• Etat Pied-Noir : Mieux vaut en rire qu’en pleurer !Posté par: Pieds Noirs 9A..

    Attention à l'arnaque possible !

    Etat Pied-Noir : Mieux vaut en rire qu’en pleurer !

    Etat Pied-Noir : Mieux vaut en rire qu’en pleurer !

    Amis Pieds-Noirs du monde entier, mais surtout amis Pieds-Noirs de France, je suis terriblement triste de vous apprendre cette dernière nouvelle (préparez vos mouchoirs car vous allez en avoir besoin) : « Dorénavant nous ne serons plus des Pieds-Noirs »,nous n’aurons plus le droit de nous glorifier de ce titre, nous n’aurons plus cet honneur qui nous est bien particulier.

    Pourquoi cette infamie ? Parce que nous n’aurons pas l’unique « Certificat de Nationalité Pied-Noir », qui est ENFIN, disponible !

    Ce certificat de nationalité Pied-Noir n’est pas pour nous tous, il est réservé obligatoirement aux seuls Pieds-Noirs qui en feront la demande à la « Commission de l’Identité Nationale de l’Etat Pied-Noir » qui les examinera attentivement et ils seront décernés exclusivement aux membres de l’Association « Les Pieds-Noirs dans le monde et leurs amis » qui auront, cela va de soi, payé leur cotisation annuelle.

    Or ce n’est pas, et ce ne sera jamais, notre cas !

    Pour être Pieds-Noirs dorénavant, ou le devenir puisque ce certificat est également réservé, vous l’avez lu, aux amis des Pieds-Noirs, même s’ils ne le sont pas et ne l’ont jamais été.

    Pour obtenir ce certificat de nationalité vous devrez compléter un dossier et seule la« Commission d’Identité Nationale », qui est présidée par (Maître) Jean-François Galéa (Mon pauvre ami, qu’es-tu allé faire dans cette galère ?) par ailleurs également ministre des Arts et des Lettres de ce pseudo Etat PN, se prononcera individuellement sur chaque dossier.

    Donc, même si vous êtes né en Algérie Française avant 1962, que vos parents et vos ascendants sont également nés en Algérie depuis 1830, vous ne serez pas certains d’être Pied-Noir puisque vous n’aurez pas le « certificat de nationalité » délivré par l’utopique état.

    Cela dépendra du Maître…et de son maître, le chef autoproclamé de ce pseudo Etat Pied-Noir.

    Et ce n’est pas tout, ce fameux et désormais indispensable certificat pour prétendre être Pied-Noir, vous sera délivré lors de cérémonies officielles par les présidents de vos fédérations…vous imaginiez quoi ? que vous alliez devoir le réclamer à la préfecture, à la mairie ou chez le juge de Paix de l’Etat Pied-Noir. Que nenni, car pour le faire, si vous êtes optimiste, il vous faudra attendre quelques décennies pour qu’il s’installe quelque part, si ce « quelque part » existe ou, si vous êtes pessimiste, sur une autre planète extra-terrestre !

    Soyons lucides, ce « certificat de nationalité Pied-Noir » n’est qu’un moyen pour faire rentrer dans les caisses du trésorier quelques centaines d’adhésions nouvelles, de quelques centaines de Pieds-Noirs assez niais pour le solliciter.

    Dans une récente lettre publiée, le chef autoproclamé du pseudo Etat Pied-Noir désignait le génocide commis sur les Pieds-Noirs en Algérie, qui, fort heureusement pour nous, n’a jamais eu lieu, mais soyons rassurés, ce génocide il l’a parfaitement réalisé : nous étions un peu plus d’un million de Pieds-Noirs en 1962, grâce à lui, et à son certificat de nationalité, il n’y aura que quelques centaines de Pieds-Noirs à dater de 2019…pauvre de nous !

    PS : Ci-dessous la lettre d’information de l’Etat Pied-Noir :

    **Cher(e) Ami(e), Cher(e) Adhérent(e), 

    Le CERTIFICAT DE NATIONALITE PIED-NOIR est enfin disponible.

