• L’ennemi de Verdun Todeschini, compagnon de route de l’immonde Grand Orient de France

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    Todeschini en compagnie du pseudo “Grand Maître” du Grand Orient, le 9 mai 2016

    BREIZATAO – ETREBROADEL (15/05/2016) L’immonde secrétaire d’état socialiste aux Anciens Combattants, Jean-Marc Todeschini, s’est illustré par ses insultes répétées à l’endroit des soldats de 1914-1918 en promouvant la venue d’un rappeur anti-blanc aux commémorations du centenaire de la bataille de Verdun.

    Ce n’est pas une surprise : l’intéressé est un compagnon de route du Grand Orient de France, organisation maçonnique subversive, nostalgique des égorgeurs de 1793 tels Marat, Robespierre, Fouquier-Tinville ou Carrier (source).

    http://breizatao.com/2016/05/14/todeschini-compagnon-de-route-de-limmonde-grand-orient-de-france/

     

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  • Les chrétiens persécutés en Syrie retrouvent leurs bourreaux dans les camps de réfugiés allemands

     

    Jusqu'à 40 000 réfugiés chrétiens

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    Jusqu'à 40 000 réfugiés chrétiens et non-musulmans sont actuellement entassés dans les centres migratoires allemands et souffrent de discrimination. Ils se font harceler par les nouveaux arrivants, ainsi que par leurs gardiens en raison de leur religion, révèlent plusieurs groupes de défense des droits de l'homme.

    Ces groupes viennent de présenter, lors d'une conférence de presse, les résultats d'un sondage effectué auprès de 231 migrants chrétiens, venus principalement de l'Irak, de la Syrie et de l'Afghanistan. Au moins 88% disent avoir été harcelés par des réfugiés musulmans à cause de leur religion, selon le groupe Portes ouvertes Allemagne, une mission supportant les chrétiens persécutés qui ont participé à ce sondage. Plusieurs personnes ont partagé leur indignation sur Twitter:

    D'autres sont carrément alarmistes !

    De plus, la moitié des personnes interrogées ont dit avoir eu maille à partir avec les gardiens des centres de réfugiés. La majorité de ces gardiens sont musulmans, rapportent les médias allemands. En tout:

    • 42% ont subit des injures
    • 37% ont reçu des coups et blessures
    • 43% ont reçu des menaces de mort

    Ce sondage ne serait que «la pointe de l'iceberg», note le directeur de Portes ouvertes Allemagne, Markus Rode, qui ajoute qu'on sent «la peur et la panique» chez les réfugiés non-musulmans.

    Les esclaves sexuelles retrouvent leur tortionnaires

    Selon l'Action au nom des chrétiens persécutés et des nécessiteux ayant aussi pris part au sondage, jusqu'à 40 000 réfugiés chrétiens et membres des autres minorités religieuses se font harceler pour leurs croyances religieuses dans les centres de demandeurs d'asile en Allemagne.

    Les femmes rescapées de l'esclavagisme pratiqué par l'Etat islamique dans la ville syrienne de Racca se disent non-protégées et retrouvent plusieurs de leurs tortionnaires dans les camps de réfugiés, dévoile Karl Hafen, de la Société Internationale des droits de l'homme, basée à Francfort. «J'ai vu des familles [chrétiennes] repartir volontairement en raison des menaces», ajoute Paulus Kurt du Centre pour les chrétiens d'Orient en Allemagne.

    Fadi S., un réfugié de Syrie présent à la conférence de presse, a déclaré que lorsqu'il était arrivé dans un camp de réfugiés en Allemagne, il avait été choqué de rencontrer les mêmes fondamentalistes musulmans qu'il avait fui.

    La situation dérape

    La législation allemande n'arrive pas à maîtriser la situation, estiment plusieurs organisations de défense des droits de l'homme. Ils font appel aux autorités de Berlin pour accueillir les chrétiens séparément des musulmans, dans des emplacements distincts.

    1,1 million de réfugiés sont entrés en Allemagne en 2015 et d'autres arriveront en 2016. Les citoyens allemands craignent pour l'avenir, alors que 81% du pays pense que la crise des réfugiés échappe au contrôle de la chancelière Angela Merkel, selon un sondage datant du mois de février dernier.

