•  Et après çà ce Macon se prend pour LE président qui donne des leçons !

    Et après çà ce Macon se prend pour LE président qui donne des leçons au Niger !

    La récente crise diplomatique entre la France et le Niger, déclenchée par l’expulsion de l’ambassadeur Français de Niamey, a suscité de vives réactions et soulève des questions sur la gestion des relations internationales par le gouvernement Macron. Cette situation complexe, qui met en jeu le respect du droit international, fait craindre des répercussions graves pour les deux pays, via l’incompétence du président Macron.

    Je ne veux pas avoir l’air d’une groupie d’Asselineau, mais cette vidéo me confirme encore une fois qu’il est vraiment le seul (avec sans doute Florian Philippot que j’ai découvert plus tard dans l’épisode Gilets Jaunes, puis la vaccination presque quasi obligatoire pour tous), le seul à avoir l’envergure pour gouverner la France et susciter l’intérêt de Vladimir Poutine et de Xi Jing Ping.

    Les explications très claires d’Asselineau sur les attributions de droit quelles qu’elles soient dans le droit international d’un ambassadeur et des différentes situations conflictuelles, ou non, dans lesquelles peuvent être confrontées des ambassades sont sans appel. Le clowniste  qui préside la France n’a visiblement pas compris où sont les limites de son pouvoir (usurpé), il met des chatouillements personnels racisants là où il faut mesure, sagesse et connaissances géopolitiques économiques sérieuses. Le contraire d’un chef d’ Etat responsable.

    Puis il se perd dans des débats mineurs stupides et dangereux de diversion sur le plan intérieur. Une girouette agitée qui se bloque à la moindre contradiction, puis se débloque pour donner le change sur d’autres sujets choisis pour brouiller les cerveaux de ses auditeurs malheureux.

    L’immaturité n’a aucune place en politique, mais hélas, le clouwniste lui-même et sa suite de courtisans infâmes sont eux-mêmes immatures et très faibles en compréhension des enjeux, ils sont de vraies erreurs de casting ambulantes. Ils ne peuvent donc agir que dans un contexte de délitement social organisé, de perte de sens contagieux, de contraintes permanentes imaginées contre les Français qui bossent.

    Quoi de mieux pour un gouvernement tatillon, harceleur et malveillant que d’emmerder les Français sous des tombereaux de décrets, circulaires, prélèvements, taxes, interdictions, autorisations obligatoires, passes numériques, contraintes de mobilité, discriminations financières de toutes sortes, transitions énergétiques décrétées dans un boudoir rose ?

    Quant au personnel politique capable de réunir des voix cruciales pour un changement de régime salubre et définitif, ne comptez surtout pas sur eux pour changer la fausse route qui a été prise depuis 2007, extrêmement dangereuse. ce sont des YGL qui termineront le travail sans état d’âme et y rajouteront leur petite touche personnelle de satanisme.


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  • Affaire Avenel : Éducation nationale à responsabilité limitée

     

    Les « excuses » tardives de la désormais ex-rectrice de l’académie de Versailles, Charline Avenel, à travers un entretien donné au Parisien le 23 septembre dernier, n’ont pas fini de faire couler de l’encre. 

    On ne fera pas de procès d’intention à cette haute fonctionnaire, lorsqu’elle avoue avoir « été bouleversée en apprenant le décès de cet élève » et qu’elle a été « effondrée » lorsqu’elle a découvert, il y a une semaine, dans la presse, l’existence de ce courrier. En revanche, comment ne pas s’interroger sur sa tentative, plutôt maladroite d’ailleurs, pour se dédouaner et trouver des « excuses » afin que l’opinion comprenne que tout cela, au fond, n’est pas sa faute ?

    « Je regrette de ne pas avoir eu connaissance de ces courriers et de ne pas avoir pu m’assurer qu’on tienne compte de la détresse des familles », a-t-elle déclaré, précisant qu’elle était en congés, ainsi que son adjoint, lorsque le rectorat a reçu la lettre des parents du jeune Nicolas. Certes, stricto sensu et au plan juridique, tout cela est sans doute bordé et doit permettre à l’ancienne rectrice de se mettre à l’abri d’éventuelles poursuites judiciaires. Mais ce genre d’excuses est-il au niveau d’un serviteur de l’État en charge de la plus importante académie du pays (100.000 agents, plus d’un million d’élèves dans les premier et second degrés) ? Au passage, on peut s’interroger sur le fait que le chef et l’adjoint soient en congés en même temps…

