• De Gaulle : l’armistice était nécessaire, mais ne l’avouez jamais !

    Samedi 24 juin 2017, par  Manuel Gomez 

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    22 juin 1940 : l’armistice est signé.

    Ambassadeur de la France en Espagne, le maréchal Pétain est appelé afin de lui confier la vice-présidence du conseil du gouvernement Paul Reynaud.

    Le général Franco le met en garde contre cette proposition venant d’un gouvernement défaitiste et qui cache d’autres objectifs.

    Le 14 juin 1940, Paris avait été envahi par l’Armée allemande et le Président de la République, le gouvernement et les Assemblées s’étaient repliés sur Bordeaux.

    La bataille de France était irrémédiablement perdue.

    Les officiers, les troupes sont en totale débâcle. Il n’y a plus aucune résistance sur aucun front.

    Philippe Pétain en est parfaitement conscient, tout comme il est conscient que c’est pure folie que d’accepter ce poste dans de telles conditions, mais il estime qu’il s’agit là de son devoir de français, qu’il ne peut abandonner la France à son terrible destin et que seule un armistice peut mettre fin à cette situation sans issue.

    Dès le 27 mai le maréchal avait exposé sa stratégie au Président de la République Albert Lebrun. Il lui proposait un armistice afin de garder un tiers du territoire non occupé et cela avec deux objectifs très important :
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    1/ Conserver une ouverture sur notre empire dans l’éventualité d’une reprise de l’offensive plus tard.

    2/ Empêcher l’armée allemande d’atteindre les Pyrénées et de pénétrer en Espagne et surtout, le plus important aux yeux du maréchal, interdire aux Allemands d’occuper le rocher de Gibraltar, ce qui leur aurait offert le contrôle de l’accès à la Méditerranée et, par la suite, d’envahir l’Afrique du Nord.

    En effet en conservant libre un tiers sud de la France, Pétain, en accord total avec le général Franco avec qui il s’est entendu avant de quitter son poste d’ambassadeur à Madrid, empêche les forces allemandes d’approcher les Pyrénées et d’entrer en Espagne.

    (Un accord secret obligeait l’Espagne à collaborer avec les allemands si son territoire avait été envahi).

    C’était là puissamment raisonné et Pétain tient absolument à convaincre le président du conseil Paul Reynaud qui se montre hésitant.

    À plusieurs reprises, le maréchal donne sa démission et refuse catégoriquement d’obéir à la décision du président du conseil de quitter la France pour rejoindre Alger.

    « Il n’est pas question une seule seconde d’abandonner les français à ce triste sort dont nous sommes, dont vous êtes, vous et votre gouvernement, en grande partie responsable. Je déclare, en ce qui me concerne, que hors du gouvernement s’il le faut, je me refuserai à quitter le sol métropolitain, je resterai parmi le peuple français pour partager ses peines et ses misères. »

    On a besoin de lui pour « sauver les meubles » et il répond présent, comme il l’a toujours fait.

    C’est vraiment au cours de ces 48 heures que les destins de Pétain et de De Gaulle se séparent définitivement. Le maréchal se dévoue pour ses compatriotes. Il se met au service de la France.

    De Gaulle, puisqu’il n’a pas été retenu dans le nouveau gouvernement formé par Pétain et qu’il n’a trouvé aucun moyen de rentrer en France, décide de jouer sa propre carte et dès lors il met la France à son service.

    Combien d’officiers et de soldats auraient perdu la vie dans d’ultimes et inutiles tentatives de résistance si cet armistice n’avait pas été signé ? De Gaulle lui-même est forcé d’admettre qu’il s’agit d’un désastre comme la France n’en a jamais connu.

    (Grace à l’armistice notre empire colonial restait sous l’autorité du gouvernement français. L’armée d’Afrique disposait de 100.000 hommes, qui participeront plus tard aux batailles de Tunisie, d’Italie et au débarquement en Provence, avec l’aide de 50.000 soldats venue d’AOF.

    Pétain obtenait également qu’une armée de 100.000 hommes reste disponible sur le sol français (nombreux seront ceux qui rejoindront la résistance par la suite)

    Nous avons pu constater les conséquences dramatiques sur la suite de la guerre, pour les forces allemandes, de l’armistice signé dans de telles conditions.

