n’ait pas répondu au président de « l’État Pied Noir ! » en lui proposant « gratuitement » quelques milliers d’hectares au fin fond du Sahara, entre Tamanrasset et Bidon V, près de la frontière, si touristique et agréable à vivre, du Mali !

    Ils veulent savoir, ces membres du gouvernement provisoire du peuple pied noir, ce que les Algériens pensent d’eux ? « Le train de l’histoire s’est mis en marche le 1er novembre 1954 pour arriver le 5 juillet 1962. L’Algérie indépendante n’est pas à vendre. Il n’y a pas une mère algérienne qui a perdu plusieurs des siens. Allez au diable et sachez qu’il y a sur cette terre des principes non négociables. Vous avez souillé notre sol sacré et vos pas sont à jamais maudits »

    Voilà ce que l’on peut lire dans la presse algérienne. Vous êtes servis, messieurs les membres du gouvernement provisoire.

    L’Algérie se gausse de vous et de vos illusions.

    M. Jacques Villard, sur votre « Fédération des deux rives », Quelle est l’autre rive ?

    Vous paraissez méconnaître quelque peu l’histoire quand vous affirmez que «  Rien n’a été fait pour que le Peuple Pied Noir puisse s’exprimer durant la guerre d’Algérie ».

    C’est totalement faux, messieurs, n’y avait-il pas l’OAS, de 1961 à mi 62 pour qu’il puisse s’exprimer ? Où étiez-vous à cette époque pour que vous ne puissiez pas vous exprimer ? Sans doute était-ce une façon de s’exprimer trop dangereuse pour vos existences.

    Nombreux sont ceux qui se sont exprimés et qui l’ont payés de leur vie ou condamnés et jetés en prison ou encore en exil (pour de vrai) hors de leur pays, la France !

    Les « Pieds Noirs » ont eu l’occasion de s’exprimer pacifiquement, en métropole dès 1964, quand le général Jouhaux a tenté de fonder le FNR (Front National des Rapatriés). Où étiez-vous à l’époque et où étaient tous ces Pieds Noirs, présidents d’associations subventionnées et adhérents, qui ont refusés de s’associer à ce rassemblement derrière un vrai chef ?

    Vous faites allusion, dans votre programme, « à notre langue » !

    Puisque vous vous référez à Albert Camus, permettez-moi, puisque j’ai eu la chance de le croiser à un certain moment de nos existences, de vous rappeler ses propos, au sujet justement de notre langue.

    Nous venions d’assister à la pièce « La famille Hernandez », au théâtre Grammont, à Paris :

    «Tu vois, me dit Camus, nous avons bien ri, mais il ne faudrait pas que les Français de métropole voient, à travers des spectacles comme celui-ci, le vrai visage des Français d’Algérie. Ce serait totalement faux et impardonnable.  Ces scènes appartiennent à notre folklore,  au  même  titre  que les "Mystères de Paris",  le "Bal à Jo" ou la "bourrée auvergnate" le sont aux métropolitains.

    C’est notre rôle de démontrer que le Français d’Algérie parle certes avec un accent, tout comme le Français de toutes les régions de France, à l’exception paraît-il des Tourangeaux, mais qu’il n’a rien à envier aux métropolitains en ce qui concerne la syntaxe ou la pureté du langage.  Ce sera à des journalistes comme toi de rappeler sans cesse cette vérité première, de citer à chaque occasion les noms de tous ces Français de chez nous qui appartiennent toujours à l’élite française : hommes de lettres, professeurs, Maîtres du barreau, de la chirurgie, de la médecine, sportifs de très haut niveau, acteurs, chanteurs, musiciens et, hélas, politiciens aussi.

    Il faudra rappeler sans cesse que l’Algérie a donné à la France les meilleurs de ses fils, sans les lui marchander.

    Donc, que cela soit bien clair : nous n’avons pas une autre langue que la langue française ! Notre langue ne sera jamais ni le « Pataouète », ni l’Espéranto, ni l’Arabe !

    La missive adressée par vos soins à l’intention du Président de la République Française a reçu une « fin de non-recevoir ». Pensez-vous réellement qu’Emmanuel Macron allait vous consacrer quelques minutes de son temps ?

    Vous estimez qu’il existe 5 millions de Pieds Noirs dans le monde, dont 1,3 million en France.

    Vous vous êtes auto-proclamés « Chefs d’État », « Président de gouvernement », etc. sans aucune consultation vers ce « Peuple Pied Noir » que vous espérez diriger.

    Vous le savez, je l’espère, qu’il existe déjà, une forte opposition contre notre « Peuple », à gauche et à l’extrême gauche, avec la FNACA, les communistes, les ex-porteurs de valises, etc. Pensez-vous qu’il soit réaliste, par vos initiatives utopiques, de diviser davantage qu’il ne l’est « notre peuple » ?

