•  Un parti ou a chaque jour sa messe !Par: Pieds Noirs 9A..

    Un parti où a chaque jour sa messe !

    Marine et sa clique mènent le FN à sa perte ,pour ma part, je n'en donne pas lourd aux prochaines élections, voir de nombreuses carte d'adhésion seront invendu les mois qui suivront leurs façons de prendre les militants pour des imbéciles...

     Un parti où a chaque jour sa messe !

    Quand je lis sur Philippot dans la presse française qu'il aimerait bien boire un café avec Mélenchon pour discuter, je me dis que le FN  Marionnettiste est descendu bien bas, imaginons-nous à l'époque que Jean Marie Le Pen prendre le petit déjeuné avec George marchais ? Ou voir un Mao. Enfin, je ne le pense pas... Quoi qu'il arrive terminé le vote pour moi, en ce qui me concerne pour ses dirigeants-là ? ...
    D'ailleurs nous connaissons parfaitement bien monsieur Philippot et de son engagement personnel d'homme de gauche,et ce qui est le pire et de prendre le frère par Marine au sein de l'entreprise,de quoi rire vraiment,croyant quoi la patronne,de couper les oreilles en pointe d'un âne,pour en faire un cheval de course ...Oui, madame la baronne ! ...
    Mais au fait, quel âge a-t-elle Marine ? Bonne question !...

    Pieds Noirs 9A..


    votre commentaire
  • RÉPONSE D’HENRY DE LESQUEN À VALEURS ACTUELLES

    Réponse d’Henry de Lesquen à Valeurs actuelles

    L’article non signé que vous m’avez consacré dans le numéro de Valeurs actuelles du 13 juillet 2017 au sujet de mon départ de Radio Courtoisie ne contient pour ainsi dire rien d’exact, si ce n’est que j’ai quitté Radio Courtoisie. Il est regrettable que vous ne m’ayez pas interrogé pour vérifier vos informations. Ce procédé est indigne d’un journal qui se veut sérieux.

    Je me dois de rétablir la vérité.


    1. Contrairement à ce que vous écrivez, je n’ai jamais tenu de propos « racistes ou antisémites ». Attaché aux principes de la république, je réprouve la haine raciale comme toute forme de haine sociale. Je ne suis pas plus raciste que le général de Gaulle, qui a déclaré : « Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne. » Ce genre d’accusations est déplorable parce qu’il divise la droite et fait le jeu de la gauche.
    Je n’ai jamais été poursuivi en justice pour ce que j’ai dit à l’antenne de Radio Courtoisie. Je ne l’ai été, à deux reprises, que pour des tweets, billets de 140 signes, que l’on a prétendu racistes, ce que je conteste catégoriquement. J’ai été relaxé dans l’une des deux affaires, tandis que j’ai fait appel de la condamnation prononcée en première instance dans l’autre : je suis donc présumé innocent, et, de surcroît, déterminé à faire prévaloir mon bon droit et à défendre la liberté de pensée.


    2. Par 6 voix contre 5, je n’ai pas été réélu au conseil d’administration de Radio Courtoisie lors de l’assemblée générale qui s’est réunie le 1er juillet 2017. Mon mandat d’administrateur et, par voie de conséquence, celui de président, se sont achevés le 12 juillet 2017.
    Il est absolument faux que l’assemblée générale ait voté la révocation ad nutum du président, comme vous l’écrivez à tort. Elle a seulement mis fin par anticipation, dès le 1er juillet 2017, quelques jours avant le terme du 12 juillet, au mandat des six administrateurs sortants, dont je faisais partie. J’ajoute que cette délibération, qui a été votée dans une grande confusion, est nulle et non avenue, car elle n’était pas à l’ordre du jour. Les statuts de l’association sont formels à cet égard.