    Les premiers Certificats de Nationalité seront remis lors de la prochaine Assemblée Générale Ordinaire de l'association "Les Pieds-Noirs dans le Monde et leurs Amis" qui devrait avoir lieu le 19 janvier 2019 à Montpellier.

    Dès à présent, la Commission de l'Identité Nationale de l'Etat Pied-Noir va examiner les demandes qui lui seront adressées par celles et ceux qui sont obligatoirement membres de l'association "Les Pieds-Noirs dans le Monde et leurs Amis". 

    Ce Certificat est une véritable Oeuvre d'art composé par Maître Jean-François Galéa, Peintre officiel de l'Etat Pied-Noir, Ministre des Arts et des Lettres. 

    Les demandes doivent être adressées sur cette messagerie.

    Vous recevrez un dossier à compléter. 

    La Commission d'Identité Nationale présidée par Maître Jean-François Galéa se prononcera individuellement sur chaque dossier.

    Pour les membres qui ne pourront pas être présents à Montpellier du fait de leur éloignement,  le Certificat de Nationalité leur sera remis lors d'une cérémonie officielle par le Président de leur Fédération.

    Restant à votre écoute, 

    Votre toujours dévouée, 

    Monique 

    Bureau Association PNMA 

    Cabinet du Président du Conseil d'Etat

    Cabinet du Chef de l'Etat Pied-Noir


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  • 1959 quand Simone Veil sauvait -très discrètement - des fellagas...

    Posté Par:Pieds Noirs 9A..

    Dans recherche en politique du monde Arabo- Musulmans...

    1959 quand Simone Veil sauvait -très discrètement - des fellagas ...

    1959 quand Simone Veil sauvait -très discrètement - des fellagas

    1959 quand Simone Veil sauvait -très discrètement - des fellagas

    A la suite de la disparition de Simone Veil, le 30 juin 2017 , Mohand Rachid Zeggagh, ancien conseiller du bureau politique du FLN - parti au pouvoir en Algérie - a envoyé la tribune suivante au « Monde Afrique ».

    Pour nous, plus de 500 militants FLN détenus dans la deuxième division de la prison de Fresnes, ce sont les deux grèves de la faim de juin 1959 (douze jours) et de juillet (dix-huit jours) qui nous ont permis de découvrir qui étaient le ministre français de la justice de l’époque, Edmond Michelet, et la magistrate détachée à la direction de l’Administration pénitentiaire (AP), Simone Veil. Nous apprîmes que tous deux étaient d’anciens déportés dans les camps de concentration nazis

