• Ajoutée le 16 mars 2015

    Reynouard Vincent  

    Notre contradicteur "aboudner" n'a pas répondu au défi qui consistait à produire la preuve matérielle de l'existence des orifices d'introduction du Zyklon B dans le toit de la "chambre à gaz" du Krema II du camp de Birkenau, cette chambre à gaz qui aurait été la plus meurtrière au sein du "camp d'extermination" le plus meurtrier (400 000 gazés à elle seule). C'est donc là que la thèse officielle des prétendus gazages homicides se joue... Afin de vider cette question capitale, Vincent Reynouard invite "aboudner" à se rendre à Birkenau pour y trouver et nous montrer ces orifices fantomatiques. Un ami le filmera en train de désigner ces trous. Si "aboudner" accepte, V. Reynouard lui payera le billet d'avion... Puis il consacrera une vidéo aux orifices désignés.


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  • Pour le FBI, Hitler était vivant jusqu’en… 1956 !!!

    Par: Paul-Éric Blanrue..

    Posté Par :Le Libre Penseur..

    D’aucuns, les abrutis imbéciles dégénérés — toujours les mêmes — nous expliquent que c’est la fumeuse théorie du complot, encore une fois et qu’il est complètement stupide de croire que le Führer ait pu s’échapper de son bunker ! Toujours sans le moindre début d’argument ou de preuve concrète, juste des ricanements stupides à la hauteur de leur ignorance et de leur stupidité. Sauf qu’ici, il est quand même question des archives « officielles » du FBI, déclassifiées, que tout un chacun peut aisément compulser. Malheureusement, personne ne se donnera cette peine et n’ira lire ces documents ; ces mêmes imbéciles, noyés dans leur ignorance, persisteront à nous inonder de leur mauvaise foi.


    ARCHIVES (16) BLANRUE DANS HISTORIA : « Pour le FBI, Hitler était vivant jusqu’ en… 1956 ! » (01/02/2004 – 686).

    hitler-argentina-702x336Désormais disponible sur le net, un dossier d’archives révèle que pendant dix ans les fédéraux américains ont suivi, sur tous les continents, les pistes laissant penser que le dictateur nazi n’était pas mort dans son bunker de Berlin. Jusqu’à  ce que les Soviétiques…

    Durant trente ans, le FBI (Federal Bureau of Investigation) a tenu à  jour un dossier secret sur Adolf Hitler. Ce document de 734 pages, aujourd’hui déclassifié et disponible sur le net, contient des discours du Führer, des données relatives à un complot américain destiné à  le supprimer dès 1933, des photographies, des coupures de presse, mais également le résultat des nombreuses enquêtes menées le Bureau fédéral américain afin de vérifier toutes les informations laissant croire que le chancelier du Reich avait survécu à  la Seconde Guerre mondiale.

    A sa lecture, on est stupéfait d’apprendre que jusqu’en 1956 les agents fédéraux et leur directeur, J. Edgar Hoover, ont cru que l’évasion du Führer avait été possible et se sont efforcés de le traquer tandis que le monde entier proclamait sa mort ! 

    Les premiers doutes sur la mort du dictateur nazi apparaissent dès la conférence de Potsdam, en juillet 1945, lorsque Staline déclare au président américain Truman que Hitler s’est échappé de son bunker et se cache à  l’Ouest. (Les Soviétiques vont régulièrement accuser leurs anciens alliés de chercher à « recycler » le chef du IIIe Reich dans le cadre de leur lutte contre le communisme.) Le maréchal Joukov, qui a conquis Berlin, a lui-même laissé entendre que Hitler a pu s’enfuir en Espagne par avion avant la reddition de la capitale allemande. Propagande ou inquiétude justifiée ?

    Toujours est-il que diverses enquêtes, comme celle menée par le major Trevor-Roper du Renseignement britannique (il a sillonné l’Allemagne et interrogé les survivants du bunker de Berlin), semblent démontrer que Hitler s’est suicidé à  la fin du mois d’avril 1945. Mais puisque nul n’est alors capable de produire une photo de son cadavre (les corps de Goebbels et de sa famille, eux, ont été filmés dans les décombres), une autre hypothèse demeure recevable, du moins théoriquement : celle de sa survie. Après son arrestation, Otto Abetz, ambassadeur d’Allemagne en France de 1940 à  1944, déclare d’ailleurs que le dictateur  » n’est certainement pas mort  » et qu' » un jour il reviendra « .

    Même s’il ne l’avoue pas officiellement, le FBI va entreprendre une série de vérifications d’envergure.

