• Le citoyen n’aurait pas plus de droits qu’un enfant dans une nursery

    On ne va pas rappeler la brutalité du féminisme occidental dans l’épisode que nous vivons ; Todd en avait bien parlé dans Après l’Empire. Chesterton déjà en avait parlé lors de son voyage en Amérique : le citoyen n’aurait pas plus de droits qu’un enfant dans une nursery. J’ai souligné dans un texte sur Gustave de Beaumont, compagnon de route de Tocqueville, le caractère ombrageux, intellectuel, triste et platonique de l’épouse américaine qui selon Beaumont ne peut réussir à s’entendre avec son mari. Par contre elle déclenchera toutes les guerres humanitaires qu’on voudra.

    Nous vivons des temps apocalyptiques où le séculaire totalitarisme progressiste occidental jusque-là plus ou moins maintenu explose à la surface du monde et veut exterminer tout ce qui bouge. On relira l’étude de Rothbard sur le fanatisme judéo-protestant qui s’exprime aujourd’hui dans les pays anglo-saxons, protestants, scandinaves, germaniques et judéo-chrétiens comme on dit. La fin prévisible du catholicisme romain permet à cette folie millénariste et progressiste de s’exprimer comme elle le fit en Allemagne et ailleurs au seizième siècle. Le texte de Rothbard sur les anabaptistes de Munster est essentiel.

    J’en reviens à Orwell : comme tous les lecteurs superficiels j’en étais resté au sex crime. Mais cela va beaucoup plus loin, et Orwell réglait des comptes avec la modernité, et Orwell est considéré aujourd’hui comme un suprématiste à interdire des bibliothèques british. Car rien ne les arrête.

    On va voir pourquoi ; dès le début du livre ce maître martyr et étrange écrit :

    « C’était une fille d’aspect hardi, d’environ vingt-sept ans, aux épais cheveux noirs, au visage couvert de taches de rousseur (NDLR : 1984 abonde en rouquines) à l’allure vive et sportive. Une étroite ceinture rouge, emblème de la Ligue Anti-Sexe des Juniors, plusieurs fois enroulée à sa taille, par-dessus sa combinaison, était juste assez serrée pour faire ressortir la forme agile et dure de ses hanches. Winston l’avait détestée dès le premier coup d’œil. Il savait pourquoi. »

    C’est ce mot de détester qui me frappe. On n’en a pas fini :

    « C’était à cause de l’atmosphère de terrain de hockey, de bains froids, de randonnées en commun, de rigoureuse propreté morale qu’elle s’arrangeait pour transporter avec elle. Il détestait presque toutes les femmes, surtout celles qui étaient jeunes et jolies. C’étaient toujours les femmes, et spécialement les jeunes, qui étaient les bigotes du Parti : avaleuses de slogans, espionnes amateurs, dépisteuses d’hérésies. »

    On retrouve cette idée dans plusieurs épisodes du Prisonnier (la série télé, voyez mes textes) : on a une fille jeune et jolie, crétine et fanatique, bornée et maléfique, cruelle quand il faut. Le modèle écolo-progressiste d’aujourd’hui qui veut zigouiller la planète après y avoir mis bon ordre (elle a du mal avec la Russie, mais on verra…) en vient. Tout montre que le Prisonnier est la seule série télé à garder chez soi ; le reste est divertissement.

    La fille est un agent de la police de la pensée (mot remis à la mode par Annie Kriegel qui parla de police juive de la pensée un jour…) :

    « Mais cette fille en particulier lui donnait l’impression qu’elle était plus dangereuse que les autres. Une fois, alors qu’ils se croisaient dans le corridor, elle lui avait lancé un rapide regard de côté qui semblait le transpercer et l’avait rempli un moment d’une atroce terreur. L’idée lui avait même traversé l’esprit qu’elle était peut-être un agent de la Police de la Pensée. C’était à vrai dire très improbable. Néanmoins, il continuait à ressentir un malaise particulier, fait de frayeur autant que d’hostilité, chaque fois qu’elle se trouvait près de lui quelque part. »

