• Le poudré à l'affut du monde en abandonnant son pays .Par: Pieds Noirs 9A..

    Billet N°6670 du mardi 08 août 2023 ..

    Le poudré à l'affut du monde en abandonnant son peuple .

    L'Afrique: l’aveuglement Français de De Gaulle au poudré. Ce sont des pays dont l'islamiste est puissant . 

    Voir aveugle, sourde aux critiques et inaudible .Après l’échec au Mali, Paris n’a pas vu venir un coup d’Etat dans ce qui était sa dernière pièce maîtresse au Sahel. Faute de décisions politiques courageuses, la présence Française en Afrique part en lambeaux(en peaux de chameaux).

    Le poudré à l'affut du monde en abandonnant son pays .

    Mercredi 26 juillet : un coup d’Etat militaire se produit au Niger, la pièce maîtresse de l’engagement français au Sahel. C’est un coup dur pour Paris. Au même moment, à 18 000 kilomètres de là, le poudré prononce un discours à Nouméa pour rappeler que « la Nouvelle-Calédonie est Française »(elle ne restera pas bien longtemps ) avant de poursuivre sa tournée diplomatique au Vanuatu, en Papouasie-Nouvelle-Guinée et au Sri Lanka.

    L’affaire du Niger est pourtant un clou de plus dans le cercueil de leurs ambitions. Quelle que soit l’issue de la crise politique que ce pays traverse, quelque chose est définitivement cassé. En 2022, l’armée Française a d’abord été chassée du Mali, puis du Burkina Faso en février 2023. L’opération Barkhane est un échec. Comme l’explique l’universitaire Luis Martinez, dans la revue Politique Internationale , « en créant Barkhane, la France a suscité des attentes impossibles à satisfaire et a relégué les armées de ces pays dans des positions de subalternes incapables de protéger leur nation. »Surtout avec le minable que nous avons ,un gamin du CE2 .Nous n'avons rien a y faire dans ses pays qui nous envoi leurs enfants à nourrir sur notre sol .

    Le poudré à l'affut du monde en abandonnant son pays .

    Certes, l’armée Française a tué environ 3000 combattants jihadistes au cours des dix dernières années, mais les « groupes armés terroristes » n’ont pas réduit leur empreinte car ils sont aussi nombreux . Bien au contraire : nourries de « dynamiques locales » décrites par le chercheur Marc-Antoine Pérouse de Montclos, ces insurrections prospèrent et s’étendent.
    L’ancien pré carré africain de la France part en lambeaux et le « séparatisme » menace l’Océanie Française : en Nouvelle-Calédonie, les indépendantistes kanaks ont globalement boycotté la visite présidentielle, alors qu’en Polynésie, les indépendantistes maohis ont remporté les récentes élections.

    Notre poudré explique pourtant que Paris va se « réengager » dans l’Indo-Pacifique. « Puissance d’équilibres », la France espère y peser face à la Chine – « les nouveaux impérialismes » – sans s’aligner complètement sur les Etats-Unis.
    "Vive la Russie" écrit en Français... Mais qu'on foutu nos minables dirigeants politiques ces dernières décennies pour que nous en arrivions là ?. La corruption est mauvaise conseillère.

    Au départ, c’est donc bien une révolution de palais nigéro-nigérienne qu’aucun des partenaires du Niger n’a anticipée. Selon le Canard enchaîné, lors du dernier conseil de Défense, le poudré se serait montré furieux envers le patron de la DGSE : « Le Niger après le Mali, ça fait beaucoup ».

    Après l'échec au Mali, Paris n’a pas vu venir un coup d’Etat dans ce qui était sa dernière pièce maîtresse au Sahel. Faute de décisions politiques courageuses, la présence Française en AfriqueLe poudré à l'affut du monde en abandonnant son pays . part en lambeaux ,il fallait tout arrêter après l'indépendance de l'Algérie qui a réconforté ses autres pays .Voir en plus avec la diplomatie habituelle du minable poudré ,sans oublier que fut le mollasson , nous allons tout droit vers une nouvelle guerre ,avec la complicité depuis De Gaulle, il nous aurons tout fait ,nous allons droit dans le mur d'une fin du terroir Français .