    Parmi les nombreuses lettres que le Bureau réceptionne, certaines proviennent à  l’évidence de déséquilibrés. Ainsi un homme de 77 ans raconte avoir lu une lettre écrite par Hitler en 1947, soit deux ans après son présumé suicide, dans laquelle l’ex-dictateur se moque des naïfs qui croient à  son décès. L’enquête démontre qu’il s’agit du délire d’un psychotique ayant seulement voulu faire sensation. En 1948, une dame aperçoit Hitler dans sa pension de famille et s’inquiète auprès des autorités des poursuites judiciaires qu’elle encourt du fait de son éventuelle complicité. Conclusion du FBI :  » Elle est manifestement folle.  » Blagueurs ou citoyens trop suspicieux, certains ont vu Hitler dîner à  Washington en 1946 ; sauter dans un train pour La Nouvelle-Orléans en 1948 ; acheter des terres dans le Colorado ; ou encore s’installer comme maître d’hôtel à  Londres.

    Le 15 octobre 1945, un détective amateur, peu rompu aux exigences de l’administration de la preuve, fait le pari que Hitler s’est réfugié à  New York, ajoutant :  » Il n’existe aucune autre ville au monde où il peut être absorbé si facilement… Je vous donne l’information pour ce qu’elle vaut, évidemment.  » Pendant ce temps, un autre limier dilettante le situe dans une ferme isolée de la Suisse allemande. En 1951, un informateur prétend que Hitler a changé de visage grâce à  la chirurgie plastique (détail récurrent chez les correspondants du FBI) et ressemble dorénavant  » davantage à  un Juif qu’à  un Gentil « . Le même mouchard croit que le dictateur a travaillé dans une cafétéria de Miami.

    Malgré leur caractère fantaisiste, la plupart de ces dénonciations font l’objet d’une investigation de la part des fédéraux, loin de prendre ces allégations à  la légère.

    Car d’autres rumeurs, plus sérieuses, alimentent leur scepticisme. Un médecin prétend par exemple avoir soigné Hitler à  Saint Louis pour un désordre intestinal. Or, d’après les dossiers médicaux de Hitler que le FBI s’est procuré, celui-ci a réellement souffert de troubles digestifs. De plus, l’information n’a pas été diffusée au public à  cette époque.

    Mais ce sont les  » tuyaux  » provenant de l’étranger qui vont pousser les services de Hoover à  se lancer, aux quatre coins de la planète, dans une chasse à  l’homme qui ne trouve son équivalent que dans la traque du kidnappeur du bébé Lindbergh, au début des années 1930.

    Le lieu d’accueil le plus crédible du Führer est l’Amérique du Sud, une contrée devenue après guerre le paradis des anciens nazis en cavale. Selon El Tiempo, un journal publié en Colombie, Hitler s’est échappé avec six hommes habillés en civil dans un sous-marin en partance pour Bogotà¡. Attendus par des Indiens Guajidos, les exilés, voyageant de nuit, sont arrivés dans le petit port de Magdalena, d’où ils ont pris un cargo en troisième classe, puis une voiture qui s’est dirigée vers Bogotà¡, ne faisant jamais halte dans le moindre hôtel. D’après l’informateur, qui signe  » Amigo, amigo, amigo  » (et n’oublie pas au passage de demander 50 000 dollars pour donner davantage de précisions), Hitler porte des lunettes et s’est laissé pousser la barbe.

    Bien que celui-ci soit également signalé au Brésil et au Mexique, les nouvelles en provenance d’Argentine tracassent particulièrement Hoover. Peut-être parce que Juan Perà³n, chef du gouvernement militaire, puis président à  partir de 1946, cultive des idéaux proches de ceux des fascistes, et qu’il a été le partenaire de Fritz Mandl, le magnat pro-nazi des munitions. En tout cas, selon un mémorandum rédigé par un agent du FBI le 4 septembre 1944, c’est-à -dire six mois avant l’hypothétique suicide de Hitler, celui-ci aurait pu envisager de s’y réfugier en cas de défaite. La note précise même que les autorités argentines ont mis au point des rencontres clandestines avec le chef nazi dans le but d’importer des armes et des techniciens dans leur pays : des fabriques de bicyclettes seraient converties en usines de munitions.

    L’opulente colonie allemande d’Argentine est susceptible d’offrir un refuge de choix à  Hitler et ses lieutenants. L’un de ses membres, le comte Karl von Luxburg, chef des services secrets allemands en Argentine et proche de l’amiral dans un ranch qui pourrait être destiné à  les accueillir « . L’unité des Services stratégiques (Special Service Unit) du département américain de la Guerre fait également parvenir à  Hoover un dossier reprenant les déclarations d’une Mrs Eichhorn, propriétaire d’un hôtel à  La Falda et nazie proclamée, qui prétend que sa propriété est l’endroit idéal pour assurer une retraite dorée à  son idole.