     

    Extrait de: Source et auteur

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  • HISTOIRE

    La CIA contre Cuba : éliminer Fidel, Raúl et le Che

    Lázaro Barredo Medina

    Telle était la mission prioritaire des services de renseignement étasuniens bien avant le triomphe de la Révolution en 1959, afin d'empêcher la victoire des forces révolutionnaires.

    Bien avant le triomphe de la Révolution en Janvier 1959, les services de renseignement étasuniens ont eu pour missions prioritaires d’empêcher la victoire des forces révolutionnaires et d’assassiner le commandant en chef Fidel Castro.

    Par exemple, dès 1958, au moment où Fidel était dans la Sierra Maestra, le colonel Joseph Caldwell King, chef de la Section de l’Hémisphère Occidental de la CIA en charge des opérations cubaines, en collaboration avec William Pawley, ancien ambassadeur nord-américain au Brésil, au Pérou, et ami du dictateur Fulgencio Batista, avait planifié certaines mesures pour entraver l’avancée des forces révolutionnaires et assassiner le dirigeant cubain. Objectif : éviter l’arrivée au pouvoir de Fidel, et pour ce faire, activer complètement la Estación [base] à La Havane dirigée par James A. Noel, qui a développé une activité subversive intense contre Cuba et a occupé ce poste jusqu’à la fermeture de l’ambassade en Janvier 1961.

    En Décembre 1958 le citoyen Alan Robert Nye a été arrêté dans la Sierra Maestra, armé d’un fusil à visée télescopique, et envoyé par le gouvernement yankee avec pour mission l’assassinat de Fidel.

    Au début même du triomphe révolutionnaire les frictions avec les États-Unis commencent et les manœuvres conspiratrices pour décapiter la Révolution triomphante s’intensifient.

    Dans ses mémoires Les années à la Maison Blanche, publié en 1966, le Président des États-Unis de cette époque, Dwight D Eisenhower, a reconnu : "En quelques semaines, après l’entrée de Castro à La Havane, nous, au gouvernement, nous commencions à examiner les mesures qui pourraient être efficaces pour réprimer Castro."

    Le 21 Janvier 1959, treize jours après son entrée triomphale à La Havane, devant un grand rassemblement du peuple au Palais Présidentiel, Fidel a déclaré :

    « Pour prendre des mesures précautions, car ici, il faut se protéger contre tout, je vais proposer à la Direction du Mouvement du 26 Juillet de nommer le camarade Raul Castro Deuxième chef du Mouvement du 26 Juillet. Je le fais, non parce qu’il est mon frère - tout le monde sait combien nous détestons le népotisme - mais parce que, honnêtement, je considère qu’il a les qualités suffisantes pour me remplacer au cas où je devrais mourir dans cette lutte ; et aussi, parce que c’est un compagnon aux convictions révolutionnaires très fermes, qui a démontré sa capacité au combat, qui a été de ceux qui ont mené l’attaque de la Moncada, qui ont passé deux ans en prison, qui ont organisé la Seconde Colonne Frank País, et de ceux qui ont donné des preuves significatives d’aptitude en tant qu’organisateur et meneur. "

    Et il a poursuivi :

    "j’espère que, si cette situation se présente, il sera traité non comme mon frère, mais comme n’importe qui d’autre afin qu’il n’y ait pas le moindre petit soupçon de traitement de faveur envers la famille. Je dis, en premier lieu, qu’ainsi on ne favorise personne, parce que la patrie pour nous est agonie et devoir, pas plaisir, pas vanité, pas satisfaction à caractère personnel ; pour nous, ce travail est le travail d’un esclave qui sait comment servir son peuple ; pour nous, être chef c’est se sacrifier ; pour nous être chef n’est pas d’aspirer au pouvoir, tout le monde sait que j’ai renoncé au pouvoir il y a bien longtemps, tout le monde connaît l’abnégation avec laquelle je me suis battu et que je suis de ces hommes qui soutient que personne n’est indispensable [... ] ; et si je précise ici que je pense que le camarade Raul Castro pourrait me remplacer dans cette situation, ce n’est pas pour en décider unilatéralement, mais parce que je désire consulter le peuple pour savoir si vous êtes d’accord ". (Exclamations de "Oui" !).