    A posteriori que pensent nos « ennemis » d’alors sur l’armistice obtenu par le maréchal Pétain qui fut davantage un acte stratégique que politique ?

    Que ce fut une erreur, mais une erreur allemande :

    **GOERING, commandant en chef de la Luftwaffe et successeur désigné d’Hitler : L’armistice fut la plus grosse faute du Führer. S’interdire de poursuivre notre progression irrésistible vers l’Espagne nous a sans aucun doute fait perdre la guerre.

    **RENTHE-FINK, ministre : Le Führer a commis en juin 40 une faute inconcevable en concluant un armistice au lieu d’occuper immédiatement tout le territoire français et l’Afrique du Nord.

    **KEITEL, commandant suprême des forces armées allemandes : L’histoire eut été différente si le Führer n’avait pas laissé à la France sa marine, ses troupes coloniales et son Empire.

    Quant à Churchill il déclarera en 1943 : « L’armistice nous a en somme rendu service. Hitler a commis une faute en l’accordant. Il aurait dû aller en Afrique du Nord, s’en emparer et poursuivre jusqu’en Egypte. Nous aurions eu alors une tâche bien difficile. »

    Cette même année il ajoute : « Je n’ai jamais dit que la France a trahi en demandant l’armistice, j’ai moi-même reconnu qu’elle était dans la nécessité de le faire. J’ai trouvé à Londres quelqu’un qui a soutenu, spontanément, cette thèse de la trahison française C’est un général français, je m’en suis servi. »

    De Gaulle, lui-même, en s’adressant plus tard au général d’aviation Odic, dira : « Je le sais que l’armistice était nécessaire pour la suite de la guerre, mais surtout ne l’avouez jamais. »


    En savoir plus sur http://notrejournal.info/De-Gaulle-l-armistice-etait-necessaire-mais-ne-l#hmOTrDmou5qyOmID.99


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  • Posté par: Pieds Noirs 9A..

    FRANCE "Ô TOI FRANCE"   

     

     

     

    Une enseignante témoigne sans langue de bois du désastre de l’éducation des enfants musulmans et ils sont pas encore adulte ,pauvre France ...

    A LIRE QUI EST BON POUR LE MORAL DES FRANÇAIS 

    FRANCE "Ô TOI FRANCE"