    D’autres témoignages paraissant confirmer la fuite de Hitler en Argentine ne tardent pas à  affluer. Hoover reçoit une lettre qui lui précise que l’ancien chancelier du IIIe Reich se trouve à  l’abri dans des souterrains aménagés sous une hacienda, à  450 miles au nord-ouest de Buenos Aires. Un rapport du FBI de Los Angeles, daté du 21 septembre 1945, affirme que Hitler a débarqué en Argentine environ deux semaines après la chute de Berlin et qu’il se cache dans un ranch, aux pieds de la cordillère des Andes. D’après l’informateur, ses acolytes séjournent dans les villages alentour. Il précise que Hitler souffre d’asthme et a coupé sa moustache. Le FBI déplore que l’histoire soit  » impossible à  vérifier « .

    En juin 1946, une autre note fait état d’une lettre retrouvée dans un parking de Pennsylvanie et transmise par le procureur du comté de Lancaster, dont l’auteur (anonyme) écrit :  » J’ai vu Adolf Hitler l’autre jour en Argentine. Il est très nerveux mais a arrêté de prendre des drogues.  » D’après ce document, Hitler s’apprête à  sortir de sa cachette et va prochainement signaler sa nouvelle adresse à  une organisation secrète de 200 membres, tous issus  » de la Mère patrie « . Affaire sans suite.

    Une partie de ces témoignages provient d’articles de journaux qui avancent que l’ex-Führer attend tranquillement dans son refuge clandestin une guerre entre l’Union soviétique et les Etats-Unis pour se présenter comme le dirigeant du nouveau monde. Ces documents, soigneusement collationnés par le FBI, regorgent de précisions sur sa fuite en sous-marin. On rapporte notamment qu’un bateau brésilien a été coulé par un submersible non identifié transportant une femme ressemblant à  Eva Braun, la compagne de Hitler, qui aurait ensuite débarqué sur la côte d’Argentine. Un autre sous-marin mystérieux a également été aperçu par des garde-côtes à  environ 1 300 miles au nord de Catalina, en Californie, à  l’endroit où un certain Theodore Donay, riche importateur de Detroit reconnu coupable d’avoir apporté son aide à  un nazi évadé (affaire pour laquelle il a tâté du cachot), a mystérieusement disparu de son bateau quelques heures auparavant

    Las, ces informations sont toutes contradictoires. Pis : par leur nature, elles ne se distinguent guère des allégations situant Hitler sous les latitudes les plus excentriques. Un officier de la marine japonaise fournit ainsi des détails portant sur un plan d’évacuation de Hitler et Eva Braun vers le Japon. Un pilote prétend, lui, qu’il a transporté Hitler et sa femme au Danemark. Un autre correspondant affirme que l’ancien chancelier-président se fait soigner par un certain Dr Sthamer sous les cieux espagnols. Des informations parfaitement invérifiables.

    De fait, aucun de ces rapports ne permet de remonter à  Hitler. Le FBI est contraint de conclure qu’il ne s’agit que de rumeurs sans fondement ou de divagations destinées à  vendre du papier. D’autant que l’honnêteté de certains informateurs est directement mise en cause. Ayant analysé un article du Chicago Times, un agent du FBI fait ce portrait de l’auteur :  » Sa réputation est extrêmement médiocre et il est généralement considéré comme un journaliste à  sensation peu fiable.  » Puisque les enquêtes n’aboutissent qu’à  des impasses, le FBI va peu à  peu se désintéresser des bruits relatifs à  l’évasion du Fà¼hrer.

    En 1956, après trois ans d’enquête, les magistrats allemands déclarent de leur côté que Hitler est officiellement mort le 30 avril 1945 dans son bunker de la Chancellerie, à  Berlin. Un avis qui rejoint celui des fédéraux américains. Il faut attendre la fin des années 1960 et la traduction anglaise du livre du journaliste soviétique de Lev Bezymenski The Death of Adolf Hitler (voir En complément) pour que l’Ouest soit informé que l’autopsie de deux corps carbonisés retrouvés dans le bunker a été réalisée par les Soviétiques dès 1945 et s’est révélée positive. Les Etats-Unis se plaindront de la lenteur mise par les services soviétiques pour faire ces révélations ; ceux-ci leur répondront qu’ils ont voulu respecter le délai requis pour la déclassification des documents secrets.