    Avec les bruits des bottes en Pologne et à Taïwan on se dirige aveuglement vers une guerre mondiale qui avec les armes nucléaires détruiront notre petite planète. Où sont les diplomates ? C'est bon à rien. On met des rustines depuis la perte de l'Algérie Française , alors qu'il faut laisser l'Afrique aller au bout de ses contradictions. Quittons une fois pour toutes ce continent et réglons notre affaire avant qui nous apportera que des ennuis à tous nos problèmes internes.

    Comment a-t-on pu passer en quelques jours d’un coup nigéro-nigérien, fort prévisible au demeurant, à un épisode de guerreLe poudré à l'affut du monde en abandonnant son pays . froide qui risque d’embraser le Niger et plus largement toute l’Afrique de l’Ouest ? C’est un cocktail d’aveuglement, d’erreurs d’analyses, de prophéties auto-réalisatrices, d’émotions l’emportant sur la raison. Le scénario noir auquel on risque d’assister, le voici: au nom du rôle largement fantasmé prêté à la Russie au Niger, un Nigeria instrumentalisé par la France et financé par les Américains pourrait dès la semaine prochaine investir militairement le Niger en causant des milliers de morts.

    Qu’il se rassure, les Américains qui disposent de plus de 1000 hommes sur place à Agadez dans leur plus grande base de drones, à Niamey et dans leur base de la CIA à Dirkou au nord du pays n’ont rien vu venir non plus. Pas plus que les Italiens et les Allemands qui ont, eux aussi, des militaires sur place. Pourtant, c’était prévisible, comme l’écrit le chercheur Rhamane Idrissa : « Au Niger, un coup d’État n’est pas une surprise, mais une probabilité statistique.» Pour quatre de réussis au cours de son histoire, combien de manqués ? Le dernier en date a eu lieu la veille de l’investiture de Mohamed Bazoum. Comment comprendre alors cette cécité ? Réponse : la fable. Comment un putsch pourrait-il être envisagé dans un pays qui « est un exemple de démocratie » ? Comment soupçonner Mahamadou Issoufou, récipiendaire du prix Mo Ibrahim pour la bonne gouvernance ?.

    Autre élément de réponse, le professionnalisme des leaders du coup, qui ont été formés à bonne école. (comme Ben Bella que par la suite faisant égorger des Français)

    A l’instar de Salaou Barmou, patron des forces spéciales du Niger qui a essuyé son uniforme sur les bancs de l’université de la Défense nationale à Washington et qui le mois dernier s’entretenait encore avec le chef du Commandement des opérations spéciales de l’armée américaine à Agadez.

    Pour ce qui concerne la France, le Niger est le troisième pays de la région qui, après le Mali et le Burkina Faso, émet la volonté deLe poudré à l'affut du monde en abandonnant son pays . rompre radicalement avec l’ancien colonisateur. Certainement l’effet domino n’est-il pas étranger à ces bouleversements. Envie d’une réelle indépendance, réaction à une exploitation politico-économique bien réelle, hostilité à une présence militaire étrangère qui, au prétexte de lutter contre les groupes islamistes, s’inscrit dans une durée qui n’est plus acceptable, telles sont sans doute, pour partie, les raisons de ce brusque retournement contre les intérêts Français. À côté de cela, il faut bien reconnaître que la France, pour n’avoir pas su changer son logiciel africain et n’avoir pas voulu ou su anticiper les conséquences de son alignement aveugle sur les États-Unis, est en train de payer au prix fort des choix dont les conséquences étaient pourtant prévisibles. Certes « persévérer est diabolique ». le poudré devrait méditer plus souvent ce vieil adage ! .Et de s'occuper un peu plus du pays France au lui de faire le fantassin a droite comme a gauche dans ses pays de domination raciste antiblanc

     Pieds Noirs 9A..

    Le poudré à l'affut du monde en abandonnant son pays .


