• Saint-Brévin : pourquoi ce silence sur l’incendiaire gauchiste arrêté ?

    Saint-Brévin : pourquoi ce silence sur l’incendiaire gauchiste arrêté ?

    La république des menteurs et calomniateurs… ça suffit ! Le maire de Saint-Brévin, Yannick Morez, voulait l’installation d’un CADA à côté d’une école. Les parents des élèves de cette école ne voulaient pas de ce projet de CADA car potentiellement dangereux pour les enfants. Le collectif qu’ils ont constitué pour s’opposer fut sans délai considéré par tous les pro-immigration comme un regroupement d’extrême droite.

    Le 22 mars 2023, les deux véhicules du maire et une partie de sa maison furent incendiés de nuit. Immédiatement et sans aucune preuve, tout ce que la France compte de bien pensants, presque tous les médias et partis de gauche ainsi que nombre d’associations, ont désigné les coupables : « l’extrême droite » et le collectif des parents d’élèves.

    De plus, alors que tout le monde à Saint-Brévin savait que le maire souhaitait arrêter son mandat et quitter la ville, ce dernier a « habillé » son départ en prétendant qu’il jetait l’éponge du fait de cet incendie et des pressions qu’il subissait.

    Ce fut là aussi un déchaînement immédiat des mêmes, auxquels il convient d’ajouter le gouvernement lui-même, contre les parents d’élèves et «l’extrême droite».

    Une manifestation fut même organisée à Saint-Brévin avec tous ce que la gauche compte de leaders en Bretagne et même en présence de quelques «vedettes» nationales, telles Mélenchon. Manifestation peinant à rassembler 3.000 personnes.

    Le maire, pour sa part, fut reçu à Matignon par le premier ministre. La république fut aussi décrétée en danger. Ce dont les médias bien pensants (Le Monde, Médiapart, Libération, BFM, LCI,...) se sont largement fait l’écho.

    Voilà 4 mois que ces faits ont eu lieu. Pendant ces 4 mois quasiment pas un jour sans des accusations gratuites lancées à tout propos et surtout hors de propos par ceux qui prétendent que « la république est en danger ».

    Mais où sont les preuves que leurs accusations sont fondées ? Pourquoi la gendarmerie chargée de l’enquête n’a-t-elle pas le commencement d’une preuve que ces accusations contre «l’extrême droite» sont fondées ? Donc, pourquoi la gendarmerie ne dit-elle pas que ces accusations sont fausses ? Pendant ce temps là, les bien pensants continuent d’accuser sans preuve et de répandre leur venin.

    Récemment, deux personnes ont été arrêtées et placées en garde à vue par les gendarmes. Une rumeur insistante s’est répandue dans Saint-Brévin indiquant que l’une des personnes arrêtées aurait un profil très intéressant pour l’enquête sur l’incendie de la demeure et des véhicules du maire.

    Dans notre communiqué du 12 juillet, nous avons donné un certain nombre d’éléments connus de tous à Saint-Brévin, permettant assez facilement de cerner le profil de la personne en cause. Pourquoi la gendarmerie ne fait-elle aucun commentaire pour confirmer ou dénoncer ce que dit cette rumeur ? Pourquoi le procureur de Nantes reste-t-il obstinément silencieux ?

    La Coordination Partout Callac considère que ces silences sont lourds de sens. Ne pas réfuter la rumeur qui circule dans Saint-Brévin quant au profil de la personne qui a été interpellée n’est-ce pas d’une certaine manière confirmer que cette rumeur a un fondement et que cette personne pourrait bien être l’incendiaire ? En tout cas, on ne peut manquer d’en conclure que le procureur et la gendarmerie ne sont pas pressés que la vérité éclate. Ils préfèrent par leur silence « enterrer » l’affaire, donc laisser accuser des innocents et s’échapper les coupables. Les congés d’été commencent. Lorsqu’ils seront terminés nous serons en septembre et ils espèrent sans doute que la population aura oublié et sera passée à autre chose.