    3. Ma fonction de directeur d’émission était indépendante de mon mandat de président de Radio Courtoisie. On n’a donc pas « débranché le micro du président », comme vous l’écrivez élégamment. C’est moi qui ai décidé de mon propre chef, le 3 juillet 2017, d’abandonner mon libre journal du lundi soir, en donnant à l’antenne l’explication de mon départ.


    4. Il est faux, absurde et calomnieux d’affirmer que j’aurais commis une faute, a fortiori une faute grave, en dissimulant la procédure de sanction administrative engagée par le CSA à l’encontre de Radio Courtoisie le 21 décembre 2016, laquelle, au demeurant, avait été rendue publique le jour même par une dépêche de l’AFP. En vertu de nos statuts, c’est au président et à lui seul qu’il appartenait de traiter la question, agissant en la matière de sa propre autorité. Je n’étais pas tenu d’en rendre compte à quiconque. Cependant, par courtoisie, j’ai informé en permanence et en détail le secrétaire général de l’association, qui était alors Dominique Paoli, de tout le déroulement de la procédure.
    Il est en outre idiot et faux d’affirmer que l’assemblée générale aurait dû se tenir le 15 juillet 2017, alors que le mandat des administrateurs s’achevait le 12 juillet. La date du 1er juillet avait été fixée à la demande du secrétaire général, Dominique Paoli, dès le mois d’avril, bien avant que le CSA nous ait convoqués à l’audience du 5 juillet.


    5. Du reste, il n’y avait pas lieu de monter en épingle ladite procédure de sanction, qui pouvait tout au plus aboutir à une petite amende. Je précise en outre que le CSA n’est pas un tribunal : il ne prononce pas de « jugement », comme vous l’écrivez à tort, mais une simple décision administrative, qui peut comporter une sanction, mais non une « condamnation ».
    La seule préoccupation que l’on pouvait avoir à cet égard, c’est que la démarche du CSA portait une grave atteinte à la liberté d’expression et relevait d’une intolérable police de la pensée. Il suffit pour s’en convaincre de prendre connaissance des propos incriminés, que j’ai mis en ligne sur Internet.

    Henry de Lesquen

    Président du Parti national-libéral


    votre commentaire
  • L'injustice contre les Français !

    Par: Pieds Noirs 9A..

    Article N° 3045 du jeudi 20 juillet 2017.. 

    L'injustice contre les Français !

     

     

    Mes chers lecteurs ;

    Aujourd’hui la France est en danger !Résultat de recherche d'images pour "les Français regardent les trains passer"
    Les Français sans réagir, regardent ces gens détruire notre pays sans essayer de réagir, comme regarder un train passer ...

    C’est ce que devient notre pays, une terre pour gens venus de loin profiter de sa générosité,de son confort a moins coût .

    On peut le salir, le souiller, lui cracher dessus ce n’est pas grave cela vient de nos « chances pour la France ». Ces Français de papiers aidés par les traîtres de droite comme de gauche ,de se permettent en France, ce que nulle part on ne laisserait faire. Faites cela en Algérie ou Tunisie ,Turquie seulement cinq minutes ...

    Malgré le fait que la France les a nourris, leur a donné une éducation, ces Français administratifs continuent exactions sur exactions. Seuls nos gouvernants de succession en succession ont inculqué aux Français de s'allonger pour mieux accueillirent la misère du monde .Mais voilà ce n'est pas n'importe qu'elle misère ,car celle que nous réceptionnons ,seront des futurs combattants pas pour la cause d'autrui,mais pour leurs causes à eux, dont au départ par les caisses et les associations pour mieux leurs permettent à occuper le sol, alors nous ?Nous regardons par les vitraux de notre bergerie passer les jeunes loups , sans savoir que pour nos pauvres petits Français de France (Charlie et les sans dents) que ce sont uniquement des chacals du désert, sans un mot, sans avoir aucune réaction croyant que cette jeunesse va apporter de l'eau au moulin, bien ma foi ,pour eux déjà pas capable en ayant les mains dans les poches .savoir ou plutôt par vouloir développer leurs pays ,même à faire des puits, cela étant vrai qu'à entendre dire que la colonisation par toutes les politiques que cela étant une défaite ...