    L'affaire du sang contaminé

    Souvenons-nous de la triste affaire du sang contaminé, sous l’ère Mitterrand. En 1991, sur TF1, Georgina Dufoix, qui avait été ministre des Affaires sociales et de la Solidarité nationale dans le gouvernement Fabius, au moment de l'affaire en 1985, avait déclaré : « Je me sens profondément responsable. Pour autant, je ne me sens pas coupable, parce que vraiment, à l’époque, on a pris des décisions dans un certain contexte, qui étaient pour nous des décisions qui nous paraissaient justes. » Cela lui avait été vivement reproché et elle avait dû porter cette déclaration comme une croix durant des années. La formule est restée : « Responsable, pas coupable. » Et pourtant, comment ne pas reconnaître le fait que cette femme, tout animée d’une rigueur et d’une foi huguenotes, assumait pleinement sa responsabilité. Peut-on en dire autant de Mme Avenel, sortie du même moule de l’ENA et la même année qu’Emmanuel Macron ? « J’étais en congés » : franchement...

    Le drame de Carcassonne

    Comment ne pas évoquer, comme l’a fait Arnaud Florac ici même, l’affaire de Carcassonne, en 2008 ? Autre institution, autres mœurs. Autre éthique ? Une institution, d'ailleurs, plutôt moins nombreuse que l'Éducation nationale... Lors des portes ouvertes du 3e RPIMa, une démonstration effectuée par des commandos parachutistes avait tourné au drame. Seize personnes du public, dont cinq enfants, avaient été blessées accidentellement par des balles réelles. L’affaire avait provoqué la colère de Nicolas Sarkozy, qui avait eu des paroles très dures, qualifiant les militaires d’« amateurs ». Le colonel commandant le régiment avait été lourdement sanctionné et y avait laissé sa carrière. Le général d'armée Bruno Cuche, chef d’état-major de l’armée de terre, avait démissionné. Pourtant, entre lui et le 3e RPIMa, il y avait quelques échelons, pour ne pas dire fusibles ! Gabriel Attal a eu, lui aussi, des mots très durs au sujet de la lettre aux parents de Nicolas, en parlant de « honte ». Charline Avenel, elle, n’aura pas à démissionner de ses fonctions de rectrice puisqu’elle les a quittées en juillet pour se mettre en disponibilité de la fonction publique afin de rejoindre le privé. Elle y aura sans doute moins de congés.

    Ni responsable, ni coupable

    Comment, enfin, plus largement, ne pas s’interroger sur la question fondamentale de la responsabilité ? Notamment sous l’ère macronienne. Vous l’aurez remarqué, Emmanuel Macron n’est jamais vraiment responsable des choses qui ne vont pas dans le pays. S’il concède, parfois, très rarement, à reconnaître ses erreurs, il s’empresse, dans la foulée, de préciser qu’ailleurs, en Europe, dans le monde, etc., on connaît aussi les mêmes problèmes ou que c’est la faute des autres. Un exemple tout frais, dénoncé dans ces colonnes par Marc Baudriller, dimanche soir : si la taxe foncière augmente, c’est de la faute des communes, pas du gouvernement. Gros, grossier, grotesque mensonge du gamin pris les doigts dans le pot de confiture. Au fond, l’ère macronienne, c’est celle du « ni responsable, ni coupable » !


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  • Les moulins des dieux

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    “Nous n’avons pas assez aimé la liberté.” – Alexandre I. Soljenitsyne

    Pensez-vous que plus de la moitié du public américain puisse être un peu irrité par le lutin législatif de “Joe Biden”, le procureur général Merrick Garland, alors qu’il fait passer des dizaines d’années de prison à un innocent manifestant du J-6 après l’autre pour s’être promené dans le bâtiment du Capitole des États-Unis – tandis que les avocats spéciaux assignés à quelques crimes de la famille Biden jouent à cache-cache avec les procédures légales ?

    Malgré tous leurs beaux discours sur “notre démocratie”, il est un peu effrayant de voir ce que les avocats du Parti démocrate pensent réellement du système juridique qui est censé permettre à une société fondée sur la liberté de fonctionner équitablement. Des documents judiciaires déposés la semaine dernière indiquent que le conseiller spécial David Weiss est sur le point d’inculper Hunter Biden pour l’accusation de port d’arme qu’ils utilisent comme joker dans un jeu de cartes à trois cartes depuis près de cinq ans.

