• Pourquoi De Gaulle n'a jamais commémoré le 6 juin

    Celui dont le tout un chacun du sérail politique s'arrache la filiation l'a clairement expliqué selon Peyrefitte qui reprend dans son ouvrage, ces paroles suivantes du général De Gaulle : 

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    A bon entendeur de la cohérence intellectuelle, salut!

    http://lesalonbeige.blogs.com


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  • Katz, criminel de guerre

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    Joseph Katz, le bourreau d'Oran  (1907 - 2001)

    Libres propos

    « Et ton nom paraîtra dans la race future, aux plus cruels tyrans, une cruelle injure ! » (Racine)

    En ce début d’année 1962, l’OAS était arrivée à l’apogée de sa puissance et le slogan « l’OAS frappe où elle veut, quand elle veut », n’avait jamais été aussi vrai. A Oran, elle était maîtresse de la ville. A sa tête figurait des noms prestigieux comblés de gloire et d’honneurs qui entretenaient un climat de confiance malgré le tragique de la situation…

    Le gouvernement gaulliste ne pouvant admettre pareille humiliation, avait nommé à la tête du secteur autonome d’Oran, afin de réduire cette « OAS narguante » – et pour le malheur des Oranais – le 19 février 1962, le général Joseph Katz en remplacement du général Fritsch qui refusait de pratiquer sur les membres de l’OAS cette besogne de basse police qu’était la torture. La mission de Katz : « Mettre au pas la ville sous contrôle de l’OAS ». Celle-ci était alors dirigée par les généraux Jouhaud et Gardy, le colonel Dufour, le commandant Camelin, le lieutenant de vaisseau Pierre Guillaume, Charles Micheletti et Tassou Georgopoulos.

    En bon exécutant, Katz, s’apprêtait à écraser ceux qui refusaient d’obéir aux ordres de l’Elysée et ceux qui persistaient à crier « Algérie française ! », maxime désormais classée comme « cri séditieux », ajoutant aux vertus de l’obéissance passive, une haine que même le règlement de la gendarmerie ne prescrivait pas. Car Katz n’était pas un soldat comme les autres. C’était une sorte de prolétaire patrouillant avec délice dans la hiérarchie militaire, un ancien gardien de vaches bousculant les usages et les convenances. Carré d’épaules, rond de ventre, aussi peu distingué que son complice d’Alger, Debrosse, outre celle de leur cruauté, on leur prêtait une certaine ressemblance : même corpulence massive, même front de taureau, même manie de traiter tout le monde de « con » ou de « bon à rien », même dénuement de préjugés.

    Katz était un militaire républicain que De Gaulle avait cueilli à Bordeaux pour l’envoyer mater la « racaille d’Oran ». Son sentiment à l’égard des Pieds Noirs était celui-ci : « Un ramassis de descendants de déportés de droit commun, de négriers qui veulent conserver leurs privilèges. ». Cet homme, arrêté en mai 1958 pour avoir soutenu Pflimin, c’est-à-dire la République pure et dure, avait obéi parce qu’en 1962, la République, c’était De Gaulle… et l’assurance d’une foudroyante promotion. Encore un spécialiste du « retour de veste ».

    Alors qu’à Alger, depuis la sanglante affaire des Barricades, on avait surnommé Debrosse : « Le sanguinaire », très vite, aux yeux des Oranais, Katz allait devenir « Le boucher ». Pour briser toute résistance, la première consigne qu’il donna à sa troupe essentiellement constituée de « gens sûrs », en l’occurrence les Gendarmes Mobiles, dits « les rouges » fut celle de tirer à vue sur tout Européen qui aurait l’audace de paraître sur une terrasse ou un balcon lors d’un bouclage. « Le feu – précisa-t-il – sera ouvert sans sommation sur les contrevenants à partir du 23 avril. De même, le feu sera ouvert, par tous les moyens y compris l’aviation, sur les éléments OAS circulant en ville. ». C’était ratifier une pratique que les « gendarmes rouges » utilisaient déjà depuis un mois…

     Gendarmes mobiles ("les rouges")abordant le drapeau en signe de <<victoire>>. La honte ne recule pas ,elle s'encaisse !