    En moi je constate demain que le bon vouloir de ce vivre ensemble finira parfaitement bien pour les Français, enfin bien ,vous me comprenez j'espère ?...De toute manière en France il y a plus étrangers que de Français comment voulez-vous que l'on sent sorte .Moi je ne comprends pas le fait que les pays arabo-musulmans représentent plus de 50 millions de km carres et ils viennent ici nous piétiner le sol français ! .Oui Chercher l'erreur !.Enfin l'erreur et précise ,c'est vraiment la faute des Français déjà à la base pour avoir paix et vacances ...

    Comme pour les manifestation qu'ils font sur notre propre sol Français  ,qu'ils aillent ailleurs qu'en France ,tous ses pays arabe ou musulman, sont en guerre depuis des années, la paix, ils ne connaissent pas, à par tout détruire ,ils trouvent toujours quelque chose pour se taper dessus et créer des attentats pour gagner du terrain ,une façon d'agrandir la terre d'Islam . Qu'ils retournent dans leurs pays et qu'ils y restent. La France n'a pas besoin de tous ses gens qui ne pensent qu'à tuer et prendre le pouvoir...Donc un grand ras le bol de cet islam qui nous impose sa volonté, vacances de la Toussaint en automne, de Pâques en printemps, sans parler de nos sapins de Noël, de nos crèches, de nos cantines scolaire et même en industries ,et certaines de nos banlieues, etc... Pieds Noirs 9A..


    votre commentaire
  • 17 octobre 1961 : Arrêtons les

    mensonges !!!!!

    L'AURORE.overblog.fr -:-:-:-:-:-:- par Manuel GOMEZ           Par:Emmanuel Gomez .

    17 octobre 1961 : Arrêtons les mensonges !!!!!

    Chaque année, le 17 octobre, on nous sert le même mensonge d’Etat, la même désinformation, la même falsification.

    **17 octobre 2014 c’est la chaine « ITélé » qui en remet une couche.

    **18 octobre la presse algérienne emboite le pas par le biais d’ « El Watan » et titre :

    "Un crime d’Etat en attente de reconnaissance officielle !!!

    Que le nouveau président de la République, François Hollande, ait déclaré, en 2012, "que les Algériens qui manifestaient pour leur indépendance ont été tués lors d’une sanglante répression".

    Rendant ainsi, 51 ans après, un hommage à la mémoire des victimes !

    Cela ne suffit-il pas aux Algériens ?

    Je rappelle toutefois qu’il s’agissait d’une manifestation interdite, car organisée par le FLN, ennemie de la France (à l’époque) puisque c’était la guerre d’Algérie. Avec couvre-feu obligatoire imposé par le préfet de police Maurice Papon.

    Qu’en 1962, en pleine floraison socialiste, les sénateurs ont voté la résolution reconnaissant la répression du 17 octobre 1961

    **Les 174 sénateurs qui se sont donc prononcés s’appuyaient sur des sources fantaisistes, notamment l’enquête « bidon » publiée par Jean-Luc Inaudi et des témoignages de sympathisants de l’indépendance, qui estimaient ces morts à 300 et plus de 2300 blessés.

    Fort de cette reconnaissance officielle du Sénat, le président de la république rendait hommage à ces soi-disant victimes en jetant l’une de ses dernières roses dans la Seine.

    **Cela ne suffit encore pas aux Algériens !

    **À l’époque j’appartenais à la rédaction du quotidien « L’Aurore » et j’ai enquêté dès le lendemain auprès de la morgue et des services hospitaliers, également auprès des établissements et des riverains qui longeaient la Seine.