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  • Pourquoi le dollar est-il si menacé aujourd’hui?

    Instrument de domination patiemment mis au point, étape par étape, par l’élite financière qui a décidé de dominer le monde à la fin du 19ème siècle, le dollar est de plus en plus contesté par de nombreux pays qui sont en train de s’organiser pour se passer de lui. Monnaie établie sous un « faux-nez», le dollar avait besoin, pour s’imposer à tous, d’apparaître comme une monnaie stable dans le temps, de façon à éviter des fluctuations importantes inhérentes aux monnaies fiduciaires. 

    Le dollar a été imposé à la planète sans contre-partie

    Ce faux-nez fut l’apparence de la convertibilité en or. Cela permit à ses promoteurs de faire passer la pilule de sa double nature de monnaie domestique américaine et de monnaie internationale. Les accords de Bretton-Woods de juillet 1944 le consacrèrent ainsi.

    Peu de gens à l’époque en avaient perçu les implications.

    L’économiste Robert Triffin était de ceux-là et l’ avait magistralement démontré dans un ouvrage paru en 1960 intitulé «l’or et la crise du dollar», plus connu sous le nom du «dilemme de Triffin» et dans lequel il démontrait qu’une monnaie à la fois domestique et internationale devait être créée d’une façon si importante que la couverture en or ne pouvait être respectée.

    Ce qui avait fait dire par le secrétaire du Trésor américain John Connally cette phrase assez provocante: «le dollar est notre monnaie et votre problème», après que la convertibilité en or du dollar fut abandonnée le 15 août 1971.

    L’élite financière avait donc atteint son but en pouvant émettre sans aucune limite de la monnaie qui ne lui coûtait rien et que tous les autres pays devaient se procurer pour commercer à l’international.

    Ce « privilège exorbitant » (de Gaulle dixit) ne pouvait, à la longue, que susciter des rancœurs qui, au fil du temps, allaient coaliser un nombre de plus en plus grand de pays las de subir ce diktat injustifié qui compromettait sérieusement leur développement.
    Une contre-attaque qui est partie de loin

    En développant le potentiel industriel des pays « émergents », la finance internationale a joué avec le feu. La cupidité ayant endormi toute analyse prospective et les perspectives de gain quasiment sans limite, l’élite financière internationale a pesé de tout son poids pour que les transferts de technologie se fassent rapidement de façon à ce que les produits industriels fabriqués dans ces pays arrivent le plus vite possible dans les pays dont le coût de main-d’œuvre maintenait des prix élevés à la production. Ce fut autour du milieu des années 1970 et l’une des conséquences a été la fin des «30 glorieuses ». La montée de la puissance économique des pays émergents comme la Chine, l’Inde et le Brésil en résulte également et c’est l’élément dominant dans lequel le basculement actuel trouve son origine. On constate également que, lorsque la puissance industrielle d’un pays ou d’une zone augmente, sa monnaie est de plus en plus utilisée pour les échanges commerciaux. On peut dire que « la monnaie suit la production » ce qui est normal, surtout si les émissions monétaires sont liées à l’augmentation des richesses produites, ce qui devrait être le cas général et seul gage de la stabilité monétaire.

    Les crises successives et les errements des banques systémiques depuis le début du 21e siècle et l’abrogation du « Glass – Steagall Act » de 1934 qui limitait la spéculation bancaire ont conduit les banques centrales occidentales (FED, BoE et BCE) à faire de la création monétaire quasiment sans limite uniquement pour renflouer ces banques et leur éviter la faillite et celle du système financier mondial lié au dollar.

    Conscients de ce danger face auquel les pays émergents étaient démunis, cette logique les a conduit à projeter la mise en œuvre d’un autre système dont leur prospérité future ne dépendrait pas de cette monnaie.

    Sans bruit et très discrètement depuis une quinzaine d’années, les BRICS et d’autres organisations internationales ont œuvré pour élaborer un autre système de paiement pour leurs échanges commerciaux. L’idée de base était d’en limiter l’emploi aux seuls pays concernés et éventuellement de faire entrer progressivement de nouveaux pays s’il y avait un intérêt mutuel à le faire.