    Naturellement, le livre de Bezymenski ne va pas arrêter la rumeur publique. L’auteur a en effet mis en lumière certaines étrangetés de l’autopsie (Hitler y est décrit comme ne possédant qu’un seul testicule), qui vont faire le bonheur des professionnels de l’histoire mystérieuse. Mais le FBI leur abandonne volontiers ce terrain. Pour lui, l’affaire est définitivement close.
    —-

    L’incroyable périple d’un cadavre

    Le 2 mai 1945, les ultimes défenseurs allemands de Berlin capitulent devant l’Armée rouge. Ayant reçu l’ordre de s’emparer du Führer mort ou vif, l’unité de reconnaissance des troupes de choc de la IIIe armée pénètre dans le bunker de la Chancellerie où Hitler s’est réfugié depuis le 17 janvier. Les soldats découvrent les corps calcinés de Goebbels, ministre de la Propagande, et de sa femme Magda. Leurs six jeunes enfants ont été empoisonnés. Et Hitler ? A un moment, on croit le tenir. Dans un bassin en béton débordant de cadavres, un corps sans vie à la moustache caractéristique lui ressemble étonnamment. En l’observant de près on se rend compte qu’il ne s’agit pas du dictateur. Fausse joie. Plus tard, les photos de ce mort seront brandies par ceux qui soutiennent que Hitler s’est évadé en éliminant son « sosie » dans les ruines pour accréditer sa propre mort. Une interprétation qui compliquera une affaire déjà passablement tortueuse…
     
    Des hommes du Smersh – acronyme soviétique de Smiert Shpionam ! Mort aux espions ! service spécial créé par le général Abakoumov – s’aperçoivent soudain qu’à trois mètres de la porte du bunker la terre a été retournée. Ils creusent et trouvent deux corps carbonisés. Mais comme ils ne coïncident pas avec les renseignements en leur possession, les Soviétiques les remettent en place. Jusqu’à ce qu’ils apprennent de la bouche de chefs nazis que Hitler a tenu à être brûlé avec sa compagne Eva Braun. Les corps sont à nouveau exhumés. Mais ce ne sont plus qu’un amas de chairs calcinées. On distingue avec peine une main, des dents, quelques os. Les hommes du Smersh les placent dans des caisses de munitions et les transportent en secret (concurrence entre services oblige) dans une clinique de Buch, en banlieue de Berlin, pour y faire effectuer une autopsie. Le 8 mai, jour de la victoire, cinq légistes de l’Armée rouge examinent clandestinement les restes. Ils remarquent qu’il manque une partie supérieure du crâne de l’homme. Puisqu’aucune blessure par arme n’est visible, les médecins estiment que celui-ci est mort empoisonné. Comme la femme retrouvée à ses côtés. Pour identification, un examen dentaire est requis. Le Smersh retrouve Kathe Heusermann, assistante du dentiste de Hitler, et l’interroge. Elle réalise un schéma de la denture du Führer qui correspond à la mâchoire du cadavre.
     
    Leur mission accomplie, les agents soviétiques poursuivent leur progression avec la IIIe armée. Le soir, à chaque halte, ils enterrent les deux corps dans les bois ! Finalement, les agents arrivent à Magdebourg et enfouissent leur macabre butin dans la cour du QG du Smersh est-allemand.
     
    Pourtant, la découverte et le transport du corps de Hitler ne font l’objet d’aucune publicité. Pourquoi ce secret ? Sans doute parce que l’autopsie n’a pas été réalisée dans les règles de l’art. Peut-être aussi parce que les « alliés » de l’URSS risqueraient de demander à vérifier la réalité de cette mort et que leur intrusion créerait des complications inutiles. Mais surtout parce que Beria, vice-Premier ministre de Staline, se demande sérieusement si son rival Abakoumov, patron du Smersh, n’est pas l’instigateur d’une fraude ! En février 1946, il ouvre une enquête secrète, l’opération Mythe, afin de regrouper des témoignages démontrant les mensonges de l’officier. Après tout, Hitler est peut-être en cavale et Abakoumov son complice. Beria fait interroger les rescapés du bunker, en particulier Hans Baur, le pilote de Hitler ; Otto Günsche, son aide de camp ; Heinz Linge, son valet de chambre, et Rochus Misch, une standardiste. Les interrogatoires, assortis de séances de torture, aboutissent à la rédaction d’un rapport dont l’existence ne sera rendue publique que dans les années 1990. Ce document ultra-confidentiel révèle que Hitler a décidé d’en finir quand il a appris la pendaison par les pieds, le 28 avril 1945, des cadavres de Mussolini et de sa maîtresse Clara Petacci.
     
    Le Führer a convoqué aussitôt son entourage pour lui donner l’ordre de brûler son corps et celui de sa compagne après leur mort, afin d’éviter d’être exposés aux crachats de la foule. Le 30 dans l’après-midi, le couple s’isole dans son salon privé avec trois pistolets et des boîtes de capsules de cyanure. Assis sur le sofa, Hitler et celle qui est devenue son épouse, quelques heures plus tôt, mettent fin à leurs jours. Selon toute apparence, Eva est morte la première en croquant une pastille de cyanure. Hitler l’a suivie en utilisant une arme à feu. Son sang a giclé sur les meubles et le mur du bunker. Nul ne peut affirmer s’il a également avalé du cyanure. Après ce double suicide, les serviteurs du Führer suivent à la lettre les instructions.
     
