• En 4 mois : 5 vaxxinés, 3 décès, 4 cancers parmi mes seules connaissances

    C’est bien connu que le “vaccin” anti-covid protège définitivement du Covid-19 (même s’il faudra faire un rappel tous les 4 mois jusqu’à la mort des vaxxinés, mais ceci est un détail), il supprime toute transmission, il n’a aucun effet secondaire, et c’est le sauveur de la planète. Ceci est acté.

    Pourquoi ? Parce que 80 % de la population française le dit, le pense, le croit, le respire, le boit, le déguste. Alors, chers amis, pensez donc, puisque des dizaines de millions de gens intelligents, réfléchis, à l’esprit critique, à l’esprit d’observation, à l’esprit d’analyse, éjaculent par leurs bouches et leurs bananes de telles vérités, si sûrs d’eux, si fiers d’eux, si affirmatifs, comment concevoir y apporter certains doutes ? La chose est impossible.

    D’ailleurs, tous ces gens font une telle confiance à notre Président, notre Père, notre “Petit Père des peuples”, notre “Guide suprême” que dis-je, notre “Grand Dirigeant” que cela en est touchant. Un président d’une république bananière française ne peut qu’œuvrer jour et nuit pour notre bien. Alors, quand il dit “emmerder” et qu’il fera “tout pour emmerder les non vaccinés” et bien, votre serviteur vous le dit, s’il dit emmerder les non vaccinés c’est qu’il faut le faire. C’est pour cela que les Français concernés l’ont réélu à titre de remerciements tant il aime son peuple.

    La plateforme de pharmacovigilance de l’Agence européenne des médicaments elle-même affirme  qu’il y a eu 42 507 morts en Europe après la vaccination contre le Covid-19 (référence). Mais bien évidemment, la bonne presse subventionnée gauchiste, malgré ces évidences, affirme que l’on ne peut pas faire de rapport direct. Laissons ces débiles imbéciles croire et dire ce qu’ils veulent.

    Votre serviteur, comme tout le monde, connaît un certain nombre d’amis et relations en plus de sa propre famille. Il n’en connaît pas des milliers comme cela pourrait être le cas pour certains.

    Dans ce nombre ordinaire relationnel, en à peine quatre mois, il y a eu 3 décès et 4 cancers, tous chez des multi piquousés.

    Le premier décès est un des meilleurs amis de mon fils, ami de 42 ans, trois doses, décédé d’une crise cardiaque. Bien évidemment, aucun antécédent, puisqu’il participe depuis de nombreuses années avec mon fils à des marathons organisés à droite et à gauche.

    Le deuxième décès est la femme d’une bonne relation de votre serviteur avec laquelle nous réalisions, mon épouse et moi-même, des marches par l’association que j’avais créée. Il me racontait l’autre jour que son épouse était en pleine forme, et que se rendant à sa séance de gymnastique elle s’est effondrée brusquement sur son volant la voiture partant dans le fossé : diagnostic médical crise cardiaque. Vaccinés quatre fois.

    Le troisième décès concerne un neveu par alliance 41 ans, découverte d’une tumeur au cerveau il y a un peu plus d’un an, multi vaccinés bien entendu, décédé il y a trois semaines de sa tumeur. Une veuve de 38 ans et trois enfants en bas âge.

    Ensuite il s’agit du mari d’un couple de nos amis intimes, ayant fait la totalité des doses comme sa femme, et apparition il y a deux mois d’une tumeur osseuse cancéreuse. À noter que nous avions discuté un jour ensemble de la vaccination, que j’avais émis d’importantes réserves, et j’avais fait l’objet de petites moqueries et petites humiliations discrètes car nous sommes amis. Lui vient de choper une tumeur cancéreuse osseuse, moi je n’ai rien chopé. Il y a quelque chose qui se mange froid, chers amis, mais j’ai oublié je ne sais plus de quoi il s’agit.

    Enfin, le dernier, avant peut-être d’en découvrir d’autres, il s’agit d’un ecclésiastique de ma région ayant vanté lors d’une homélie la vaccination lorsque nous étions en plein Covid. Depuis quatre mois il développe trois cancers qui se sont succédé à quelques semaines chacun, cancer des poumons le premier, cancer du foie le deuxième, et il y a deux semaines découverte d’un cancer du pancréas. 4 doses.

