Éclipse : Disparition d'un astre, quand un autre corps passe entre cet astre et la source de lumière ou entre cet astre et le point d'observation - Au figuré : Période de fléchissement, de défaillance.

Et il ne faut pas compter sur un nouvel Urbain II ou sur un nouveau Charles Martel... Médiapart, Libé, le Ministère de la Kulture et l'ARCOM les priveraient de droit et de temps de parole pour incitation-à-la-haine-entre-les-peuples. Nous voyons déjà pour CNEWS le vacarme que cela fait en terre Française Chrétienne qui demain ne sera plus .

Les premiers signes de présence d'OGM (Organisme Génétiquement Mahométisés)  on tait leu apparition jusque dans les beaux quartiers .

Posté par Véronique. 

Var : squattée depuis des mois, sa maison risque d’être mise aux enchères

Depuis des mois, Cyril Coste voit sa maison être squattée. Malgré ses nombreuses interventions à son domicile, aux commissariats et ses appels à l’aide dans les médias, le propriétaire est contraint de laisser sa maison être… vendue aux enchères.

C’est un véritable cauchemar que vit ce Toulonnais. Depuis plusieurs mois, Cyril Coste, propriétaire d’une maison à Saint-Jean-du-Var, voit sa demeure être squattée. Comme le révèle Var-Matin, tout cela a commencé en 2013, lorsque l’homme loue sa propriété à une famille. Les parents avaient finalement divorcé et la mère de famille, un temps devenue la locataire officielle, s’était retrouvée dans l’incapacité de payer les loyers. Elle avait alors quitté les lieux.

Depuis, sa maison n’a cessé d’être habitée illégalement. Deals, incendies à répétition… Cyril Coste n’en peut plus. Pire encore, personne ne veut lui venir en aide. «Mon assurance n’assume rien pour m’indemniser à hauteur de mon préjudice. J’ai campé devant son siège pour être reçu, en vain. J’ai même été délogé par la police et fait de la prison», déplore-t-il auprès du journal régional. Le propriétaire est même (presque) arrivé au point de non-retour : sa maison risque d’être mise aux enchères, pour 40 000 euros. «Je l’avais payée 200 000 euros. […] 40 000 euros, ce n’est même pas le prix du terrain.»

«J’ai 200 000 euros de dettes»

Pour l’heure, aucune date de mise en vente officielle ne lui a été transmise, mais le Toulonnais ne compte pas en arriver là. Récemment, il a saisi le médiateur des assurances puis le défenseur des droits, qui lui ont expliqué qu’«il vaudrait presque mieux tout raser, car l’assise est fragilisée [par les dégradations]». «J’aimerais juste que la force publique intervienne pour débarrasser ma maison de ces intrus. J’ai 200 000 euros de dettes, je ne sais plus comment sortir de ce cauchemar», assène le propriétaire des lieux. Ses amis ont ouvert une cagnotte en ligne pour l’aider, au mieux, à rembourser ses dettes.

Source

Un adolescent est mort dans une rixe à Châteauroux, a appris l'AFP ce dimanche confirmant une information de La Nouvelle République. Selon les secours cités par le journal local, la victime aurait été touché plusieurs fois au thorax et au dos, par le biais d'une arme blanche.

Un écusson de la police nationale (illustration)© DENIS CHARLET / AFP

Une personne est décédée samedi à Châteauroux vers 17H30 et une enquête pour homicide a été confiée à la police judiciaire, a appris l'AFP dimanche auprès d'Agnès Auboin, procureure de la République de Châteauroux, qui a confirmé une information de La Nouvelle République.

Le parquet n'a pas souhaité confirmer l'arrestation d'un suspect

La victime, selon le quotidien régional, est "un adolescent de 15 ans" qui a été "grièvement blessé avec une arme blanche". "D’après les secours, le jeune homme avait été touché plusieurs fois au thorax et au dos au cours d’une rixe", est-il ajouté.

D'après le journal, "un suspect, mineur lui aussi, a été interpellé vers 19H30 près des lieux de la rixe" et placé en garde à vue. La procureure n'a pas souhaité confirmer dans l'immédiat cette information.

L’AUTRE RACISME DÉCOMPLEXÉ

Mathilde Panot, de LFI, évidemment dans la manifestation, dénonce l’expression d’un « racisme décomplexé », elle a raison.

Mais il ne s’agit pas de celui auquel elle pense. On peut citer l’affaire récente du gérant de magasin Geox qui a reçu des menaces par milliers, totalement décomplexées, de la part d’internautes l’accusant d’islamophobie après son refus d’embaucher une intérimaire voilée.

Ce n’est en l’occurrence pas de l’islamophobie, mais un refus de se soumettre aux modalités de la religion, ce n’est pas pareil. Cela nous renvoie au premier paragraphe, où il est bien question d’imposer une autre loi que celle de la République dans l’espace public.

Mais oui, c’est bien la haine du blanc totalement décomplexée qui s’exprime sans entrave dans notre pays, avec l’épisode soi-disant rap, sur le meurtre des “bébés blancs”, le rappeur Médine, présent à la manifestation, jouant aux fléchettes sur le portrait d’un élu, ou le proviseur, récemment menacé de mort, pour avoir fait appliquer la loi républicaine dans son établissement scolaire. Mais la haine du blanc n’est pas catégorisée comme du « racisme ».

Sur la question de la supposée islamophobie, rappelons encore que la religion la plus persécutée au monde et en France également, est la religion chrétienne, suivie de la religion juive et enfin, la religion musulmane est la moins persécutée et pour cause, les chrétiens persécutés l’étant principalement dans les pays musulmans, avec notamment des dizaines de milliers de meurtres en Afrique. Ceux qui se plaignent de “persécutions” étant en l’espèce, chiffres à l’appui, les principaux persécuteurs des autres religions.

La manifestation avait été interdite jeudi par la préfecture de police au motif que la dénonciation “dans son appel des crimes policiers à l’encontre des jeunes” était “propice à attirer des composantes recherchant délibérément les affrontements avec les forces de l’ordre”, d’où le risque de “troubles à l’ordre public”. Saisi en référé, le tribunal administratif de Paris avait suspendu vendredi cette interdiction, jugeant qu’elle portait “une atteinte grave et manifestement illégale à la liberté de manifestation”.

On se souviendra que la manifestation de soutien à Thomas, mort poignardé à Crépol, composée de gens éplorés, avait été interdite fermement sans que ne soit jamais évoqué le principe « d’une atteinte grave et manifestement illégale à la liberté de manifestation ». Et les forces nécessaires avaient été mises pour qu’elle n’ait pas lieu. On se souvient également que les manifestations pro-palestiniennes, presque toutes interdites, ont quasiment toutes eu lieu quand même, sans que ne soient déployés les moyens de faire respecter la loi.

Posté par Véronique 

Un billet du 13 mars 2024 ,mais d'actualité .

Sciences Po est devenue la fac de Gaza.