    "Comme le savent déjà mes ennemis : ils peuvent m’attaquer quand ils le souhaitent, pas de problèmes ! Et d’ailleurs, s’ils agressaient aussi Raúl, il y en viendra un autre derrière lui, et un autre derrière, et ainsi de suite ! Que le peuple de Cuba dans cette lutte ne manque ni de chef, ni de monde, parce que tout sera prévu. Comme nous avons su gagner la guerre contre toutes les ressources, nous saurons également gagner la Révolution contre tous les ennemis qui se placent devant nous."

    Dans un bilan du développement des relations bilatérales depuis janvier 1959 présenté au Conseil National de Sécurité des États-Unis, Roy Rubottom, secrétaire adjoint pour les Affaires Inter-américaines, a fait ce résumé :

    « La période de janvier à mars peut être définie comme une lune de miel avec le gouvernement Castro. En avril la tournure négative de ces relations est devenue évidente... En juin nous avions pris la décision qu’il serait impossible d’atteindre nos objectifs avec Castro au pouvoir, et nous avons accepté d’entreprendre le programme visé par M. Marchant (le sous-secrétaire Livingston Marchant). En juillet et août nous avions tracé un programme pour remplacer Castro."

    Livingston Marchant, pour justifier ses mesures punitives, a déclaré lors de cette réunion du Conseil de la Sécurité Nationale que le cas de Cuba était l’un des plus dangereux et difficiles en ce qui concerne les relations des États-Unis avec l’Amérique latine.

    Le programme pour remplacer Castro était dans le plan d’une campagne réactionnaire contre le communisme, tandis la propagande contre-révolutionnaire prétendait diminuer l’influence populaire de Raul et du Che, en les attaquant comme les dirigeants révolutionnaires les plus susceptibles d’être communistes. Sans doute, ils étaient ceux qui avaient les idées les plus radicales, avec une profonde formation marxiste et étaient des partisans déterminés à progresser rapidement vers le socialisme.

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    Un grand chef de la CIA a dit : " à moins qu’on élimine Fidel, Raul et Che Guevara, tous ensemble, ce qui est peu probable, cette opération pourrait être une affaire longue et laborieuse, et le gouvernement actuel ne sera vaincu que par la force". (Photo : Salas)

    La présence de Che Guevara dans les secteurs économiques stratégiques tels que le secteur bancaire, tout d’abord, et puis la direction du développement industriel naissant, avec ses premières activités internationales à la mi-1959, ont touché les secteurs du gouvernement étasunien et de la contre-révolution.

    Ensuite, comme l’ont expliqué Luis M. Busch et Reinaldo Suarez dans leur livre Premiers pas du gouvernement révolutionnaire cubain, les nécessités de la défense de la Révolution rendaient impérative une profonde restructuration militaire qui garantirait l’identification complète des institutions armées avec les citoyens, une économie administrative et de gestion, et une véritable unité de commandement et d’action.

    C’est ainsi qu’est créé le Ministère des Forces armées révolutionnaires le 21 octobre 1959. "Le commandant de l’Armée Rebelle qui réunissait toutes les qualités et les compétences nécessaires pour mener une telle tâche a été, sans aucun doute, Raúl Castro Ruz. En quelques mois de guérilla, il avait formé dans les montagnes d’Extrême-Orient de Cuba, un front méticuleusement organisé et efficace, militaire et civil. Virtuellement un État d’armes, avec des hôpitaux et des gestions administratives, d’éducation, de communications et d’équipements industriels, d’administration de justice et d’arbitrage. Il avait donné des preuves évidentes d’habilité spécifique au commandement et à l’organisation," ont rapporté les deux auteurs.

    Raúl, en assumant le commandement, est catégorique sur les principes poursuivis par le concept de la nouvelle institution militaire :

    « Nous ne serons jamais satisfaits tant que, par notre organisation et en disposant toujours de la collaboration indestructible du peuple de Cuba, notre pays n’est pas en mesure de se faire respecter militairement par les petits et les puissants."