    Chers amis patriotes, vous savez que ce que je vous décris dans ces quelques lignes est évidemment la stricte vérité il n’est aucunement question d’invention ni de mythomanie de ma part. Mais lisez bien la suite, l’histoire n’est pas terminée.

    Dans ces 5 cas, au hasard des rencontres, des discussions, les cinq personnes concernées et la totalité de leur entourage à tous se refuse à faire le moindre rapport avec les injections du vaccin. Leur enfermement est aussi important qu’il y a un an, leur déni de même, leur aveuglement et leur surdité sont aussi impressionnantes et développés qu’auparavant.

    Touchés dans leurs chairs, dans leurs morts, dans leurs affectivités les plus profondes et les plus intimes, leurs soumissions à la propagande est toujours présente, et aucun de ces événements ne leur fait lever le moindre coin du voile afin d’essayer de découvrir ce qui a pu se passer.

    Comme nous le savons chers patriotes, la lobotomisation, la zombification, la passivité, la surdité et l’aveuglement sont aussi présents qu’ils l’étaient durant cet épisode Covid.

    Qui peut croire que la France n’est pas une secte à grande échelle dont 80 % du peuple sont les adeptes de ladite secte et qui iront jusqu’à la mort en remerciant encore leur gourou au moment même où celui-ci met fin à leurs propres vies.

    Par cet épisode covidique, les mondialistes ont confirmé en réel ce qu’ils pensaient d’ailleurs, à savoir que même un peuple européen supposé évolué peut être manipulé jusqu’à la mort à condition de mettre le paquet au niveau de la propagande et des mensonges.

    Je vous fais une confidence personnelle, chers patriotes, approchant 70 ans dans quelques mois, le seul regret de ma vie aura été de faire des enfants qui vivront la déchéance à tous les niveaux de ce pays, déchéance déjà bien commencée.

    Cachou

    https://resistancerepublicaine.com/


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  • Gilles Platret, Président LR de Saône-et-Loire appelle à renverser le gouvernement


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  • Algérie : près de 3 000 migrants renvoyés dans le désert en 10 jours

    Les autorités algériennes ont expulsé 2 852 migrants entre le 23 février et le 5 mars. 

     Les exilés ont été abandonnés en plein désert, à plusieurs kilomètres de la frontière nigérienne, sans eau ni nourriture. Parmi eux, des femmes et des enfants.

    Ils ont été abandonnés en plein milieu du désert, sous un soleil de plomb, sans eau ni nourriture. En seulement 10 jours, 2 852 personnes originaires d’Afrique subsaharienne ont été expulsées d’Algérie vers la frontière nigérienne. Selon Alarme Phone Sahara, qui vient en aide aux exilés dans la région, 993 migrants ont été renvoyés le 23 février, 1 180 le 3 mars et 679 le 5 mars. Parmi eux se trouvaient des femmes et des enfants. L'Organisation internationale pour les migrations (OIM), jointe par InfoMigrants, n'a pas été en mesure de confirmer ces chiffres.

    Ces opérations sont appelées sobrement des "reconduites à la frontière" par les autorités algériennes. Interpellés dans différentes villes du nord de l’Algérie, dans leur appartement, leur travail ou dans la rue, les migrants sont ensuite entassés dans des camions puis déportés vers le centre de refoulement de Tamanrasset, à 1 900 kilomètres de route au sud d’Alger. Là, beaucoup affirment être dépouillés de leurs affaires par les policiers : argent liquide, bijoux, téléphones portables, passeports…

     À (re)lire : Ahmed, expulsé vers le Niger : "Les Algériens nous ont déposés dans le désert et ont tiré deux coups de fusil en l'air pour nous faire peur"

    Ensuite, les exilés sont abandonnés dans le désert, au lieu-dit du Point-Zéro, qui marque la frontière avec le Niger, en plein Sahara.