    En juin 1946, les témoins prisonniers de Beria sont transportés à Berlin, dans le parc du bunker. Ils indiquent l’endroit où ils ont enflammé puis enterré Hitler et sa femme. L’emplacement correspond à l’exhumation réalisée par le Smersh un an plus tôt. On en profite pour procéder à de nouvelles fouilles et on déterre quatre fragments de crâne. Le plus grand est transpercé par une balle. L’autopsie de 1945 se trouve en partie confirmée : les médecins y notaient en effet l’absence d’une pièce maîtresse du crâne, celle qui justement permet de conclure que Hitler s’est suicidé par arme à feu. Le puzzle est désormais complet.
     
    Trop proches des conclusions d’Abakoumov, ces éléments ne sont toutefois pas diffusés par Beria. Staline lui-même n’en est pas tenu informé, ce qui explique peut-être qu’il ait soupçonné les Occidentaux d’avoir recueilli le dictateur déchu. Quant aux restes de Magdebourg, ils sont pudiquement oubliés. Il faut attendre 1970, et l’ère Brejnev, pour que le chef du KGB Youri Andropov les fasse détruire. Par le feu. Mais le crâne et les dents de Hitler, conservés dans les archives, échappent à la crémation. On n’en apprend l’existence qu’après la chute de l’Empire soviétique. En 2000, la partie supérieure du crâne du dictateur devient même l’une des curiosités d’une exposition moscovite organisée par le Service fédéral des archives russes pour marquer le cinquante-cinquième anniversaire de la fin de la guerre.
     
    Pourtant certains historiens doutent encore de son authenticité. Selon eux, seule une analyse ADN pourrait mettre fin à la polémique. La denture a toutefois été formellement identifiée par le légiste allemand Mark Benecke, dans le cadre d’un documentaire de la chaîne National Geographic diffusé en 2003. Le doute n’est donc plus permis : Hitler est bien mort dans son bunker, dix jours après son cinquante-sixième anniversaire.

    Par Paul-Eric Blanrue


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  • Identité nationale : ce qui compte, c’est l’appartenance choisie

    Par :Kader Hamiche Fils de Harki fier de l’être..

    Drapeau

    « Je hais l’idéalisme couard qui détourne les yeux des misères de la vie et des faiblesses de l’âme. Il faut le dire à un peuple sensible aux illusions décevantes des paroles sonores : le mensonge héroïque est une lâcheté. Il n’y a qu’un héroïsme au monde : c’est de voir le monde tel qu’il est et de l’aimer. » Romain Rolland

    « Je ne demande à ma patrie ni pensions, ni honneurs, ni distinctions : je me trouve amplement récompensé par l’air que j’y respire ; je voudrais simplement qu’on ne l’y corrompît point. » Montesquieu

