• 4 jeunes Vikings vengent leur amie violée à l’âge de 14 ans : le violeur « oriental » est pendu en forêt

     Les fiers Suédois pendent le violeur dans la forêt d’Odin pour venger la jeune fille.

    Risque élevé de viol par les chauffeurs de taxi en Suède.

    Un chauffeur de taxi de 26 ans originaire du Moyen-Orient a été accusé d’avoir violé une jeune fille de 14 ans – puis il a été retrouvé pendu en pleine réserve naturelle.

    Odin est satisfait : le chauffeur de taxi a été retrouvé pendu.

    Aujourd’hui, la jeune fille, son petit ami et trois de ses frères sont accusés d’avoir commis ce meurtre, qui, selon les procureurs, avait le caractère d’une ” exécution “.

    Un quatuor d’adolescents a pendu un chauffeur de taxi à Enköping.

    Les événements ont commencé en février de cette année, lorsque la jeune fille, alors âgée de 15 ans, a déclaré que le chauffeur de taxi l’avait violée lorsqu’elle avait 14 ans.

    Le 26 mars, un taxi a été retrouvé abandonné, couvert de neige et avec le compteur en marche dans un parking de la réserve naturelle de Hjälstaviken, dans la municipalité d’Enköping, au nord de Stockholm.

    Puis le 1er avril le chauffeur de taxi a été retrouvé pendu à un arbre, à 500 mètres de la voiture.

    La réserve naturelle de Enköping, royaume d’Odin où le noble sang viking a fait son devoir.

    La police a rapidement concentré son attention sur les jeunes gens inculpés. Tous les jeunes nient les faits, à l’exception de la jeune fille, qui admet avoir attiré l’homme sur les lieux, mais uniquement pour qu’il soit battu.

    Selon l’acte d’accusation, la jeune fille a attiré le chauffeur de taxi sur les lieux du meurtre le 24 mars et l’y a maintenu jusqu’à l’arrivée des quatre garçons.

    A gauche la jeune fille en chemisier rouge,  à droite les quatres garçons. En bleu, de la bonne corde bien solide accrochée à un arbre bien solide lui aussi.

    Les garçons avaient auparavant acheté des cordes, des masques et des vêtements pour faciliter le meurtre, qui a été perpétré par strangulation et pendaison.

    Selon l’acte d’accusation, la procédure a entraîné une mort atroce pour le chauffeur de taxi et le meurtre avait le “caractère d’une exécution”.

    Les procureurs sont choqués : ils devraient pourtant savoir qu’une “exécution” pour un viol sur mineure, c’est le tarif dans la justice viking normale.

    La veille du meurtre, la police a découvert des plans pour se venger du chauffeur de taxi dans une conversation où la jeune fille mentionnait que les frères de son petit ami allaient rencontrer le violeur.

    “Ils vont rencontrer mon violeur. HIHIHI”, écrivait la jeune fille dans des messages internes.

    La nuit précédant le meurtre, la jeune fille a envoyé un message au chauffeur de taxi lui demandant d’aller chercher de la vodka et de le retrouver dans un endroit désert.

    Selon l’acte d’accusation, il a été pendu le jour même dans la réserve naturelle isolée par les cinq jeunes.

    Après le meurtre, la jeune fille a pris une photo de son petit ami en train de fêter l’événement en mangeant un pain suédois traditionnel.

    Rien à redire : un vrai Viking mange du pain suédois, pas du kebab

    Plus tard, elle a envoyé un message à une connaissance pour l’informer de la mort de son violeur.

    Tous les accusés nient le crime, mais les preuves comprennent des bornages aux relais téléphoniques et des traces d’ADN.

    L’ADN du chauffeur de taxi et de l’un des frères a été retrouvé sur une veste.

    Odin, seul espoir de la Suède 

    Les sources anciennes  sur les rites et sacrifices à l’Âge Viking nous parlent des pendus des marais.

    Un sacrifice caractéristique d’une offrande au dieu Odin consistait à pendre la victime et à la transpercer avec une lance, en référence à l’autosacrifice d’Odin et à celui du roi Vikar. Des tapisseries évoquant l’Âge Viking comportent notamment des représentations figuratives de pendus dans des bosquets.

    Ces jeunes Suédois savaient qu’ils n’avaient rien à attendre de  la justice laxiste de 2023 qui protége les violeurs orientaux et se sont tournés vers Odin.

    Ils ont laissé leur naturel viking commander. Malheureusement, ce sont eux qui sont maintenant au tribunal. Espérons qu’ils ne vont pas se retrouver en prison, aux côtés de toute la lie portant babouches et djellaba.

    https://www.friatider.se/14-arig-flicka-hangde-sin-valdtaktsman-i-skogen

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    FRANCE

    Un détail parmi d'autres .


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  • Les baguettes de pain contiendront encore moins de sel à partir du 1er octobre

    Dans une optique de protection de la santé des consommateurs, la teneur en sel du pain français sera à nouveau abaissée le 1er octobre. Des contrôles seront effectués.