    Les premières victimes du « boucher d’Oran » furent deux adolescentes de 14 et 16 ans : Mlles Dominiguetti et Monique Echtiron qui étendaient du linge sur leur balcon. Elles furent tuées par les gendarmes. Les projectiles d’une mitrailleuse lourde de 12/7 traversèrent la façade et fauchèrent dans leur appartement, Mme Amoignan née Dubiton, dont le père était déjà tombé sous les balles d’un terroriste du FLN, ainsi que sa petite fille, Sophie, âgée de deux ans et demi et sa sœur, Frédérique, âgée de treize ans qui, atteinte à la jambe, eut le nerf sciatique arraché et dut être amputée. « Il est beau qu’un soldat désobéisse à des ordres criminels » ; à l’évidence, ces soldats par trop zélés n’avaient pas lu Anatole France…

    Toutefois, tirer à vue sur tout ce qui bougeait ne semblait pas briser la résistance oranaise. Alors, « en désespoir de cause », Katz demanda à son officier de liaison Air, le colonel Grégoire, d’étudier les possibilités d’armement des bombardiers B-26 avec des roquettes et des bombes de 260 livres.

    Le général Hautière, commandant de l’aviation en Oranie, protesta avec vigueur bien que ses sentiments anti-OAS ne fussent pas douteux. Bombarder une ville de quatre cent mille âmes avec un tel armement, cela relevait de la monstruosité, du machiavélisme le plus immoral, ou tout simplement… de la folie. Cependant Katz insista tant et si bien qu’à titre expérimental une mission fut toutefois déclenchée. Lorsque l’aviation se trouva au-dessus de l’agglomération, ordre lui fut donné de ne tirer qu’à la mitrailleuse et de larguer ses bombes au-delà de l’objectif, dans la mer. Le vacarme fut tel que le « brave général » en aurait, paraît-il, pâli !…

    Cette lutte « impitoyable et par tous les moyens », selon l’ordre donné par de Gaulle, faisait partie d’un plan mûrement concerté : IL FALLAIT ABATTRE L’ALGERIE FRANÇAISE ; il fallait aussi montrer aux masses musulmanes, longtemps hésitantes, qu’elles devaient maintenant et définitivement, opter pour le FLN dont la France était désormais l’alliée, luttant, avec ce mouvement terroriste, contre l’ennemi commun : LE FRANÇAIS D’ALGERIE ! Et cette alliance n’avait aucune limite, ne souffrait d’aucun scrupule dès lors qu’elle permettrait de venir à bout de l’OAS… Pour preuve : au mois de mai 1962, la gendarmerie « blanche » arrêta un assassin de la pire espèce, Slémani Slimane, qui reconnut avoir torturé et tué vingt-sept Européens. Il fut inculpé. Katz le fit libérer et rapportera que ce dernier « lui rendra de grands services dans les jours les plus agités ».

    S’adressant à un membre de l’Exécutif Provisoire, Katz eut ces mots terribles :

    « Donnez-moi un bataillon de l’ALN et je réduirai l’OAS à Oran ». Ces propos, monstrueux et inqualifiables de la part d’un officier français firent l’objet d’une question à l’Assemblée nationale (JO du 8 mai 1962 – page 977).

    Ce « bataillon de l’ALN », Katz allait néanmoins se le procurer –avec l’assentiment discret de l’Elysée- en procédant au recrutement de la plus immonde espèce d’assassins qui eut été donné de voir…

    Ce renfort était constitué par les « martiens », ces révolutionnaires du mois de mars, qui, le cessez-le-feu prononcé, venaient sans danger rejoindre les rebelles. Ils étaient les combattants de la dernière heure, impatients de fêter dans le sang leur baptême de « libérateurs » et de se parer d’états de service de pillages et de tueries à faire pâlir le plus chevronné des assassins. Leur unique but était de se faire prévaloir et surtout de faire oublier qu’ils s’étaient abstenus de combattre durant sept années, attendant de connaître l’issue des armes pour se ranger du côté du vainqueur. De ce fait, ils étaient devenus les plus sanguinaires : exactions, tortures, viols, massacres d’Européens et de harkis se multipliaient, mais on n’en parlait pas. Leurs bandes anarchiques allaient être à l’origine du pogrom anti européen du 5 juillet…