    Et puis, de nos jours, accuser ou laisser accuser « l’extrême droite » de tous les péchés de la création est plus dans l’air du temps que d’arrêter et de poursuivre ceux qui mériteraient de l’être, comme les récentes émeutes des banlieues viennent de le démontrer.

    La Coordination Partout Callac dénonce tous les discours des bien pensants qui accusent sans aucune preuve. Elle exige que la gendarmerie et le procureur de Nantes conduisent avec sérieux et détermination l’enquête pour retrouver le ou les incendiaires de Saint-Brévin et qu’ils communiquent à ce sujet afin d’informer tous les citoyens de la conduite de l’enquête et de ses résultats. Notre république ne saurait être celle où règnent en maîtres les menteurs et les calomniateurs.

    Bernard Germain - Porte-parole de la Coordination Partout Callac


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  • Ouest France : Pauline Decker dénonce un salarié pour ses idées politiques

    Là mes amis, heureusement que j’étais assis en apprenant cette nouvelle, sinon je serais tombé sur le derrière. 

    À l’occasion de cette prise d’information, dans la catégorie des personnes abjectes, j’en ai découvert une qui a décroché la queue du Mickey : Pauline Decker, journaliste de son état à Ouest France.

    Cette dame, voyez-vous, n’a rien trouvé de mieux à faire que de contacter le maire de Lorient pour l’alerter qu’un dangereux membre de «l’extrême droite» (membre de Reconquête) venait d’être recruté par ses services pour assurer un job d’été au sein de la police municipale.

    Service municipaux pas sérieux, selon elle, puisque le recrutement de cet extrémiste a eu lieu sur CV, «Sans avoir googlisé les candidats» précise la journaliste de Ouest France.

    Le maire, très gêné, a répondu à la journaliste : «Je comprends le malaise que ça crée, mais si je mets fin à son contrat, alors je commence à me mêler des appartenances politiques des employés municipaux : c’est impossible» (Ouest France du 17 juillet 2023)

    Ces éléments méritent qu’on s’y arrête tellement ils sont graves.

    Commençons par le maire, Fabrice Loher, représentant typique de la droite qui se dit «républicaine».

    Il répond à la journaliste : «Je comprends le malaise que ça crée»… vraiment ?

    L’affaire commence donc très mal. Ce Monsieur reçoit une lettre de «dénonciation» d’un «corbeau» de Ouest France qui lui demande en fait de virer un jeune pour délit d’opinion.

    Au lieu d’envoyer paître l’odieux personnage qui s’autorise ce comportement, «il comprend le malaise que ça crée». Ce qui revient à reconnaître que ça pose effectivement un problème d’avoir recruté une personne «d’extrême droite». Donc pour lui le délit d’opinion est un vrai sujet et serait un critère valable pour empêcher quelqu’un d’accéder à un emploi, ou pour le perdre. Et ce monsieur se dit «républicain» ?

    Au fait, quel problème ce recrutement pose-t-il ? La ville de Lorient va-t-elle, comme la République, «être en danger» à cause du fascisme qui la menace avec ce recrutement d’un jeune au sein de la police municipale ?

    Mais notre élu se souvient brusquement qu’il existe un document qui s’appelle le Code du travail, dans lequel il est clairement dit qu’on ne peut pas virer quelqu’un notamment pour ses opinions.

    Et à regret, il ajoute donc à l’adresse de la journaliste : «si je mets fin à son contrat, alors je commence à me mêler des appartenances politiques des employés municipaux : c’est impossible».

    Quel dommage, n’est-ce pas… Mais à ce jour, ce n’est pas encore possible.

    Reste que cet élu «républicain» se montre d’une complaisance coupable face à la démarche honteuse de cette journaliste.

    Est-ce bien étonnant ? Ses coreligionnaires au plan national ne font-ils pas la même chose -montrant ainsi l’exemple- vis à vis de l’extrême gauche, c’est à dire la NUPES et sa composante la plus exaltée : la France insoumise, devant laquelle ils s’aplatissent invariablement malgré les déclarations et actions délirantes de l’extrême gauche ?