    Ces créatures (rousses comme on a dit) sont conditionnées. Intervient le fameux épisode Goldstein :

    « Comme d’habitude, le visage d’Emmanuel Goldstein, l’Ennemi du Peuple, avait jailli sur l’écran. Il y eut des coups de sifflet çà et là dans l’assistance. La petite femme rousse jeta un cri de frayeur et de dégoût. Goldstein était le renégat et le traître. Il y avait longtemps (combien de temps, personne ne le savait exactement) il avait été l’un des meneurs du Parti presque au même titre que Big Brother lui-même. Il s’était engagé dans une activité contre-révolutionnaire, avait été condamné à mort, s’était mystérieusement échappé et avait disparu. »

    Dans ce monde de fonctionnaires froides et sans enfants (futures commissaires de Bruxelles) il ne faut pas bouger le petit doigt :

    « Deux doigts de sa main droite étaient tachés d’encre. C’était exactement le genre de détail qui pouvait vous trahir. Au ministère, quelque zélateur au flair subtil (une femme, probablement, la petite femme rousse ou la fille brune du Commissariat aux Romans) pourrait se demander pourquoi il avait écrit à l’heure du déjeuner, pourquoi il s’était servi d’une plume démodée, et surtout ce qu’il avait écrit, puis glisser une insinuation au service compétent. »

    La chasse au sexe « hétérosexuel » est devenue une activité mainstream en occident. Dans le monde d’Orwell on en est déjà là comme on sait :

    « Le but du Parti n’était pas simplement d’empêcher les hommes et les femmes de se vouer une fidélité qu’il pourrait être difficile de contrôler. Son but inavoué, mais réel, était d’enlever tout plaisir à l’acte sexuel. Ce n’était pas tellement l’amour, mais l’érotisme qui était l’ennemi, que ce fût dans le mariage ou hors du mariage. »

    Les naissances sont raréfiées et contrôlées (revoyez mon texte sur Platon et son livre VIII – de la République) :

    « Tous les mariages entre membres du Parti devaient être approuvés par un comité appointé et, bien que le principe n’en eût jamais été clairement établi, la permission était toujours refusée quand les membres du couple en question donnaient l’impression d’être physiquement attirés l’un vers l’autre. La seule fin du mariage qui fût admise était de faire naître des enfants pour le service du Parti. »

    Cible importante, l’érotisme supérieur (voyez l’hindouisme ou Daniélou, le culte de l’Amour au Moyen Age) et même le plaisir sexuel :

    « La seule fin du mariage qui fût admise était de faire naître des enfants pour le service du Parti. Le commerce sexuel devait être considéré comme une opération sans importance, légèrement dégoûtante, comme de prendre un lavement. Cela non plus n’avait jamais été exprimé franchement mais, d’une manière indirecte, on le rabâchait dès l’enfance à tous les membres du Parti. »

    L’on se rapproche d’une séparation totale (Philippe Muray me parlait en 2002 d’un projet de couvre-feu pour les hommes en Suède, c’est dommage, ils ne sont pas encore allés jusque-là). On évoque une insémination artificielle :

    « Il y avait même des organisations, comme celle de la ligue Anti-Sexe des Juniors, qui plaidaient en faveur du célibat pour les deux sexes. Tous les enfants devraient être procréés par insémination artificielle (artsem, en novlangue) et élevés dans des institutions publiques.