    J’ai accompagné le colonel Raymond Montaner, commandant de la Force Auxiliaire des Harkis de Paris, dont le rôle principal était la protection des Algériens de la région parisienne contre les exactions du FLN, qui a enquêté en compagnie de ses deux adjoints le capitaine de Roujoux et le lieutenant Champsavin et voici le résultat absolument vérifiable de ses conclusions :

    Il n’y eut cette nuit du 17 octobre aucune intervention anormale des pompiers parisiens, ni de police secours, ni de la croix rouge, ni d’aucun service d’ambulance. -Aucun service d’urgence des hôpitaux de Paris et de la banlieue n’a reçu un afflux anormal de blessés. -2300 blessés en une seule nuit cela laisse pourtant des traces, non ? Toutes les urgences et même les cliniques privées auraient dû être totalement débordées.

    Où sont donc passés ces 2300 blessés ? Disparus comme par magie ! Il paraîtrait qu’ils auraient été jetés dans la Seine en même temps que les 300 morts ! L’enquête auprès des barrages en aval de Paris n’a révélé aucune découverte de noyés. Pourtant 300 corps ne se dissolvent pas dans l’eau de la Seine. Les berges sur des kilomètres auraient dû être parsemées de cadavres mais aucun riverain n’en a signalé !! Peut-on d’un coup de baguette magique escamoter plus de 200 cadavres ?

    Si l’on conteste ces chiffres que l’on nous donne les noms des 200 morts et plus, si 2300 blessés sont passés par les services hospitaliers les traces existent, qu’on nous les communique.

    Le rôle d’un Président de la République est de défendre l’honneur de la France et non de l’avilir.

    Alors messieurs nos gouvernants, messieurs les sénateurs, parlementaires, Français et Algériens, voici la liste officielle des cadavres « non identifiés » reçus à l’Institut Medico-Legal entre le 18 et le 21 octobre 1961 :

    -Le 17 octobre 1961, alors que se déroulait dans Paris un soi-disant massacre, l’Institut Médico-Légal (la Morgue), n’a enregistré aucune entrée de corps de « NA » (NA= Nord- Africain dans la terminologie de l’époque).

    -Le 17 octobre 1961, de 19h30 à 23 heures, il n’y eut qu’une seule victime dans le périmètre de la manifestation, un Français nommé Guy Chevallier, tué vers 21h devant le cinéma REX, crâne fracassé. Par qui ? -

    En dehors du périmètre de la manifestation, « seuls » 2 morts furent dénombrés, Abdelkader Déroues tué par balle et retrouvé à Puteaux et Lamara Achenoune tué par balle et étranglé, gisant dans une camionnette, également à Puteaux. Rien ne permet de dire qu’ils furent tués par les forces de l’ordre, puisque la manifestation ne se déroulait pas à Puteaux.

    -Le 18 octobre, à 04 heures du matin, le bilan était donc de 3 morts.

    Nous sommes donc loin des 200 à 300 de morts. Mais, nous dit-on, les cadavres ont été déposés à la morgue les jours suivants.

    C’est absolument faux !!!

    **Les archives de l’Institut Médico-Légal de Paris affirment qu’entre le 18 et le 21 octobre, 4 cadavres de « NA » seulement furent admis à la Morgue :

    - Le 18 octobre, Achour Belkacem tué par un policier invoquant la légitime défense et Abdelkader Benhamar mort dans un accident de la circulation à Colombes.

    - Le 20 octobre, Amar Malek tué par balles par un gendarme.

    - Le 21 octobre Ramdane Mehani, mort dans des circonstances inconnues.

    Mais ceux qui nous gouvernent sont sans doute persuadés que les médecins légistes et les fonctionnaires d’état ont été « payés » ou ont subis des pressions afin de « dissimuler » ces 200 à 300 cadavres…et que depuis plus de cinquante ans ils se taisent !!