    Et cela fait 40 ans que cette droite «républicaine» s’aplatit devant la gauche et ses exigences politiques.

    Oui, c’est un fait indiscutable, cette droite sans colonne vertébrale, sans principe et totalement couarde porte une écrasante responsabilité quant à la situation catastrophique que vit actuellement notre pays.

    Venons-en maintenant à cette journaliste.

    Normalement, et jusqu’à plus ample informé, un journaliste est là pour rapporter des faits et les présenter de la manière la plus honnête et objective à ses lecteurs, leur laissant le soin d’en tirer les conclusions qu’ils souhaitent.

    Or que constate-t-on dans la démarche de Pauline Decker ?

    Elle ne relate pas des faits, elle ne les expose pas honnêtement et objectivement à ses lecteurs.

    Non, sa démarche est radicalement inverse : elle prend l’initiative et intervient afin de modifier le cours des choses. Ce n’est plus du journalisme, c’est une action militante utilisant le média dans lequel elle travaille pour faire passer ses idées et obtenir les résultats attendus par elle.

    C’est à l’évidence une grave violation de l’éthique et de la déontologie du journaliste.

    Le plus extraordinaire étant que ce sont les gens comme Pauline Decker qui accusent les autres journalistes de leurs propres turpitudes.

    Je veux parler, par exemple, du mauvais procès fait à Geoffroy Lejeune par les journalistes bien pensants afin de l’empêcher de pouvoir travailler au JDD. Pour l’empêcher de… professer ses idées d’extrême droite.

    C’est le cas aussi pour d’autres journalistes, comme Laurence Ferrari. Elle présentait autrefois le journal de TF1. Depuis elle travaille pour CNews et Europe 1. Mauvaise pioche, ce sont des médias «fascistes» donc la pauvre Laurence Ferrari se retrouve diabolisée par les collègues bien pensants.

    Laurence Ferrari est maintenant affublée du qualificatif d’«extrême droite». Ce qui la scandalise à juste titre.

    Bienvenue au club, chère Laurence.

    Mais revenons à nos moutons.

    Notons tout d’abord que la démarche de Pauline Decker n’est pas banale.

    Elle a pris l’initiative de contacter la mairie de Lorient afin de l’alerter d’un recrutement qui n’aurait pas du avoir lieu.

    Reconnaissez que c’est extravagant. Cette journaliste a donc mené une enquête en amont sur ce jeune membre de Reconquête. Il était donc surveillé. Elle l’a pisté et sans doute après avoir été informée par un courageux corbeau elle a découvert qu’il était recruté au sein de l’équipe municipale de Lorient.

    Combien sont-ils ainsi à être surveillés par cette journaliste, et combien d’autres journalistes se livrent à ces sinistres activités relevant du flicage ?

    On est d’ailleurs endroit de s’interroger : le journal Ouest France compte-t-il ouvrir une rubrique dans laquelle il dénoncera régulièrement les «extrémistes de droite» qu’il a découvert, à la fac, dans les entreprises, les associations ou toute autre structure avec l’objectif avoué de porter atteinte à leur réputation ou leurs intérêts. Voire de les détruire socialement.

    En tout cas cet événement confirme qu’un véritable système de surveillance est en train de se mettre en place qui flique les gens jugés à problème par les bien pensants. Pour les marginaliser, ou les tuer socialement.

    Le pays qui avait généralisé la chose au XX° siècle était la RDA (Allemagne de l’Est) et la police concernée était la STASI. Police politique de la RDA, comme le Guépéou l’était dans l’URSS communiste.

    On n’oubliera pas que suite à l’effondrement du mur de Berlin, les archives de la STASI ont été rendues publiques et le monde a pu mesurer avec stupeur l’incroyable ampleur du système de surveillance qui avait été mis en place dans ce pays, y compris jusqu’au sein des familles.