    Durant ces jours-là, les tentatives du gouvernement des États-Unis pour dresser des forces alternatives contre la direction révolutionnaire se sont soldées par un échec, car les tentatives traitresses d’Hubert Matos, alors commandant, ont échoué, comme avait déjà été un fiasco la trahison du commandant Pedro Diaz Lanz - chef de la force aérienne rebelle -, ou l’effondrement de la conspiration trujilliste[1. NdT : voir Rafael Leónidas Trujillo Molina], ou encore la crise nationale qui a pris fin avec le départ du noyau réactionnaire du premier Gouvernement Révolutionnaire, y compris celui du président Manuel Urrutia.

    Activité subversive intense et phénoménale contre Cuba

    En 1975, sur la base d’informations déclassifiées et de témoignages ou de comparutions lors des audiences, a été élaboré un rapport du Comité spécial du Sénat des États-Unis qui a étudié les opérations liées aux activités du renseignement, mieux connu sous le nom du Rapport de la Commission Church, parce que le comité était présidé par le sénateur Frank Church.

    Par ces informations déclassifiées et ces témoignages on a pu connaître en détail certaines des opérations secrètes de la CIA pour attenter à la vie des principaux dirigeants de la Révolution cubaine. Le 11 décembre 1959, après avoir fait l’analyse opérationnelle de la Révolution, exprimant ses préoccupations sur le renforcement du processus et les mesures pour la détruire, le colonel J.C. King a envoyé un mémorandum à Allen Dulles, directeur de la CIA, dans lequel il a fait valoir qu’à Cuba il y avait maintenant une dictature "d’extrême gauche" qui, "si" elle était autorisée à continuer, encouragerait des actions similaires contre les positions étasuniennes dans d’autres pays d’Amérique latine.

    L’une des quatre "Actions recommandées" par King était de considérer sérieusement l’élimination de Fidel Castro :

    « Beaucoup de gens informés pensent que la disparition de Fidel hâterait grandement le renversement du gouvernement actuel."

    Dans l’une des marges du document il y a une note manuscrite où Dulles indique qu’avec l’accord de Richard Bissell, un ancien professeur d’économie qui a servi en tant que sous-directeur des Programmes de la CIA, il approuvait les recommandations. À partir de ce moment là, tous les efforts pour étêter le pays s’intensifient.

    En janvier 1960 est organisée la Branche 4 (WH-4) de la Division de l’hémisphère occidental de la CIA en tant qu’Équipe Spéciale pour mener l’opération cubaine, avec pour principale « [...] mission le renversement du gouvernement Castro [...] » et elle avait sous sa responsabilité le Bureau de Cuba au quartier général de la CIA, ainsi que le soutien de la base établie au siège diplomatique de la Havane.

    La chaîne de commandement au quartier général était intégrée par le directeur du Renseignement Allen Dulles, le directeur adjoint des Programmes Monsieur Richard M. Bissell, le chef de la Division de l’hémisphère occidental JC King, et le chef des Forces de Mission Jacob D. Esterline.

    Selon le rapport de la Commission Church, le 13 janvier 1960, Dulles, au cours de ce qui était apparemment la première discussion du Groupe Spécial sur un programme clandestin pour renverser Castro, "a observé la possibilité qu’à la longue les États-Unis ne pouvaient pas tolérer le régime de Castro à Cuba, et a suggéré la planification de contingences secrètes pour obtenir la chute du gouvernement de Castro ..."

    L’une des actions était de prendre en compte la gestion du Gouvernement Révolutionnaire cubain pour l’empêcher de s’approvisionner en armes et de poursuivre sa politique de création de milices populaires. Le 4 mars 1960 se produit le monstrueux sabotage du navire français La Coubre, qui a apporté depuis la Belgique une cargaison de 70 tonnes d’armes et de munitions et dont l’explosion a causé environ 100 morts et 400 blessés.

    L’acte terroriste conçu par la CIA, dont les enregistrements sont encore classés 51 ans plus tard, avait prévu qu’après la première explosion, les principaux dirigeants de la Révolution se rendraient probablement immédiatement sur les lieux et c’était alors l’occasion de produire un deuxième bombardement pour en finir avec eux.