    Au hasard des rafles qui avaient lieu, le jour dans les rues, la nuit dans les maisons, les Européens étaient entassés dans des camions de CRS ou de Gardes mobiles et promenés, enchaînés, dans les quartiers arabes pour y exciter la foule et montrer comment la France traitait ses ennemis. Pareille épreuve fut même infligée à l’Inspecteur Général des Ponts et Chaussées, venu à Oran pour le fameux plan de Constantine !

    La fraternisation entre Gardes mobiles et FLN était sans retenue : le soir, les premiers étaient généreusement pourvus en prostituées envoyées par les seconds. On ne peut, dès lors, s’étonner de l’attitude passive qui fut celle de Katz et de ses gendarmes lors de la tuerie du 5 juillet 1962 à Oran… Sur ce point, rappelons cette anecdote impliquant un officier français d’origine algérienne, le lieutenant Rabah Kheliff qui commandait la 4e compagnie du 30e BCP (30e Bataillon de chasseurs portés). Le 5 juillet 1962, celui-ci, apprenant que des civils européens étaient regroupés en divers points de la ville d’Oran, dans l’attente d’être exécutés, il décida de passer outre les ordres de Katz de ne pas intervenir et de se porter à leur secours. Il prévint par téléphone son colonel, qui répondit : « Faites selon votre conscience, quant à moi je ne vous ai rien dit »

    À la tête de la moitié de sa compagnie, le lieutenant Kheliff gagna un des points de regroupement, devant la préfecture. « Il y avait là une section de l’ALN, des camions de l’ALN et des colonnes de femmes, d’enfants et de vieillards dont je ne voyais pas le bout. Plusieurs centaines, en colonnes par trois ou quatre, qui attendaient là avant de se faire zigouiller (sic) ». Le lieutenant Kheliff exigea et obtint du préfet, Souiyah El Houari, leur libération. S’étant quelque peu éloigné de son détachement, il fut lui-même pris à partie et blessé par des civils algériens, puis dégagé par ses hommes, à qui il interdit d’ouvrir le feu. Après quoi, il établit des patrouilles sur les axes routiers menant à l’aérodrome et au port pour « arracher littéralement » des malheureux des mains de leurs agresseurs.

    A la suite de cet acte héroïque, il fut mis aux arrêts de rigueur, et convoqué par Katz qui lui adressa ces mots terribles : « Si vous n’étiez pas arabe, je vous casserais ! ».

    Katz échappera cependant à plusieurs attentats dont celui qui, le 14 juin 1962, coûtera la vie au général Ginestet, commandant alors le corps d’armée d’Oran, que les auteurs de l’attentat confondirent avec Katz (terrible méprise qu’ils paieront de leur vie). Dès le lendemain, le « boucher d’Oran » obtiendra ce commandement.

    La « victoire » acquise, l’indépendance accordée à ses alliés, KATZ quitta Oran pour la Métropole le 13 août 1962, après avoir fait l’objet, le 4 août, d’une citation à l’ordre de l’armée comportant l’attribution de la Croix de la Valeur Militaire avec palme pour, entre autres, « avoir su rétablir et préserver avec force et dignité l’autorité légale et l’ordre public »… décoration qui lui sera remise par le Ministre des armées, Pierre Messmer. Une nouvelle étoile vint également rappeler ses « bons et loyaux services ». De Gaulle savait payer ses séides !…

    Nommé fin 63 à la tête de la 4e Région militaire (Bordeaux), il quitta le service armé début 1968 avec le grade de général d’armée (5 étoiles).