    Ces archives inscrivant les « entrées de corps « N.A » (Nord-africains) par jour » nous apprennent également que pour tout le mois d’octobre 1961 » les 90 corps enregistrés par l’Institut Médico-Légal, étaient, pour la plus part, des victimes du FLN. Et que pour la totalité de l’année 1961, 308 cadavres de « N.A » sont passés par l’IML, la plupart exécutés par le FLN dans sa guerre contre les Messalistes. Sur ces 308 cadavres de « N.A », 34 retrouvés dans la Seine ou la Marne notamment étaient des harkis, des partisans de la France, ou des membres du MNA, une des méthodes d’assassinat du FLN consistant à noyer ses opposants.

    Et surtout que ce sont ces mêmes « assassins » du FLN qui étaient les organisateurs de cette manifestation « pacifique ».

    Ces chiffres cités dans mes livres et mes articles n’ont jamais été contestés.

    Monsieur le Premier Ministre, vous êtes, je le pense, un homme sincère. Votre ministre de l’Intérieur possède tous les documents officiels concernant la manifestation interdite du 17 octobre 1961. Ne pensez-vous pas que votre devoir est de tenir informer le Président de la République, les parlementaires, les sénateurs et, bien sûr, les Français, sur le nombre véritable de victimes lors de cette manifestation de 1961?

    Et que, par la même occasion, les Algériens en prennent connaissance !!

    On le trompe, on vous trompe, on les trompe, on ment à la France et aux Français et, forcément, on ment aussi aux Algériens qui ne demandent qu’à croire les informations volontairement erronées qu’ils reçoivent.


    votre commentaire
  • 17 OCTOBRE 1961. LA VÉRITÉ EST UNE ARME REDOUTABLE.

    -Extrait de l'Afrique Réelle automne 2001, par le Lieutenant Colonel Raymond Montaner, ancien Commandant de la force auxiliaire.

    Le climat ambiant en octobre 1961, était celui d'une guerre révolutionnaire, sournoise, meurtrière, déclenchée par la fédération en France du FLN, contre la Police Parisienne et la force de Police Auxiliaire.

    Dans ce contexte, le 17 octobre 1961, la manifestation de masse de la communauté algérienne vivant en France, n'est qu'un "flash"de 4 heures, pris sur le temps d'une aventure humaine douloureuse qui a duré 7 ans et 8 mois : la Guerre d'Algérie et son prolongement en Métropole (4 novembre 1954-1er juillet 1962).

    LA MANIFESTATION

    Le 17 octobre 1961, suivant les directives données par le Préfet de police Maurice Papon, par le Gnl de gaulle, sous-couvert du Premier Ministre Michel Debré et du Ministre de l'Intérieur Roger Frey, 1300 hommes, soit 650 gardiens de la paix, 300 gendarmes mobiles, 280 CRS, une soixantaine de Harkis de la Force de Police Auxiliaire pour servir d'interprètes, et non 7000 hommes, comme il a été dit ou écrit, ont été rassemblés en urgence dans la nuit du 16 et la journée du 17 octobre.

    En effet, le renseignement sur le déroulement d'une manifestation dans Paris, organisée clandestinement par le FLN, n'a été connu que dans la soirée du 16 octobre.

    Ces 1300 hommes ont été déployés sur une cinquantaine de points sensibles et de passages obligés par groupe de 25 hommes, commandé chacun par un gradé, avec en réserve quelques éléments pouvant intervenir en cas de besoin.

    Le théâtre opérationnel comportait 3 fronts :

    - le front extra-muros

    - le front intra-muros

    - un front souterrain.

    Le FLN avait menacé de représailles, pouvant aller jusqu'à une condamnation à mort, ceux qui ne participaient pas à ce "rassemblement patriotique"... Seules les femmes enceintes, les enfants de moins de 10 ans et les malades pouvant le justifier étaient dispensés de manifester.

    Les Forces de l'ordre avait mission de stopper la progression vers le centre de la capitale et de disperser 40 à 50000 Algériens contraints, pour ne pas dire pris en otage par le FLN. Ce dernier ayant décidé, avec l'accord du GPRA (Gouvernement Provisoire de la République Algérienne installé à Tunis) d'organiser et de déclencher sans autorisation préalable, une manifestation de masse de tous les Algériens résidant en île de France.