    Fidel est arrivé à la conclusion qu’à partir du sabotage criminel de La Coubre, l’agression contre la Révolution se déchainerait avec une grande ampleur, et il a accéléré sa stratégie de préparer le peuple à y faire face, à y résister et à la vaincre.

    Le rapport de la Commission Church confirme cette analyse et démontre que le gouvernement d’Eisenhower était à la recherche de prétextes.

    Selon le mémorandum d’une réunion du 9 mars 1960, cinq jours après la Coubre, le colonel J.C. King a déclaré devant le Groupe Spécial qui était en charge des opérations cubaines, qu’il y avait "de plus en plus de preuves que certains "chefs" du gouvernement Castro font pression pour attaquer les installations de l’Armée des États-Unis à la baie de Guantanamo et disent qu’il est en effet possible d’attaquer l’installation."

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    Matériel UPI de rapports en 1960 sur le complot d’assassinat contre les trois hommes.

     
    Et selon le mémorandum lui-même : "le colonel King a déclaré (...) à moins qu’on élimine Fidel, Raul et Che Guevara, tous ensemble, ce qui est peu probable, cette opération pourrait être une affaire longue et laborieuse, et le gouvernement actuel ne sera vaincu que par la force."

    Le rapport du comité sénatorial décrit également d’autres sujets abordés lors d’une réunion le lendemain, le 10 mars, du Conseil de Sécurité Nationale, où on a débattu sur la politique étasunienne de « placer un autre gouvernement au pouvoir à Cuba."

    Le compte-rendu de cette réunion rapporte que l’amiral Arleigh Burke, chef de l’Assemblée des chefs d’état-major des Forces de l’armée yankee, a compris qu’on avait besoin d’un dirigeant cubain autour duquel des éléments hostiles à Castro pourraient être regroupés. "Monsieur Dulles a déclaré qu’il existait quelques dirigeants opposés à Castro, mais qu’ils ne se trouvaient pas actuellement à Cuba, et il se demandait ce que nous pourrions faire dans une situation de cette nature (...) ; Il a indiqué qu’on travaillait sur un programme pour changer la situation à Cuba. L’Amiral Burke a suggéré que tout plan pour remplacer les dirigeants cubains devait être mené jusqu’à ses ultimes conséquences, puisque la plupart des dirigeants proches de Castro Castro étaient encore pires que lui."

    La Commission Church décrit une autre réunion du Groupe spécial à la Maison Blanche le 14 mars 1960, à laquelle ont assisté Allen Dulles et le colonel J.C. King.

    Selon le témoignage sénatorial déclassifié 15 ans plus tard, le procès-verbal archivé de cette réunion informait qu’il y avait une discussion générale sur l’effet que provoquerait la disparition simultanée de Fidel, Raul Castro et Che Guevara sur la situation cubaine. L’Amiral Burke a déclaré que le seul groupe organisé à Cuba à cette époque était les communistes et que, par conséquent, il y avait le danger qu’ils arrivent à prendre le contrôle. M. Dulles était d’avis que cela n’était peut-être pas désavantageux car cela faciliterait une action multilatérale par l’OEA. Le Colonel King a dit qu’il y avait peu de dirigeants identifiés à ce jour capables de prendre en charge la situation.

    Le 17 Mars 1960, le président Eisenhower a donné le feu vert au programme d’activités clandestines contre Cuba. (À suivre)

     Auteur : Lázaro Barredo Medina

    Source : Bohémia,"La CIA frente a Cuba desde 1959 (I) : eliminar a Fidel, Raúl y Che", le 21 avril 2016.

    Traduction : Admin site France-Cuba le 27 avril 2016

    »» http://www.francecuba.org/cia-contre-cuba-1959-eliminer-fidel-raul-che/

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  • C’est exactement le contraire d’une surprise. Les noirs sont extrêmement impulsifs. Incapables de maîtriser leur colère et leur violence, et avec une faible perception des conséquences futures, ils commettent des crimes innombrables.

    Le Parisien :

    Caroline, décrite par ses amies comme étant une jeune fille discrète et joyeuse, a été tuée à l’aube de ses 18 ans par celui qui avait été son premier grand amour alors âgé de 19 ans.