    Les migrants "ne reçoivent ni nourriture ni d’endroit pour dormir"

    Livrés à eux-mêmes, les exilés doivent marcher des heures pour atteindre le premier village nigérien, Assamaka, à 15km du Point-Zéro. C’est là que se trouve le centre de transit de l’OIM, le bras de l’ONU qui assiste les retours volontaires des migrants vers leur pays d’origine.

    "Elles [les autorités algériennes, ndlr] nous ont abandonnés en plein désert, au milieu de la nuit. Il était environ 3h du matin quand on s'est mis en marche vers les lumières qui scintillaient. Je portais ma fille Maryam, ma femme portait Aminata, et un frère portait mes bagages", avait raconté en novembre dernier à InfoMigrants Burlaye, un père de famille malien de 25 ans qui travaillait comme boulanger en Algérie avant son expulsion.

    À (re)lire : "On nous a abandonnés dans le désert à 2h du matin" : le calvaire des migrants refoulés de l'Algérie vers le Niger

    Lui et ses proches n’ont pas pu être accueilli dans le camp de l’agence onusienne, qui affichait ce jour-là complet. Burlaye, sa femme et ses enfants ont passé plusieurs nuits dehors.

    C’est aussi le cas des migrants renvoyés par l’Algérie ces dernières semaines. D'après Alarme Phone Sahara, nombre d’entre eux ont dû rester à l’extérieur, faute de places dans le centre de l’OIM. Ils "ne reçoivent ni nourriture, ni d’endroit pour dormir. Ils sont contraints de vivre dans la rue", a déclaré le 10 mars l’organisation sur sa page Twitter.

    "Abandon" de milliers de migrants

    Dans un communiqué publié jeudi 16 mars, Médecins sans frontières (MSF) a dénoncé "l'abandon" de milliers de migrants présents à Assamaka. L'ONG médicale parle même d'une "situation sans précédent".

    Le Centre de santé intégré (CSI) d'Assamaka, dans lequel MSF "distribue des articles non alimentaires" et propose des "consultations gratuites" de santé, est "débordé". "La majorité des personnes récemment arrivées se sont installées dans l'enceinte du CSI, en raison du manque d'espace dans le centre de transit", affirme une coordinatrice de MSF à Agadez, Schemssa Kimana, citée dans le communiqué.

    MSF ajoute que des personnes "cherchent à s'abriter de la chaleur" qui peut "atteindre 48°C" à Assamaka, jusqu'à dormir dans des "tentes de fortune", "devant la maternité, sur le toit ou dans la zone de déchets". Dans les endroits "peu hygiéniques", ces personnes sont exposées "à des risques sanitaires tels que les maladies contagieuses et les infections cutanées", indique l'ONG.

    Les expulsions opérées par les autorités algériennes sont fréquentes dans la région. Le 12 février déjà, 899 personnes avaient été renvoyées à la frontière nigérienne, dans les mêmes conditions. Selon les chiffres de MSF, entre le 11 janvier et le 3 mars 2023, près de 5 000 migrants ont connu le même sort. Et pour certains, l’issue peut être fatale. Nombre d’exilés, livrés à eux-mêmes dans le désert, sans carte ni moyen de localisation, se perdent et errent plusieurs jours à la recherche d'un village. En 2020 et 2021, 38 corps ont été retrouvés dans la zone, à quelques kilomètres d’Assamaka.


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  • Au lendemain du 49.3 : et maintenant ?

     Georges Michel   

    Ambiance de fin de règne, alors qu’ a encore plus de quatre ans « à tirer » à l’Élysée, pour certains, victoire à la Pyrrhus, pour ne pas dire échec du gouvernement, pour d’autres. 

    Mais nom d’une pipe, pas du tout, dit Olivier Dussopt, « cela n’est pas un échec » ! 