    Les prisonnières, ses protégées. Quarante ans plus tard, j’ai interviewé, pour mon livre sur les prisonniers politiques FLN en France, Nicole Dreyfus, membre du collectif de nos avocats de l’époque et amie d’enfance de Simone Veil et de sa sœur Denise. C’est elle qui me révéla les efforts considérables déployés par Mme Veil, au risque de mettre à mal sa carrière de haut fonctionnaire, pour transférer en France les dizaines de femmes militantes du FLN qui croupissaient dans les geôles en Algérie sous un régime plus sévère que celui des prisons de métropole, puisque le pouvoir judiciaire y était entre les mains de l’armée. En tant que directrice de l’AP, Simone Veil diligenta plusieurs enquêtes sur la santé et le régime disciplinaire de ces femmes en Algérie. Tenace, déterminée, elle développa un argumentaire pour convaincre aussi bien le ministre Edmond Michelet que le cabinet du général De Gaulle de soustraire ces femmes militantes aux dangers multiples auxquels elles étaient exposées dans les prisons en Algérie, où les prisonniers étaient davantage soumis aux maladies, à la répression et même aux disparitions extrajudiciaires. Mme Veil était sincèrement à l’écoute des avocats qui lui faisaient connaître les mesures répressives, vexatoires et attentatoires à la dignité des prisonniers. Elle les recevait souvent pour recueillir leurs doléances et réagissait promptement en relayant avec conviction ces informations au ministre Edmond Michelet. Elle-même se tenait constamment informée de la situation par les enquêtes qu’elle avait ouvertes et par des déplacements sur le terrain. Après leur transfert vers les prisons de Rennes, Pau, La Roquette et d’autres villes, la directrice de l’administration pénitentiaire a continué de suivre de très près la situation de ces femmes. Nicole Dreyfus m’a raconté qu’il arrivait à Simone Veil d’interrompre ses vacances, laissant enfants et mari durant de longues heures sur un parking, pour rendre à celles qui étaient devenues ses protégées une visite inopinée. Elle ne se contentait ni des rapports périodiques arrivant sur son bureau au ministère, ni des conclusions des visites officielles pour juger des conditions de détention de ces femmes. Elle leur apporta son aide pour accéder à tous les livres d’étude qu’elles désiraient ; elle favorisa leurs démarches pour entreprendre des études de droit. D’ailleurs, plusieurs de ces détenues sont devenues avocates après l’indépendance. Cette attitude humaine de fraternité et de réconfort a été cruciale pour ces prisonnières, comme un antidote aux malheurs et aux souffrances .Pour ces Algériennes, Simone Veil symbolisait aussi l’importance de la lutte menée par des intellectuels comme Jean-Paul Sartre, Pierre Vidal-Naquet, Laurent Schwartz, Jean-Jacques Servan-Schreiber, Françoise Giroud et tant d’autres. Lors de sa visite officielle en Algérie en tant que présidente du Parlement européen, après 1979, les militantes prisonnières qu’elle avait sauvées lui ont préparé une réception enthousiaste pour lui exprimer leur reconnaissance infinie.
    Gagner du temps pour éviter les exécutions. Certains condamnés à mort ont été sauvés par Simone Veil et par les prouesses de leurs avocats. Plus de 1 600 condamnés à la peine capitale attendaient dans les couloirs de la mort. Elle participa activement à différer au maximum les exécutions. Le ministère de la justice, Edmond Michelet en tête, freinait des quatre fers et repoussait l’instant fatal par tout ce qui ressortait de ses attributions. En accord avec le ministre, Mme Veil allongeait le temps de transmission des dossiers les plus exposés ou décidait de les différer dans l’attente d’autres éléments introduits par les avocats, afin de surseoir à l’exécution de leur client. La bienveillance de Simone Veil devenait, avec celle du ministre, la clé de l’espoir pour sauver une vie. Jamais le temps qui s’écoule n’a eu autant de prix. Je me souviens du premier exécuté en France, à la prison de la Santé, Belil Abdallah, surnommé par nous « Abdallah l’Indochine », qui était mon compagnon de cellule. Gagner du temps, toujours du temps, pour éviter l’irréparable. Dans de telles circonstances tragiques, pour nous et nos avocats, je peux le dire aujourd’hui, « le temps, c’était la vie ». Chaque jour gagné était pour nous l’aurore de l’espoir de survie. Que de prouesses furent accomplies par Mme Veil, à qui notre reconnaissance est acquise ainsi que celle de tous ceux qui étaient au courant de ce qu’elle a fait. Dans ce combat pour vaincre la mort, toute astuce et tout blocage « interstitiel » pour neutraliser « la veuve » (la guillotine) était recherchée par les avocats, dont les efforts étaient encouragés par la bienveillance de Mme Veil. Certains avocats, comme Nicole Dreyfus qui me raconta quarante ans plus tard ces grands moments d’humanité solidaire, n’ont jamais su combien furent sauvés, mais ils étaient certainement des centaines. Simone Veil entoura son rôle d’une discrétion à toute épreuve, par souci d’efficacité .


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  • Un énorme montage de la propagande du FLN !

    Par: Pieds Noirs 9A..