    Je suis enseignante (prof d’histoire-géo-éducation civique) depuis plus de 20 ans. J’'ai exercé dans 5 collèges de banlieue, dont deux Zep et un établissement classé zone violence.
    J’'ai donc vu passer dans mes classes (de la 6ème à la 3ème) plus de 4000 jeunes de banlieues, que j’'ai eu à charge d'’instruire, d'’encourager et d’'accompagner, avec une bienveillance et une abnégation qui ne m’'ont jamais fait défaut.
    Vous prétendez que les populations des banlieues sont « mises au garage dès le collège et le lycée » ?
    Que « le socle d'une société épanouie est l'éducation » et, de ce fait, vous insinuez que les minorités ne reçoivent aucune instruction dans notre pays ?
    Quelle vaste blague ! Non : quelle aberration, quelle mauvaise foi, quelle vision erronée et mensongère de la réalité !
    Mes élèves des cités reçoivent la même instruction que tous les petits français de souche. Leur instruction est gratuite (sans compter les aides et prestations diverses censées aider ces familles mais qui sont systématiquement dépensées pour tout autre chose que l'école…)
    Si, au terme d’un parcours scolaire la plupart du temps désastreux, le corps enseignant se voit contraint de leur proposer une orientation professionnelle en fin de 3ème, c’est qu’on ne peut pas raisonnablement proposer à un adolescent de 15 ans d'envisager de poursuivre des études de médecine alors qu'il n’'a toujours pas daigné apprendre à compter (et à parler correctement le français). Ignorez-vous l’importance de la résistance à l'apprentissage du français dans nos écoles ?
    Le français est pour eux une « langue étrangère », la langue des « mécréants » comme ils aiment à me le répéter.
    Voici le fruit de ma réflexion, après 20 années d'expérience au contact de votre soi-disant « génération sacrifiée » :
    Je suis en première ligne pour témoigner des moyens financiers, humains et techniques mis à dispositions de ces jeunes depuis des décennies (oui, des millions dépensés dans les collèges et lycées pour ces populations).
    Je vous signale, à titre d’exemple, que le collège où je travaille actuellement met à leur disposition permanente 14 TNI d’une valeur totale de 100 000 euros -un dans chaque classe-, deux salles informatiques contenant 50 PC avec connexion internet, une bibliothèque magnifique sur deux étages, des dizaines d'heures de soutien hebdomadaires et tutorats en tous genres (qui coûtent beaucoup d'argent à l'Etat car payés en heures supplémentaires), un service de restauration quasi gratuit, des voyages scolaires (musées, voyages en Espagne, en Italie, en Angleterre et en Allemagne, pris en charge par le foyer socio-éducatif) etc, etc, etc….... Je continue ?
    Les autres enfants de la commune (qui ne vivent pas dans la cité) sont loin d’'avoir ce genre de privilèges.
    Malgré tout, ces jeunes des banlieues (comme vous les appelez) n'ont que la haine de la France à la bouche. Leur seule référence est « le bled ». Leur seul désir : imposer leur culture en remplacement de notre culture nationale. Ils ne s’en cachent même plus : ils le revendiquent comme une fierté.
    Leur communautarisme rend inopérant toute tentative d'instruction et d'intégration.
    Quel que soit le sujet que j'aborde, en Histoire, en géographie ou en éducation civique, je ne rencontre de leur part que mépris et hostilité vis-à-vis de notre passé, de nos valeurs, de notre vision de la démocratie. Je n'ose même plus prononcer le mot « laïcité » en classe, de peur de les voir me vomir dessus ou pire, m’insulter.
    La plupart des collègues ont abdiqué depuis longtemps.
    Hélas, j’ai cru un temps, comme vous, qu'il était possible de leur transmettre connaissances, sagesse et foi en l'avenir de notre communauté nationale.
    J'ai renoncé. Je suis tous les jours confrontée aux discours les plus intolérants qui m'aient été donnés d'entendre : propos haineux à l'égard des Français, des Juifs, des femmes, des homosexuels.… L'évocation du terrorisme fondamentaliste les fait sourire (dans le meilleur des cas) quand ils ne font pas ouvertement, en classe, l'apologie de l'Etat islamique et de la charia.
    Notre Histoire ne les intéresse pas. Ils ne sentent aucun passé, ni aucun point commun avec les « sous-chiens » et les « faces de craie » comme ils nous appellent.


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  • Mélenchon, grand défenseur des travailleurs, n’a jamais eu de vrai boulot ...

    Le grand défenseur des travailleurs Jean-Luc Mélenchon, qui n’a de cesse de donner des leçons à tout le monde, n’a lui-même travaillé, hors politique, que quatre petites années — et encore, en prenant large.

    Jean-Luc Mélenchon fait ses premières armes en politique à Lons-le-Saunier, en mai 1968. À cette époque il n’est que lycéen — en première littéraire — mais c’est lui, racontent ses anciens camarades de classe, qui va importer les évènements parisiens dans son Jura d’adoption.

    C’est lors de cette première expérience politique qu’il va réaliser son indiscutable talent d’orateur et se familiariser avec la pensée d’extrême gauche et notamment Karl Marx qui devient son livre de chevet en terminale. Il passe son bac en 1969 et s’inscrit à la faculté des lettres de l’université de Besançon pour y étudier la philosophie.

    Sitôt inscrit, le jeune Mélenchon se rapproche de l’UNEF et déserte les amphis pour se consacrer au militantisme. Il parviendra quand même à obtenir sa licence en 1972 mais ne poussera pas ses études plus loin : la même année, il entre formellement en politique en rejoignant l’Organisation Communiste Internationaliste (OCI), une organisation trotskyste de tendance lambertiste qui est alors à son apogée.

    La politique à plein temps

    Désormais connu sous le pseudonyme de Santerre, et encore officiellement étudiant, Jean-Luc Mélenchon se consacre à plein temps à ses activités politiques.