    En 1978, ayant gagné une retraite « bien méritée », il briguera un mandat parlementaire. Quel groupe pouvait lui accorder son investiture ? Le parti gaulliste, l’UDR, évidemment. Dans l’Allier où il se présenta, il subit un cuisant échec. Les Pieds Noirs installés dans le Bourbonnais se rappelèrent à son souvenir et eurent la gentillesse de lui offrir, à Gannat, un drapeau tricolore sur lequel était inscrit en lettres de sang :

    « A Katz, bourreau d’Oran »

    D’autres affronts lui seront octroyés et, entre autres, celui-ci : Katz assistait à une messe officielle à Saint Jean de Luz (64). A la sortie, une jeune fille, métropolitaine de surcroît, réussit à lui parler :

    « Général, je viens de communier et de prier pour vous ». Katz, interloqué, la remercia toutefois et lui demanda les raisons de sa touchante attention : « J’ai prié pour que le Seigneur vous pardonne tous vos méfaits… » Dès le lendemain, la Sécurité Militaire enquêtait pour identifier la jeune insolente…

    Une plainte pour « complicité de crime contre l’humanité et obéissance à des ordres criminels » fut déposée le 16 octobre 1999 entre les mains du doyen des juges du Palais de Justice de Paris au nom de 47 familles des victimes du massacre du 5 juillet à Oran ainsi que du Comité VERITAS. Cette plainte fut déclarée irrecevable mais suivie d’une décision par le juge de non informer. Un appel de cette décision n’aura pas de suite en raison du décès du « Boucher d’Oran » intervenu le mardi 6 mars 2001 à Amélie-les-Bains (66). Rejeté par ses pairs, il finira ses jours, seul, et sa famille choisira de l’inhumer au cimetière de Rosas, en Espagne. –

    « Rien d’humain ne battait sous son épaisse armure » (Lamartine)

    « Pour la honte éternelle de la France, De Gaulle s’est comporté envers la population profrançaise d’Algérie –aussi bien d’origine européenne que d’origine musulmane- comme s’il s’agissait de criminels et il a autorisé d’incroyables atrocités perpétrés contre elle par la gendarmerie mobile, tandis que dans le même temps il ordonnait à l’armée de ne pas gêner les sévices, les enlèvements et les massacres du FLN. » (Thomas Molnar – Journal National Review, septembre 1962)

    « Les Justes meurent comme des chiens ; les crapules ont leur chance. C’est un monde totalitaire déserté par toute transcendance. Le Mal n’y est pas un scandale mais la règle commune  » (Commandant Hélie Denoix de Saint Marc)

    José CASTANO


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  • Article Publié Le 09/11/2015 
     
    A LA DEMANDE D'UN LECTEUR
     
    Le FN utilise une jeune fille en voile intégrale pour son affiche des régionales en Ile-de-France

    Le Front National (FN) vient de dévoiler ses affiches pour les régionales. Surprise ! Le parti d’extrême droite utilise une jeune fille voilée dans son affiche de campagne en Ile-de-France. La presse craint la polémique, mais le FN se veut rassurant.

    DR

    Intégralement voilée, on ne voit que ses yeux. La jeune fille est celle choisie pour représenter la femme musulmane des banlieues parisiennes dans l’affiche de campagne du Front national (FN) en Ile-de-France (IDF) pour les élections régionales qui auront lieu du 6 au 13 décembre prochain. A côté d’elle, une autre jeune fille -qui est en fait la même- arborant un bonnet rouge avec le drapeau français peint sur ses deux joues.

    Au-dessus de leurs deux têtes, un message : «Choisissez votre banlieue». «C'est le choix entre la nation et le communautarisme», explique la tête de liste FN en IDF Wallerand de Saint-Just en conférence de presse ce lundi, avant de twitter: «Une femme opprimée comme on peut en voir dans nos banlieues face à une jeune femme libre: notre choix est fait!».

    Face à la caméra de France 3, son directeur de campagne Aurélien Legrand explique justement que la jeune fille voilée représente la Française de banlieue «rattrapée par la soumission et l’islamisme radicale qui se développe de plus en plus dans ces quartiers difficiles», tandis que la jeune fille en bonnet rouge est le symbole de la liberté.

    La presse craint la polémique qui pourrait émaner de l'interprétation des images choisies par le Front et du message véhiculé. Mais Legrand se veut rassurant. D'après lui, «l’affiche n’est pas forcément polémique» et n’est que le reflet d’une réalité «reconnue et vécue par un grand nombre de Français.

