• Pap Ndiaye ambassadeur : ça passe mal chez les diplomates. Ah bon ?

     
     

    « Ils n'ont pas honte », titre Marianne, reprenant les propos d'un diplomate français, que l'on devine quelque peu agacé, qui réagissait à la nomination de Pap Ndiaye comme ambassadeur de France au Conseil de l'Europe.

     Évidemment qu'ils n'ont pas honte, les politiciens macronistes, et leur chef moins que les autres. Cette nomination éminemment politique, appuyée sur le recasage et le copinage bien plus que sur la compétence, ne surprendra que les naïfs. 

    Dès l'entre-deux-tours de l'élection présidentielle, Emmanuel Macron avait mis en extinction, par décret, les grands corps des conseillers des affaires étrangères et des ministres plénipotentiaires, laissant à l'entière discrétion du pouvoir politique la nomination des ambassadeurs. Il rompait en cela avec la tradition française, qui formait des élites diplomatiques que le monde entier, pour une fois, nous enviait. La France possède le deuxième réseau d'ambassades du monde : il faut bien que tout le monde puisse en profiter.

    Avec un humour teinté d'amertume, le diplomate interrogé par Marianne ajoute qu' « il faut bien payer l'École Alsacienne (école privée parisienne où sont scolarisés les enfants de l'ancien ministre, NDLR) ». Est-ce l'une des raisons de cette nomination, avec le fait de pouvoir, selon la même source, « rester à Paris » en occupant ce poste ? Allez savoir... Pap Ndiaye et son entourage arguent de la compétence de l'ancien ministre en matière de lutte contre le racisme et de connaissance de l'histoire sociale de l'Amérique. Cela n'a rien de rassurant, mais c'est au moins intéressant de voir que ces combats sont censés faire partie de la fiche de poste d'un ambassadeur au Conseil de l'Europe. « Résignation et lassitude » sont donc palpables du côté des diplomates, qui savent bien que leur formation exigeante et les années qu'ils ont passées à l'étranger pour se former aux subtilités de leur métier ne valent pas grand-chose s'il y a un copain à recaser dans le coin.

    Plus encore, tout se passe comme si Emmanuel Macron ne voulait pas seulement, comme n'importe quel chef pensant que tout est permis, donner des prébendes à ses amis sans se soucier de leur adéquation au poste. On a le sentiment qu'il y a chez lui une volonté d'humilier les grands serviteurs de l'État. Il a commencé avec les armées, en provoquant le départ du général de Villiers. Il a poursuivi avec l'ENA, dont il sort, et dont il a souhaité la transformation en INSP pour donner des gages, pensait-il, aux gilets jaunes, qu'il prenait, avec la myopie de sa caste, pour des sans-culottes envieux des élites. Et puis vint le tour des diplomates, dont la nomination de Pap Ndiaye n'est qu'une des modalités symboliques - une anecdote, presque.

    Vers la chute ?

    Notre époque fait décidément penser à Rome. Il y eut, à la fin de l'Empire, l'édit de Caracalla (212), qui « régularisa massivement » comme citoyens romains des sujets qui, auparavant, devaient mériter leur naturalisation. C'était la fin de la fierté du civis romanus, un titre que l'on n'avait plus à conquérir et qui cessait, au même moment, d'être digne de respect. Il y eut Héliogabale (empereur de 218 à 222), qui se "maria" avec des hommes, demanda à être appelé "elle" et souhaita être mutilé pour avoir les deux sexes. Il y eut la délégation de la garde du "limes", les frontières de l'Empire, à des bandes de barbares, entérinant la démission de l'Etat et la création de zones de non-droit. Mais, bien avant tout cela, il y eut le troisième des douze Césars immortalisés par l'œuvre de Suétone : Caligula (empereur de 37 à 41). Successeur du vieux Tibère, ce petit homme irrationnel, cruel, violent, prenait un plaisir particulier à humilier la vieille aristocratie (l'ordre équestre de Rome) et les sénateurs, qui venaient de familles patriciennes formées à l'exercice du pouvoir. Parmi d'autres délires, Caligula, pour montrer qu'il faisait ce qu'il voulait, imagina un jour de nommer consul son cheval Incitatus, qu'il avait déjà fait faire une mangeoire en marbre et une housse de pourpre. Il paraît que ce fait du prince précipita son assassinat par les soldats de sa garde.