    C’est en 1974, avec la naissance de sa fille alors qu’il n’a que 22 ans, que la réalité va le rattraper. Il a désormais charge de famille et le job de surveillante de son épouse ne suffit plus : il va désormais devoir gagner sa vie. Au premier trimestre, il est correcteur pour l’imprimerie Néo-Typo puis, dans la foulée, travaille quelques mois dans l’usine de l’horloger Maty. C’est-à-dire que, sans qu’on ait de dates plus précises, l’intégralité de l’expérience ouvrière de Jean-Luc Mélenchon tient dans une année. Il revendiquera plus tard avoir également travaillé dans une station-service « à la sortie de la ville » sans qu’on en sache plus à ce propos.

    Toujours est-il qu’à partir du premier trimestre 1975, Jean-Luc Mélenchon décroche un poste de pion au lycée technique de Mouchard. Il est embauché en tant que surveillant mais c’est à cette occasion — sans doute grâce à son diplôme de philosophie — qu’il sera amené à donner quelques cours de français à une classe de 23 élèves en qualité de professeur auxiliaire. Voilà pour le passé de professeur de français de M. Mélenchon : ça n’a duré que le temps d’un remplacement d’un an — l’année scolaire 1975-76 — et ça n’a concerné qu’une seule classe.

    Le passage au Parti socialiste

    C’est durant l’été 1976 qu’il déménage pour Montaigu, un petit village à côté de Lons-le-Saunier. Fraîchement radié de l’OCI, Jean-Luc Mélenchon décide de rejoindre les « sociaux-traîtres » et s’encarte au Parti Socialiste où il reprend ses activités de militantisme politique. Las, son contrat de surveillant n’étant pas renouvelé, il doit à nouveau chercher du travail. En octobre 1976, il se fait embaucher comme pigiste aux Dépêches du Jura ou il officiera sous le pseudonyme de Jean-Louis Mula (JLM).

    La liste de l’Union des gauches remporte les municipales de Lons-le-Saunier en mars 1977 mais le PCF y est majoritaire. Afin de préparer les législatives de 1978 et de contrer l’influence communiste, Jean-Luc Mélenchon convainc la toute petite fédération PS du Jura de lancer son propre journal — La Tribune du Jura — dont il devient directeur, journaliste (Jean-Louis Mula) et même dessinateur (Moz). Le premier numéro sort en novembre 1977, le sixième et dernier parait en avril 1978 : il a donc dirigé une feuille de chou politique pendant 5 mois.

    Dessinateur dans un journal catho

    Mais le mois suivant, en mai 1978, on retrouve Moz dans un canard local lequel se trouve être — de façon assez amusante — un hebdomadaire catholique (La Croix jurassienne). Jean-Luc Mélenchon y publiera quelques strips en trois cases, les actualités indiennes, avant de briguer un poste vacant à la rédaction. Las, sa candidature ne sera finalement pas retenue pour des motifs de divergence idéologique et notre futur tribun se retrouve encore une fois sans ressource.

    C’est à ce moment, fin 1978, qu’il se fait embaucher par Claude Germon, le maire de Massy, qui en fait son directeur de cabinet et le lance en politique. Se remémorant cette époque, ledit Germon qui aura, il est vrai, quelques raisons de regretter son choix, a une réflexion quelque peu lapidaire : « Très vite je me suis rendu compte que c’est un garçon qui n’a jamais eu de métier. »

    Quoiqu’il en soit, la carrière politique de Jean-Luc Mélenchon, elle, est désormais bien lancée.

    Donneur de leçons impénitent

    C’est-à-dire que le grand défenseur des travailleurs qui n’a de cesse de donner des leçons à tout le monde n’a lui-même travaillé, hors politique, que quatre petites années — et encore, en prenant large. Il n’a été ouvrier qu’un an tout au plus, ses galons de professeur de français — voire de professeur de littérature — sont très largement usurpés et son glorieux passé de journaliste se résume à quelques piges ou mauvais dessins dans des publications parfaitement confidentielles. Jean-Luc Mélenchon est un pur politicien qui n’a pour ainsi dire jamais rien fait d’autre ; c’est un beau parleur qui, pour reprendre les termes de Claude Germon, ne sait rien faire d’autre.

    Source : http://contrepoints.org


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  • FN Diviser pour mieux régner !FN Diviser pour mieux régner !