    Le catalyseur de la guerre en Ukraine

    Les choses se sont brutalement accélérées en février 2022 avec la guerre en Ukraine, aboutissement logique d’un affrontement à peine déguisé ayant des relents de guerre froide. On ne connaîtra probablement jamais les raisons exactes qui ont poussé l’état-profond américain à intervenir en Ukraine dès 2014 afin de remplacer le président Yanoukovitch élu en 2010 en fomentant un « coup d’Etat ». Il s’en suivit une sorte de guerre entre les provinces russophones de l’Est et l’armée de Kiev qui fit environ 14 000 victimes en 8 ans.

    Toujours est-il qu’à peine les premiers échanges de tirs commencés, la Russie subit un ensemble de sanctions économiques destinées à ruiner son économie, notamment en stoppant la vente des produits énergétiques avec l’Union européenne, devenue son principal client. Mais il y eut aussi la saisie de plusieurs centaines de milliards de dollars appartenant à la banque de Russie qui pourraient être reversés à l’Ukraine qui créent une sorte de précédent inquiétant.

    Cette «extra-territorialité» manifestement outrancière du Droit américain ne peut qu’accélérer le processus de dédollarisation qui va en s’amplifiant et de plus en plus de pays manifestent leur intention de rejoindre les BRICS afin de ne plus dépendre du dollar pour leur commerce international. Le monde a brutalement pris conscience de la puissance économique des BRICS en découvrant avec quelle rapidité la Russie avait conclu des accords avec d’autres pays pour écouler ses produits énergétiques sans recourir au dollar qui lui était désormais interdit. Cette promptitude atteste d’un plan prévu bien en amont dont nous ne percevons peut-être que les premières mesures en en ignorant encore l’étendue.

    Aujourd’hui la part du dollar dans les échanges internationaux ne représente plus qu’environ 50% alors que le PIB des BRICS dépasse celui du G7.
    Réunion de Johannesburg: une étape-clé?

    Du 22 au 24 août prochains, une réunion des BRICS est prévue en Afrique du Sud. Celle-ci fait suite à la réunion du mois de juin au Cap et va finaliser les discussions qui s’y sont tenues.

    En particulier, l’examen des futures candidatures d’environ une vingtaine de pays, mais également la création, qui semble s’accélérer, d’une nouvelle monnaie qui posséderait une convertibilité en or.

    Elle pourrait s’appeler «l’or des BRICS» et son unité de compte serait le gramme d’or. Les banques centrales des BRICS mettraient en commun leurs réserves d’or dans une banque des BRICS créée pour la circonstance qui les inscrirait dans son bilan.

    Cet or servirait de garantie pour des prêts libellés en «or des BRICS», cette future monnaie internationale pourrait alors être utilisée à la place du dollar dans les échanges commerciaux internationaux.
    Vers une guerre dollar / or des BRICS ?

    Le dollar étant devenu une monnaie purement fiduciaire depuis août 1971, donc sans valeur intrinsèque, il apparait difficile pour lui de pouvoir entrer en compétition avec une monnaie qui, elle, posséderait une valeur intrinsèque. Le dollar peut être créé à partir de rien, alors qu’une monnaie gagée sur l’or suppose que l’entité émettrice possède au minimum dans ses coffres la quantité d’or correspondante à la quantité de monnaie émise.

    Il parait invraisemblable que le dollar puisse retrouver une couverture-or, compte-tenu des émissions effectuées qui se chiffrent probablement autour de plusieurs millions de milliards de dollars.

    Aujourd’hui, la plupart des banques, y compris les banques systémiques, ont des fonds propres en dollars, souvent sous forme de «bons du Trésor américain ».

    Tant que le dollar reste l’unité de mesure, ces bons conservent leur valeur. Mais s’ils venaient à subir une décote, comme ce fut le cas récemment avec la Silicon Valley Bank, personne n’est en mesure de dire ce qu’il en adviendrait. Cette incertitude ne peut jouer qu’en faveur d’une monnaie gagée sur l’or, qui serait naturellement préférée au dollar pour les transactions internationales.