    Si on veut. « Ce n' fut pas Waterloo, mais ce n' fut pas Arcole », comme chantait Jacques Brel dans « Au suivant ». Au fait, qui sera le suivant ou la suivante ? Élisabeth Borne n’est peut-être pas toute nue dans sa serviette (précisions : toujours comme dans la chanson de Brel, pour qu’il n’y ait pas de mauvaise interprétation !), mais plus d’un commentateur n’a pas manqué de pointer du doigt que, désormais,  est un roi nu et que l’image du premier de ses ministres est salement esquintée. Échec dans ses tentatives pour convaincre les syndicats, l’opinion et, finalement, une majorité de députés. Cet échec est aussi celui d’, qui est resté « tapi dans l’ombre », pour reprendre les mots mêmes d’Élisabeth Borne, jeudi après-midi, à la tribune de l’Assemblée, à l’adresse des députés RN. Et maintenant ?

    Motions de censure. Notre ami Marc Eynaud a fait les comptes. Sauf coup de théâtre, il est peu probable que la  déposée par le groupe Libertés, Indépendants, Outre-Mer et Territoires (LIOT), groupe dans lequel on trouve le très chevronné Charles de Courson, rassemble assez de députés LR pour faire chuter le gouvernement. Donc, le gouvernement ne devrait pas tomber. Éric Ciotti, qui ne veut « pas ajouter du chaos au chaos », ne votera aucune mention de censure.

    Le chaos pour qui ? Pour les LR, peut-être en cas de dissolution. Peut-on rappeler à ce gaulliste que la seule fois où un gouvernement fut renversé à l’issue d’une , ce fut sous de Gaulle, le 5 octobre 1962. On était au sortir de la guerre d’Algérie et tout n’était pas que paix et félicité dans le pays. De Gaulle prononça la dissolution de l’Assemblée et les Français lui donnèrent raison. Il est vrai que le parti gaulliste, alors, n’était pas constitué en syndic de faillite et que, probablement, l’issue des urnes aujourd'hui ne permettrait pas de dégager une majorité claire, tant le pays est fracturé. Une fracture aggravée par bientôt six années de macronisme.

    D’aucuns voient les prémices de ce chaos dans les manifestations et leur cortège de « débordements », comme on dit. Des débordements qui se sont multipliés, jeudi soir, dans plusieurs grandes villes, après l’annonce du déclenchement du . Des « incidents ont éclaté », selon la formule consacrée, un peu partout dans le pays : « Rennes, Nantes, Amiens, Lille, Grenoble ou encore Marseille »nous dit Ouest-FranceÀ Paris, place de la Concorde, gaz lacrymogènes et canons à eau ont été utilisés. Combien étaient les manifestants ? Autour de 6.000. Ce n’était pas, non plus, le 6 février 1934, lorsque des dizaines de milliers de manifestants de droite s’étaient massés, en quelques heures à peine, pour crier leur dégoût d’une IIIe République à bout de souffle. Ce vendredi, toujours à Paris, le périphérique à hauteur de la porte de Clignancourt a été envahi par des manifestants, bloquant ainsi la circulation.

    Alors, -t-on voir ces mouvements d’humeur plus ou moins spontanés se multiplier à travers le pays dans les prochains jours ? Un mouvement du genre « gilets jaunes », c’est-à-dire hors de contrôle des syndicats qui, d’une certaine façon, dans cette affaire de la , ont aussi échoué à convaincre… le gouvernement. Si la situation chaotique venait ainsi à perdurer, sauf drame (mort, par exemple), il est possible que le pouvoir finisse par en profiter en jouant, comme il a su si bien le faire lors du mouvement des gilets jaunes, la carte du parti de l’ordre. N’oublions pas qu’Emmanuel Macron, dans les sondages, conserve son noyau dur. Cette carte de l’ordre qui, finalement, depuis Thiers, a toujours payé, un personnage semble vouloir l’utiliser : , bien sûr. Un ministre de l’Intérieur qui a demandé, jeudi soir, aux préfets, des « mesures renforcées de protection » pour les élus de la majorité (on en est là, dans ce pays), sans doute à juste titre. Un Gérald Darmanin, encore, qui, ce vendredi matin, selon Mediapart, après avoir annulé un déplacement en Gironde, a convoqué tous les préfets pour une visioconférence au sujet de la situation sociale. Une petite dramaturgie, ça ne peut pas faire de mal pour l'image. 

    Une façon de tenter de s’imposer comme l’homme fort d’un gouvernement sans doute un peu médusé. On ne sait jamais, au cas où…


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