    N'OUBLI JAMAIS LA VRAIE HISTOIRE !

    Un énorme montage de la propagande du FLN !

    Un énorme montage de la propagande du FLN !Quarante ans plus tard, le 17 octobre 2001, le maire de Paris avait inauguré une plaque en souvenir de ce « massacre », exprimant le repentir de la France et mettant gravement en cause la responsabilité de la police parisienne (gardiens de la paix, gendarmes mobiles, CRS et forces de police auxiliaires composée de Harkis).

    C’était le début d’une intense campagne de propagande insufflée d’Alger, qui devait être suivie de beaucoup d’autres épisodes de calomnies ininterrompues, jusqu’à aujourd’hui…

    Cette nuit là, donc, l’ensemble des forces de l’ordre aurait massacré près de 300 Algériens et fait plus de 2.000 blessés dans les rangs de ces derniers. Il s’agissait, pourtant, d’une manifestation pacifique, pour appuyer les négociations débutantes que De Gaulle avait entreprises avec le FLN de Tunis.

    La vérité fut rétablie par le Colonel Raymond Montaner, commandant de la Force Auxiliaire des Harkis de Paris dont il avait pris le commandement en 1959. Cette unité était destinée à protéger les Algériens de la capitale et des banlieues voisines contre la vaste entreprise de racket du FLN pour lever « l’impôt révolutionnaire ».

    Tout récalcitrant s’exposait aux couteaux des égorgeurs dont le grand chef, Salah Louanchi, responsable de la fédération FLN de France, avait longtemps échappé à la police grâce à la complicité d’un réseau de chrétiens progressistes groupés autour d’André Mandouze.

    Sa longue expérience à la tête de SAS en milieu rural, mais aussi et surtout, en milieu urbain au Clos Salembier à Alger, avait préparé le lieutenant colonel Montaner à faire face, très efficacement, au terrorisme perpétré par les agents du FLN dans la région parisienne.

    Lors de la fameuse nuit du 17 octobre 1961, Montaner se trouvait à pied d’œuvre, avec ses Harkis parisiens et ses deux principaux adjoints, le capitaine de Roujoux et le lieutenant Champsavin. Dans la revue « l’Afrique réelle » de l’automne 2001 (N° 33), il expose ainsi les faits :

    1. « Il ne s’agissait pas d’une manifestation pacifique, mais d’une double action minutieusement montée par le FLN. Tandis que des groupes armés devaient saboter et incendier des installations vulnérables dont le port pétrolier de Gennevilliers et le complexe pétrolier de Melun, d’autres manifestants, mobilisés souvent de force, sous la menace, devaient envahir le centre de Paris, principalement vers la place de l’Opéra, de la République, et converger vers les Champs Elysées pour y déployer le drapeau FLN. A cette époque, toute manifestation de ce type était interdite dans la capitale ».

    2. « La police parisienne semble avoir été surprise par ces manifestations. Environ 1.300 hommes répartis en petits groupes de 25 policiers étaient disséminés dans les zones sensibles, sans grande coordination. Un premier affrontement eu lieu, dès 19h30, au pont de Neuilly, une quinzaine de policiers se retrouvèrent opposés à plusieurs centaines de manifestants. Cependant, aucun coup de feu ne fut tiré. Les forces de l’ordre se replièrent vers d’autres points d’appui. Rapidement, la police reprit la situation en main.

    3. « On découvrit alors un fait étonnant : l’extrême rapidité avec laquelle, devant le regroupement des policiers qui avaient reçu des renforts, les manifestants se débandèrent, ou se laissèrent appréhender. Conduits au Palais des Sports et au stade de Coubertin, l’immense majorité des Algériens arrêtés avouèrent qu’ils avaient été mobilisés sous la menace de mort par les agents recruteurs du FLN, ou menacés de représailles sur leurs familles pour ceux qui auraient refusé de se joindre à ce « rassemblement patriotique ». La plupart furent renvoyés chez eux, après vérification d’identité…

    4. « Le vrai bilan, entre le 17 et le 21 octobre 1961, s’établissait à 7 morts, dont 2 seulement attribués directement à la police : Achour Belkacem et Amar Malek, tous deux agents du FLN. 5 autres morts seront décomptés, dont un Français, Guy Chevalier, et 4 Algériens, vraisemblablement victimes de règlement de compte. ».

