• Entre Reconquête! et EELV, BFMTV a choisi !

    BFMTV, on le sait, n’aime pas la droite patriote qu’il identifie plutôt comme l’extrême droite.

    On le sent évidemment dans le ton adopté par les journalistes pour s’adresser à ses représentants, comme par exemple Apolline de Malherbe dont les yeux lancent des éclairs, à tout ce qui est à droite de François Bayrou !

    Les téléspectateurs, particulièrement les sympathisants de droite ne prêtent plus attention à ces pratiques.

    Mais, la chaine d’infos BFMTV est allée plus loin, lors d’un débat opposant Marion Maréchal pour Reconquête! et Marie Toussaint pour EELV, en habillant l’image des deux candidates de façon pour le moins orientée et partisane.

    C’est l’objet de cet article de Boulevard Voltaire :

    Européennes : vert, gris, BFM TV retouche le fond

    BFM TV se préoccupe enfin de ses téléspectateurs mal-comprenants. Lors du débat opposant Marie Toussaint, tête de liste EELV, à Marion Maréchal, tête de liste Reconquête, les deux candidates apparaissent sur fond d’hémicycle européen. L’un est verdoyant, l’autre gris lugubre. Pour ce duel de campagne européenne, la petite candidate dans la prairie affronte la représentante des ténèbres. L’univers visuel attribué à l’une et à l’autre persiste quoi qu’il arrive. Image divisée en deux parties égales ou plans rapprochés.

    L’électeur ne peut s’y tromper. Il saisit du premier coup d’œil la menace qui plane sur l’Europe.

    Pour une meilleure représentation des forces en présence, certains reprocheront à Marc-Olivier Fogiel de ne pas avoir diffusé des gazouillis d’oiseaux durant les apparitions de Marie Toussaint, tandis que des cris de bêtes sauvages auraient accompagné chaque intervention de Marion Maréchal. Le duel de « grrrrrr » contre « cui-cui »… L’intitulé du prochain débat devrait permettre à la chaîne de passer devant CNews.

    Dès le premier thème abordé, la personne toute de vert entourée confirme sa gentillesse infinie. En réponse aux violences tragiques survenues dans le cadre scolaire, elle confirme avoir proposé « un horizon de douceur ». Oooooh … En régie, un technicien cherche le filtre rose. Un changement de couleur en cours d’émission est autorisé par la direction. Dans son bureau, Marc-Olivier Fogiel est à sa palette. Sur l’écran, il jette quelques touches de rose. Sur le vert, c’est affreux.

    Ah, si on le laissait faire ! Il incrusterait Marie Toussaint dans un tableau de Renoir… Marion Maréchal serait dans une allégorie de la peste noire ravageant Marseille.

    Mais l’Arcom veille. Implacable. Ennemie de l’artiste, castratrice de l’inspiration du coloriste. Plutôt qu’un changement brutal, il va devoir opérer par une succession de dégradés allant du vert pomme au rose pâle.

    Sur les réseaux sociaux, la mise en image du débat suscite moqueries et critiques. Le fond verdâtre est jugé peu flatteur pour la candidate de gauche, alors que l’on estime la sobriété du fond sombre favorable à Marion Maréchal. L’effet inverse de celui recherché.

    ¡Caramba! encore raté !

    Jany Leroy pour Boulevard Voltaire.


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  • Daniel Conversano explose les souverainistes !


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  • Ce petit film de 3 minutes est un bon résumé du discours officiel tel que distribué aux masses par les medias.
     
    Les acteurs Marie Cluzet et Christian Diaz se sont prêtés avec talent à ce bel exercice.
     
    Je vais te donner quelques infos et tu vas me dire comment tu les présentes dans les medias….
     

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  • Après l’échec de la 1ère, en avant pour la seconde opération Wuambushu en attendant la 3ème .

    Titre et illustration tirés du Figaro  https://www.lefigaro.fr/actualite-france/a-mayotte-l-echec-cuisant-de-l-operation-wuambushu-20240416

    Après l’échec de la première, en avant pour la seconde opération Wuambushu en attendant la troisième, après l’échec certain de cette seconde.

    Les scandales se succèdent, les « Faits divers » et les affrontements se multiplient et cela dure depuis des années

    Peut-on être aveugle et sourd à un tel point ?

    À 8000 kilomètres de la métropole, Mayotte – 101e département français – à l’ouest de Madagascar – dont la population est estimée à plus de 250.000 habitants, dont plus de 50% des adultes sont des étrangers en situations irrégulières et parmi ces 50% plus de la moitié sont des jeunes entre 20 et 30 ans.

    Mayotte est le département français de tous les records :

    * Le département français le plus jeune et 50% de cette jeunesse émigre vers la métropole !

    * Le département français détenant le record de la démographie : dix fois supérieur à celui de la métropole !

    Mamoudzou, la plus grande ville de l’île, détient le record du nombre de maternité, 5 pour les 230.000 habitants de l’île, et elles sont saturées avec près de 15.000 naissances (également record pour l’Europe) et 80% des mères en situations irrégulières.