    Cette histoire montre bien comment les délicats sentiments féminins peuvent être envoyés sur une fausse piste. L’amour, ça peut se construire sur les fondations les plus fragiles qui soient – je ne crois pas qu’il se soit agi d’un coup de foudre.

    […] Leur histoire qui a duré près de deux ans a été ponctuée de ruptures et de nombreuses disputes. Il semblerait qu’à la veille de sa mort, Caroline voulait définitivement prendre son envol et se défaire de Thomas avant d’entrer à la faculté d’histoire d’Evry (Essonne) pour devenir enseignante.

    Mais malheureusement pour elle, coucher avec un noir est une erreur souvent tragique.

    Le métissage tue

    « Caroline était très amoureuse de lui, c’est le premier qui a compté pour elle, confirme l’une de ses amies à la barre. Mais il la faisait beaucoup souffrir. Il la laissait plusieurs jours sans nouvelles, il attendait qu’elle revienne ramper vers lui, il jouait avec elle », précise-t-elle. Des propos que la maman de la victime a confirmés. Mais déjà en juin, il semblerait que Caroline en ait eu assez de cette situation. « Il lui a dit qu’il voulait rompre comme souvent et pour une fois, elle n’a pas réagi. Il est revenu deux jours après car ça ne l’amusait plus », poursuit [l’amie].

    Le jour du drame, c’est sa maman qui l’emmène en gare de Nemours. Caroline devait remettre un disque dur et un pull à Thomas car, pour sa mère et sa marraine, Caroline avait définitivement mis un terme à leur idylle chaotique. « J’étais soulagée de cette rupture. Caroline m’avait raconté qu’au cours d’une dispute, Thomas avait tapé dans une porte de colère », raconte la maman avec qui la jeune fille entretenait une relation fusionnelle. Thomas reprochait en fait à Caroline un flirt qu’elle avait eu avec un autre lycéen. Après cet épisode de violence, la maman s’inquiète : « Caroline m’avait appelée en pleurs ce jour-là. Je lui ai dit : attention un jour ça pourrait être toi. Elle m’avait répondu : ah non, il ne me fera jamais de mal… »

    Si naïve…

    Les violences et meurtres de la part de noirs contre des blanches avec qui ils sont en couple sont extrêmement fréquents.

    Il y a des responsables pour ce crime.

    En premier lieu se trouvent tout ceux qui promeuvent l’immigration non-blanche, et tous les politiciens vendus qui la laissent se produire.

    Se trouvent ensuite tout ceux participant à la propagande du métissage, dont tous les gauchistes idiots utiles de l’anti-racisme.

    Il y a deux mois et demi, je rapportais l’histoire d’une traîtresse à sa race transformée en héroïne, avec de nombreux gauchistes qui la félicitaient de préférer son petit ami africain à sa loyauté filiale. On peut l’affirmer : c’est criminel.

    Ces gens, cependant, ne font que copier des normes culturelles qu’on leur fournit toutes prêtes. Ceux qui les leur fournissent, ce sont les Juifs. Hervé Ryssen a amplement démontré que cette obsession du métissage de la femme blanche avec l’homme nègre est promu avant tout par des juifs, que ce soit au cinéma ou ailleurs.

    Métissage encouragé

    Dans les responsables, ensuite, tous les proches de la victimes, sa famille et ses amis, sont coupables de ne pas l’avoir dissuadée d’entamer cette relation. Bien sûr, les adolescents ont souvent tendance à aller en direction opposée de ce que leur suggèrent leurs parents, mais si elle avait été moins exposée à la propagande métissolâtre et qu’elle avait su comme cette violence nègre est fréquente, sans doute eut-elle pu échapper à ce sort.

    Enfin, bien sûr, l’assassinée a payé, cher, le prix de sa trahison envers sa race. Elle aurait pu se trouver un jeune homme européen charmant, elle a préféré un noir qui lui racontait de jolies sornettes…

    Son tueur a été reconnu coupable de meurtre avec préméditation, et a été condamné à 20 ans de réclusion criminelle – il sortira donc de prison d’ici une dizaine d’années.