        Je suis berbère et je n’en suis pas plus fier. J’admets que je l’ai été, un temps, parce que l’histoire de ma famille n’était pas banale et que j’étais persuadé que mes ancêtres avaient compté dans l’Histoire avec un grand « H ». Mais tout ça est longtemps resté théorique et vague et j’ai fini par comprendre qu’on ne juge pas un arbre à ses racines mais à ses fruits. Massinissa, Jugurtha, les empereurs romains berbères, Saint Augustin, les dix mille (ou trois mille, c’est selon) Berbères conduits par Tarik à la conquête d’une Espagne elle-même peuplée de cousins ibériques ; les Fatimides chiites se rendant maîtres de toute l’Afrique du Nord et fondant Le Caire en 969, les dynasties berbères Almoravides puis Almohades régnant sur le Maghreb et une partie de l’Espagne jusqu’au treizième siècle : tous ces grands ancêtres ont de quoi marquer l’esprit d’un jeune Kabyle passionné d’Histoire et d’épopée et lui donner à penser qu’il n’est pas la moitié d’une m…. Mais je me suis mis, hic et nunc, à rencontrer des Berbères, de plus en plus, et, peu à peu, j’ai commencé à savoir. Et mes illusions se sont envolées. D’abord, des Berbères, il n’y en a pas que des bons, et même, il y en a beaucoup de franchement mauvais. Ensuite, rien ne prouve que moi, petit Français né dans un petit village de moyenne Kabylie, j’aie quelque chose à voir avec les grands hommes de l’Ifriqiya(1). A supposer que ce soit le cas, cela ne signifierait pas pour autant que j’aie hérité du moindre de leurs mérites. Enfin, à bien y regarder et renseignement pris, il apparaît que ces grands hommes étaient tous des sacrés tordus, dans leur genre. Après que les glorieux ancêtres, qui passaient leur temps à faire la guerre à leurs frères et voisins, eurent laissé les Carthaginois s’installer tranquillement sur leur territoire (à supposer que l’Afrique du Nord leur appartînt), Massinissa favorisa leur remplacement par les Romains avant que Jugurtha(2) se retourne contre eux quatre-vingts ans plus tard. Le premier était allié à ceux-ci dans leur lutte contre Carthage à partir de 202 avant JC ; le second, en révolte contre les occupants que son aïeul avait aidés à prendre la place des précédents, combattait et tuait ses deux frères et rivaux avant d’être livré par son propre beau-père, Bocchus, à ses ennemis qui l’éliminaient en 104. Belle mentalité ! Enfin, il paraît que c’étaient les mœurs de l’époque. Ce qui, au fond, ne nous change pas beaucoup d’aujourd’hui où, en politique, en économie ou dans le milieu associatif, enfin, partout où il y a un semblant de pouvoir ou de prébendes à prendre ou à garder, on ne tue pas mais on élimine sans plus de scrupules. Le brio excepté car, s’ils tuaient sans remords, du moins les Romains mouraient-ils sans regrets, suivant la devise de leurs glorieux Consuls. En tout cas, il n’y a pas vraiment de quoi se vanter de tels ancêtres. L’empereur romano berbère Septime Sévère ne valait pas (moralement) beaucoup mieux que ces deux glorieux ancêtres, lui qui se fit élire en achetant les voix des prétoriens. Son fils Caracalla se distingua en faisant assassiner son propre frère dans les bras de sa mère et en accordant la citoyenneté romaine à tous les métèques libres de l’Empire en 212. Autant dire qu’il donna le signal de la décadence romaine. Peut-être une façon inconsciente de venger la Berbérie et tout le reste de la Méditerranée qu’ils occupaient depuis quatre siècles ? Quand aux dynasties berbères qui se rendirent maîtresses de toute l’Afrique du nord jusqu’en Syrie, où elles établirent leur capitale, elles eurent tôt fait de se dépouiller de leur austérité spartiate pour adopter le mode de vie confortable des sybarites orientaux. Et ce sont elles qui furent responsables de la véritable arabisation du Maghreb en y envoyant, pour s’en débarrasser, quatre cent mille sauvages de la tribu des Beni Hillal. Ce qui fit dire au grand savant et philosophe arabo-berbère Ibn Khaldoun(3) : « Là où les Arabes passent, les murs tombent en ruines ! » (4).