     


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  • Jacqueline Gueroudj, membre du parti communiste algérien (PCA)Posté Par :Pieds Noirs 9A..

    DANS LE DROIT DE SAVOIR..

    Le 15 novembre 1956, l’institutrice Jacqueline Gueroudj, membre du parti communiste algérien (PCA), 

     

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    Le 15 novembre 1956, l’institutrice Jacqueline Gueroudj, membre du parti communiste algérien (PCA), après avoir placé deux bombes, qui lui ont été livrées par un certain Abderrahmane Taleb, membre actif du front de libération nationale (FLN) et adjoint de Larbi Ben Mhidi, chef de la zone autonome d’Alger (ZAA), dans un sac de plage lui-même enfoui dans un cabas à provisions, quitte un appartement situé à Alger dans le quartier d’Hussein-Dey. Dans une 2cv Citroën, où elle emmène son fils de quatre ans, elle prend la direction du ravin de la Femme-Sauvage au bas de Birmandreis, et retrouve à un endroit convenu : Fernand Yveton, un autre communiste. Elle lui tend la sacoche et un papier sur lequel sont inscrites les consignes qu’il doit appliquer. Celui-ci en découvrant l’existence des deux engins explosifs, proteste : « On m’avait dit qu’il y en aurait qu’une. Même si elles sont réglées pour exploser après le départ de tout le personnel de mon usine de l’électricité et gaz Français d'Algérie (EGA), cela double le risque qu’il y ait des victimes. Donne m’en une seule et va rapporter l’autre aux camarades qui t’ont envoyée. » L’entretien se termine sur ces mots, et le militant se rend à son travail, dépose le colis piégé selon les instructions reçues, dans un vestiaire désert et quitte les lieux rapidement. Un contremaitre qui l’a vu agir, trouve son attitude suspecte, donne l’alerte à la police et Yveton est arrêté puis emmené au commissariat de police le plus proche. Pressé activement de questions, il raconte ce qu’il vient de faire. Des artificiers se rendent à l’usine à gaz pour désamorcer la bombe. Pendant ce temps, Yveton interrogé de plus en plus durement, déclare : « C’est une femme blonde arrivée en 2 cv qui m’a remis le colis. Elle a gardé l’autre qui doit exploser dans le quartier de Belcourt vers 19h30. Ensuite, je devais rendre compte de ma mission à mes chefs, dont j’ignore l’identité. » Le terroriste ment, Jacqueline étant brune, elle va ainsi tromper les barrages de police. En indiquant une heure approximative, il permet à Briki Yahia, ancien rédacteur du quotidien communiste : Alger Républicain et à Ferrugia un militant du quartier de Bab-el-oued, d’échapper aux policiers. Jacqueline Guerroudj, de son côté, agit avec morgue. Elle fait asseoir son enfant sur le sac contenant encore la deuxième bombe, réglée pour exploser effectivement à 19h30. Elle a le temps de rejoindre ses comparses pour que ceux-ci désamorcent la minuterie. Fernand Yveton est jugé onze jours à peine après son arrestation. Malgré ses dénégations affirmant qu’il avait eu le souci d’épargner des vies humaines, le tribunal, en l’absence d’un avocat communiste au banc de la défense, le condamne à mort. La direction du PCA adopte une attitude différente de celle du parti communiste français (PCF) et se solidarise pleinement dans son bulletin clandestin : Liberté, avec le camarade Yveton. Ultérieurement, en décembre, Aderrahamane Taleb, Jacqueline Guerroudj ainsi que son époux Abelkader Guerroudj, seront arrêtés, et également condamnés à la peine capitale. Une campagne en faveur des époux Guerroudj organisée dans les milieux universitaires et dans ceux de gauche, fera qu’ils échapperont à la mort. Mais Yveton, après que le président René Coty ait rejeté son recours en grâce, sera guillotiné début février 1957 dans la cour de la prison de Barberousse à Alger. Le comité central du PCA ayant envoyé un message au PCF pour demander aux communistes français de prendre une position plus nettement favorable vis-à-vis de Fernand Yveton, obtiendront une satisfaction relative quand dans un article de l’Humanité du 12 février 1957, l’éditorialiste et député Etienne Fajon donnera à Yveton le qualificatif de militant « courageux ».  


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  • MON SOUTIEN PERSONNEL A JÉRÔME DE BOURDONPosté par:Pieds Noirs 9A

    MON SOUTIEN PERSONNEL A JÉRÔME DE BOURDON DIRECTEUR DE RIVAROL (suite à l’agression)

     

     

    Si l’on devait résumer, sans s’attarder à nouveau sur la qualité du produit (des dégoûts et des coulures, on ne discuterais pas indéfiniment…) Comme nous voyons que ce brave Jérôme Bourbon ,petit bonhomme docile, qui ne ferait pas de mal a une mouche,soit prit a parti par un petit rigolo par son âge d'ailleurs ... Rivarol est un journal comme un autre dont a chacun sa libre polico-médiatique ...