    La dernière fois que le jeu a été présenté à la juge fédérale du Delaware Maryellen Noreika, celle-ci a décelé une toute petite clause sournoise dans l’accord de plaidoyer pour une accusation de port d’arme édulcorée qui aurait accordé l’immunité à Hunter B. pour tout autre acte répréhensible passé, y compris, bien sûr, l’ensemble de l’opération de racket présumée de la famille Biden, dans le cadre de laquelle le premier fils a servi de courtier principal et d’homme de main pour des dizaines de millions de dollars de pots-de-vin versés par des acteurs étrangers dans des pays peu favorables aux intérêts des États-Unis, et acheminés vers un certain nombre de sociétés écrans de la famille Biden. Le juge Noreika a rejeté l’accord de plaidoyer.

    Aujourd’hui, l’équipe de Weiss semble dire que la clause d’immunité est toujours liée à tout accord de plaidoyer répondant à l’acte d’accusation du 29 septembre. Cette démarche semble être programmée exactement au moment où une commission de destitution de la Chambre des représentants entamera son enquête sur les activités de corruption de la famille Biden. Lors des auditions ordinaires des commissions de la Chambre des représentants, les fonctionnaires du ministère de la justice aiment utiliser l’excuse d’une “enquête en cours” pour ne pas répondre aux questions. Merrick Garland l’a fait des dizaines de fois. Vont-ils maintenant essayer de faire passer cette excuse à “une poursuite en cours” ? Cela pourrait-il conduire à une impasse constitutionnelle, obligeant la Cour suprême à se prononcer ? Ou bien un comité de destitution de la Chambre des représentants jouit-il de privilèges spéciaux en matière d’enquête ?

    Il semble également que le député Matt Gaetz (R-FLA) ait l’intention de forcer la question de l’ouverture d’une procédure de destitution contre “Joe Biden”. En janvier dernier, lors des manœuvres visant à asseoir une nouvelle majorité républicaine à la Chambre des représentants, Gaetz a fait adopter un accord selon lequel la procédure de destitution et de remplacement du président de la Chambre des représentants pourrait être activée par un seul vote. La semaine dernière, Gaetz a confirmé qu’il n’avait pas froid aux yeux. Il est la seule voix.

    L’argument selon lequel les Républicains devraient laisser les mains libres à “Joe Biden” afin de pouvoir se présenter contre le vieux grincheux en 2024 est absurde, car il n’y a aucune chance que “JB” puisse se présenter à une réélection, quelles que soient les circonstances. Il s’agit d’une nouvelle escroquerie à l’égard du public américain, qui illustre à quel point l’absence de médias honnêtes est tragique et dangereuse, car ils ne peuvent pas remettre en question ces manœuvres insolentes. Le président peut à peine entrer dans une pièce sans faire une chute ou une gaffe embarrassante. Il ne pourrait pas survivre à un débat, surtout avec toutes les nouvelles preuves de ses crimes découvertes depuis la dernière fois, en 2020, lorsqu’il a prétendu ne rien savoir des transactions commerciales de son fils.

    Quoi qu’il en soit, la question n’est pas de savoir s’il est politiquement avantageux de licencier “Joe Biden”, mais de constater qu’il (et les personnages de l’ombre qui dirigent son régime) est en train de ruiner le pays. Il (ils) peut (peuvent) faire beaucoup plus de dégâts pendant les nombreux mois qui nous séparent de janvier 2025, en particulier en ce qui concerne la dangereuse idiotie que le gang de la politique étrangère américaine poursuit si aveuglément en Ukraine. On pourrait arguer que le “président” ne serait jamais condamné (en fait destitué) lors d’un procès au Sénat, à majorité Démocrate, faisant suite à une procédure de destitution productive à la Chambre des représentants. Mais les deux procédures seraient télévisées et enregistrées pour être diffusées sur un millier de chaînes Internet, malgré la connivence des médias traditionnels. Le public verra enfin le dossier contre “Joe Biden” et sa famille exposé avec soin, précision et cohérence, dans un décorum élevé et grave. Du coup, un certain pourcentage d’électeurs Démocrates cantonnés dans un cercle fermé devront peut-être enfin conclure que quelque chose a très mal tourné dans notre pays et au sein de leur propre parti.

    James Howard Kunstler

    Traduit par Hervé, relu par Wayan, pour le Saker Francophone


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  • Cette photo illustre ce que le monde du football notamment l'Europe vit actuellement.

    Cette photo illustre ce que le monde du football notamment l'Europe vit actuellement...

     


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