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  • Il ne vaut mieux pas afficher la France !Par :Pieds Noirs 9A..

    Il ne vaut mieux pas afficher la France !

    Sur les 14 avions de transport militaire Hercules C-130, moins de la moitié est aujourd'hui en état de voler. Un problème déjà pointé dans un article de La Tribune en 2015. tout le nombre de véhicules de l'armée –,que ce soit des bateaux, des engins terrestres ou aériens –,sont hors d'usage, indisponibles car en attente de réparation..

     

    Et ce n'est pas que du matériel qu'il faut se soucier

    Combien combattront contre la France dans l'Armée ?

    La suspension du service national décidée par le président Jacques Chirac en 1996 fut un désastre ,cela étant bien une politique de gauche pour uniquement détruire la France .

    L'armée Française n'est pas prête à une guerre, nous avons eu que des déboires, car tout le monde s'en tape sur le coquillard, le grand homme que beaucoup le portent aux nues a capituler en baissant son falzar en Algérie départements Français. Aujourd'hui, son petit-fils vient nous donner des leçons sur son grand-père . Vraiment honteux. Il ne faut pas oublier que son grand-père a fait tirer sur une population Française d'une marche pacifique tenant comme arme le drapeau Français en tête. Que les moutons apprennent leur histoire bonne sang ! Un (e) journaliste ne pouvant pas lui réponde à son petit-fils. 

    Vous voyez des hommes avec des armes sur cette image ,seulement que notre Algérie reste Française .Et pas de drapeaux étrangers comme nous voyons dans les manifestations a Paris ou ailleurs .

    Il ne vaut mieux pas afficher la France !

    Pieds Noirs 9A..


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  • Thiais, Gare du Nord, Strasbourg: le vol noir des couteaux sur la plaine

    Thiais, Gare du Nord, Strasbourg: le vol noir des couteaux sur la plaine
     
    Des policiers gare du Nord à Paris, le 11 janvier 2023, après l'attaque de plusieurs passagers par un immigré © Michel Euler/AP/SIPA

    Opinel, Laguiole, crans d’arrêt, papillons, de boucher, de chasse ou militaires. Oui, il faut parler des couteaux, mais surtout de ceux qui s’en servent.

    Depuis quelques jours, quelques années diront les esprits les plus chagrins, les attaques au couteau se multiplient. 

    Qu’ils soient motivés idéologiquement ou le produit de l’ensauvagement de la société française, ces drames semblent inévitables et la classe politique résignée.

    Numéro 103 de Causeur, juillet 2022

    Il y a de cela six jours, le journal Le Parisien publiait une enquête sur l’Opinel 13, un modèle de la célèbre marque d’une longueur totale de 50 centimètres. Prisé par les gangs et les rappeurs qui l’exhibent dans leurs vidéo-clips, à l’image du rappeur NM qui lui a carrément consacré une chanson, ce couteau est surnommé « le géant » dans les quartiers où il est une arme mythique. Malheureusement, la jeunesse des quartiers sensibles n’hésite pas à faire usage de ces armes autrement que pour animer leurs posts Instagram et leurs comptes Snapchat.

    Tué devant son lycée

    De plus en plus jeunes, les membres des bandes sont aussi de plus en plus violents. La vie n’a pour eux pas de valeur. Lundi 16 janvier, une bande a tué un jeune de 16 ans près du lycée Guillaume Apollinaire de Thiais, en blessant un autre gravement à la jambe. Les propos du procureur du parquet de Créteil, Stéphane Hardouin, font froid dans le dos: « Les agresseurs ont poursuivi les victimes sur quelques dizaines de mètres, l’un d’entre eux aurait alors fait usage d’une arme blanche. Sur place, plusieurs objets susceptibles de constituer des armes ont été retrouvés, à savoir deux gazeuses, un club de golf cassé et un morceau de bois. Trois cents mètres plus loin, un couteau a été retrouvé par la police municipale de Thiais ».