    Mesdames ,Mesdemoiselles,Messieurs;
    Marine Le Pen n'a de cesse d'expliquer à tout le monde, qu'elle, contrairement aux autres, ne ment pas, et qu'elle fait peur au système pour ça. Bon, déjà, elle fait peur à personne du tout,surtout pas a moi, car c'est une gamine ou papa lui a tout apporté. Avec elle le patronnât se marre. Et le pire, c'est que la plus grosse blague est là : elle ne ment pas Marine Le Pen ? Jamais ? Oui de quoi rire vraiment !...

    FN Diviser pour mieux régner !

    DONC HIER MATIN DU 21 JUIN 2017

    La présidente du FN qui faisait sa rentrée à l'Assemblée a réagit à la démission de François Bayrou ...Que voulez-vous,fallait bien en placer une pour faire acte à son public,ses fans du peu qu'il lui reste ,oui très peu ?.

    #MARINE LE PEN

    "Il jette François Bayrou comme un vieux torchon. C'est très révélateur de l'esprit du président de la République."

    Madame Le Pen ne manque pas de culot .

    Marine Le Pen moque le "fan-club" de son père qui regrouperait "tous les ramassis, les parias" exclus du FN;
    Paroles de Madame Le Pen que nous en aucun cas, nous avons oubliés "un fan-club regroupant tous les ramassis, les parias et les infréquentables qui ont été exclus du Front"...

    Marine Le Pen : elle hait ses fidèles , "donc renie la France" !.

    Comment elle a fait madame avec ses braves militants et DPS du Canal Historique ,pour biens les remerciés ,elle se moque de qui là !!! ...

    Ça n'excuse pas MLP d'être passé de droite à gauche avec Philippot "gaucho-gaulliste" le destructeur d'une vraie droite nationale. De plus, tout le monde sait maintenant qu'elle n'est plus la patronne du FN, les vrais patrons sont en réalité les énarques de gauche, Philippot et sa "meute " qui se battent pour la gamelle ,ou nous voyons même un clown pour amuser la galerie ,la galerie de pauvre gens innocent, voir inconscient de la situation où qu'ils se trouvent,alors cela les amuse ...

    Le Front national de Marine Le Pen ,est un parti de menteurs. Ils mentent au peuple comme a leurs militants de base , car ils considèrent celui-ci comme une masse d'abrutis facile à convaincre et inapte à analyser un discours. Comment peut-on dire que l'on aime un pays et un peuple, quand on méprise à ce point ce dernier ? Et surtout déjà a la base de traité ses fidèles de ramassis,en voulant dire des "moins-que-rien" de la merde bien entendus ...

    Il est bien clair en effet que Marine Le Pen se voyant perdu a la fin, enfin de tourner en rond avec son encadrement de girouettes qu'ils l'ont bien mijoté sachant bien d'être cuite, suite a cela ,perdu pour perdu, cherche a rassembler l'entourage de Mélenchon,pour une France apaisée avec une France insoumise,enfin quoi ? De faire une bonne salade composée pour mieux accéder au trône ,et après le petit peuple se tapera sur le ventre le 15 /20 du mois comme d'habitude , avec ses fantassins élus par les urnes, qui dure depuis des années ...
    À tout bon patriotique ,donc rien à voir avec Nationaliste (deux positions différentes), il faut des mythes nationaux. Même aux patriotes de façade... Surtout même!... Du coup, puisqu'il s'agit de mentir et de tromper son monde, autant prendre des mythes nationaux totalement inventés par le service de communication du parti. Allez Philippot, au boulot, faire du nettoyage au parti de Jean-Marie et surtout ? Faut réécrire toute l'histoire de France ! Mais bien sûr à sa façon stalinienne ,disons l'inverse de la réalité ...

    La direction du FN De Marine Le Pen , OUI ! C'est un ramassis de technocrates, de grands bourgeois et de vase communicant, alors leurs histoires de nous endormir debout et de pâté en croûte, de rois de France et de danses régionales ,ne croyez surtout pas que ça les intéresse à tous ses clowns qui entourent Marine. Ça ne rentre pas dans leurs calculatrices à sondages,parler leurs plutôt de la gamelle,cela comme les autres les intéresse mieux...