    LE VRAI BILAN

    Le bilan réel en pertes humaines du FLN, lors de la manifestation du 17 octobre :

    - le 17 octobre 1961 de 19h30 à 23h, dans le périmètre même de la manifestation : 1 mort, Guy CHEVALLIER tué vers 21h devant le cinéma Rex-5è arrondissement, décédé à la suite d'un coup sur la tête. IL EST LA SEULE VICTIME DANS LE PERIMETRE DE LA MANIFESTATION, Français rien ne prouve qu'il ait été tué par les policiers.

    Hors du périmètre de la manif : 2 morts. Abdelkader DEROUES, tué par balles, trouvé vers 22h à Puteaux et Lamara ACHENOUNE tué par balles toujours à Puteaux.

    A ces 3 morts s'ajoutent une centaine de blessés plus ou moins sérieusement, transportés vers les hôpitaux.

    Soit du 17 octobre au 21 octobre 1961, 7 morts dont deux peuvent être imputés avec certitude à la Police.

    Pour la seule année 1961, le FLN n'a pas hésité à liquider froidement 3% de la communauté algérienne installée en France.

    Du 1er janvier au 20 juillet 1961 :

    - 417 algériens assassinés par le FLN

    - 24 européens assassinés par le FLN

    - 11 gardiens de la paix et harkis tués.

    LA MANIPULATION

    L'agitation politico-médiatique concernant la manifestation des Algériens du 17 octobre 1961, n'a duré que très peu de temps, parce que celle-ci a été considérée à l'époque où elle s'est déroulée comme un incident banal engendré par la guerre d'Algérie.

    PRESSE DU 18 OCTOBRE 1961 AU MATIN

    - Le FIGARO : "Grâce à la promptitude et à la vigilance de la Police, le pire qui était à craindre a pu être évité".

    - PARIS JOUR : "20000 algériens maîtres de la rue à Paris pendant 3heures. C'est inouï ! Ils ont déferlé en plein coeur de la capitale et en ont franchi les portes par groupes entiers".

    - Le PARISIEN LIBÉRÉ : "Ils ont pris le métro, comme on prend le maquis !"

    VOYEZ COMMENT SE MANIGANCE LE DEROULEMENT DE LA MANIPULATION HISTORIQUE

    Ce n'est qu'en 1984, 24 ans après la fin de la Guerre d'Algérie, qu'un ancien haut responsable de la fédération du FLN en France : Ali Haroun publie un livre écrit à la gloire du FLN "la VII Wilaya- la guerre du FLN en France 1954-1962".

    Quelques années plus tard, en 1991, Jean Luc Einaudi, employé au Ministère de la Justice en qualité d'éducateur, s'inspire largement du livre d'Ali Haroun pour "confectionner" le sien, à qui il donne pompeusement le titre "La bataille de Paris, 17 octobre 1961" ouvrage de parti-pris dans lequel on trouve des détails morbides destinés à frapper d'horreur l'imagination du lecteur.

    C'est à partir de ce livre en 1991 que des sympathisants francais appelés aujourd'hui "les frères des frères", par les anciens du FLN, organisent chaque année, avec la participation active d'anciens cadres de la fédération du FLN en France (responsable de nombreux assassinats en France!!!) une cérémonie commémorative à la mémoire des "Martyrs Algériens" du 17 octobre 1961 qui n'ont jamais existé que par l'imagination de leurs créateurs.

    En octobre 2000, les "frères des frères" ont créé l'Association "17 octobre 1961 contre l'oubli". Son président est Olivier Le Courgrandmaison appuyé par JL Einaudi et Marcel Péju, Pierre Vidal-Naquet, François Maspero.

    "Comme les hommes, les peuples qui oublient leur histoire cessent d'exister!"

    Albert Camus

    Belle revue (papier a l'époque) du professeur Bernard Lugan.

    no comment.


    votre commentaire