• Peut être une image de 1 personne et texte qui dit ’QUAND LES LOIS SONT FAITES PAR CEUX QUI ÉCHAPPENT AUX LOIS. LE DÉBAT EST CLOS.’


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  • CNEWS
     
    Amaury Bucco on Twitter
     
     J'ai pu m'entretenir ce soir avec la policière de 29 ans qui s'est fait prendre en chasse dimanche après-midi, à Villeparisis, alors qu'elle roulait avec ses enfants de 6 et 8 ans, en dehors de son service. Une voiture occupée par deux hommes, avait tenté de lui barrer la route en la percutant. L'un des occupants avait crié: « je sais que tu es de la police » à deux reprises. Elle avait pris la fuite. Au téléphone, cette jeune policière indique être encore profondément affectée par cet incident. Elle serait en arrêt de travail: « je ne me sens plus en sécurité ni dans mon service, ni hors service ». Elle explique être sous antidépresseurs et prendre des somnifères pour trouver le sommeil. Elle ajoute s'être barricadée chez elle, et ne plus en sortir. Son mari, également policier, reste auprès d'elle. Elle précise encore avoir dissimulé sa voiture. Cette policière se déclare enfin très surprise des suites judiciaires données à l'affaire, qui aurait été classée faute de pouvoir caractériser l'infraction, et ce malgré l'interpellation des deux occupants de la voiture. Une demande a été adressée au parquet de Meaux pour vérifier ce point.
     

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  • Hommage à un Homme qui est resté fidèle à ses engagements..

    Posté par: Pieds Noirs 9A..

    Hommage à un Homme qui est resté fidèle à ses engagements jusqu'à la mort. Honneur et Fidélité.

    En ce jour de deuil, commémoration de l'assassinat de Roger DEGUELDRE.Philippe est né trois semaines, avant que son papa ne succombe, à des balles Françaises.Dans cette vidéo, il évoque, non seulement son père, gloire à L'O.A.S, mais aussi, son frère aîné, l'autre fils de DELTA.

    Roger DEGUELDRE : À DIEU.

     Un lâche assassinat organisé par De Gaulle et ses sbires

    Roger Degueltre
    Le martyre enduré par le supplicié est une véritable honte pour ses auteurs et pour la France !!!

    Ci-dessous un texte de José Castano à ce sujet :
    « Le jour où les « fells » entreront à Alger, j’espère trouver trois compagnons pour garder les faces du Monument aux morts et tomber en tirant une dernière salve de PM – R.D –
    ...C’est quelques heures seulement après le génocide du 5 juillet 1962 qui, rappelons-le, fit plus de trois mille victimes parmi la population civile européenne, que De Gaulle prit sa décision de faire fusiller le lieutenant Roger DEGUELDRE qui, fidèle à son engagement « La mort plutôt que le déshonneur! », avait justifié son action dans l’OAS par ces mots : « Mon serment, je l’ai fait sur le cercueil du Colonel Jeanpierre. Plutôt mourir, Mon Colonel, que de laisser l’Algérie aux mains du FLN, je vous le jure ! »
    ...Le lendemain, 6 juillet 1962, à l’aube, au fort d’Ivry, Degueldre se présenta devant le peloton d’exécution en tenue de parachutiste, le drapeau tricolore sur la poitrine, drapeau auquel il avait tout sacrifié et qu’il avait choisi comme linceul. Autour de son cou, il avait noué un foulard de la légion. Dans la poche intérieure de sa vareuse, il y avait la photo d’un bébé, son fils qu’il n’avait jamais vu. Il avait conçu cet enfant dans la clandestinité. Le bébé était venu au monde alors que le père se trouvait dans sa cellule de condamné à mort. « Dites que je suis mort pour la France ! » s’écria-t-il à l’adresse de son défenseur. Puis il refusa qu’on lui bande les yeux et, au poteau cria : « Messieurs, Vive la France ! » avant d’entonner la Marseillaise. Les soldats qui devaient l’exécuter, émus par son courage, hésitèrent à tirer. La première salve le blessa seulement : Une seule balle l’atteignit sur les douze qui furent tirées : au ventre dirent certains… au bras affirmèrent d’autres. Quoiqu’il en soit, le fait certain c’est que Degueldre ne fut pas atteint de manière décisive.

    ...L’adjudant chargé de donner le coup de grâce se précipita, l’arme à la main, pour accomplir sa sinistre besogne et se rendit compte que le condamné était toujours en vie. Sa tâche ne consistait désormais plus à achever un quasi-mort censé avoir reçu douze bouts de métal… mais bel et bien de tuer un vivant. Et ce sont là deux choses bien différentes… Il en eut si terriblement conscience, que sa main pourtant préparée à cette macabre mission trembla, et que le revolver se déchargea dans le vide.