    Winston savait que ce n’était pas avancé tout à fait sérieusement, mais ce genre de concept s’accordait avec l’idéologie générale du Parti. »

    Ensuite on se rapproche de ce qui nous est arrivé. Le porno, la pseudo-libération, le web et l’abjection ont tué le « sexe » (le « faire l’Amour ») chez nous comme elles doivent le tuer dans le monde d’Orwell :

    « Le Parti essayait de tuer l’instinct sexuel ou, s’il ne pouvait le tuer, de le dénaturer et de le salir. Winston ne savait pas pourquoi il en était ainsi, mais il semblait naturel qu’il en fût ainsi et, en ce qui concernait les femmes, les efforts du Parti étaient largement couronnés de succès. »

    Le prix Nobel péruvien Vargas Llosa de passage dans une librairie universitaire US avait noté la disparition du sexe (il cherchait en amateur éclairé de la littérature érotique) et de toute culture d’ailleurs. La cancel culture a effacé presque tout (même l’orthographe) et elle  effacera tout.

    Le système orwellien tire ainsi parti des femmes :

    « Winston apprit avec étonnement que, sauf le directeur du Commissariat, tous les travailleurs du Pornosec étaient des femmes. On prétendait que l’instinct sexuel des hommes étant moins facile à maîtriser que celui des femmes, ils risquaient beaucoup plus d’être corrompus par les obscénités qu’ils maniaient.

    – Ils n’aiment pas avoir là des femmes mariées, ajouta-t-elle. On suppose toujours que les filles sont tellement pures ! En tout cas, il y en a une ici qui ne l’est pas.

    Elle avait eu son premier commerce amoureux à seize ans avec un membre du Parti âgé de soixante ans, qui se suicida plus tard pour éviter d’être arrêté. »

    Revenons-en au projet orwellien occidental ; à la fin du livre tout est révélé lumineusement ; on a Macron, sa clique, le prince Charles (pour moi il ne sera jamais Roi), Bill Gates, Harari-Schwab et tout le reste (pour comprendre ces gens lisez les textes de Balazs sur les eunuques) :

    « Dans notre monde, il n’y aura pas d’autres émotions que la crainte, la rage, le triomphe et l’humiliation. Nous détruirons tout le reste, tout. »

    Cela c’est la France actuelle.

    Mais continuons : on va briser le sexe, la famille, la culture, et même la science (j’allais dire surtout la science, car la natalité et la mortalité…) ! Orwell donc :

    « Nous écrasons déjà les habitudes de pensée qui ont survécu à la Révolution. Nous avons coupé les liens entre l’enfant et les parents, entre l’homme et l’homme, entre l’homme et la femme. Personne n’ose plus se fier à une femme, un enfant ou un ami. Mais plus tard, il n’y aura ni femme ni ami. Les enfants seront à leur naissance enlevés aux mères, comme on enlève leurs œufs aux poules. L’instinct sexuel sera extirpé. La procréation sera une formalité annuelle, comme le renouvellement de la carte d’alimentation. Nous abolirons l’orgasme. Nos neurologistes y travaillent actuellement. Il n’y aura plus de loyauté qu’envers le Parti, il n’y aura plus d’amour que l’amour éprouvé pour Big Brother. Il n’y aura plus de rire que le rire de triomphe provoqué par la défaite d’un ennemi. Il n’y aura ni art, ni littérature, ni science. »

    Dans un monde nu, un monde à poil, il ne restera que l’exercice du pouvoir (merci Jouvenel pour ton livre) : Breton, Leyen, Macron, Biden et leurs remplaçants vont se régaler jusqu’au bout :

    « Quand nous serons tout-puissants, nous n’aurons plus besoin de science. Il n’y aura aucune distinction entre la beauté et la laideur. Il n’y aura ni curiosité, ni joie de vivre. Tous les plaisirs de l’émulation seront détruits. Mais il y aura toujours, n’oubliez pas cela, Winston, il y aura l’ivresse toujours croissante du pouvoir, qui s’affinera de plus en plus. Il y aura toujours, à chaque instant, le frisson de la victoire, la sensation de piétiner un ennemi impuissant. Si vous désirez une image de l’avenir, imaginez une botte piétinant un visage humain… éternellement. »

    Le monde du vaccin, du Grand Reset et des guerres permanentes de l’Océanie est ainsi exposé (je ne donne pas les pages pour que vous les recherchiez et que vous le relisiez ce bouquin) :