    L’agitation politico-médiatique, à la suite de ces manifestations, fut sans lendemain : il fallut bien reconnaître l’échec total du FLN dans son intention de soulever les Algériens de la région parisienne et de saboter les installations pétrolières visées.

    Ce n’est qu’en 1986, 24 ans plus tard, qu’un ancien responsable de la fédération du FLN en métropole, Ali Haroun, publia un livre écrit « à la gloire du FLN en France » : « La Wilaya VII ou la guerre du FLN en France –(1954/1962). Le roman noir débutait, mais c’est seulement en 1991 qu’il acquit sa notoriété avec le livre du marxiste Jean-Luc Einaudi directement inspiré de celui d’Ali Haroun, commenté et amplifié : « La bataille de Paris – Octobre 1961).

    L’auteur relaie directement la propagande d’Alger et accuse la police française d’avoir assassiné, en cette nuit du 17 octobre 1961, 300 Algériens, tandis que 2.300 d’entre eux étaient blessés. C’est à partir de ce livre que des sympathisants français, appelés aujourd’hui « Les frères des frères » par le FLN, organisent, chaque année, une cérémonie à la mémoire des « martyrs algériens du 17 octobre », lesquels n’ont jamais existé que dans l’imagination de leurs créateurs, comme le souligne Bernard Lugan, auteur de la revue « L’Afrique réelle ».

    En l’an 2000, année, ou début, de la grande offensive de calomnie contre la France, à la suite du premier voyage retentissant de Bouteflika en France (reçu avec solennité à l’Assemblée Nationale à majorité socialo-communiste) est créée l’association « 17 octobre 1961 contre l’oubli » dont le Président, Olivier Lecour Grandmaison, est bientôt appuyé par Pierre Vidal-Naquet, Maspéro, Marcel Péju, et toute l’équipe marxiste du Paris intellectuel.

    Les preuves apportées par le Colonel Montaner pour dissiper cette légende sont nombreuses et accablantes. Tout d’abord, pourquoi le FLN et ses complices parisiens ont-ils attendu près de trente ans avant de lancer leurs accusations ?

    Les chiffres extravagants, par ailleurs, ne peuvent nous troubler quand on connaît la fable du « million cinq cents mille morts » dans les rangs du FLN, pendant la guerre d’indépendance, celle des « quarante cinq mille morts » de Sétif le 8 mai 1945, etc, etc…Nous sommes habitués à cette exagération des chiffres qui, d’ailleurs, révèle bien leurs origines.

    Ensuite, l’auteur s’est livré à une enquête surplace

    1. Alors que se déroulait, en plein cœur de la capitale, un soi-disant massacre d’Algériens, aucune intervention des pompiers, ni de police secours, ni de la Croix Rouge, ni d’aucun service d’ambulance anormal, lors de cette nuit, ou des jours suivants, n’ont laissé de traces.

    2. Aucun des services hospitaliers d’urgence de Paris, ou de la banlieue parisienne, n’a vu un afflux anormal de blessés : pourtant, 2.300 blessés en une nuit, cela laisse des traces… Où sont passés ces blessés ? Se sont-ils évaporés ?

    3. A l’objection de la propagande FLN selon laquelle tous les corps (morts et blessés) auraient été « jetés dans la Seine », l’auteur répond en signalant que rien n’a été retrouvé de tous ces corps dans les barrages sur la Seine en aval de Paris. Près de 2.500 corps en une seule nuit dans un fleuve et aucune trace les jours suivants ? Où sont-ils passés ? Se sont-ils dissous ?