    C’est donc indiscutablement ce genre d’organisation qui est en train de se mettre en place en France en 2023 dans une stupéfiante indifférence de la majorité de la classe politique et des médias aux ordres qui sont complices ou font semblant de ne rien voir. Il n’a bien sûr pas encore l’ampleur de ce qui exista en RDA, mais ce qui compte c’est que la machine est lancée dans notre France de 2023 et qu’il se trouve des personnes pour le servir sans état d’âme.

    La seconde chose qui me semble importante à souligner c’est le profil de cette journaliste.

    Elle semble avoir entre 30 et 40 ans. Un âge ou normalement la vie vous a déjà appris certaines choses.

    Dès lors, on ne peut que s’interroger.

    Comment cette personne, qui se réclame de la gauche et devrait donc selon les dogmes qu’elle professe être attachée à la «démocratie», peut-elle dénoncer une personne à son employeur, au motif de ses opinions politiques et dans le but explicite de lui faire perdre son emploi ?

    Dénoncer un individu, est-ce le rôle d’un journaliste ? Obtenir le licenciement d’une personne : est-ce cela de nos jours la finalité du métier de journaliste ?

    Et d’une manière plus globale, Pauline Decker trouve-t-elle normal que quelqu’un soit inquiété pour ses opinions ? Manifestement, oui.

    En généralisant une telle conception, un étudiant mal pensant devrait être viré de sa faculté, un employé mal pensant devrait être chassé de son entreprise, un fonctionnaire mal pensant devrait être expulsé de l’administration, un voisin mal pensant devrait être jeté en prison,…

    Mais dites-moi, un tel régime est-ce que ce ne serait pas ce qu’on appelle une dictature ?

    Reste ce qui est sans doute le côté le plus fascinant de l’affaire.

    Pauline Decker (combien sont-ils à être comme elle ?) se présente comme une démocrate luttant pour empêcher notre pays de sombrer dans le fascisme. Ce qui relève d’ailleurs d’un délire absolu puisque ce danger n’existe pas, mais surtout parce que -au nom de la démocratie- elle commet les pires atteintes à la démocratie.

    Si elle le pouvait, selon sa logique, elle ferait certainement jeter en prison ce jeune et combien d’autres ?

    Pauline Decker ne semble pas en avoir conscience, mais au nom de la démocratie elle assassine la démocratie.

    Un journaliste est supposé avoir un minimum de connaissances et de réflexion.

    Mme Decker n’a-t-elle pas entendu parler des millions de morts du stalinisme ? N’a-t-elle pas entendu parler des millions de morts du Maoïsme ? N’a-t-elle pas entendu parler des camps de rééducation de la Corée du Nord ou de Pol Pot ? N’a-telle pas connaissance de tous les morts du castrisme ? Et cette liste n’est pas exhaustive.

    Tous morts, ou victimes d’une épouvantable rééducation, au motif qu’ils n’avaient pas les «bonnes idées».

    Et pourtant en 2023, sans vergogne et visiblement sans avoir rien appris des leçons de l’histoire, elle reprend à son compte cette fière tradition du délit d’opinion chère à tous les ennemis de la liberté. Ce serait donc cela le noble combat pour la défense de la démocratie des temps modernes ?

    Non, le combat que mène Mme Decker n’est pas le combat pour la défense de la liberté ni de la démocratie. Son combat est une épouvantable abomination. Une horrible reprise du combat qui a motivé les tortionnaires et les assassins au service de tous ces régimes anti-démocratiques qui ont causé la mort ou les persécutions de dizaines de millions de personnes au cours du XX° siècle.

    En se faisant l’écho des «exploits» de Mme Decker, le journal Ouest France montre d’une part qu’il n’a rien à y redire et en est de ce fait totalement complice et d’autre part à quel point ce journal est aux antipodes des valeurs qu’il prétend défendre.

    Quant à Mme Decker elle n’est qu’un sinistre personnage, un Torquemada des temps modernes.