    Ces « rixes », ainsi pudiquement nommées, font maintenant partie du paysage des banlieues, à Paris comme à Marseille. Devenus majeurs, les « jeunes » troqueront l’opinel pour l’AK-47.

    Comment en sommes-nous arrivés là ? Interrogé sur BFMTV, un sociologue répondant au nom de Sauvadet a énuméré toutes les raisons possibles et imaginables, passant de la culture « gangsta rap » importée des Etats-Unis aux réseaux sociaux, devisant chômage et familles décomposées, évoquant le trafic de drogue et la puberté provoquant de profonds bouleversements hormonaux chez les adolescents de sexe masculin. Un peu plus et nous avions droit aux jeux-vidéos, aux gènes du guerrier et à la misère sexuelle houellebecquienne ! Peut-être qu’en fait de sociologues, nous devrions interroger des ethnologues et des anthropologues, mais passons.

    Gare du Nord, silence on poinçonne !

    Quelques jours en arrière, c’était en Gare du Nord qu’un couteau devenu fou perdait l’équilibre pour frapper six passants innocents qui attendaient leur train. Enfin, pas vraiment un couteau mais un « crochet métallique » – on retrouvera bientôt des masses d’armes, fléaux et haches à deux mains dans les rues, à ce rythme. Le profil de l’interpellé ne surprendra pas; un Libyen sous OQTF. Il y a d’ailleurs un truc puisqu’en l’espèce, l’OQTF ne pouvait être appliquée, en raison de l’instabilité régnant dans le pays de feu Mouammar Khadaffi… Eh oui, que voulez-vous, les autorités libyennes n’entretiennent pas de « canal d’échanges pour l’identification des ressortissants venus de Tripoli », comme l’ont confié des policiers déprimés.

    Pis, l’auteur était connu sous plusieurs identités dans le fichier automatisé des empreintes digitales. On ne peut donc même pas affirmer avec certitude qu’il est bien Libyen, de nombreux Algériens utilisant ce « truc » pour éviter d’être expulsés. Où que l’on regarde, on voit une multiplication des faits de violence. Gratuits, motivés, de droit commun ou terroristes. Facile à transporter et difficilement détectable, le couteau reste une arme permettant un maximum de dégâts rapides. Il est presque impossible de s’en protéger, sans être soi-même équipé d’une arme à feu.

    Il suffit d’ouvrir un journal local au hasard pour découvrir de nouveaux cas, ainsi cet homme à Strasbourg qui a agressé des passants samedi 14 janvier en hurlant Allah Akbar, ou de cet homme appréhendé Gare Montparnasse il y a quelques semaines avant de passer à l’acte. Partout, les couteaux s’aiguisent et sifflent. Il ne s’agit pas de faits divers isolés, mais bien d’un fait de société supplémentaire montrant la tiers-mondisation avancée de la France. Gageons qu’on nous proposera bientôt de limiter la circulation des couteaux sur le territoire français…

    Élisabeth Lévy: “À Strasbourg, un homme agresse des passants et ça devient presque banal!”


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  • Belgique : un couple se porte volontaire pour loger une famille de migrants, 36 000 € de dégâts dans leur maison

    […] À notre arrivée, une femme enceinte avec trois enfants et son mari nous attendaient. Pendant une conversation d’une demi-heure, on nous a expliqué d’où ils venaient et la route qu’ils avaient empruntée. Ensuite, nous sommes rentrés avec eux.”