    ...Parmi l’assistance, c’était la stupéfaction. Cette situation eut pour effet d’agacer le procureur qui, réveillé un peu tard, n’avait pas eu le temps de prendre son petit déjeuner. Et son estomac gargouillait. Mécontent, il fit signe à l’adjudant de se dépêcher. Pensant ce temps, Degueldre, à demi recroquevillé souffrait. Les coups de feu résonnaient encore à ses oreilles et il se demandait quand son calvaire prendrait fin.

    ...L’adjudant, toujours tremblant, pointa une nouvelle fois son arme sur la tête de l’officier parachutiste, ferma les yeux et appuya sur la détente. Stupeur ! Rien ne se produisit. L’arme s’était enrayé. Une rumeur monta de l’assistance. Degueldre tourna la tête vers son exécuteur comme pour l’interroger. Aucune haine dans son regard… juste de l’incompréhension. Exaspéré par cette situation –unique dans les annales de l’exécution- le procureur ordonna qu’une nouvelle arme soit amenée. Mais personne parmi les militaires présents n’en possédaient. Il fallait courir en chercher une… Et pendant ce temps, Degueldre était toujours vivant… et il souffrait.

    ...A partir de ce moment là, tous les juristes s’accordent à dire que la sentence ayant été exécutée, puisque le condamné étant encore en vie, il fallait le détacher du poteau et lui donner les soins nécessaires. Autrement dit, on n’avait pas le droit d’achever le blessé. Mais les ordres étaient formels; Il fallait que Degueldre soit tué ! Il incarnait à lui seul, l’OAS, cette puissance qui avait fait trembler les Etats Majors, le FLN et l’Elysée… Il fallait exorciser jusqu’à son souvenir.

    ...Et pendant que l’on s’affairait à se procurer une arme, celui qui, à cet instant, aurait pu changer le cours des événements ne réagit point. Pétrifié par la scène, glacé d’effroi, le défenseur du condamné demeurait inerte. Pourtant, il lui appartenait de tenter quelque chose, de courir jusqu’au supplicié, de le prendre dans ses bras et de le couvrir de son corps en invoquant la justice, en appelant à l’amour, en exigeant au nom de toutes les traditions humaines et chrétiennes qu’on fît grâce du condamné. Cela s’était déjà produit dans l’Histoire quand la corde du pendu avait cassé et que la grâce lui avait été accordée. Mais non, l’avocat demeurait prostré, sans voix, mort… alors que Degueldre, lui, était vivant et qu’il le regardait.

    ...Enfin on remit un pistolet à l’adjudant qui, blanc comme un linge, écoeuré par cette boucherie… mais servile au commandement de tuer, devait en finir puisque tels étaient les ordres et que le défenseur du condamné qui, seul avait qualité pour tenter quelque chose, se taisait. Un nouveau coup de feu claqua. Stupeur ! Celui-ci fut tiré, non pas au-dessus de l’oreille comme l’exige le règlement, mais dans l’omoplate… Une douleur atroce irradia le corps du supplicié. Il regarda vers le ciel et ouvrit grand ses yeux. Peut-être perçut-il à cet instant que son calvaire prenait fin. Il était tout illuminé des illusions radieuses de ceux qui vont mourir et il lui sembla entendre, là haut, les voix des martyrs du 5 juillet lui murmurer : « Roger… Roger… dès aujourd’hui tu seras avec nous dans le Paradis ». Puis une nouvelle détonation retentit… et ce fut la fin.

    Roger Degueltre
    Les martyres coupables de n'avoir pas trahi les populations comme De gaulle l'a fait!!!

    ...C’est ainsi qu’après Claude PIEGTS et Albert DOVECAR, Sergent au 1er Régiment Etranger de Parachutistes, mourut, assassiné, le lieutenant Roger DEGUELDRE, également du 1er R.E.P, Chevalier de la Légion d’honneur… Et les salves du peloton couvrirent un instant les plaintes et les râles qui montaient d’Oran, tandis que la France, en vacances, n’entendit rien. Et nous nous devons de ne jamais oublier son ultime message adressé au petit peuple d’Algérie : « Si je ne suis pas de leur race, ni né sur leur sol, je les ai beaucoup aimés et je les aime toujours ! »
    ...Huit mois plus tard, le 11 mars 1963, le Colonel Jean BASTIEN-THIRY, Polytechnicien, tombait à son tour à 35 ans, sous les salves du peloton.

    Décidément, le crime était profondément enraciné !…

    Roger Degueltre
    Sa dernière demeure.....
    la Tombe du Lieutenant DEGUELDRE au cimetière des Gonnards à Versailles 
    ...