    Les banquiers internationaux vont-ils accepter de se voir dépossédés de ce qui a été un outil essentiel de la domination de l’Occident et surtout des États-Unis sur le reste du monde?
    Un rapport de force incertain, mais évoluant

    Les États-Unis étaient la puissance dominante incontestée après la chute de l’URSS, Francis Fukuyama parlait de «la fin de l’histoire». Le libre échange mondialisé l’avait emporté et allait s’imposer de proche en proche en unifiant le monde gouverné par une instance unique qui maintiendrait la paix d’un monde dans lequel chacun trouverait naturellement sa place. La situation géopolitique actuelle démontre que cette vision n’était pas exacte.

    A la conception ancienne d’un monde «monopolaire globalisé» s’oppose maintenant un projet « multipolaire » organisé autour de pays conscients de leurs similitudes et qui veulent mettre en commun leurs potentiels pour en faire un ensemble à la fois autonome et performant.

    Aujourd’hui, la balance penche plutôt de leur coté, tant sur le nombre d’individus concernés que sur

    leur importance économique. Logiquement, cette nouvelle architecture géopolitique devrait s’imposer, mais l’Occident, qui a beaucoup à perdre dans la mesure où il est peu probable que les pays de l’Union européenne, trop dépendants économiquement et politiquement des États-Unis, se joignent à cette démarche, accepter a-t-il ce projet?

    Le piège de Thucydide, évoqué par Graham Allison en 1971, risque fort de se refermer sur le monde en provoquant un conflit armé entre l’Occident et le reste du monde.

    Les prochaines semaines et les prochains mois risquent d’être, de ce point de vue, décisifs.

    Source : https://lecourrierdesstrateges.fr/2023/08/07/pourquoi-le-dollar-est-il-si-menace-aujourdhui-par-jean-goychman/

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  • Les effets secondaires des vaccins Covid19 sont un sujet récurrent dans TOUS les médias allemands !

     


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  • Le sinistre personnage au palais .Par :Pieds Noirs 9A..

    Billet N°6669 du lundi 07 août 2023 ..

    Le sinistre personnage au palais .

    Emmanuel Macron avait dit qu’il fallait déconstruire l’Histoire de France. Pap Ndiaye aller sévèrement s’en charger. Cet homme de gauche était très engagé, qui ne croit pas aux valeurs patriotique de la France et de son drapeau .

    Cet homme a eu un parachutage doré et a profité de joué le rôle de racisme anti-Français pour salir les patriotes qui aiment la France. Nous ne voulons pas que cela ce passe comme en Afrique du Sud demain .

    http://courtimpression.eklablog.com/elon-musk-denonce-un-nouvel-appel-au-meurtre-des-blancs-en-afrique-du--a214608067

    Elisabeth Borne en est la responsable de n'avoir rien dans son cerveau d'avoir positionner cet homme a l'éducation pour détruire nos enfants!.

    Il essaie désespérément et à coup de phrases aussi toc que saugrenues ( il la joue noir opprimé victime de l'extrême droite ! )de faire oublier sa gestion calamiteuse et ses résultats nuls ,alors de cela on attaque l'extrême droite ,on se le demande qui et le plus raciste que l'autre . Il ferait mieux de se taire et empocher discrètement son salaire au conseil de l' Europe. Ou il aura toute latitude pour promouvoir le wokisme et la déconstruction d'un pays . Le pire étant que Macron a été obligé de le vider alors qu' il le préférait à Blanquer !

    Le cancre sinistre personnage . 

    Ndiaye considère son éviction comme «un trophée pour l’extrême droite» .
    Débarqué par Macron lors du dernier remaniement, Pap Ndiaye estime que “les attaques régulières” venant “de la droite et de l’extrême droite” lui ont coûté son poste…

    Comme si le poudré procédait à ses castings gouvernementaux en fonction des sondages ou du RN… Il en est déjà à son 106e ministre ,voir un désastre pour le pays France ,car il prend et jette quand le gadget ne fonctionne pas selon ses attentes. Ce qui fut le cas avec Ndiaye, lequel a multiplié maladresses et bévues, préférant entre autres s’occuper de la sexualité des enfants que du harcèlement scolaire ,ainsi s'en prendre a l'extrême droite patriotique .