        Saint-Augustin, en revanche, c’est la classe. Voilà un vaurien qui exerce tous les métiers, se livre à la débauche et fait les quatre cents coups pendant une bonne partie de sa vie et qui, tout d’un coup, est touché par la grâce à trente-trois ans, c’est-à-dire à l’âge où le Christ meurt et où, paradoxalement, il commence vraiment à exister aux yeux de toute une humanité. Il a bien calculé son coup, le bougre ! C’est amusant et absurde mais ça me fait penser à ces Maghrébins, piliers de bistrots et gibiers de potences, qui ont appris l’Islam à Fleury-Mérogis et se retrouvent à peu près au même âge à faire les imams, prêcher la morale aux pères de familles et enterrer les morts musulmans dans les banlieues. De grâce, si je meurs un jour, ayez pitié de moi et ne me laissez pas entre les mains de ces fossoyeurs de religion, ni enterrer dans un carré musulman ! Mais pour revenir à Saint-Augustin, il faut reconnaître que, par la suite, il a été bon, et ce, dans tous les domaines. Devenir le principal artisan de la doctrine du christianisme en utilisant son propre exemple pour l’édification de milliards d’individus à travers les siècles, en inventant au passage un genre littéraire : chapeau, l’artiste ! Ça me plaît bien, cette idée d’une filiation, même improbable et lointaine, avec un type qui parle de Dieu en ces termes : « Tard je vous ai aimée, Beauté si ancienne et si nouvelle… C’est que vous étiez au-dedans de moi et moi, j’étais en-dehors de moi… », et qui a permis à la chrétienté de dominer le monde. Non pas que celle-ci m’attire particulièrement, au contraire. De toutes les religions ayant adopté le dogme aristotélicien de l’univers mû par un moteur lui-même immobile, d’où surgit l’idée de Dieu créateur et incréé, c’est celle qui s’est le plus laissé détourner de son message originel. Polluée par des arguties conceptuelles contradictoires, paradoxales et hermétiques à l’intelligence, la religion apostolique et romaine est devenue un culte idolâtre et pour tout dire polythéiste. Le Catholicisme, avec ses rites à la fois simplistes et impénétrables et sa rhétorique spécieuse capable de dire tout et son contraire, est un vrai sac de nœuds, incompréhensible pour toute intelligence également assez rationnelle et ouverte pour faire la part des choses entre la foi et la superstition. De ce point de vue, le Protestantisme et le Jansénisme, dans leur morale épurée inspirée de Saint Augustin, justement, et l’Islam nettoyé des scories de ses prescriptions sociales et politiques, sont plus proches de l’idée que je me fais de la religion. Ceci étant, je suis assez mal placé pour en juger car il me manque l’essentiel : la foi. Mais Albert Einstein ne parle-t-il pas de la « religiosité cosmique » qui fait de certains mécréants des saints ou des allumés ? Je me reconnais assez dans cette notion, quoique je ne parvienne pas à choisir dans laquelle de ces deux catégories je m’inscris. Aussi suis-je un mécréant respectueux des religions, qui m’interpellent en tant que philosophies. Sur ce plan, le cousinage entre le Christianisme des premiers temps, le Protestantisme, l’Islam, et le Catholicisme dans sa version janséniste est évident et invite à l’oecuménisme. C’est rassurant pour celui qui, bien que né musulman, comme tout le monde(5), se revendique à la fois mécréant et respectueux des croyances. Un laïc, en somme, que seuls rebutent l’athéisme militant, qui mise tout sur l’intelligence, et le fondamentalisme religieux qui, au contraire, récuse toute intelligence, les deux se rejoignant par cela qu’ils cultivent également l’intolérance. Car c’est le niveau de civilisation auquel les différentes religions ont porté leurs adeptes qui m’intéresse. De ce point de vue, la performance du Christianisme sous toutes ses formes est prodigieuse. « Je suis chrétien par l’histoire et la géographie », disait quelqu’un qu’on cite avec réticence dans un livre comme celui-ci . Quoique non-croyant, je souscris d’autant plus volontiers à cette profession de foi que, ce faisant, je n’ai pas le sentiment de trahir mes ancêtres. Et je suis heureux que les Berbères aient été parmi les premiers à avoir embrassé la religion – donc la civilisation – chrétienne, ce, bien avant les Européens. Et même, d’avoir été parmi les premiers à l’avoir adoptée en masse avant qu’elle s’étende à toute l’Europe et au bassin méditerranéen à partir de l’Afrique du Nord, justement, et, en partie, sous leur impulsion. Depuis, les Berbères n’ont jamais cassé le lien qui les unissait à l’origine au monde chrétien. Certes, l’Islam et les Arabes se sont facilement implantés au Maghreb, mais ils n’ont finalement réussi à n’en coloniser tout à fait ni les territoires ni les esprits. Ils n’ont jamais réussi à affaiblir complètement et durablement l’attachement des Berbères et, singulièrement, des Kabyles, à leurs origines, mais aussi l’attrait et la fascination qu’ils ont toujours éprouvés pour l’Occident, un peu comme si, instinctivement, ils reconnaissaient en les Européens quelque chose d’eux-mêmes. « Je ne suis pas musulman et je ne suis pas arabe ! », criait Matoub Lounès avant d’être assassiné, sans doute par ses frères trop timorés pour le suivre sur cette voie. Une profession de foi, un mot d’ordre, un slogan, que des millions de voix kabyles crient maintenant à la face de leurs occupants du moment. Treize siècles d’Islam et d’arabisation plus ou moins forcée et forcenée n’ont en rien altéré le sentiment délicieux des Berbères d’être des gens « différents » et de constituer comme tels une nation. Un sentiment national qu’ils ont, au prix de formidables sacrifices comme la relégation dans les montagnes par les Arabes, l’exil et la déportation des meilleurs d’entre eux, et la confiscation du plus gros et du plus fécond de leurs terres par la troisième République radicale(6), athée et maçonnique, consciencieusement entretenu en résistant le plus possible à l’écart des envahisseurs et en tâchant de préserver leurs modes d’organisation sociale et politique, et même leurs croyances, très largement hérités des Romains. Tout en ayant toujours le souci de perpétuer leur appartenance à la civilisation romano chrétienne par des signes visibles et dont le sens s’est malheureusement perdu dans le temps. C’est ainsi que les femmes berbères reproduisent le signe de croix en langeant leurs bébés et ont porté jusqu’à ces toutes dernières années – les canons de la beauté ayant changé avec l’avènement de la télévision – des croix tatouées sur le front en gage de soumission du cœur à l’ancien ordre religieux. Mais surtout, et c’est ce qui perdurera, les Berbères portent sur eux physiquement, à chaque instant et pour l’éternité, cette identité qu’ils ont en commun avec le monde romain et, donc, si on extrapole, la France.

        C’est cela, ma « communauté d’origine ». Je ne m’en vante ni ne la renie. Je n’en suis ni fier ni honteux. J’y suis attaché mais non pas entravé par elle. Je suis français d’origine kabyle comme on est français d’origine bretonne ou savoyarde ; un Français dont les veines charrient, à coup sûr, du sang aryen, du sang arabe et du sang turc, et bien trop conscient de ce qu’il est, comme la très grande majorité des Français, le résultat d’apports divers et variés, pour récuser à d’autres citoyens de ce pays originaires d’autres contrées le droit à la francité, pour peu qu’ils conçoivent leur appartenance à la nation française comme un choix et un engagement uniques et exclusifs de tout autre.