    Maintenant, le fourre-tout idéologique pour ses filles dont j'ai du respect pour elles, sont ou pas manipulé par un gourou, même s’il y en froisse certains, dont cela est leurs entièrement leurs problèmes, leurs fourre-tout se règle en famille au sein de leurs enclos a huit clos ...En fait, peu nous importe, la vie privée de ces dames auxquelles, nous n’avons parfois attaché une grande importance , considérant leurs chansons, vidéos et musiques, répétitives,dans le sens de la vie actuelle des faits ,oui ils ont dans leurs chansons de quelques textes amusants. Toutefois, sachant qu’elles avaient leur public, comme d'autres artistes ,a chacun son public ,comme moi-même ne pouvant plaire a tout le monde qui m'entoure ...

    DEVENIR IMMORTEL DONT CELA JE N'Y CROIS PAS ;
    Il parait, oui, il parait dont il y a deux façons de procéder. La première est de suivre la voie régulière qui permet à l’âme de retrouver ses facultés divines originelles. La seconde est la voie anormale par la voie du mensonge, qui pousse un être à se hisser dans les degrés supérieurs de la hiérarchie qui pourrait contrôler la dimension terrestre. Sur la première voie, celle du Retour au cœur du Père, on sort définitivement du système des dimensions déconnectées de l’Univers interne, alors que sur la voie irrégulière, on prend un titre de Maître ou de demi-dieu qui ne dure que le temps d’un cycle, après quoi, on retourne à la case départ. Les vrais spirituels empruntent la voie régulière, ils sortent du circuit de l’incarnation et de la souffrance, alors que les initiés des basses hiérarchies entretiennent la roue du monde, perpétuant l’exploitation et la douleur ici-bas... Vous avez compris !!
    Il n’y a plus beaucoup de temps. Depuis l’année 2001, les jeux sont faits. Ceux qui ne comprennent pas la situation, les naïfs, les blasés, les girouettes, les esprits émoussés par la propagande mondialiste et le messianisme à trois sous, devraient s’écarter de la piste, car ils empêchent les elfes vaillants de travailler à la construction de leur vaisseau.
    Depuis 2001, celui qui n’a pas compris dans quel monde il vit, comprendra encore moins s'ils sont composés de veaux et de Charlie ...
    Conséquents avec notre conscience elfique, nous rejetons la culture débilitante des temps actuels, l’imposture qui a pour nom développement personnel du gnome, les initiations ésotériques, les exercices occultes, la pseudo-magie blanche (ou de n’importe quelle couleur), les hypocrites méditations pour instaurer la paix dans l’enfer mondial, les thérapies pour égotiques, les rituels aux divinités rétrogrades, l’ostracisme luciférien, le channeling négatif et le néo spiritisme, les farces et attrapes du nouvel âge, les bondieuseries œcuméniques, le cirque des fakirs et des lamas, et toutes les combines du business de la foire spiritualiste...
    Ils rejettent la politique, l’identification aux races et aux nations terrestres, les idéologies, la science matérielle et la technologie noire. ils veulent respirer une autre "ère". L'ère de se gonfler les poches de pognon et d'abus sexuel sur des pauvres innocents ou innocentes et leurs piqués tout leurs biens compte en banque et autres ...Et ce n'est qu'une petite partie de cette mafia de gouroutiste assoiffée de profits en tous genre ...
    Donc tout cela et une affaire de frics et de fesses comme en politique ...Pieds Noirs 9A..


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  • Jérôme Bourbon agressé par un membre de la secte des « Brigandes »

    Le directeur de Rivarol, Jérôme Bourbon, s'est fait agressé aujourd'hui à Paris par un certain Antoine Duvivier, grouillot de la secte de Joël Labruyère, vieux gourou initiateur du groupe nullissime « Les Brigandes » qui a tenté, sans succès, d'infiltrer le milieu nationaliste.

    Le différend viendrait du fait que Jérôme Bourbon a refusé de céder aux menaces lui intimant de faire retirer du net le dossier sulfureux que son journal avait publié sur cette communauté d'illuminés, qui vivent entassés dans des conditions particulièrement glauques.

    Incapables de porter plainte pour diffamation contre l'hebdomadaire d'opposition nationale (quel aveu !), les membres de la secte ont préféré agresser physiquement son directeur, peu connu pour être un bagarreur (quel courage !).

    Pour lire l'enquête en question sur cette bande de fous et de folles furieuses, cliquez ici


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