    N'oublions pas le sacrifice de ces hommes d' honneur victimes de l'orgueil et de la morgue d'un De gaulle animé par une haine sans limite de ceux qui osaient s'opposer à ses turpitudes!
    De gaulle est le seul responsable de la mort de milliers de Français qui lui avaient fait confiance !!!


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  • Émeutes : qui va payer l'addition ?

    « Qui va payer ? » Au lendemain de la sixième nuit d’émeutes, et alors qu’une accalmie semble se profiler, la question est sur toutes les lèvres. Dans les rues, les carcasses de voitures brulées, les vitrines des commerces brisées, les transports mis hors service, rappels douloureux de ce déchaînement de violence en France, laissent présager une longue et coûteuse reconstruction. Déjà, des voix s’élèvent pour aider les commerçants pillés, les Français victimes et les villes saccagées. Mais avec quel argent ?

    Un milliard d’euros pour les commerces

    La facture s’annonce salée. Après une semaine d’émeutes, les premières estimations du coût des réparations commencent à sortir dans la presse. « Plus de 200 commerces ont été entièrement pillés, 300 agences bancaires détruites, 250 bureaux de tabac touchés avec des modes opératoires d’une violence absolue. Tout a été volé, même des caisses enregistreuses, avant de mettre le feu pour détruire », recense Geoffroy Roux du Bézieux, patron du MEDEF, dans les colonnes du Parisien. Selon ses calculs, « on est à plus d’un milliard d’euros » de dégâts pour ce qui concerne les commerces. Un montant exorbitant qui ne prend en compte ni la perte d’activité ou le chômage technique, ni l’impact négatif des émeutes sur le tourisme. Déjà, la Fédération des entreprises du voyage prévoit 10 % d’annulation pour les voyages prévus en France. Une estimation en deçà de l’Office de tourisme de Paris, qui s’attend à 20 voire 25 % d’annulations sur le début du mois de juillet. Or, qui dit chute du tourisme dit inévitablement manque à gagner pour de nombreuses entreprises (hôtellerie, restauration…) et commerces.

    Les transports publics ont également été la cible des émeutiers, au cours de cette dernière semaine. Île-de-France Mobilités dénombre ainsi pas moins de 40 bus incendiés sur le territoire francilien, dont 14 à Provins (Seine-et-Marne). À cela s’ajoutent les rames de tramway brûlées et, pour certaines, mises totalement hors service. Des dégâts, parfois irrémédiables, qui nécessitent un investissement d’au moins 20 millions d’euros, assure l’autorité régionale de transport. Les émeutiers ont par ailleurs attaqué plus d’une centaine de bâtiments communaux et près de 200 écoles, dégradé du mobilier urbain dans de nombreuses villes et incendié plusieurs milliers de voitures de particuliers.

    Si ces premières estimations s’avèrent exactes, la facture des émeutes de 2023 sera bien plus élevée que celle de 2005. À l’époque, après trois semaines de violences urbaines, le montant des dégâts était évalué à 204 millions d’euros.

    Ces sommes importantes s’ajoutent à l’argent public englouti par les banlieues depuis plus de quarante ans. À raison de 10 milliards d’euros par an dans le cadre de la « politique de la ville » et plusieurs centaines de millions d’euros, chaque année, pour la rénovation urbaine, « on peut estimer que, depuis le début des années 2000, ce sont entre 150 et 200 milliards d’euros qui ont été dépensés » pour ces quartiers prioritaires, note Agnès Verdier-Molinié, dans les pages du Figaro.

    Sanctionner les émeutiers

    Même si les assureurs devraient, en grande partie, indemniser les commerçants victimes de ces émeutes, comme l’annonce le président du MEDEF dans son interview au Parisien, les compagnies, tout comme les victimes, pourront ensuite se retourner contre l’État, « civilement responsable des dégâts et dommages », précise le Code de sécurité intérieure. Et alors, comme à chaque fois, ce sera au contribuable de payer.

    Mais, pour Jordan Bardella« ce n’est pas aux Français de payer pour les dégâts ». Il appelle donc à « supprimer les allocations familiales aux parents de mineurs multirécidivistes lorsque des carences éducatives sont avérées ». Une position qui fait écho aux déclarations récentes d’Éric Zemmour et d’Éric Ciotti. Emmanuel Macron lui-même a évoqué, ce 3 juillet, lors d’un déplacement auprès des forces de l’ordre, une possible sanction financière contre les familles d’émeutiers. « Il faudrait qu’à la première infraction, on arrive à sanctionner financièrement et facilement les familles », détaille le chef de l’État, favorable, donc, à « une sorte de tarif minimum dès la première connerie ». Une déclaration qui a, évidemment, fait grincer des dents à gauche. Mais peu importe, comme le rappelle Agnès Verdier-Molinié, « il est temps de passer au principe du pilleur-payeur ». À suivre...

    Clémence de Longraye

    Source : http://bvoltaire.fr


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