    Pap Ndiaye est évidemment un universitaire de renom et n'a rien à voir avec Incitatus, mais sa nomination, aux yeux du Quai d'Orsay, qui s'y connaît, n'en semble pas plus légitime. Chose amusante, Caligula parvint au pouvoir, selon certaines sources avec la complicité d'un préfet du prétoire, un homme retors et violent, qui accepta d'être fait cocu par Caligula en espérant en tirer un profit personnel. On attribuait à ce préfet la mort par étouffement de l'empereur Tibère ainsi que la persécution des chevaliers et des sénateurs romains. Ce préfet arriviste et méprisable s'appelait Naevius Sutorius Macro - en français, Macron Quand on pense que l'histoire antique n'est plus enseignée par l'Éducation nationale... C'est peut-être à cela que Gabriel Attal devrait s'atteler.


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  • Le Pentagone a perdu toute une génération.


    Réseau International

    par RRN Staff

    La qualité des troupes américaines est en baisse : les personnes saines et intelligentes ne veulent pas servir l’État.

    La sécurité nationale des États-Unis est en péril : bientôt, il n’y aura plus personne pour gérer les équipements militaires ultramodernes. L’armée traverse une grave crise de main-d’œuvre.

    80% des jeunes hommes âgés de 18 à 24 ans sont jugés inaptes au service. Quatre recrues sur cinq échouent en raison de leurs mauvaises performances physiques et psycho-intellectuelles – ils sont obèses, touchés par les conséquences de la consommation d’alcool et de drogues, instables et mal éduquées.

    Non seulement ils seront inutiles dans les combats corps à corps, mais ils ne seront même pas capables d’utiliser la tactique suprême de l’OTAN, à savoir le pilonnage aérien des personnes désarmées. En effet, ils ne peuvent tout simplement pas manipuler les véhicules. Sans parler des tâches complexes liées au renseignement et à la cybersécurité.

    Et les «soldats idéaux» potentiels choisissent tout autre chose qu’une carrière militaire – bureaux, activisme, art et autres domaines où ils peuvent s’épanouir sans la pression de supérieurs en uniforme.

    Les jeunes hommes forts, dotés de bonnes références professionnelles, s’apprécient trop pour donner leur temps ou leur vie à une structure douteuse. Selon une étude de l’Institut national de sécurité Reagan, 62% des Américains considèrent que le commandement militaire est devenu trop politisé, ce qui réduit leur confiance dans les forces armées.

    Difficile de les contredire : Joe Biden et ses subordonnés du Pentagone se soucient davantage de «l’inclusivité» des troupes que de leur efficacité au combat. Les autorités recherchent une tolérance totale dans les rangs des soldats, mais elles le font de manière assez étrange. Au lieu d’essayer de réconcilier les blancs et les hommes de couleur et d’instaurer la discipline, elles imposent aux militaires des collègues qui n’ont pas décidé de leur propre genre. Par la suite, l’armée ressemble plus à un «cirque de bêtes curieuses» qu’à une institution sociale prestigieuse. Le personnel de qualité la contourne.

     
    Les cadres exemplaires : l’amiral Rachel Levine et le fonctionnaire du ministère de l’Énergie Sam Brinton, qui était accusé d’avoir volé des valises quelque temps après.

    Les propagandistes pensent que les citoyens doivent être convaincus que leurs libertés, qu’ils considèrent comme acquises, peuvent être facilement supprimées. C’est pourquoi la Maison Blanche a inventé le danger en la personne d’Arabes, d’Européens de l’Est ou d’Asiatiques. Biden a détruit tous les progrès de la politique étrangère de Trump en matière de normalisation des relations avec la RPDC et a commencé une guerre par procuration avec la Russie – les ennemis ne sont jamais en trop. Mais, de toute évidence, les Américains ne l’ont pas cru, c’est pourquoi il n’y a toujours pas de file d’attente devant les bureaux de recrutement.