    Bien que reconnaissant du bout des lèvres ne pas avoir “été suffisamment tacticien” pour se faire une place dans le jeu politique ,voir le deuxième homme (premier ministre) après le poudré . Il faut à cet exécrable ministre, très présomptueux, un coupable de son échec. "Tristesse” et “déception”, mais “aucune” amertume.

    Deux semaines après avoir été viré du gouvernement, Pap Ndiaye estime dans Le Monde que son éviction a été un “trophée de chasse” pour l’extrême droite et de la droite mais reconnaît aussi qu’il n’a “pas été suffisamment tacticien” pour se faire sa place aux côtés de ministres habitués du jeu politique.

    L’ancien ministre a passé un an et deux mois rue de Grenelle, après une carrière d’historien universitaire, spécialisé dans l’étude de la place des personnes non-blanches en France et aux États-Unis, et des discriminations à leur égard et à la direction du musée de l’histoire de l’immigration.

    Il décrit ces mois comme les plus “âpres” de sa vie… Il est vrai que l’on souffre beaucoup sous les ors de la République. Pauvre petit mignon !. Dès son arrivée au ministère, il “a fait l’objet d’attaques incessantes” confie au Monde son épouse "journal en sa faveur de gauche", la sociologue Jeanne Lazarus : «Droite et extrême droite lui intentent des procès en “wokisme”, en “islamo-gauchiste” ou encore en “indigénisme”», une “avanie permanente de forces obscures”, ajoute l’ex-ministre.« Ces forces obscures », dont ne sait pas très bien qui elles sont puisque obscures… n’ont fait que dire ce qu’il en était car elles s’appuyaient sur des écrits et déclarations de Pap Ndiaye.“Je suis identifié comme un homme de gauche, engagé sur les questions de l’antiracisme, de la lutte contre les discriminations, tout ce que l’extrême droite abhorre. Et je suis un homme noir. Ce facteur combiné aux deux autres est insupportable pour l’extrême droite”.

    Il convient ici de rappeler que Pap Ndiaye est aussi noir que blanc puisqu’il est métis. Certes, il lui est plus facile d’abriter ses carences derrière une prétendue discrimination raciste. Son attaque contre Bolloré et le RN sur Radio J "fut une honte à gerber" devaient être sur ordre… peut-être un piège du poudré pour mieux l’évincer après le tollé ainsi provoqué.

    Ce perfide déclarant quatre jours plus tard : «Rien ne justifie qu’on s’attaque à un ministre et parfois même à sa famille».

    Selon le salarié du poudré, s’attaquer à la famille Ndiaye, c’était rappeler qu’il sabotait les établissements privés au nom de la mixité sociale, tout en ayant pris soin de faire éduquer ses enfants à l’École alsacienne, repaire de l’entre-soi dès la maternelle, à l’opposé de la mixité sociale… Et il fut débarqué la semaine suivante, au profit de Gabriel Attal, un “pur politique”, juge-t-il, plus conforme à la doctrine macroniste en matière d’éducation, mettant l’accent sur le retour aux “fondamentaux” et à “l’autorité”. À vérifier.

    Vers une carrière en politique ?.

    Toutefois, Pap Ndiaye ne fait pas pour autant une croix sur une carrière plus politique. Que lui faut-il après sa nomination à Strasbourg ?“J’ai besoin d’être en retrait, mais la vie est longue”, “La seule question, c’est de savoir si, en politique, on peut aussi admettre les gens qui ne sont pas de purs professionnels”.
    Dans l’immédiat, l’universitaire s’apprête à déménager à Strasbourg pour endosser pleinement son habit de commissaire politique Français au Conseil de l’Europe.

    Pieds Noirs 9A..

    Le sinistre personnage au palais .


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