•  Un personnage indigne ...

    Posté par Pieds Noirs 9A..

     

    Un personnage indigne ..

     

     

    Il s'agit de Pierre Nora (historien et académicien). Un personnage indigne qui a propos du génocide arménien a dit : « Si vous écrasez trois mouches, on peut aussi vous parler d'un génocide » ! Ses analyses ou son sentiment à propos de l'Algérie ne m'atteignent pas quand je regarde quel genre d'homme il est et comment il a mené sa vie...
    Constatez les propos sur le nettoyage ethnique d’un salaud au sens de Sartre qui s’y connaissait en la matière. Voici maintenant un extrait de son autobiographie publiée il y a quelques années. Ce salaud ne regrette rien, au contraire. Parlant des Français d'Algérie et de l'exode de 1962, il écrit : « Derrière tant d’irraison, la logique de leur histoire tombe comme un fil à plomb. Cette société, dont la violence était la loi, meurt de la violence […]. En saine logique, ils devraient être obligés de partir jusqu’au dernier. Le rapatriement généralisé avec un pont aérien fait partie de l’épure. » En saine logique !!!!...
    Du vomi gaulliste ! ...

    A 87 ans, sa haine anti-pieds-noirs n'a pas ramolli en même temps que ses neurones. Les Pieds-Noirs se souviennent surtout de cet abject individu pour son opposition à la loi Gayssot.
    En 1990, il fait partie du petit nombre d'historiens, avec notamment Pierre Vidal-Naquet et Madeleine Rebérioux, à s'opposer à la loi Gayssot.
    Il s'est opposé à la loi du 23 février 2005 «portant reconnaissance de la Nation et contribution nationale en faveur de Français rapatriés» en cosignant une pétition dans le quotidien Libération intitulée «Liberté pour l'histoire». Cette loi, dont l'alinéa 2 de l'article 4 a été abrogé le 15 février 2006, établissait que les programmes de recherche devaient accorder plus d'importance à la place de la présence française outre-mer et que les programmes scolaires devaient en reconnaître le rôle positif.
    On peut se demander si sa «liberté pour l'histoire» est une pétition écrite par un homme sain d'esprit dans le sens où elle occulte une partie, et pas des moindres, de l'Histoire de France.


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  • LA GIROUETTE EN PUISSANCE ...

    En dénaturant ainsi Jeanne d’Arc, l’un des mythes fondateurs les plus populaires de l’histoire de France, symbole de la lutte contre l’envahisseur (anglais à l’époque), Marine Le Pen valide de facto l’invasion étrangère en cours en France et affiche son mépris des valeurs de la France...


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  • Posté Par:Pieds Noirs 9A..

    Le 11 mars 1963 / 11 mars 2018 

    Date anniversaire de l'exécution du Lieutenant-Colonel Jean Bastien-Thiry.


    Pour le «Salon beige», Benoît Gauthier rend un Hommage émouvant à son grand-père, Jean Bastien-Thiry.

    A l'occasion de la date anniversaire de l'exécution de Jean Bastien-Thiry, Martyr de l'Algérie Française, Benoît Gauthier, son petit-fils, 32 ans, fils d'Hélène Bastien-Thiry, nous parle de ce grand Militaire d'Honneur que fut son illustre grand-père. 
    «La manière dont furent jugés les membres du commando du Petit-Clamart interpelle et mérite d’être dénoncée, dans la mesure où le procès bafoua les principes fondamentaux de la justice ainsi que le principe de séparation des pouvoirs de notre République», explique-t-il.

    ► Il y a 55 ans : mon grand-père, Jean Bastien-Thiry....

    Une figure forte d’intégrité et de fraternité qui honore notre pays. C’est ainsi que je vois mon grand-père Jean Bastien-Thiry. Ce grand militaire qui, en 1962 alors que la crise des événements d’Algérie battait son plein, se révolta contre la politique menée par son pays et par le sort réservé à ses compatriotes musulmans et pieds-noirs. Il alla au bout de ses convictions en organisant l’attentat du Petit-Clamart en août 1962 contre le chef de l’Etat Charles de Gaulle. Arrêté, il dénonça sans langue de bois le pouvoir qu’il jugeait criminel, ce qui lui valut d’être condamné à mort et exécuté.