    Tout le plaisir de la baguette, de l'hypertension en moins. La confédération nationale de la boulangerie et de la pâtisserie française se prépare à une petite révolution dans nos pains. Dès le 1er octobre, le taux en sel de ceux-ci va baisser une nouvelle fois.

    Il faudra désormais respecter un ratio d'1,4gr de sel pour 100gr de pain "courant ou traditionnel" et 1,3gr pour "les pains spéciaux". En 2022, la filière s'était déjà engagée à un maximum d'1,5gr. Cet objectif avait "été atteint à hauteur de 82%", se félicite la confédération.

    Les artisans sont accompagnés dans cette transition pour rééquilibrer leurs recettes avec ces nouveaux équilibres. "Des solutions alternatives telles des levains actifs en complément de la levure ainsi que des extraits de levure existent pour compenser la réduction de sel", indique un communiqué de presse.

    Enjeu de santé publique

    La bataille contre le sel n'est pas un combat français. L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a exhorté ses membres à réduire de 30% leur consommation de sel quotidienne d'ici 2025. En moyenne, un adulte doit consommer 5 grammes de sel par jour, soit une petite cuillère à café. En France, l'adulte type en consomme 2 à 3gr de trop.

    S'attaquer au pain est un choix stratégique pour rééquilibrer de force l'assiette des Français. Selon la Fédération des entreprises de boulangerie pâtisserie, 10 milliards de baguettes sont vendues en France chaque année. En 2021, nous consommions 105gr de pain en moyenne par jour, en légère baisse depuis 2015.

    Interrogée en juillet par BFMTV.com, Faïza Bossy, médecin vasculaire et nutritionniste, avait applaudi le changement de recette de nos pains:

    "C'est une excellente nouvelle pour ce produit phare de la France. En particulier, car la baguette est un produit simple, de la farine de l'eau et du sel, ce qui en fait un produit final sain".

    La baisse de la consommation de cet exhausteur de goût limite les risques d'hypertension, une "maladie silencieuse, mais mortelle", prévient Faïza Bossy. Même s'il faut aussi veiller à réduire sa consommation par le biais d'autres produits comme les plats préparés et la charcuterie. Il ne faut pas pour autant retirer l'ingrédient de son alimentation.

    Des contrôles effectués

    La confédération annonce veiller au grain pour ce changement de recette. Si les artisans se sont bien adaptés au premier barème, elle s'assurera qu'ils soient tout aussi attentifs au second.

    La hausse des prix de l'énergie justifie-t-elle une envolée du prix de la baguette ?

    "Octobre 2023 marquera la prochaine étape qui consistera à analyser 339 types de pain, dont 234 sont des pains spéciaux, collectés dans tout le pays, pour vérifier la conformité aux nouveaux seuils", conclut l'organisation, consciente du "vrai challenge".

    Source


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  • Immigration : ces milliards gagnés en France et renvoyés au pays d’origine.

    Pour Jean-Christophe Dumont, expert des migrations internationales à l’OCDE, « les immigrés contribuent à la richesse de la France ». Une antienne entendue et réentendue mille fois sur tous les tons et dans tous les médias, qu’il va falloir désormais peser au trébuchet des chiffres. La Banque mondiale vient de publier son rapport consacré aux transferts d’argent des migrants de tous les pays du monde vers leurs pays d’origine. Et ces migrants ne sont pas toujours sans le sou. Dans son récent rapport (page 7), l’organisme constate la hausse des montants gagnés (légalement ou pas) par les immigrés dans le monde. « En 2022, les envois de fonds vers les pays à revenu faible ou intermédiaire ont augmenté de 8 %, pour atteindre 647 milliards de dollars (613 milliards d'euros, NDLR), soit une croissance supérieure aux attentes il y a six mois. Cette augmentation est remarquable, car elle fait suite à une croissance de 10,6 % en 2021 dans un contexte économique qui semblait difficile en raison du ralentissement des économies mondiales. »

    Un geste très généreux pour les familles, moins pour les pays d'accueil qui assistent à l'évaporation de la richesse produite.

    12,8 milliards d'euros en 2022

    Quelles sommes les migrants font-ils sortir des frontières françaises ? Pour répondre avec précision à la question, il faut se pencher sur un autre rapport, publié cet été : le rapport annuel 2022 sur la balance des paiements et la position extérieure de la France, publié par la Banque de France - pas vraiment une officine complotiste. Page 12, une simple ligne, parmi les « soldes des revenus secondaires », indique les « envois de fonds des travailleurs » : ces transferts atteignent 12,8 milliards d’euros en 2022 (près de trois fois le budget de nos prisons), contre 12,5 milliards en 2021 et 6,3 milliards en 2009. Conclusion de la fondation iFRAP, dans un article de juillet 2021 consacré au phénomène : « La politique migratoire et la mise en place de diasporas sur le sol national induisent donc des flux financiers privés spécifiques par envois des fonds aux familles et communautés "restées aux pays", comme par exemple aux Comores (où l’ensemble des fonds viennent de France). Il existe donc un effet "spécifique" de la politique migratoire sur la balance des paiements […] »

    En 2021, BV s’était déjà penché sur le phénomène. Selon le rapport de la Banque de France, écrivions-nous, ces transferts financiers vont en priorité vers l’Afrique du Nord et subsaharienne. Cette perte sèche pour l’économie française s’ajoute, bien sûr, au coût direct de l’immigration en France. Certes, la France profite du travail de ses frontaliers en Suisse, par exemple, mais l’économie de la Suisse n’est pas celle de la France….