    « Commencez-vous à voir quelle sorte de monde nous créons ? C’est exactement l’opposé des stupides utopies hédonistes qu’avaient imaginées les anciens réformateurs. Un monde de crainte, de trahison, de tourment. Un monde d’écraseurs et d’écrasés, un monde qui, au fur et à mesure qu’il s’affinera, deviendra plus impitoyable. Le progrès dans notre monde sera le progrès vers plus de souffrance. L’ancienne civilisation prétendait être fondée sur l’amour et la justice. La nôtre est fondée sur la haine. Dans notre monde, il n’y aura pas d’autres émotions que la crainte, la rage, le triomphe et l’humiliation. Nous détruirons tout le reste, tout. »

    Et comme on nous disait que Paris se couvre de rats et de punaises sous le règne interminable et minable (mais populaire) d’Anne H. :

    – Le rat, dit O’Brien en s’adressant toujours à son invisible auditoire, est un carnivore, bien qu’il soit un rongeur. Vous avez dû entendre parler de ce qui se passe dans les quartiers pauvres de la ville. Dans certaines rues, les femmes n’osent, même pour cinq minutes, laisser seul leur bébé dans la maison. Les rats l’attaqueraient certainement. En très peu de temps, ils l’éplucheraient jusqu’aux os. Ils attaquent aussi les malades et les mourants. Ils savent reconnaître, avec une étonnante intelligence, si un homme est impotent.

    Sources :

    http://www.bouquineux.com/index.php?telecharger=898&Orwell-1984

    https://lesakerfrancophone.fr/de-platon-a-packard-de-la-gestion-du-troupeau-humain-par-les-elites

    https://lesakerfrancophone.fr/bertrand-de-jouvenel-et-la-democratie-totalitaire

    https://lesakerfrancophone.fr/patrick-mcgoohan-le-prisonnier-et-le-nouvel-ordre-mondial

    https://lesakerfrancophone.fr/le-feminisme-us-par-dela-le-rien-et-le-male

    https://lesakerfrancophone.fr/observations-sur-le-devenir-eunuque-de-la-tyrannie-en-occident

    https://lesakerfrancophone.fr/gustave-de-beaumont-et-la-critique-radicale-de-la-democratie-americaine

    https://lesakerfrancophone.fr/de-notre-devenir-termite-via-davos-sunak-et-harari

    https://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9volte_de_M%C3%BCn

    Source


    1 commentaire
  •  


    1 commentaire
  • Conflit israélo-palestinien : raisonnons en Français souverains, pas en larbins serviles !

    Conflit israélo-palestinien : raisonnons en Français souverains, pas en larbins serviles !

    L'hystérisation de la classe politique française - et hélas aussi du camp national - dans ses réactions à la sanglante reprise de l'inextricable conflit israélo-palestinien est sidérante.

    Elle prouve au moins deux choses : l'importance disproportionnée d'un lobby communautaire dans notre société et au sein même de nos institutions ; le poids démographique et politique de la population afro-musulmane installée sur notre territoire.

    Le Parti de la France estime que la droite nationale n'a pas à s'aligner derrière un camp ou un autre dans cette guerre complexe et lointaine qui ne concerne en rien notre pays.

    Raisonnons en tant que Français libres et souverains, uniquement en fonction de nos intérêts nationaux, pas en larbins serviles d'une faction ou d'une autre !

    Thomas Joly - Président du Parti de la France


    1 commentaire
  • Israël : Les taux de mortalité ont baissé depuis que les médecins des hôpitaux publics sont en grève

    Les actions revendicatives menées par les médecins en Israël semblent bénéfiques pour la santé de leurs patients. Les taux de mortalité ont considérablement baissé dans la majeure partie du pays depuis que les médecins des hôpitaux publics ont mis en œuvre un programme de sanctions il y a trois mois, selon une enquête auprès des sociétés funéraires.