    Jean Bastien-Thiry inscrivit son action dans le cadre de la légitime défense de ses compatriotes. Homme de foi et de devoir, il se sentit pleinement concerné par le sort de ses concitoyens qu’il voyait menacés. Menacés physiquement dans l’immédiat en Algérie, mais aussi menacés plus globalement dans l’avenir par l’émiettement de principes moraux et de valeurs qui ont façonné notre civilisation, expliqua-t-il devant ses juges.

    Mon grand-père aimait profondément ses proches, mais avait fait le serment de défendre son pays et les valeurs qu’il représente en donnant sa vie s’il le fallait. Son premier devoir était la défense de l’Etat de droit et de ses « frères dans le malheur », comme il l’exposa lors de son procès. En visant le chef de l’Etat qu’il considérait indigne de sa fonction, le chef du commando du Petit-Clamart appelait notamment l’Etat au respect de sa première fonction régalienne: protéger tous les citoyens. Revenons au contexte des faits. Le conflit opposant les forces françaises et les forces indépendantistes algériennes se solde par les accords d’Evian de mars 1962 qui prévoyaient un cessez-le-feu en Algérie. Ces accords garantissaient en théorie la sécurité de tous mais furent rapidement oubliés par l’Etat français. Or les Harkis, ces Français musulmans fidèles à la France mais trompés par l’Elysée, et les pieds-noirs, furent livrés à la folie terroriste des «libérateurs » de l’Algérie. Véritable massacre de masse rendu possible par la complicité passive de l’Etat français, cette tragédie coûta la vie à des dizaines de milliers de Harkis - entre 80 000 et 150 000 victimes selon les historiens - et à plus d’un millier de pieds-noirs, tous citoyens français. Abandon cruel et honteux qui aurait matériellement pu être évité. Car en juillet 1962, l’armée française était en Algérie sur les lieux de la tragédie, forte de plus de 100 000 hommes et parfaitement au courant de la situation. Mais elle resta immobile sur ordre du chef de l’exécutif alors que les massacres évoqués atteignaient leur paroxysme pour se poursuivre jusqu’au début de l’année 1963 et plus loin encore. Les archives de l’armée ouvertes en 2010 et mises en lumière par Jean-Jacques Jordi dans son ouvrage « Un silence d’Etat, les disparus civils européens de la guerre d’Algérie » sont sans appel sur la réalité de cette tragédie et du sort indigne réservé à ces populations.

    Quelques-uns, peu nombreux, ont voulu empêcher ce drame. Facilement qualifiés de « soldats perdus », ces militaires qui ont dit non à un abandon programmé de citoyens français, ont posé des choix en liberté.

    Mon grand-père n’était pas un ultra de l’Algérie française : il déclara d’ailleurs lors de son procès qu’il concevait différentes solutions pour l’Algérie, l’essentiel étant de garantir l’intégrité des personnes et de leurs biens qui étaient sous la responsabilité de la France.

    Ce soldat de la vérité a appliqué son principe de vie jusqu’au bout et avec dignité : « La vie doit être une ». Une dignité manifestée aussi lors de son procès dont la forme fut plus que douteuse.

    Car la manière dont furent jugés les membres du commando du Petit-Clamart interpelle et mérite d’être dénoncée, dans la mesure où le procès bafoua les principes fondamentaux de la justice ainsi que le principe de séparation des pouvoirs de notre République. En effet, aucun des piliers sur lesquels se fonde la justice française depuis le XVIIIe siècle et Montesquieu ne furent respectés par le tribunal d’exception chargé de l’affaire: ni l’impartialité, ni l’indépendance, ni les droits de la défense. Et pour s’assurer de la condamnation à mort de l’accusé, le chef de l’exécutif qui était alors juge et partie, fit voter en force au parlement la prolongation de cette Cour militaire de Justice que le Conseil d’Etat et son arrêt Canal avaient pourtant dénoncée quelques mois auparavant. Or une exécution sans respect de la justice n’est-elle pas criminelle et injustifiable pour un Etat de droit ?

    Ce grand-père s’est battu pour des causes qui sont nobles et éternelles : la fidélité à la parole donnée, le sens du devoir, la protection du désarmé et la défense de la civilisation contre la barbarie. Un combat difficile mais édifiant.