    Heureusement qu’elle n’aura jamais le pouvoir.

    Bernard GERMAIN

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  • Les étapes du chaos qui se prépare pour septembre


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  • Les CDC approuvent l’allaitement par la poitrine pour les hommes

    Selon les lignes directrices sur l'allaitement approuvées par les Centres de contrôle et de prévention des maladies, l'une des options pour les parents transgenres qui souhaitent "breastfeed (donner le sein) ou chestfeed (nourrir avec la poitrine) à leur enfant" est d'induire la lactation à l'aide de médicaments, mais des experts médicaux ont déclaré au Defender que les lignes directrices ne tiennent pas compte des risques que ces médicaments posent pour la santé des nourrissons.

    Les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) ont fait les gros titres cette semaine après que le Daily Mail a rapporté que l’agence avait approuvé le “chestfeeding” en publiant des conseils pour les hommes biologiques trans-identifiés sur la manière d’induire la lactation.

    Selon les lignes directrices du CDC relatives à l’allaitement, une option pour les “parents transgenres qui ont subi une chirurgie mammaire” et qui souhaitent “allaiter ou donner le sein à leurs enfants” consiste à induire la lactation à l’aide d’un médicament.

    L’induction de la lactation nécessite la prise d’une combinaison de médicaments, y compris des contraceptifs hormonaux pour fournir des œstrogènes et de la progestérone, et un bloqueur d’androgènes pour reproduire le “milieu hormonal” de la grossesse.

    Le protocole peut également inclure un médicament pour le cœur, un antipsychotique, un sédatif et l’utilisation officieuse d’un médicament anti-nauséeux pour stimuler la lactation, appelé dompéridone, dont l’utilisation n’est pas approuvée par la Food and Drug Administration (FDA) aux États-Unis.

    Mais des experts, comme le Dr Paul Thomas, pédiatre à la retraite, ont déclaré au Defender qu’ils étaient très préoccupés par le “chestfeeding” en tant que moyen pour les hommes biologiques transidentifiés de nourrir les bébés.

    Selon M. Thomas, la question de savoir ce qui est le mieux pour le bébé devrait être la première, voire la seule, préoccupation. “Lorsque nous devenons parents d’un nourrisson, nous mettons de côté nos propres besoins et nous nous concentrons sur ce qui est le mieux pour notre bébé”, a déclaré M. Thomas.

    “En matière de nutrition, le lait maternel est le meilleur”, a-t-il ajouté, mais “si la production de lait maternel nécessite des médicaments pharmaceutiques ayant des effets secondaires néfastes connus, le ‘lait’ produit n’est pas un lait maternel ‘sûr’”. Il contient une concoction de produits chimiques qui sont probablement nocifs”.

    Mary Lou Singleton, sage-femme et infirmière praticienne, a déclaré au Defender :

    “Les besoins et l’intérêt supérieur de l’enfant sont totalement absents de la discussion sur les hommes biologiques qui s’identifient comme des femmes et qui induisent la lactation. Lorsqu’un nourrisson est nourri avec du lait produit par une personne autre que la femme qui l’a élevé et mis au monde, il y a rupture du lien maternel.

    “Dans les cas de tragédie ou de maladie maternelle, le lait de donneuses peut être la meilleure alternative à l’allaitement par la mère, mais cela doit être considéré comme une réduction des risques plutôt que comme le moyen idéal de nourrir un nourrisson”.

    Selon le journaliste Michael Shellenberger, le fait que le CDC ne tienne pas compte de la question de la santé des nourrissons dans ses recommandations montre à quel point l’agence a été politisée.

    “Les conseils du CDC en matière d’allaitement n’ont manifestement rien à voir avec le bien-être des nourrissons. Son approbation d’un cocktail d’hormones non homologué démontre, une fois de plus, que le CDC est une institution capturée qui émet des conseils fondés sur des intérêts politiques plutôt que sur des preuves scientifiques ou sur la santé”, a-t-il écrit.