    Le FN déteste l'histoire de France, comme nous l'avons constater que Marine voulait nous positionner comme Premier ministre un gaulliste. Non mais attendez ! ... Il s'en sert comme d'un étendard pour se donner une légitimité bidon. En réalité, tout ça est juste un élément de discours dans la course au pouvoir de madame et leurs fans bureaucratiques. Placez-les dans un cirque,ils feront les mêmes clowns ,dont - il en a un déjà un bon, monsieur Franck la personne ,de quoi faire rire et même en sanglots dans leurs voix ...À vrai dire "De vrais acteurs" ! ...Je vous remercie .Sylvestre Brunaud...


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  • Plus gaulliste que moi, tu meurs


    De Gaulle, le planqué en Angleterre, « le Général radio », bien planqué, et qui vouait une haine incroyable Aux USA dont les soldats se sont fait tuer pour délivrer la France.
    À sa guise pouvant sortir le soir en toute discrétion pour des raisons que nous, nous connaissons dont sont épouse en avait mit un terme a cela, pendant que les Français se battaient et montaient en ligne ...
    Oui, ce soit disant grand homme nous a trahis dont je vais préparer un courrier recommander a la gamine Marine Le Pen pour quelle raison aurait misé sur NDA pour le posté comme premier ministre ? la est la question ? ,Ne pouvant niée l'Histoire de De Gaulle étant donner que son papa a vécu l’existence sous le grand et généreux ,ainsi lui demander quelque petite explication sur monsieur philippot et ainsi de l'avoir accepter comme maître liquidateur de l'enseigne de se partie ..Bref !...
    Bien sûr, c'est l'année 2017 de la fierté du gaulliste, comme beaucoup de gaullistes n'en portent que le nom, pour se donner une image de marque pour se faire valoir, ou plutôt, d'une figure de faux-cul, c'est comme beaucoup de religieux qui eux aussi n'en ont que le nom, mais n'appliquent aucun précepte, bien trop peu, ou n'appliquent pas les principaux. Et s'habillent de petits détails futiles pour revendiquer l’étiquette ...
    À la suite de Napoléon, De Gaulle est devenu le personnage historique préféré des Français ,ils se mettent a genoux sans connaître l'histoire du passée,hélas ! Ou font semblant de l'oublier comme MLP ...De Gaulle lui-même aurait eu cette phrase sur Bastien-Thiry, dont il avait refusé la grâce : « Les Français aiment les martyrs et ce Bastien-Thiry mérite d’en être un. » ...Alors pour ceux qui se revendique du Gaullisme ,chapeau !...
    Le brigadier De Gaulle n’en finira jamais d’expier ses crimes et trahisons… Toute sa vie sera édifiée sur la pile des cadavres de ceux et celles qu’il a lâchement et délibérément abandonnés,voir même dans les prisons civils innocentes cloîtrer par le FLN en Algérie plusieurs années aprés 1962/1963 . Cette homme animé par la rouerie, la jalousie, d’un ego démesuré, et d’une paranoïa incontrôlée, n’a jamais cessé de trahir et de mentir, ceux qui n’ont pas compris rapidement son jeu criminel, ont été ignominieusement éliminés, la liste de ses victimes est très longue, n’oublions pas qu’il fut, en cachette de ses alliés, le comparse du camarade Staline, dont il facilita beaucoup de tâches criminelles….
    Sa déroute précipitée, moins d’un an après son incroyable retournement de situation de la fin mai 1968, a parachevé le mythe De Gaulle. Sans Waterloo puis Sainte-Hélène, il aurait manqué beaucoup pour que se construise la légende napoléonienne. C’est ainsi, notre peuple a conservé cette part de romantisme, ce sens de l’épopée. Nos candidats, conscients du peu qu’ils ont à offrir d’eux-mêmes comme Marine Le Pen de dernière minute avec NDA pour faire rêver les électeurs, ou même des pieds-noirs tournant leurs vestes que la veille crachant sur cet homme ... , Comme MLP ont donc intérêt à se parer du seul ornement royal que tolère la République. Le temps d’un mot, d’une phrase, ils coiffent le képi bi-étoilé et comme chacun d’eux en fait autant, l’effet s’annule. Somme faite de toutes choses ... Je vous remercie ... Sylvestre Brunaud ...

     


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