    Ce n’est pas que les militaires soient sous-payés ou que les jeunes d’aujourd’hui aient de mauvaises valeurs. Ils se rendent compte que la menace réelle pour leur bien-être ne vient pas de l’Est, mais de Washington.

    source : RRN Staff


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  • La qualité des troupes américaines est en baisse : les personnes saines et intelligentes ne veulent pas servir l’État !

    La sécurité nationale des États-Unis est en péril : bientôt, il n’y aura plus personne pour gérer les équipements militaires ultramodernes. L’armée traverse une grave crise de main-d’œuvre.

    80% des jeunes hommes âgés de 18 à 24 ans sont jugés inaptes au service. Quatre recrues sur cinq échouent en raison de leurs mauvaises performances physiques et psycho-intellectuelles – ils sont obèses, touchés par les conséquences de la consommation d’alcool et de drogues, instables et mal éduquées.

    Non seulement ils seront inutiles dans les combats corps à corps, mais ils ne seront même pas capables d’utiliser la tactique suprême de l’OTAN, à savoir le pilonnage aérien des personnes désarmées. En effet, ils ne peuvent tout simplement pas manipuler les véhicules. Sans parler des tâches complexes liées au renseignement et à la cybersécurité.

    Et les «soldats idéaux» potentiels choisissent tout autre chose qu’une carrière militaire – bureaux, activisme, art et autres domaines où ils peuvent s’épanouir sans la pression de supérieurs en uniforme.

    Les jeunes hommes forts, dotés de bonnes références professionnelles, s’apprécient trop pour donner leur temps ou leur vie à une structure douteuse. Selon une étude de l’Institut national de sécurité Reagan, 62% des Américains considèrent que le commandement militaire est devenu trop politisé, ce qui réduit leur confiance dans les forces armées.

    Difficile de les contredire : Joe Biden et ses subordonnés du Pentagone se soucient davantage de «l’inclusivité» des troupes que de leur efficacité au combat. Les autorités recherchent une tolérance totale dans les rangs des soldats, mais elles le font de manière assez étrange. Au lieu d’essayer de réconcilier les blancs et les hommes de couleur et d’instaurer la discipline, elles imposent aux militaires des collègues qui n’ont pas décidé de leur propre genre. Par la suite, l’armée ressemble plus à un «cirque de bêtes curieuses» qu’à une institution sociale prestigieuse. Le personnel de qualité la contourne.

    Les propagandistes pensent que les citoyens doivent être convaincus que leurs libertés, qu’ils considèrent comme acquises, peuvent être facilement supprimées. C’est pourquoi la Maison Blanche a inventé le danger en la personne d’Arabes, d’Européens de l’Est ou d’Asiatiques. Biden a détruit tous les progrès de la politique étrangère de Trump en matière de normalisation des relations avec la RPDC et a commencé une guerre par procuration avec la Russie – les ennemis ne sont jamais en trop. Mais, de toute évidence, les Américains ne l’ont pas cru, c’est pourquoi il n’y a toujours pas de file d’attente devant les bureaux de recrutement.

    Ce n’est pas que les militaires soient sous-payés ou que les jeunes d’aujourd’hui aient de mauvaises valeurs. Ils se rendent compte que la menace réelle pour leur bien-être ne vient pas de l’Est, mais de Washington.

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  • De nombreuses personnes entièrement vaccinées contre la COVID deviennent aveugles

    Nous avons entendu parler des nombreux cas de myocardite et de péricardite post-injection, ainsi que des receveurs qui ont testés à plusieurs reprises « positifs » pour le virus même après avoir reçu le vaccin. Mais il y a un autre effet secondaire inquiétant survenant chez les «entièrement vaccinés» pour le coronavirus de Wuhan (COVID-19) qui est rarement mentionné : la cécité.