        Je suis le fils d’un Harki assez sûr de ses engagements pour pouvoir dire, cinquante ans plus tard : « Si c’était à refaire, je le referais ! » Je suis fils de Harki et fier de l’être, pas seulement parce que j’ai foi en mon père, que je l’aime et l’admire, mais aussi parce que sachant ce que je sais, j’ai suffisamment d’éléments en main pour pouvoir dire, rétrospectivement et objectivement : « Le combat de mon père et celui d’une certaine France qui ne voulait pas voir brader l’Algérie étaient justes. » Je suis encore plus fier d’être un fils de Harki quand les Harkis sont insultés par leurs ennemis ; et je suis un Kabyle solidaire des Kabyles quand la Kabylie est martyrisée. Mais, par-dessus tout, je suis français, et plus encore lorsqu’on crache sur la France.

        Français voulant, donc français étant, je suis français d’une appartenance nationale exclusive de toute autre et que personne, jamais, ne pourra me contester(7). Si la France devait, et ce jour ne me paraît pas si lointain, soutenir un conflit armé et mobiliser ses fils pour la défendre, je répondrais à son appel, et mes enfants avec moi, sans aucun état d’âme ni aucune restriction mentale. Je ne suis pas sûr qu’il en soit de même pour nombre de Français issus de l’immigration européenne ou africaine qui pratiquent la double allégeance. Je ne suis pas sûr qu’il en soit de même pour ces enfants d’Immigrés espagnols, italiens, portugais ou autres, qui masquent leur ingratitude envers la France en l’accusant d’avoir exploité leurs parents alors qu’elle leur a donné l’asile quand ils fuyaient la dictature et la misère, et qui en tirent argument pour justifier leur attachement prioritaire sinon exclusif à leur pays d’origine. Je ne suis pas sûr qu’il en soit de même pour tous ceux qui dissimulent leur attachement à la patrie d’origine de leurs parents sous une improbable nationalité européenne. Je ne suis pas sûr qu’il en soit de même pour beaucoup de ces Juifs français, pour la plupart originaires d’Afrique du Nord, qui vouent un tel culte au mythe du « grand » Israël qu’ils en sont devenus les plus sûrs freins à un règlement de la question palestinienne. Je ne suis pas sûr qu’il en soit de même pour la plupart de ces Musulmans français doublement attachés, eux, à leur pays d’origine et à l’oumma, et pour qui la carte nationale d’identité n’est qu’un sésame qui leur permet de profiter ici d’avantages qu’ils ont été bien incapables d’instituer dans leur propre pays.

        Fils d’un noble paysan Kabyle qui a hérité de ses ancêtres aux vertus guerrières la volonté et la force, quand les circonstances l’y obligeaient, de lâcher le manche de la charrue et de saisir celui du glaive pour le salut de sa famille, et qui, en des temps difficiles et des circonstances décisives, a choisi la France et lui est resté fidèle bien qu’elle se soit comportée avec lui comme une indigne marâtre, je suis héritier et dépositaire des prérogatives et des responsabilités découlant de ce choix courageux et assumé. Et chaque heure, chaque jour qui passent me font un peu plus Français et un peu moins Kabyle. Je ne m’en réjouis ni ne m’en plains : je le constate, tout simplement. Pour qu’il en fût autrement, il eut fallu que la Kabylie restât française. C’est ce que l’Histoire n’a pas voulu. Il n’y a pas à revenir là-dessus.

    Extrait de « Manifeste d’un fils de Harki fier de l’être »

    (1) Province romaine d’Afrique
    (2) Descendant du précédent, formé à Rome
    (3) Auteur de la formule : « Nous sommes tous des Berbères plus ou moins arabisés ! »
    (4) Formule qu’il faut traduire ainsi : « Là où les Arabes passent, la civilisation trépasse ! » Ibn Khaldoun était bien placé pour le savoir.
    (5) C’est le sens même du mot « musulman » qui signifie « créature soumise à Dieu » (je veux bien faire cette concession, à condition qu’on ne veuille pas m’imposer une définition de Dieu).
    (6) Cinq cent mille hectares après la révolte de Mokrani en 1871.
    (7) N’en déplaise à ceux qui veulent faire peur aux Harkis fidèles à la France en leur suggérant qu’un jour celle-ci les chassera.


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  • La face cachée de Marine Le Pen ..

    Cette vidéo est faites pour tous ceux qui pensent que le FN est la solution. Ce parti politique est comme tout les autres, Marine Le Pen a retourné sa veste. Elle a préféré collaborer avec les sionistes et les loges maçonniques.


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