    L'ONU encourage

    Cette évaporation devrait être considérée comme un fléau par nos dirigeants élus, au moment où le pouvoir d’achat des Français s’atrophie comme peau de chagrin. Mais on n’entend pas Emanuel Macron ni l’impécunieux Bruno Le Maire se plaindre, et pour cause : le mondialiste est cohérent. L’ONU, qui a inventé un mot pour désigner ces prélèvements directs dans l’économie des pays dits riches et déversés par les migrants dans leurs pays d’origine - les « rémittances » -, encourage le phénomène de toute sa puissance de propagande. Jusqu’à inaugurer une Journée internationale des envois de fonds à la famille, le 16 juin.

    « Cette journée reconnaît la contribution de plus de 200 millions de migrants à l'amélioration des conditions de vie des 800 millions de membres de leurs familles restés au pays et à la création d'un avenir porteur d'espoir pour leurs enfants », se réjouissent les Nations unies, qui précisent clairement : « Cette journée est désormais pleinement reconnue au niveau mondial, et incluse comme l'une des initiatives clés pour la mise en œuvre du Pacte mondial pour des migrations sûres, ordonnées et régulières (objectif 20), appelant également à la réduction des coûts des envois de fonds et à une plus grande inclusion financière par le biais des envois de fonds. »

    Donc, l’appauvrissement de l’Europe et de la France, pays et continents riches, c’est bien. Sacrifiés, piétinés par leurs propres élus, les millions de Français qui peinent à joindre les deux bouts apprécieront.

    Marc Baudriller

    Source : http://bvoltaire.fr


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  • La France enregistre son plus faible taux de natalité depuis la Seconde Guerre mondiale

    En 2022, la France a connu un nombre de naissances historiquement bas, marquant une tendance à la baisse qui persiste depuis le début des années 2010. Avec moins de 726 000 nouveau-nés l'année dernière, cette diminution s'est confirmée et s'annonce encore plus prononcée pour 2023, avec déjà une forte chute enregistrée au premier semestre. L'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) a révélé cette situation préoccupante le 28 septembre.

    En 2022, seulement 725 997 bébés sont nés en France, ce qui représente une baisse de 2,2% par rapport à l’année précédente. Cette réduction confirme une tendance à la baisse observée depuis une dizaine d’années, à l’exception d’une légère hausse en 2021, attribuée aux confinements et déconfinements liés à la crise sanitaire, selon l’Insee.

    La diminution des naissances en 2022 s’est surtout accentuée au cours de la seconde moitié de l’année, et cette tendance à la baisse se poursuit en 2023, avec une chute de 6,8% au premier semestre par rapport à la même période en 2022.

    Nombre quotidien moyen de naissances par mois de 2019 à 2023 (capture d'écran du site de l'INSEE)Nombre quotidien moyen de naissances par mois de 2019 à 2023 (capture d’écran du site de l’INSEE)

    Toutes les tranches d’âge des mères ont été touchées par cette baisse de la natalité en 2022, à l’exception des femmes de 40 ans et plus, qui sont de plus en plus nombreuses à devenir mères (+3,3%). La plus forte diminution concerne les mères âgées de 30 à 34 ans (-3,6%) et plus généralement les femmes de 25 à 34 ans, qui sont à l’âge le plus fécond, d’après l’Insee. L’âge moyen des mères à la naissance atteint désormais 31,2 ans, contre 30,2 ans une décennie plus tôt. Les naissances hors mariage continuent également d’augmenter, représentant 65% du total (contre 57% en 2012).

    À l’échelle régionale, le déclin des naissances est particulièrement marqué dans le Grand Est (-3,2%) et en Bretagne (-3,1%), ainsi qu’en Guyane (-5%) et en Martinique (-3,7%). Seules la Corse (+0,8%) et Mayotte (+1,5%) enregistrent une évolution positive.

    Malgré ces chiffres inquiétants, la France reste en meilleure position que de nombreux pays européens en ce qui concerne la natalité. En 2022, la baisse au sein de l’Union européenne a été plus de deux fois plus importante qu’en France (-4,9%), atteignant même plus de 10% en Estonie et en Grèce. Nos voisins ont également vu une diminution significative, avec -7,1% en Allemagne, -6,7% aux Pays-Bas, -3,6% en Belgique, -2,1% en Espagne et -1,9% en Italie.


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  •  Le pape à Marseille : les dessous de sa visite !
    - I-Média n°460 - TVL

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