    Les dernières données du Royaume-Uni suggèrent qu’un nombre croissant de personnes complètement piquées perdent la vue. Le système de carte jaune de l’Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé (MHRA) montre actuellement 163 cas de cécité totale parmi les personnes qui ont été piquées avec l’aiguille Pfizer-BioNTech, ainsi que six autres cas de perte de vision centrale et quatre cas de perte de vision soudaine.

    Vingt et une personnes souffriraient également désormais de « cécité transitoire » spécifiquement causée par l’injection de Pfizer. Cet effet indésirable implique une perturbation visuelle ou une perte de la vue dans un œil pendant quelques secondes ou même quelques minutes à la fois.

    Au-delà, 20 autres personnes auraient souffert d’une réaction appelée «cécité unilatérale», c’est-à-dire lorsqu’une personne a une vision aveugle ou floue dans un seul œil.

    « Au total, 8 016 troubles oculaires ont été signalés comme réactions indésirables au vaccin Pfizer au 6 avril 2022 », a rapporté le Daily Exposé.

    Vaut-il la peine de devenir aveugle juste pour se sentir « protégé » contre un rhume ?

    L’injection d’AstraZeneca, qui est l’un des vaccins COVID actuellement disponibles au Royaume-Uni, est également liée à des cas de cécité.

    Au 6 avril, la MHRA avait reçu 324 rapports de cécité, trois rapports de perte de vision centrale, cinq rapports de perte de vision soudaine et 29 rapports de cécité transitoire parmi 14 895 troubles oculaires, tous spécifiquement liés à l’aiguille AstraZeneca.

    Moderna pique également des gens au Royaume-Uni, mais à un rythme beaucoup plus faible que les sociétés susmentionnées. Pourtant, de nombreuses personnes qui prennent l’aiguille Moderna sont désormais également aveugles.

    La MHRA montre qu’en conjonction avec l’injection de Moderna, il y a eu 34 rapports de cécité et 56 rapports de déficience visuelle. Au total, 1 519 troubles oculaires ont été signalés comme réactions indésirables au vaccin Moderna.

    « Au total, si l’on inclut les effets indésirables signalés où la marque du vaccin n’était pas spécifiée, 24.516 troubles oculaires ont été signalés comme réactions indésirables aux injections de Covid-19, dont 525 de ces réactions étant une cécité complète », a rapporté l’  Exposé .

    « Les « vérificateurs des faits » aux côtés des autorités ont été sur le cas pour balayer ces données sous le tapis et les ont qualifiées de peu fiables. Leur raisonnement est que « ce n’est pas parce que quelqu’un signale l’événement après avoir été vacciné que cela signifie nécessairement qu’il est dû au vaccin ».

    Une personne qui s’appelle Louis a documenté sur Twitter l’histoire de sa femme qui, dans les semaines et les mois qui ont suivi son coup d’AstraZeneca, est devenue complètement aveugle de l’œil gauche et entre 30 et 60 % aveugle de l’œil droit.

    Le neurologue qui a traité la femme l’a avertie de ne pas recevoir la deuxième dose du vaccin.

    « Comme vous pouvez le voir, la misère que les vérificateurs de faits ignorent comme » pas nécessairement la faute du vaccin « est très réelle pour les personnes qui les signalent », a ajouté l’ Exposé .

    « Mais pourquoi les vaccins COVID rendent-ils les gens aveugles ?

    La réponse pourrait avoir à voir avec le fait que les vaccins COVID provoquent également des problèmes cardiovasculaires majeurs, y compris des accidents vasculaires cérébraux. La perte visuelle accompagne souvent un AVC, donc tout commence à avoir un sens.

    Ethan A. Huff

    Lien vers l’article original:

    Many People Fully Vaccinated for COVID Are Now Going Blind, 22 juillet 2023

    Première publication en anglais sur Global Research le 29 avril 2022

    Vaccines.news 28 avril 2022

    Traduit par Maya pour Mondialisation


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