    Cela va sans dire : une société civilisée aurait réglé la société bien plus rapidement et efficacement.

    Nègres lynchés

    http://www.blancheurope.com/2016/05/14/crime-ordinaire-blonde-tuee-negre-aimait/


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  •  Verdun : la Voie Sacrée profanée déjà en 2014 et vous voulez que la racaille continue sur le site elle même

    Cinq bornes de cette route mythique ont été vandalisées la nuit dernière. Et quatre casques les surmontant ont été volés.

    Verdun : la Voie Sacrée profanée déjà en 2014

    Un massacre. C’est au sacré que l’on vient d’attenter. C’est presqu’une profanation, tant ces bornes sont symboliques. Surtout l’année du Centenaire de la Grande Guerre. Derrière ces blocs de béton rouge et blanc surmontés d’un casque orné d’une couronne de laurier se cache toute la souffrance des soldats de la Bataille de Verdun. Par-delà l’asphalte et la circulation routière, on sent encore la poudre des combats, la sueur des soldats montant au front et le sang de ceux qui revenaient de l’enfer. On entend encore le bruit des moteurs des camions amenant hommes, munitions et matériels. C’est grâce à ce cordon ombilical tendu entre l’arrière et l’enfer que Verdun a tenu. Tout un symbole !

    On attribue à Maurice Barrès, la création du nom « Voie sacrée ». Mais si c’est en 1923 que le terme est finalement entériné, c’est le président Poincaré, un Meusien, qui inaugura le 22 août 1922 la borne « 0 » de cette route. La cérémonie eut lieu à Bar-le-Duc.

    Le casque à l’origine en bronze a été remplacé depuis longtemps par des casques en laiton dont la patine rappelle l’original. Des bornes qui avaient été restaurées l’an passé par le conseil général de la Meuse. Centenaire oblige. Mais des bornes qui avaient toutes été vandalisées au cours des décennies. La dernière fois, c’était il y a une dizaine d’années. Les casques avaient également été dérobés.

    Pourtant, le système de fixation du casque à la borne avait été sécurisé afin, justement, d’éviter ce genre de méfait. Mais le ou les malfaiteurs se sont acharnés et sept bornes ont subi ces outrages entre les communes des Souhesmes et de Heippes, en passant par Lemmes et Souilly. Aucun autre fait de ce type n’a été signalé sur le Sud meusien.

    Des casques en laiton…

    Ce sont donc des casques en laiton, sans grande valeur marchande, que le ou les vandales ont dérobés, sans doute dans la nuit de lundi à mardi. En tout cas, pas avant lundi en fin d’après-midi, puisque les services du Département qui étaient en train de faucher les accotements de la Voie sacrée, n’ont pas remarqué ces dégradations.

    Ces malfaiteurs ont sans doute agi en employant une sorte de masse ou un objet lourd et contondant. En témoignent les traces profondes qui ont marqué le métal sur un casque qui a subi ces chocs sans pouvoir être arraché. Cette borne est située à quelques kilomètres de Souilly en direction de Bar-le-Duc au niveau d’une aire de stationnement. Deux autres casques ont subi les mêmes dégradations.

    Sinon, quatre autres bornes ont été attaquées à la masse et le casque y a été dérobé. Ne subsistent sur ces monuments que le béton pulvérisé et des éclats aux alentours.

    Il est à noter que les bornes situées à proximité des villages ou sur le territoire de ceux-ci, n’ont pas été touchées. Le bruit de la vandalisation aurait sans doute éveillé la suspicion des riverains.

    Hier, c’était donc la stupeur et l’incompréhension dans le département pour les acteurs de la mémoire.

    Dans quel but ces casques ont-ils été dérobés ? Pour la valeur du métal ? Ou pour la valeur symbolique liée à 14-18 ? Seule l’enquête pourra le déterminer.

    Une enquête qui a été ouverte hier, elle concerne ces vols avec dégradations et est confiée à la communauté de brigades de gendarmerie de Verdun. Les constatations d’usage ont bien sûr été réalisées. Une plainte sera déposée en gendarmerie aujourd’hui par le conseil général de la Meuse.

    http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2014/05/20/la-voie-sacree-profanee


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