    “Nous avons rapidement remarqué qu’il ne s’agissait pas d’une famille ukrainienne ordinaire. Deux semaines plus tard, le CPAS nous a indiqué qu’il s’agissait de gitans roms. Par exemple, les membres de cette famille ne savaient pas comment utiliser une machine à laver, un sèche-linge, un four… Tous ces appareils leur étaient inconnus. La mère lavait les vêtements dans notre baignoire.” Résultat après plusieurs semaines d’occupation? “De la moisissure est apparue partout sur les fenêtres, les murs étaient couverts d’inscriptions, le bois a été arraché du cadre du lit, les portes et les armoires ont été endommagées. Mais ce n’est pas tout: toutes les chaises de la cuisine ont été cassées, la moulure a été arrachée des escaliers, il y avait des trous dans le sol, les jouets de nos enfants ont été cassés, même leur tirelire a été ouverte.”

    Sven et Evy ont le sentiment que le CPAS les a laissé tomber. “Nous aurions dû établir un contrat de location, mais le CPAS n’en a jamais discuté avec nous. Ils ont seulement dit que nous allions recevoir une compensation. Nous avons contacté le CPAS à plusieurs reprises, mais ils étaient peu enclins à nous recevoir. Ils nous ont simplement dit: ‘Soit nous emmenons les réfugiés, soit ils restent chez vous et vous arrêtez de nous solliciter’. À ce moment-là, la famille n’était pas là depuis longtemps, alors nous avons décidé de lui donner une seconde chance. La femme a demandé un emploi pour son mari. Nous avions trouvé trois endroits où il pouvait travailler, mais il ne voulait pas. Il trouvait une excuse à chaque fois.”

    Un jour, Sven a découvert que les réfugiés ukrainiens hébergeaient une autre famille dans la maison. “Une autre femme, son mari et trois enfants séjournaient chez nous. Ils faisaient de la sous-location. À un moment donné, plus de 11 personnes se trouvaient dans la maison. Cela aurait pu causer de gros problèmes en cas d’incendie, par exemple, car nous avions été persuadés de les laisser s’enregistrer à notre adresse personnelle. Ils nous demandaient aussi constamment de l’argent. Une fois, c’était soi-disant pour le cadeau d’anniversaire de leur plus jeune fille, mais il s’est avéré que c’était pour une voiture, même si nous savions que l’homme n’avait pas de permis de conduire. Quand ils ont cassé le cadeau de naissance de notre fils, ça a été la goutte d’eau. En septembre, nous avons dit au CPAS qu’ils devaient vraiment déménager, mais il a fallu attendre fin novembre pour qu’ils partent. Ce n’est qu’à la fin du mois de décembre qu’ils sont venus chercher toute leurs affaires. C’était un véritable bordel.”

    Après le départ de la famille, Sven et Evy ont pris conscience de l’ampleur des dégâts dans leur maison. “Nous avons transmis tous les dommages au CPAS. Le coût total s’élevait à 36.000 euros, et cela ne comprend même pas tout. Le CPAS nous a ensuite annoncé que nous ne recevrions aucune compensation. On nous a conseillé d’attaquer la famille en question par le biais du tribunal de paix. Nous allons le faire, mais la famille vit d’un revenu d’intégration. Comment vont-ils payer ça? Nous comprenons que 36.000 euros, c’est beaucoup d’argent, mais le CPAS aurait pu prendre en charge une partie des dommages, qui ont été prouvés.

    […]

    7sur7.be via fdesouche


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  • Campagne d’affichage en Corse : trois nuitées de collage sur trois secteurs de la Haute-CorseAuteur

    Quand les Corses s’y mettent, ils ne plaisantent ! La preuve en images.

    Profitant de la trêve de Noël, les militants corses de Civitas ont investi trois secteurs de la Haute Corse (voir carte ci-dessus) pour montrer l’hostilité des îliens à la dictature sanitaire que Macron le mondialiste et Mozart de la finance voulait leur imposer.

    A l’heure où les langues commencent à se délier sur les « effets secondaires » des vaccins ARM messagers, il convient de continuer le combat pour que la vérité sorte du puits et que les coupables soient enfin désignés et condamnés.

    La lutte contrerévolutionnaire ne fait que commencer et elle ne s’arrêtera pas si tôt.

    Source : medias-presse.info


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