    Toutes ces invraisemblances accumulées ne nous choquent plus depuis longtemps de la part du FLN qui nous a habitués à de telles fabulations. En revanche, ce qui nous afflige, c’est le fait qu’elles aient trouvé des échos dans les milieux d’extrême-gauche qui leur ont redonné vie et risquent de les pérenniser dans cette vaste entreprise de culpabilisation de l’opinion publique française.

    Cette propagande a aussi pour but de nous faire oublier une terrible réalité : depuis janvier 1955 jusqu’à juillet 1962, les groupes armés du FLN ont assassiné, en France, plus de 6.000 Algériens, tués par balles, strangulation, égorgement, après tortures. Il faut compter aussi 9.000 cas de mutilations (ablation du nez, des oreilles, des lèvres) soit une moyenne de 5 tués ou blessés par jour, pendant 7 ans !

    Ceci prouve aussi combien la masse de ces Algériens en métropole était hostile au FLN, dans la même proportion où elle se situait, en Algérie même. Pendant toute la guerre d’Algérie, il y eu, en outre, en métropole, 120 gardiens de la paix et 150 civils français assassinés.

    L’action des Harkis de Paris fut très efficace pour dépister les caches d’armes et démanteler les réseaux de racketteurs du FLN. Ces Algériens là, fidèles à la France, eurent 10% de tués et 20% de blessés graves. Leur nom figura longtemps sur les plaques commémoratives apposées dans la cour de la Préfecture de Police de Paris. De tous ceux-là, aujourd’hui, on ne célèbre plus la mémoire puisqu’il est de bon ton de ne rendre hommage qu’aux criminels du FLN et à leurs porteurs de valises !

    Pieds Noirs 9A ...


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  •  Souvenirs-souvenirs ///

    Par: Pieds Noirs 9A..

    Un article de 2 ans (2016)


    Pour faire revivre les mémoires sombré dans le silence ...
    Ni oubli ,ni pardon ,tel est mon remède ...

    LA FRANCE DONT CEUX QUI LA TRAHISSENT...
    Interdiction des signes religieux: Marine Le Pen veut demander ce "sacrifice" aux Français
    DE QU'ELLE DROIT MARINE LE PEN DEMANDE AUX FRANÇAIS CHEZ EUX EN FRANCE DE FAIRE UN EFFORT SUR DES SIGNES RELIGIEUX...( si elle est élue, pas elle qui nous empêchera)...

    http://courtimpression.eklablog.com/marine-le-pen-veut-demander-ce-sacrifice-aux-francais-a127212488

    Après le " vague bleu marine", voilà leur "France apaisée" qui fout le camp vers une "France sodomisée", à force de dire n'importe quoi et de multiplier les provocations démagogiques, Marine le Pen se prend des retours de bâton amplement mérités !...