    Les médecins qui critiquent les lignes directrices du CDC ont déclaré au Daily Mail qu’ils pensaient que le CDC avait la “responsabilité” de divulguer le manque de recherche et les risques potentiels, ajoutant que l’agence “brouillait les lignes entre la politique et la science”.

    L’établissement médical mène des expériences médicales sur des nourrissons

    Dans le monde entier, les experts médicaux recommandent systématiquement aux mères d’allaiter exclusivement leurs bébés pendant les six premiers mois de leur vie, en invoquant toute une série d’avantages pour la santé de l’enfant.

    “Pour la quasi-totalité de l’histoire de l’humanité et pour l’ensemble du règne mammifère, l’allaitement est la continuation de la relation mère-bébé qui commence avec la grossesse”, a déclaré Mme Singleton.

    Elle a déclaré que le lait produit pour un nourrisson “par le corps de la femme qui l’a conçu et mis au monde (ce que l’on appelait autrefois sans équivoque la mère du nourrisson) est l’aliment parfait pour l’enfant”.

    “La science ne peut pas reproduire la conception évolutive qui permet au corps des femmes de réagir à d’infimes changements biochimiques chez le nouveau-né et de modifier dynamiquement la quantité et la composition du lait maternel en réponse aux besoins en constante évolution de l’enfant”, a déclaré Mme Singleton.

    Il existe très peu d’études ou même de cas de lactation induite chez les femmes transgenres.

    Le Daily Mail indique que les femmes transgenres souhaitant allaiter peuvent prendre une combinaison de médicaments appelée le protocole Newman-Goldfarb, qui a été initialement mis au point pour les femmes biologiques n’ayant pas accouché mais souhaitant allaiter un enfant.

    Mais il existe peu de preuves de la réussite ou de l’innocuité du protocole, même chez les femmes.

    Le protocole clinique de l’Academy for Breastfeeding Medicine (ABM) suggéré par le CDC ne cite qu’une seule étude portant sur un homme biologique où la lactation a été induite. Un deuxième cas a également été rapporté dans le Journal of Clinical Endocrinology & Metabolism en 2021.

    “Un homme biologique ne peut pas allaiter sans une intervention médicale majeure”, a déclaré M. Singleton. L’induction de la lactation à l’aide de médicaments conçus pour neutraliser la physiologie masculine produira du “lait” contenant un cocktail de médicaments perturbateurs endocriniens “.

    Elle a déclaré que nous n’avons aucune idée des effets néfastes de cette substance sur l’alimentation des nourrissons, et ajoutant:

    “En se concentrant sur les désirs d’adultes masculins biologiques désireux de vivre une expérience exclusivement féminine, l’establishment médical mène une expérience médicale sur des enfants en bas âge.

    “Les nourrissons concernés n’ont pas de problèmes de santé justifiant leur inclusion dans un essai médical.

    M. Thomas a déclaré que, par exemple, “la dompéridone suggérée pour stimuler la production de lait a des effets secondaires connus qui devraient l’exclure de la considération”.

    La FDA met en garde contre l’utilisation de la dompéridone, un médicament anti-nauséeux qui augmente également la prolactine, l’hormone qui favorise la production de lait. Ce médicament n’est approuvé nulle part pour augmenter la production de lait et il n’est pas du tout approuvé aux États-Unis en raison des risques potentiels pour la santé.

    Il est connu pour provoquer des arythmies cardiaques, des arrêts cardiaques et des morts subites chez les adultes.

    Dans les pays où la dompéridone est approuvée pour d’autres usages, l’étiquetage mentionne explicitement que “le médicament est excrété dans le lait maternel, ce qui pourrait exposer un enfant allaité à des risques inconnus”.

    En raison de la possibilité d’effets indésirables graves, la FDA déconseille l’utilisation de la dompéridone pour augmenter la production de lait chez les femmes qui allaitent.