    Natalité en progression constante : 7000 en 2014, 9000 en 2015, 10.000 en 2016, 12.000 en 2019 et près de 15.000 en 2023.

    Record du nombre d’enfants par famille : CINQ !

    Ces chiffres publiés par l’ARS (Agence Régionale de Santé)

    Le personnel hospitalier se met en grève régulièrement pour cause de saturation : environ 1000 malades pour 300 lits.

    *Le seul département français, pour le moment, de religion musulmane : 95% de sa population !

    *Le seul département français qui autorise la polygamie et dont la population ne parle pas notre langue. (Nous le constatons lors de chaque nouveau reportage ces derniers jours !)

    *Le seul département français où la loi est appliquée par des juges musulmans qui ordonnent les lois, l’instruction scolaire et l’éducation coraniques, et pourtant nous sommes en France !

    * Le département français détenant le record des « expulsions » ! Mais également des reconduites à la frontière : plus de 20.000 chaque année, et cela arrange particulièrement la métropole car ce chiffre, qui représente les ¾ des reconduites aux frontières, est comptabilisé en France par le ministère de l’immigration, mais il s’agit des expulsions de l’île de Mayotte et non pas de la métropole !

    *Record de l’immigration massive

    *Record également d’un territoire où la ville la plus importante se situe hors de ses frontières, puisqu’il s’agit de Marseille, avec plus de 50.000 comoriens !

    *Record des exportations vers la métropole : celle des « petits Français » nés sur l’île !

    Les femmes des pays proches, les Comores, Madagascar et les côtes africaines, viennent y accoucher afin que leurs enfants bénéficient de cet absurde « droit du sol » (Uniquement pour Mayotte le droit du sol a été aménagé dernièrement, sans que cela change grand-chose !) et de tous les avantages qui y sont liés, c’est-à-dire des prestations sociales nettement supérieures, y compris le « tonton Rémi » (RMI), que la « riche et généreuse » France dispense sans compter puisque allouées automatiquement.

    Ce nouveau département français nous coûte chaque année plus de 1 milliard 500 millions. Chiffre officiel, et non contesté.

    Leur reconduction aux frontières nous coûte annuellement plus de 300 millions d’Euros.

    Les « Mahorais » de souche n’en peuvent plus, n’en veulent plus, ils multiplient les « décasages » (expulsions hors de leurs cases), et les accusent de viols, de vols, de violences, d’engorgement des hôpitaux et des écoles.

    Cette colère ajoutée à un chômage de près de 40%.

    Sans oublier qu’une « Union des Comores » revendique l’indépendance de Mayotte, et le fera peut-être un jour par les armes ? (Et que les autres îles des Comores refusent à présent d’accueillir tous les « Comoriens » expulsés de Mayotte « qui ne seraient pas en possession de pièces d’identité délivrées par les Comores). Or, il est évident qu’il y a belle lurette que ces « Comoriens » ont jeté aux ordures tous leurs papiers d’identité afin d’éviter l’expulsion !

    Déjà en 2021 une commission du Sénat publiait un rapport réclamant des moyens supplémentaires aux forces de l’ordre « afin de renforcer l’action de l’autorité judiciaire dans sa lutte contre l’insécurité. »

    Ce même rapport prévenait sur la réalité de la situation explosive, sous dévaluée structurellement, provoquée par l’immigration en provenance des Iles voisines, l’explosion démographique, etc.

    Les actes de délinquance et de violence, dans ce département de l’Océan Indien, sont en progression très préoccupante : en 10 ans, de 2013 à 2023, le nombre des agressions, des coups et blessures volontaires, a enregistré une hausse de près de 200%.

    Le taux des homicides par habitant est plus de 5 fois supérieur à celui de la France métropolitaine.

    Le ministère des Affaires étrangères estime que le statut de département français offert à Mayotte est irréversible, qu’on ne peut pas revenir en arrière !

    Peut-on mentir aussi ouvertement ? Peut-on se moquer plus cyniquement de nous, Français d’Algérie (et même de métropole) ? Est-ce que le statut des trois départements français d’Algérie (Oran-Constantine-Alger) était irréversible en 1962 ?

    Et surtout faire souvenir que si les Mahorais ont été les seuls à voter pour devenir un département français, et non pas les Français de métropole, en ce qui concerne les trois départements de l’Algérie c’est tout le contraire : ce sont les Français qui ont voté “contre” et les habitants de l’Algérie qui n’ont pas eu le droit de voter “pour”.

    Sait-on pourquoi notre République avait instauré autrefois le « Droit du sol » ? Non pas « pour être Français » mais uniquement pour obtenir en quantité de la « chair à canon » offerte à nos ennemis durant les deux dernières guerres.

    Il est absolument nécessaire de rétablir l’obtention de la nationalité française uniquement par « Droit du sang ». Libre ensuite de réclamer sa naturalisation en remplissant les conditions requises. (Et avec des casiers judiciaires vierges !)