    Madame Le Pen manque de charisme et commet trop d'impairs pour gagner les prochaines présidentielles. Si certaines idées sont excellentes et applicables, d'autres posent problème vers une chute de son parti... Dont même les anciens, on est échaudé de les avoirs trahis.
    Le problème du FN c'est Philippot. L'espion du PS .PC (Chevenement). Les idées économiques farfelues : c'est lui. Et la petite sainte Marine Le Pen ,elle a bien ciblé le personnage pour bien déstabilisé le pays France . La Culture, la religion et les traditions Françaises doivent être préservées, aucun parti politique ne peut et ne doit intervenir ou légiférer à l'instar d'une intervention étrangère qu'elle quelle soit ! La France doit rester souveraine chez elle ! ...
    Pour ma part, je suis très ouvert à tous, remarquez que nous ne répondons à la provocation, ou maintenant même Marine Le Pen nous remet une couche d'anti-France de civilisation chrétienne ,sur les "signes religieux" de demander de faire un effort aux Français ... Mais pour qui cette dame nous prendrait-elle, nous sommes chez nous et non habitant dans pays du Maghreb, mais le Voile et la Kippa ...Silence !. Madame se voile drôlement... Car depuis ces rumeurs de voile, de pas d'amalgame, à l'heure actuelle, j’en vois de plus en plus. Je pense que quand on vient vivre dans un pays, on doit s’adapter à la culture et à l'éducation de sa culture que madame Le Pen le sache, sans se mettre à la botte de Philippot le petit gaucho. Je trouve beaucoup de provocation, car maintenant des voiles, il y en a partout... Je dis bravo à la première dame d’Amérique qui a refusé de porter le voile en visite en Arabie Saoudite. Elle a répondu, [« qui vient voiler dans mon pays laïque, me verra dans le sien, sans voile et vêtue comme je le suis habituellement.La tolérance n’est pas à sens unique.]...Cette immigration faut la stopper, et surtout retour à l'envoyeur, pour les Français d'Algérie, personne ne leur a fait de cadeaux, alors qu'ils les faisaient travaillaient et de l'éducation pour leurs enfants, maintenant, car cela devient très dangereux pour les citoyens Français. Ah ! Nos politiciens n’ont pas plus de courage, car sur le front ce n’est pas eux qui sont en première ligne, non plutôt bien protégés, ils partiront quand la France sera sous la foudre dont je l'ai vécu ... N’oublions surtout pas et nous le voyons, du pillage social. Et les fonctionnaires de ses caisses sociales se mettent à genoux devant eux par peur de représailles. Et nous quand on va voir des assistances sociales, on vous répond, vous avez des parents. Voilà où on en est. C'est une honte. Quand nos parents ont bossé et se sont battus pour tous, c'est droit, que nos politiciens pillent nos caisses, pour des étrangers, qui n’ont même pas le respect du pays et de ses citoyens, et qui ne seront jamais Français..Je vous remercie ...
    Pieds Noirs 9A..


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  • Viols et coups de ciseau : la richesse de la diversité
    Par: Manuel Gomez..

    Espagne : Madrid – Deux mineurs âgés de 14 ans ont abusé sexuellement d’une jeune fille de 15 ans lors des fêtes du quartier « Del Pilar ».

    Viols et coups de ciseau : la richesse de la diversité

    Cela s’est passé dans le site réservé au Parc des expositions, près du centre commercial de « La Vaguada ».

    La jeune victime, qui s’est défendue dans une courte bagarre, s’est plainte d’attouchements de ses parties intimes auprès du SAMU-Protection civile qui lui a tout bonnement conseillé de rentrer chez elle sans la prendre en charge.

    Ses parents sont venus la chercher et l’ont conduite à la police nationale pour déposer plainte.

    Les deux mineurs, l’un d’origine marocaine, le second d’origine paraguayenne, ont été appréhendés pour agression sexuelle avec violence.

    Allemagne : Cologne – Un migrant, d’origine maghrébine, selon les témoins, a pris en otage une femme, elle-même d’origine maghrébine, dans la pharmacie qui se situe à l’intérieur de la gare de Cologne.

    Dans un premier temps, il a tenté de mettre le feu aux vêtements de la jeune femme puis à la pharmacie, enfin il a réclamé une somme d’argent pour libérer son otage et, enfin, affirmé qu’il détenait une valise pleine d’explosifs.

    Après avoir négocié dans un premier temps, les forces spéciales appelées sur les lieux ont dû l’abattre.

    Blessé grièvement, il se trouve actuellement en réanimation à l’hôpital.

    Les autorités ont refusé d’informer les médias sur l’origine du preneur d’otage, ce sont les nouvelles consignes du gouvernement.

    Nous connaissons cela en France depuis des années et elles commencent à s’appliquer également en Espagne !

    France : Pierrefitte-sur-Seine (Seine-Saint-Denis) – Dans la nuit de vendredi à samedi, 8 voyous, des mineurs âgés de 14 à 16 ans, ont été mis en examen pour un viol en réunion sur une jeune fille de la cité.

