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  • "Grouse camarade"  Rémy Rebeyrotte et son salut nazi à L'assemblée


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  • Le RER, la ligne qui relie Paris à sa banlieue en moins d’une journée… via le tiers-monde

    Je ne suis pas, sur le fond, opposé au principe de l'impôt. Ses modalités de mise en œuvre, c'est vrai, confinent à l'écrasement ; son matraquage des riches et sa haine de la succession patrimoniale sont, c'est vrai, ce qu'il y a de plus laid et de plus méprisable dans le fond de l'esprit révolutionnaire. Mais enfin, tout de même, je trouve compréhensible de contribuer, à la mesure de ses moyens, aux services d'un État digne de ce nom. Pour avoir des routes en bon état, des hôpitaux efficaces, des écoles publiques d'élite, des trains rapides et ponctuels, une vraie prise en charge des pauvres, une armée puissante, je suis prêt à contribuer de bon cœur à l'effort collectif.

    Bon. Cela étant posé, convenons que les résultats obtenus par les structures de l'État ne plaident guère en faveur du maintien de l'étranglement fiscal perpétuel. Routes défoncées (mais à péage, pour le bénéfice de compagnies privées, et à radars, pour reprendre un peu de sous au contribuable) ; hôpitaux exsangues, dont le cirque du Covid n'a été que le révélateur ; écoles idéologisées, au niveau lamentable, aux professeurs rares et dépassés ; clochards français qui meurent seuls, sous les fenêtres d'hôtels trois étoiles remplis de migrants logés aux frais du contribuable ; armée de grande classe, mais échantillonnaire, qui paie l'incurie de Sarkozy puis de Hollande... et moyens de transport hors d'âge, livrés en pâture aux syndicalistes, qui ne savent anticiper ni les « épisodes neigeux », ni les « fortes chaleurs », ni les « feuilles sur la voie »... ni rien, en somme.

    Voyez l'exemple du RER B, ce 18 juillet. Train bondé, chaleur, malaises ; incivisme de la musique trop forte ; arrêt interminable en pleine voie. Il est huit heures du matin. Le conducteur invite les voyageurs à débarquer en sautant sur les voies. À la queue leu leu, dans le noir absolu, les passagers sautent, valise à la main, puis courent comme dans un film-catastrophe par peur d'être percutés. Un embouteillage de trains de banlieue, stoppés entre Châtelet et les stations suivantes, serait à l'origine de ce terrible ratage. Un « épisode caniculaire », disent-ils, dû à « la présence de personnes sur les voies » alors que ces personnes se sont justement trouvées sur les voies à cause de l'inefficacité du réseau francilien.

    Y a-t-il, en somme, un seul pan du service public qui ne ressemble pas à un pays du tiers-monde ? Une rumeur raconte que, lorsqu'un train arrive légèrement en retard au Japon, on ouvre une enquête interne. Ce qui est sûr, c'est que quand la DDE japonaise travaille, il y a, comme chez nous, trois personnes : mais chez eux, il y en a un qui travaille, un qui régule la circulation et un dont la seule fonction est de présenter les excuses de l'administration aux passants. Croyez-vous que la RATP ou la SNCF le feraient de vive voix ? Ou qu'une enquête interne permettrait de savoir pourquoi les trains grandes lignes arrivent systématiquement en retard ? Non. En France, on est capable de relier Paris à Mitry-Claye en moins d'une journée, via le tiers-monde. Cette démission totale du service public n'est pas anecdotique : elle est symptomatique d'un je-m'en-foutisme généralisé, d'un refus de se remettre en question, d'un délabrement matériel et moral de l'appareil d'État. De même que la Seine-Saint-Denis est censée être la Californie sans le soleil, nous devenons la République démocratique du Congo sans les températures. Et encore, cette semaine...

    Arnaud Florac

    Source : http://bvoltaire.fr


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  • Nous sommes où pour nous prendre pour des cons Mr Veran !Par: Pieds Noirs 9A..

    Billet N°6522 du vendredi 22 juillet 2022 ..

    Nous sommes où et qui pour nous prendre pour des cons Mr Veran !

    La communauté des Runner abrite en son sein des donneurs de leçons qui ne reculent devant rien.

    Ainsi pour faire entendre leur point de vue et blesser celles et ceux qui croisent leur route. Pas question de leur laisser le champ libre.

    On contre attaque…

    Le sourire un peu lointain est une bonne tactique. Il faut autant que possible éviter d’entrer dans les détails, de débattre sur le fond. Accepter les remarques (qui sont parfois fondées) sans moufter et se concentrer sur l’essentiel : courir de manière intelligente et harmonieuse.

    On ne gagne jamais en s’abaissant à convoquer des avis extérieurs (même très compétents) ou à tenter de rationaliser ce qui ne l’est pas. La démarche hystérique et malveillante des donneurs de leçons vient de loin déjà d'une incompétence absolu ,voir: jalousie, désir inconscient de détruire, dépression rampante…

    Rien n’est pire que de s’accrocher, surtout en public, avec ces donneurs de leçons ravis de choquer ou de blesser.

    Ne pas oublier : le donneur de leçons refuse généralement les confrontations directes. Il aime attaquer en biais. C’est pour cette raison qu’on ne le voit jamais en découdre avec le chronomètre et qu’il préfère s’entraîner dans son coin avec un micro a la main , loin des regards de celles et ceux qui pourraient à leur tour lui en apprendre un brin sur le running.

    Laissons-le donc courir et pérorer en paix tous ses guignols de leçons qui nous prennent pour des enfants du CE2 ! avec une bavette autour du cou ..

    Pieds Noirs 9A..


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