    Avec cette campagne spéciale banlieues, le FN entend «rétablir l’ordre et la justice dans ces quartiers» où «la déchéance de l’Education nationale poussent les familles à fuir». L’affiche est assortie d’un tract distribué aux habitants avec un «encart» destiné aux Français de confession musulmane, qui selon la tête de liste FN se détachent du parti socialiste (PS).

    Les politiques n’ont, pour l’heure, pas encore réagi à l’affiche du FN qui, de prime abord, semble établir une stigmatisation claire des musulmans. Et dire que le parti dirigé par Marine Le Pen est intéressé par les électeurs français de confession musulmane, pas sûr que ces derniers apprécient la communication du Front National...

    https://www.yabiladi.com


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  • La guérillas prend forme sur toute l'Europe

    Par :Pieds Noirs 9A..

    Article N°3130 du dimanche 04 juin 2017..

                ATTENTAT DE LONDRES .

    La guérillas prend forme sur toute l'Europe

    L'assaillant était un "Britannique" ? de 52 ans

    Le déni de ce maire est juste hallucinant, le lendemain d'un attentat ,voir dire que sa ville est la plus sure du monde !...

    C'est beau le vivre ensemble promis par les collabos de la collabo-sphère-socialiste !. Manquait plus aux Anglais que le soutien d'Hollande, l'homme qui a déboussolé la France a la Charlie et que cela a était suivit par de bonnes âmes...

    Les politiques, ils ont que cela a dire,rien de plus concret.
    ""Face à cette nouvelle tragédie, la France est plus que jamais aux côtés du Royaume-Uni. Mes pensées vont aux victimes et à leurs proches. (Macron)""
    ""Jean-Claude Juncker, président de la Commission européenne, a écrit: « Je suis avec horreur les derniers événements de Londres. Pensées et prières sont avec les victimes et leurs familles ».""Et j'en passe et des pas mûres ! ... Des mots, toujours des mots, des pensées de nos politiques, de la solidarité dans la douleur, comme s'il était possible de vivre la douleur de l'autre et puis après ?... Rien ! ...

    Qu'ils gardent le double de leurs beaux discours, ils peuvent les reprendre la prochaine fois, tant que tous les bien-pensants ne voudront pas que l'on appelle cela la guérilla, que l'on prenne de vraies dispositions. Cela se reproduira encore et encore,tant que les Européen prendront pitié d'eux, de dire les pauvres, ils fuient la guerre ,ils fuient rien du tout,ils se jette sur la ruée vers l'or social ou qu'il fait bon vivre sur le dos de l'autre ,voulu d'ailleurs par la voie du socialo-communiste ,comme on se rappelle de la "solution Poutou" en France de désarmer les policiers, ça laisse rêveur sur la totale inanité de certaines propositions de collaborations politiques...

    Quand va-t-on enfin réagir efficacement contre ce fléau qui est le l'envahisseur de terrain ? . On va encore recommencer a pleurer, a défiler, a commémorer, a pardonner , de repentance en repentance contre soit ,a dire que nous devons continuer a vivre comme avant ? Comment encore vivre comme avant ? . On l'a dit et répéter combien de fois que ce qui se passait-il y a plus de 55 ans allaient se reproduire. Et pourtant, la politique de l'autruche a, continue a servi. Et de prendre les honnêtes gens pour des imbéciles. Quand, mais quand va-t-on s'attaquer à la racine du mal ? ...

    Maintenant au peuple assourdi, de nature faible, que nous n'avions pas fini de pleurer, cela se reproduira encore et encore ... Tant qu'ils inviteront des étrangers et de leur fournirent de papier à chiotte, et tout ce beau monde accueillis à bras ouvert, et même d'en prendre chez eux. Qui en veux encore, a tous les lâches collabos donnés votre adresse... 
    Allez... Pour ceux ?. On va chercher les bougies et on attend le prochain...

    Car « Les fleurs et les bougies, c’est pour nous protéger ».Pieds Noirs 9A..


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