    -- Jean (dit parfois Jean-Marie) Bastien-Thiry, né le 19 octobre 1927 à Lunéville, fusillé le 11 mars 1963 au fort d'Ivry, est un ingénieur militaire français, avec rang de lieutenant-colonel de l'Armée de l'air,

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  •  LE DROIT DE SAVOIR SUR L'HISTOIRE

     

    Posté Par:Pieds Noirs 9A..

    LE DROIT A LA VÉRITÉ ! 

    MACRON QU'IL APPRENNE SON HISTOIRE

    AU LIEU DE DIRE QUE NOUS SOMMES DES CRIMINELS !...

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    criminel , toi-meme , macron !

    1830 Algérie envahie et colonisée ?
    Ou Algérie libérée et fertilisée ?

    Les préjugés ont la vie dure. Il y a quelques jours, un vieil ami m’a invité pour déguster un bon couscous berbère. A la fin du repas, le patron, un berbère kabyle, m’a chaudement serré la main et la conversation avait porté sur la France et l’Algérie.

    J’ai tout d’abord rappelé à cet ami que la France, en 1830, n’avait pas conquis l’Algérie, contrairement à ce qui est dit, parce que « l’Algérie » était un pays qui n’existait pas encore. En d’autres termes, parler de conquête coloniale de l’Algérie en 1830 constitue un anachronisme, aussi enfantin que de parler de la conquête coloniale de la France par les Légions romaines de Jules César.
    Le 14 juin 1830, ne faisait que commencer un processus long et complexe qui produira l’Algérie. Il était une suite et pas simplement un début. En effet, considérer 1830 et le débarquement de soldats français comme le point de départ de l’affaire, reviendrait à omettre et à cacher aux jeunes générations, que l’action militaire du gouvernement de Charles X déclinait les débats et décisions du 
    Congrès d’Aix la Chapelle
    réuni quelques années plus tôt.
    Douze ans plus tôt, -du 29 septembre au 21 novembre 1818-, les puissances de l’époque, avaient débattu. Elles avaient discuté d’un sujet qui les préoccupait toutes, et ce depuis le 17ème siècle. L’affaire n’était pas récente. Il s’agissait de savoir : comment mettre fin à la piraterie esclavagiste qui affligeait la navigation commerciale dans les eaux méditerranéennes et exposait constamment, aux razzias des pirates « barbaresques », les équipages et les populations côtières ou proches des côtes? Comment en finir, définitivement, avec le trafic esclavagiste, dont la base logistique et stratégique n’était autre que l’Alger Ottomane, se demanderont alors les représentants des grandes puissances de l’époque. En 1815, les États-Unis avaient déjà, à cause de cela, déclaré la guerre à Tripoli.
    C’était une réaction, certes tardive, mais une réaction tout de même, à l’enlèvement de 130 citoyens américains voyageant en Méditerranée. Tous avaient été capturés, en pleine mer, entre 1785 et 1793. Pour cela, la marine américaine s’attaquera, sans succès, au Dey ottoman d’Alger. En 1815 toujours, ce seront les Néerlandais qui tenteront à leur tour, sans succès eux aussi, de mettre fin à la piraterie esclavagiste installée à Alger, abritée derrière des murailles d’où partaient les bateaux pirates.
    En d’autres termes, le Congrès international de 1818 exprimait la montée en force de l’exaspération générale, face au trafic esclavagiste écumant depuis trop longtemps les eaux de la Méditerranée et ses côtes occidentales. A l’époque, Chateaubriand appellera la France à prendre la tête de ce combat.
    A.Rubin de RL 21 09 2011

    Le 14 juin 1830 commençait la libération
    Des mers et des océans de la piraterie vérirable djihadisme maritime
    Du commerce international du tribut barbaresque humiliant
    Des Chrétiens européens et des noirs africains animistes
    Des juifs de la Régence de leur dihmitude millénaire
    Des biens piratés de leurs recéleurs
    Des bagnes de leurs esclavagistes
    Des tribus arabo-berbères du colonisateur ottoman
    ……bien sur au prix de cruelles batailles , menées par l'Armée d'Afrique avec l'aide de valeureuses troupes indigènes , contre de fanatiques obscurantistes.


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  • Le FLN s'établit officiellement depuis 2016 en France en tant que parti politique !
    Encore une fois , vous ne direz pas que vous ne saviez pas..
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