    Je suis très loin d’être gaulliste et pourtant il est fortement à craindre que, sur ce point en tout cas, De Gaulle avait eu raison quand il prédisait :

    « Dans quelques décennies la France, victime d’une immigration non contrôlée, sera submergée par ces cultures devenues majoritaires qui installeront une république islamique et les fidèles iront déposer leurs gerbes à Colombey-les-deux-mosquées ».

    Et pendant qu’à Mayotte « les Français de l’Île » réclament à cor et à cris les expulsions et le retour d’un semblant de sécurité, les « Français de métropole » (si l’on peut nommer ainsi le LFI et l’extrême gauche ?) défilent dans les rues des grandes villes afin de s’opposer à ces « expulsions » et abandonner les Mahorais aux « machettes » des agresseurs, des voyous, des délinquants.

    Je propose qu’une agence de voyage offre à tous les députés de LFI (La France Indigne) des billets gratuits pour un séjour à Mayotte (Sans billets de retour, car ils ne seront peut-être pas nécessaires pour tous ?)

    Manuel Gomez


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  • EDITO 734 – MACRON EN GUYANE (Marc Le Stahler)

    La visite de Macron en Guyane – et l’effondrement économique en cours pour la France – m’incitent à évoquer ce département d’outre-mer qui illustre à merveille l’incurie et l’imprévoyance de nos dirigeants, et ce depuis de longues années. Avec peut-être une accalmie dans les années 60/70.

    A la fin de la guerre, en 1946, l’État décide de transformer en départements les anciennes colonies d’Antilles / Guyane et de la Réunion.

    Intention louable, on instaure donc localement le même type de structures administratives que pour les départements de la métropole.

    Pour inciter les fonctionnaires issus de la « coloniale » à accepter une mutation dans ces nouveaux départements éloignés (à l’époque, l’essentiel des voyages se faisait encore en bateau), on crée une prime spéciale de 40 % qui s’ajoute au traitement de base.

    Mais qui dit « département » dit « équité de traitement » et on comprend vite (syndicats locaux inclus) que ce statut accordé aux « métropolitains » doit nécessairement être étendu à tous les fonctionnaires locaux. Ce qui est fait.

    Cette arrivée surprise d’un « pognon de dingue », crée alors rapidement un pouvoir d’achat supplémentaire inattendu, bouleversant tous les équilibres existants : les prix augmentent, l’importation de biens en provenance de la métropole explose et – cerise sur le gâteau – les jeunes n’aspirent plus qu’à devenir… fonctionnaires !

    Au fil des ans, l’organisation socio-économique locale est complétement chamboulée. La Martinique finit par importer la quasi-totalité de ce qu’elle consomme et à exporter le peu qu’elle produit. L’activité productive s’effondre : artisanat, industrie, commerce et surtout agriculture ne sont plus attractifs et tout ce qui ne relève pas de la bureaucratie et du tertiaire (surtout public) disparait peu à peu.

    Pendant ce temps, les autres pays de la Caraïbe, non soumis à cette politique de gribouille, continuent leurs exploitations agricoles, au détriment des agriculteurs martiniquais et guadeloupéens, qui dépendent de plus en plus de subventions pour vendre les produits locaux devenus non compétitifs (bananes, avocats, ananas, etc)…

    Voici donc comment, à partir d’une décision a priori juste et équitable, mais irréfléchie, déstabiliser gravement et pour longtemps – économiquement et socialement – l’ensemble d’un territoire !

    J’ai eu la chance et le plaisir, pendant une dizaine d’années, de travailler aux Antilles. L’entreprise que je dirigeais alors étant impliquée dans la formation et le développement, j’ai eu l’occasion de participer à des séances de travail consacrées à ce problème du développement local.

    Lors d’une réunion, présidée par le préfet et un élu de la Martinique, j’émis l’idée saugrenue, non de supprimer violemment ce surplus de traitement de 40 %, mais de le « figer » en valeur absolue, afin qu’il ne soit plus soumis aux augmentations indiciaires régulières. On aurait ainsi pu espérer que le problème serait amorti à moyen terme, au bout de 10, 15 ou 20 ans. On y serait sans doute largement maintenant…

    Le préfet d’alors, représentant de l’État, fut le plus virulent opposant à cette idée, tout en en reconnaissant (mollement) la pertinence économique. Mais face aux conflits syndicaux qui auraient pu survenir, et craignant, pour sa carrière, de ternir son passage à la Martinique, il s’y opposa fermement.

    Tout bien considéré, ce manque de courage, de lucidité et d’autorité, privilégiant le court terme au détriment du long terme pour des raisons triviales et égoïstes, est en grande partie la racine du mal qui fait mourir la France.

    Et ce n’est pas Macron, qui croyait en 2017 que la Guyane était une ile, et qui aura accru de 800 milliards d’euros la dette publique, qui parviendra à redresser la France. 

    Marc Le Stahler


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