    L’Association médicale israélienne a lancé l’action le 9 mars pour protester contre la proposition du Trésor d’imposer un nouveau contrat salarial de quatre ans aux médecins. Depuis lors, des centaines de milliers de visites dans des cliniques externes ont été annulées ou reportées, ainsi que des dizaines de milliers d’opérations électives. Les hôpitaux publics, qui fournissent la grande majorité des soins médicaux secondaires et tertiaires, ont maintenu leurs salles d’urgence, leurs unités de dialyse, leurs services d’oncologie, leurs services d’obstétrique et de néonatologie, ainsi que d’autres installations vitales, en fonctionnement normal pendant la grève.

    En l’absence de chiffres officiels, le Jerusalem Post a interrogé les sociétés funéraires juives à but non lucratif, qui organisent les funérailles de la grande majorité des Israéliens, pour savoir si les actions revendicatives avaient un impact sur les décès dans le pays.

    « Le nombre d’enterrements que nous avons organisés a considérablement diminué », a déclaré Hananya Shahor, directrice chevronnée de la société funéraire Kehilat Yerushalayim de Jérusalem. « Ce mois-ci, il n’y a eu que 93 funérailles, contre 153 en mai 1999, 133 le même mois en 1998 et 139 en mai 1997 », a-t-il déclaré. La société gère 55% de tous les décès dans la zone métropolitaine de Jérusalem. En avril dernier, il n’y a eu que 130 décès, contre 150 ou plus au mois d’avril précédent. « Je ne peux pas expliquer pourquoi », a déclaré M. Shahor.

    Meir Adler, directeur des pompes funèbres Shamgar, qui enterrent la plupart des autres habitants de Jérusalem, a déclaré avec beaucoup plus de certitude : « Il y a certainement un lien entre les sanctions des médecins et la diminution du nombre de décès. Nous avons vu la même chose en 1983 [lorsque l’Association médicale israélienne a appliqué des sanctions pendant quatre mois et demi].”

    Motti Yeshuvayov, de la seule société funéraire de Tel Aviv, a déclaré qu’il avait remarqué la même tendance dans la zone métropolitaine de Tel Aviv au cours des deux derniers mois. La seule exception à la tendance à la baisse des décès concerne la région de Haïfa.

    La ville côtière de Netanya ne compte qu’un seul hôpital, et celui-ci a été épargné par les actions revendicatives car le personnel doit signer une clause de non-grève avec son contrat. La société funéraire de Netanya, dirigée par Shlomo Stieglitz, a signalé 87 funérailles le mois dernier, soit le même nombre qu’en mai 1999. Elle en a signalé 97 en avril contre 122 en avril 1999, et 99 en mars contre 119 en mars 1999. M. Stieglitz a déclaré que sa société funéraire dessert non seulement Netanya mais aussi d’autres villes, notamment Hadera et Kfar Sava, où les médecins hospitaliers se sont joints aux sanctions.

    Avi Yisraeli, directeur général de l’Organisation médicale Hadassah, qui possède deux hôpitaux universitaires dans la capitale, a donné sa propre explication. « La mortalité n’est pas la seule mesure des dommages à la santé. Le manque d’intervention médicale peut entraîner un handicap, des douleurs et un fonctionnement réduit. Une intervention chirurgicale programmée peut apporter une grande amélioration de l’état d’un patient, mais elle peut également entraîner une invalidité et la mort chez les patients les plus faibles. Et les patients qui ne subissent pas de diagnostic ou de chirurgie maintenant pourraient décliner ou mourir dans quelques mois en raison du report.

    Durant les mois de grève, les patients « se rendent davantage chez leur médecin de famille et aux urgences des hôpitaux, qui n’ont pas été touchés par les sanctions », a déclaré le professeur Yisraeli.

    Source


    1 commentaire
  • Vaccin HPV Gardasil : des effets indésirables neurologiques connus depuis 2009


    1 commentaire