    Cela s’est passé dans la cage d’escalier de l’immeuble.

    Ce viol s’est accompagné de violences ayant entraîné plus de huit jours d’I.T.T. (Incapacité Temporaire totale de Travail).

    Cinq mineurs ont été incarcérés pour participation active au viol et les trois autres remis en liberté, sous contrôle judiciaire, pour y avoir assisté.

    La Courneuve, toujours en Seine-Saint-Denis, dans la nuit de dimanche à lundi, vers 2 h 30, à proximité de la gare du RER, un individu, dont on ne connaît ni l’identité ni les origines, a tenté de pénétrer dans un pavillon en escaladant le portail. Mis en fuite par le propriétaire, il s’est éloigné et a agressé un homme à l’aide d’une paire de ciseaux, le blessant grièvement au niveau du cou, puis l’a frappé avec une poubelle qui se trouvait là, tout en hurlant « Allahu akbar ».

    La malheureuse victime a réussi à s’échapper et a pu se rendre dans un commissariat et donner le signalement de son agresseur avant de s’effondrer.

    Transportée à l’hôpital, son pronostic vital est engagé.

    L’agresseur a été interpellé quelques instants plus tard par la BAC (Brigade anti-criminalité) alors qu’il criait toujours « Allahu akbar » et avait les mains ensanglantées.

    Il était, paraît-il, sous l’emprise de l’alcool !

    Il sera poursuivi pour tentative d’homicide et apologie du terrorisme.

    Quand ce n’est pas un « déséquilibré », c’est forcément un « alcoolique » !

    Aubervilliers, encore en Seine-Saint-Denis, dimanche soir, vers 22 h 30, un individu a foncé sur des piétons avec sa camionnette.

    Après une course-poursuite, au cours de laquelle il a foncé également sur les policiers et percuté un véhicule de police, sa voiture a pu être « stoppée » à Saint-Denis.

    Il a pu être maîtrisé, non sans avoir essuyé plusieurs coups de feu de fusils à pompe et de Sig-Sauer.

    Blessé au bras, ses jours ne sont pas en danger.

    Un policier a été également blessé plus légèrement.

    Metz (Moselle) – Dans la nuit de jeudi à vendredi, dans une rue du centre-ville, près de la place Saint-Simplice, deux individus ont abordé une jeune femme qui marchait sur le trottoir, d’une manière un peu trop « insistante ».

    Son compagnon, qu’elle attendait, l’a rejoint. Âgé de 21 ans, il s’interpose et la situation dérape.

    Les deux individus le rouent de coups, notamment sur le visage.

    Transporté aux urgences de l’hôpital Mercy par les sapeurs-pompiers, il est assez gravement blessé et sa compagne est sous le choc.

    Quelques heures plus tard, dans cette même nuit, et également en plein centre-ville, les policiers ont interpellés trois individus, âgés de 17 à 20 ans, qui venaient de commettre une nouvelle agression, portant des coups à un homme qui leur avait refusé une cigarette parce qu’il ne fumait pas.

    L’enquête déterminera si ce sont les mêmes voyous, rejoints par un troisième, qui sont les auteurs de la première agression !

    Grigny (Essonne) – Quartier de la Grande Borne, un individu âgé de 20 ans circulait dangereusement sur un moto-cross.

    Interpellé par une patrouille alors qu’il s’engageait dans une ruelle, il n’a pas hésité à foncer sur l’un des policiers le blessant à une jambe.

    Un collègue, qui tentait de le menotter, a été à son tour frappé à coups de casque.

    Les policiers ont dû faire usage d’un « taser » pour parvenir à le maîtriser.

    Dans le véhicule de police, l’individu parvenait à libérer ses jambes et frapper violemment le conducteur.

    Conduit au commissariat de Juvisy-sur-Orge et placé en garde à vue, il était connu des services de police et avait une interdiction de se rendre à Grigny, pour quelles raisons ?

    Manuel Gomez

    https://ripostelaique.com


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