    Le protocole clinique ABM suggéré par le CDC et la discussion sur la dompéridone de la National Library of Medicine indiquent que très peu d’études ont été réalisées sur les effets de la dompéridone dans le lait maternel.

    M. Thomas a déclaré que la même préoccupation concernant les effets secondaires potentiels chez les nourrissons s’applique à tous les autres médicaments recommandés pour stimuler la lactation chez les hommes biologiques, en ajoutant:

    “C’est le cas de la plupart des médicaments anti-nauséeux, des médicaments pour le cœur, des antipsychotiques et des sédatifs. Ce n’est pas parce qu’un médicament a pour effet secondaire d’augmenter la lactation (production de lait) que c’est une bonne idée d’exposer les bébés à ces médicaments. Ils ont tous un profil d’effets secondaires considérable, autre que d’augmenter la production de lait”.

    Par exemple, la spironolactone, utilisée dans un protocole, est généralement utilisée pour traiter les maladies du foie et des reins ainsi que l’hypertension artérielle, et a provoqué des tumeurs chez des animaux de laboratoire.

    Le pantoprazole, également inclus dans le même protocole, est un médicament contre le reflux gastro-œsophagien qui présente un large éventail d’effets secondaires, notamment pour les femmes enceintes ou allaitantes.

    Ces médicaments sont recommandés en plus des hormones contraceptives et des hormones telles que l’Estrace, qui est généralement utilisé pour traiter la ménopause et comporte un large éventail d’effets secondaires potentiels, allant des troubles de l’humeur aux problèmes des organes reproducteurs en passant par les caillots sanguins.

    Outre le CDC, le National Health Service du Royaume-Uni, Healthline et d’autres sites web indiquent que les hommes transgenres peuvent induire la lactation à l’aide de médicaments, sans mentionner les difficultés ou les effets secondaires potentiels pour le parent ou l’enfant.

    Compte tenu des risques potentiels pour le nourrisson, M. Thomas a recommandé différentes alternatives pour les parents qui n’allaitent pas :

    “Les parents qui ne parviennent pas à produire suffisamment de lait maternel en utilisant des moyens de soutien naturels devraient envisager l’utilisation de compléments d’allaitement ou d’un biberon, et obtenir ainsi tout le temps de peau contre peau dont vous avez tous les deux besoin [to bond with the baby] en dehors de la fenêtre d’allaitement”.

    Il a ajouté : “S’il vous plaît, faites toujours passer l’intérêt du bébé en premier”.

    Brenda Baletti, Ph. D.

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  • Le gouvernement veut augmenter les taxes sur l'alcool !

    Le gouvernement veut augmenter les taxes sur l'alcool !

    Comme avec le tabac, pour se donner bonne conscience et au nom de la santé publique, l’État prévoit d’augmenter les taxes sur l'alcool pour engranger des recettes !

    Le « quoi qu'il en coûte » de l'irresponsable élyséen, les Français vont le payer au prix fort.

    Alors que de plus en plus de nos compatriotes n'allaient déjà plus au cinéma ou au restaurant et pour certains en sont désormais arrivés à se priver de viande, de poisson... ou même parfois d'un repas, bientôt même un apéritif entre amis va devenir un luxe que beaucoup ne pourront plus se permettre.

    Plutôt que de taxer toujours plus les contribuables français pour financer une politique irresponsable, que le gouvernement commence par faire la chasse aux dépenses inutiles comme l'A.M.E, aux aides sociales versées aux étrangers, aux subventions accordées à toutes ces associations nuisibles à la France (ADDE, RESF, Ligue des droits de l'homme,...). Depuis plus de quarante ans, l'immigration extra-européenne, qui s'est transformée en véritable invasion migratoire, ruine la France ! Aujourd'hui il faut réserver l'argent des Français aux Français.

    Le Parti de la France réduira la TVA à 5,5 % sur tous les alcools et supprimera les droits d’accises, véritable dîme étatique.

    Gilles Le Tallec - Membre du Bureau politique du Parti de la France


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